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- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
- » parchemins postés : 1972
» miroir du riséd : ester expósito
» crédits : alcaline (ava) ; crackship (code sign) ; chaton (gif sign)
» multinick : miguel pajares & calliope muller & andrew hill
» âge : 24 ans (depuis le 02/09/2023)
» situation : fiancé à son cousin nullus blackthorn.
» année d'études : 6eme année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Potion (+), Sortilèges (+) et Médicomagie (++)ㅡ options facultatives :▣ Etude des Runes (++).
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Dim 18 Oct 2020 - 12:25
Juliet eut un petit rire léger, scintillant, lorsque Maximilien lui annonça que lui était doué pour se faire des amis et qu'il pouvait mener cet aspect de leur relation. Eh bien, sachez le, Juliet le croyait sur parole. Même si elle même ne connaissait pas vraiment Maximilien avant leur fiançailles, elle savait très bien qui il était. Elle l'avait souvent vu entouré de ses coéquipiers du Quidditch, de ses nombreux amis... Maximilien semblait s'entendre avec tout le monde. Un véritable caméléon social. Tout ce que n'était pas la jeune Blackthorn. Si Maximilien semblait savoir s'adapter facilement dans ses relations amicales, ce n'était pas du tout le cas de Juliet qui paniquait au moindre changement d'humeur de ses proches.
- Je te fais mille fois confiance.
Répondit elle, retrouvant la bonne humeur de ce début de journée. Le soleil se cachait derrière les nuages et s'il faisait toujours bon, les lunettes de soleil n'étaient plus d'une très grande utilité. Elle les remonta au dessus de sa tête, tirant ses mèches blondes en arrière tandis qu'elle poursuivait son repas. Juliet avait beau être fine, elle était gourmande et mangeait assez vite. Surtout quand c'était aussi excellent.
- Alors, tu me fais goûter ce vin rouge ?
Le pichet était posé sur la table et il semblait que le français l'eut oublié avec ces échanges impromptus sur la nature de leur relation. Elle sourit, doucement, se rendant compte à quel point l'un et l'autre se mettaient la pression. La charge familiale sur les épaules les obligeants à se marier couplée à l'envie d'être heureux leur donnait une volonté incroyable pour s'entendre et pour espérer tomber amoureux. Malheureusement, l'amour ne se contrôle pas. Il vient, il va, il repart. On ne peut pas commender l'amour, ce n'est pas sur l'ardoise de la vie. L'amour c'est toujours une surprise. Elle se rendit compte de toute cette pression et qu'il était stupide de s'imposer ça. Il fallait qu'ils soient indulgents et patients l'un envers l'autre. Et bien heureusement, Juliet excellait dans ces atouts. Si Sixtine était son second prénom, elle aurait aussi pu s'appeler patience.
Juliet hocha la tête, aller voir un film moldu était une excellente idée et elle était loin d'être contre. Il faut dire que l'occasion ne s'était jamais vraiment présentée pour elle. Et puis un film c'était vraiment une bonne idée. Ca permettait de passer un moment ensemble, d'être silencieux et concentrés et d'en débattre après, d'avoir un chouette sujet de conversation sans trop se demander ce qu'on allait pouvoir raconter à l'autre. Et ils avaient grand besoin de moments simples, comme ça.
- Si tu me fais découvrir Paris, puis le cinéma... Il va falloir que je te fasse rentrer un peu dans mon monde aussi...
Que pouvait elle lui proposer ? Elle n'avait pas une vie palpitante, même si elle adorait sa vie elle était bien consciente que beaucoup pourraient la trouver ennuyeuse. Elle refléchit quelques secondes et ajouta :
- Je t'épargne les galas mondains que tu dois bien connaître, je vais aussi t'épargner les repas de famille tendus... Tu m'as dit que tu jouais un peu au piano, on pourrait en faire ensemble ? Tu sais jouer à quatre mains ?
Juliet sourit lorsque Maximilien aborda le sujet du téléphone portable. Elle sortit le sien, qu'elle maitrisait encore assez mal il fallait avouer.
- J'ai longtemps résisté à l'appel de ces petites choses mais j'ai cédé il y a peu... C'est tellement plus pratique que les hiboux et les patronus... Peter a remercié tout les dieux qu'il connaissait quand il a apprit que j'avais enfin acheté un téléphone !
Elle rit, son cousin était bien plus ouvert qu'elle au monde et aux technologies moldues et il était surtout ravi de pouvoir enfin communiquer avec elle sans devoir bouger ses fesses jusqu'à la volière...
- Je te fais mille fois confiance.
Répondit elle, retrouvant la bonne humeur de ce début de journée. Le soleil se cachait derrière les nuages et s'il faisait toujours bon, les lunettes de soleil n'étaient plus d'une très grande utilité. Elle les remonta au dessus de sa tête, tirant ses mèches blondes en arrière tandis qu'elle poursuivait son repas. Juliet avait beau être fine, elle était gourmande et mangeait assez vite. Surtout quand c'était aussi excellent.
- Alors, tu me fais goûter ce vin rouge ?
Le pichet était posé sur la table et il semblait que le français l'eut oublié avec ces échanges impromptus sur la nature de leur relation. Elle sourit, doucement, se rendant compte à quel point l'un et l'autre se mettaient la pression. La charge familiale sur les épaules les obligeants à se marier couplée à l'envie d'être heureux leur donnait une volonté incroyable pour s'entendre et pour espérer tomber amoureux. Malheureusement, l'amour ne se contrôle pas. Il vient, il va, il repart. On ne peut pas commender l'amour, ce n'est pas sur l'ardoise de la vie. L'amour c'est toujours une surprise. Elle se rendit compte de toute cette pression et qu'il était stupide de s'imposer ça. Il fallait qu'ils soient indulgents et patients l'un envers l'autre. Et bien heureusement, Juliet excellait dans ces atouts. Si Sixtine était son second prénom, elle aurait aussi pu s'appeler patience.
Juliet hocha la tête, aller voir un film moldu était une excellente idée et elle était loin d'être contre. Il faut dire que l'occasion ne s'était jamais vraiment présentée pour elle. Et puis un film c'était vraiment une bonne idée. Ca permettait de passer un moment ensemble, d'être silencieux et concentrés et d'en débattre après, d'avoir un chouette sujet de conversation sans trop se demander ce qu'on allait pouvoir raconter à l'autre. Et ils avaient grand besoin de moments simples, comme ça.
- Si tu me fais découvrir Paris, puis le cinéma... Il va falloir que je te fasse rentrer un peu dans mon monde aussi...
Que pouvait elle lui proposer ? Elle n'avait pas une vie palpitante, même si elle adorait sa vie elle était bien consciente que beaucoup pourraient la trouver ennuyeuse. Elle refléchit quelques secondes et ajouta :
- Je t'épargne les galas mondains que tu dois bien connaître, je vais aussi t'épargner les repas de famille tendus... Tu m'as dit que tu jouais un peu au piano, on pourrait en faire ensemble ? Tu sais jouer à quatre mains ?
Juliet sourit lorsque Maximilien aborda le sujet du téléphone portable. Elle sortit le sien, qu'elle maitrisait encore assez mal il fallait avouer.
- J'ai longtemps résisté à l'appel de ces petites choses mais j'ai cédé il y a peu... C'est tellement plus pratique que les hiboux et les patronus... Peter a remercié tout les dieux qu'il connaissait quand il a apprit que j'avais enfin acheté un téléphone !
Elle rit, son cousin était bien plus ouvert qu'elle au monde et aux technologies moldues et il était surtout ravi de pouvoir enfin communiquer avec elle sans devoir bouger ses fesses jusqu'à la volière...
- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Dim 18 Oct 2020 - 13:55
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Avoir la confiance de Juliet, c’est quelque chose. Maximilien ne prend pas ça à la légère, même s’il lui offre un sourire en guise de réponse. Il est vite rattrapé par la demande de la jolie blonde, se rendant compte qu’il a complètement omis de les servir en boisson. Ce serait dommage de partir d’ici sans avoir pu goûter au breuvage bordeaux !
“Oui ! Ahlàlà, mes manières décidément…” Dit-il sur le ton de plaisanterie, car il suppute que la jeune Blackthorn n’est pas tant à cheval que cela sur les convenances. Peut-être un peu, comme lui, par obligation familiale ou simple habitude… mais de là à lui en vouloir s’il oublie de lui verser un peu de vin ! Une fois fait, il se permet de faire tinter son verre contre le sien avant de le porter à ses lèvres. La sensation, bien connue, aide à le rassurer et à lui donner un peu de confiance en lui.
Il aborde un autre sujet, le cinéma, plus léger sûrement pour eux. Mais il apprend finalement que Juliet n’en a jamais profité et s’il ne juge pas du tout ce manque de pratique moldue - vu leurs familles, c’est presque normal - il se promet intérieurement de le lui faire découvrir. Si tant est que cela l’intéresse, bien sûr. Elle semble emballée par l’initiative, se demandant comment lui renvoyer l’ascenseur apparemment. Maximilien, bien sûr, n’en demande pas tant. Il est loin d’être le genre de personne à réclamer un rendu de service… et il n’a même pas l’impression que l’inviter au cinéma en soit un ! Un simple partage de connaissance.
Cependant, ce que lui propose Juliet l’intéresse aussitôt et cela doit se voir facilement dans son regard. “Je me débrouille pas trop mal, oui ! Cela me plairait beaucoup de jouer avec toi.” Enfin quelque chose, une pratique, qui peut réellement les rapprocher sans qu’ils ne se mettent, ni l’un ni l’autre, trop de pression. Bien qu’il doit sûrement être loin de son niveau, il prendra beaucoup de plaisir à créer un peu de mélodie et d’ambiance en sa compagnie et cette idée lui donne l’un de ses plus beaux sourires : enfantin, passionné, impatient. Tout ce qu’on est quand on aime vraiment quelque chose.
“Oh, c’est lui qui t’a initié alors ? Il a eu une bonne idée ! Même si j’aime les manières sorcières de communiquer - il y a quelque chose de vraiment beau dans les messages par patronus à mon avis - c’est beaucoup plus rapide et instantané avec la technologie moldue. Et je me dis que, pour éviter de trop se faire épier par nos familles et faire les choses à notre manière, on pourrait s’en servir. Je doute qu’ils pensent à vérifier ce biais pour nous surveiller ! Qu’en penses-tu ?” Le français termine son assiette et reprend une gorgée de son vin, proposant ainsi une alternative à Juliet qui devrait les satisfaire. Il se doute qu’elle n’aime pas cette surveillance constante autant que lui… et que s’en défaire ne pourrait qu’améliorer leur relation, qu’elle soit plus qu’amicale ou pas.
“Tu as l’air vraiment proche de Peter, j’ai l’impression. Il m’a beaucoup parlé de toi. Je ne sais pas s’il te l’a dit, si tu étais au courant ou pas… mais il a demandé une… entrevue avec moi. Pour parler de tout ça. Et il a vraiment l’air de beaucoup s’inquiéter pour toi. Si j’ai bien compris, cette idée de mariage ne lui plaît guère ?” Maximilien sait qu’il ne devrait sûrement pas aborder ce sujet, sauf qu’il a envie d’en savoir un peu plus sur le phénomène Drummond… après tout, il va faire partie de sa famille bientôt !
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Mar 20 Oct 2020 - 21:39
Ah ! Les bonnes manières… Si Juliet n’avait pas entendu cette phrase 150 fois alors qu’elle était enfant… « Tiens-toi droite », « soit charmante », « exprime toi correctement ». Pour les Blackthorn, les bonnes manières c’était un ticket d’entrée pour la belle société et ils avaient ainsi élevés leurs enfants. Si Juliet aimait la politesse et l’amabilité, elle était loin d’être aussi exigeante que ses parents. Elle était d’ailleurs consciente que tout le monde n’avait pas eu l’éducation stricte et vieillotte qu’elle avait pu avoir. Pour le coup, Maximilien devait avoir eu une éducation comme la sienne, il était sûrement encore sous le coup de leur discussion sur leurs fiançailles.
La blondinette remercia le français qui l’avait servie. La boisson rouge foncé avait pris possession de son verre vide et la jeune femme attendit que le Summerbee soit servie pour trinquer doucement. Elle porta le verre à ses lèvres et gouta une gorgée du breuvage qui l’a fit aussitôt grimacer. Erk… C’était tellement âpre. La langue de Juliet n’était pas aguerrie à ce genre de saveur. Elle ne put dissimuler sa surprise. Elle laissa passer la gorgée avant de dire :
- Il parait qu’il faut en boire souvent pour apprécier.
Elle rit et, de bonne composition, prit en bouche une nouvelle gorgée. Non plus surprise, elle sut dissimuler son manque d’appréciation cette fois. Le goût n’avait pas changé mais ça passait un peu mieux quand même. Bon… ça ne valait pas un thé glacé, vraiment… Mais avec le reste de son assiette, le vin devrait mieux passer. Maximilien, qui avait l’habitude du vin en bon français qu’il était, semblait satisfait du goût du bordeaux.
Juliet finit son assiette tout en proposant au jeune homme quelques leçons de piano contre la soirée au cinéma. Après tout, s’il peut assurer la gestion de leur amitié, Juliet ne saurait faire aucun effort. Elle appréciait Maximilien et elle était prête à mettre du sien. Elle partageait souvent ses moments de pianiste d’ailleurs, elle avait l’habitude… Elle jouait souvent avec Kiran qui avait appris tardivement, elle jouait également souvent avec Elwin qui était un épouvantable apprenti et même avec un professeur qu’elle ne connaissait pas… Pour rire, elle répond :
- J’espère que tu seras un meilleur partenaire qu’Elwin Frye, j’ai souvent été à deux doigts de perdre patience avec lui.
Elle sourit tendrement. Elwin est un de ses meilleurs amis et même s’il est insupportable en tant qu’élève elle garde de bons souvenirs de ces moments qui se font rares en ce moment. Son téléphone portable dans la main, elle le repose dans la poche de son manteau. Elle s’est habituée au poids de l’objet dans sa poche droite. On s’habitude vite aux bonnes choses… Questionnée par Maximilien, la jeune femme se décide à lui raconter sa mésaventure ayant conduit à l’achat de ce téléphone :
- Pas du tout, Peter n’y est pour rien. J’étais en ville et je devais rejoindre ma cousine. Je me suis sentie assez mal et je voulais la prévenir que je ne pourrais pas venir.
Juliet garda sous silence la raison pourquoi elle n’avait pas voulu voir Adalia. Elle savait très bien que sa cousine voulait lui reprocher d’être en couple avec William et la blondinette n’avait pas encore parlé de son histoire avec le Lewis, elle ne voulait pas mettre son fiancé mal à l’aise même s’il faudrait bien lui raconter un jour.
- De ce fait, je n’avais pas d’hibou sous la main, j’étais trop bouleversée pour créer un patronus… C’est finalement un jeune homme très gentil qui m’a proposé d’utiliser son téléphone portable et qui m’a convaincu d’en acheter un.
Voilà, encore une grande aventure de Juliet Sixtine Blackthorn. La jeune femme acquiesce à la proposition du jeune homme de favoriser ce mode de communication :
- Oui, je t’avoue que j’avais déjà cette idée en tête. Ma famille peut être assez … intrusive.
Et quand elle disait famille, elle ne pensait pas qu’à ses parents… Elle sourit à la question du jeune homme concernant Peter et perdit son sourire instantanément tandis que le français lui apprend avoir été convoqué. Elle fronce le nez, mais qu’elle commère celui-là alors. Ceci dit, ça ne t’étonne qu’à moitié…
- Peter et moi sommes très proches, c’est vrai. Si bien qu’il semble se permettre beaucoup de choses celui-là…
Le Wright s’était bien gardé de la prévenir. El soit, ça ne la dérangeait pas, elle préférait de loin que Maximilien et Peter s’entendent bien, c’était évident. Mais si le Drummond pouvait éviter d’agir sous sa cape ça serait pas mal. Il faudrait qu’elle lui en touche un mot :
- Mais oui, tu as raison, il n’est pas vraiment favorable aux mariages arrangés. Sa famille est moins conservatrice que les nôtres et il a une pensée plus… progressiste. Je pense qu’il se sent un peu responsable de ce qui nous arrive aussi… J’ai cru comprendre que c’était sa mère qui avait soufflé cette idée à la mienne.
La blondinette remercia le français qui l’avait servie. La boisson rouge foncé avait pris possession de son verre vide et la jeune femme attendit que le Summerbee soit servie pour trinquer doucement. Elle porta le verre à ses lèvres et gouta une gorgée du breuvage qui l’a fit aussitôt grimacer. Erk… C’était tellement âpre. La langue de Juliet n’était pas aguerrie à ce genre de saveur. Elle ne put dissimuler sa surprise. Elle laissa passer la gorgée avant de dire :
- Il parait qu’il faut en boire souvent pour apprécier.
Elle rit et, de bonne composition, prit en bouche une nouvelle gorgée. Non plus surprise, elle sut dissimuler son manque d’appréciation cette fois. Le goût n’avait pas changé mais ça passait un peu mieux quand même. Bon… ça ne valait pas un thé glacé, vraiment… Mais avec le reste de son assiette, le vin devrait mieux passer. Maximilien, qui avait l’habitude du vin en bon français qu’il était, semblait satisfait du goût du bordeaux.
Juliet finit son assiette tout en proposant au jeune homme quelques leçons de piano contre la soirée au cinéma. Après tout, s’il peut assurer la gestion de leur amitié, Juliet ne saurait faire aucun effort. Elle appréciait Maximilien et elle était prête à mettre du sien. Elle partageait souvent ses moments de pianiste d’ailleurs, elle avait l’habitude… Elle jouait souvent avec Kiran qui avait appris tardivement, elle jouait également souvent avec Elwin qui était un épouvantable apprenti et même avec un professeur qu’elle ne connaissait pas… Pour rire, elle répond :
- J’espère que tu seras un meilleur partenaire qu’Elwin Frye, j’ai souvent été à deux doigts de perdre patience avec lui.
Elle sourit tendrement. Elwin est un de ses meilleurs amis et même s’il est insupportable en tant qu’élève elle garde de bons souvenirs de ces moments qui se font rares en ce moment. Son téléphone portable dans la main, elle le repose dans la poche de son manteau. Elle s’est habituée au poids de l’objet dans sa poche droite. On s’habitude vite aux bonnes choses… Questionnée par Maximilien, la jeune femme se décide à lui raconter sa mésaventure ayant conduit à l’achat de ce téléphone :
- Pas du tout, Peter n’y est pour rien. J’étais en ville et je devais rejoindre ma cousine. Je me suis sentie assez mal et je voulais la prévenir que je ne pourrais pas venir.
Juliet garda sous silence la raison pourquoi elle n’avait pas voulu voir Adalia. Elle savait très bien que sa cousine voulait lui reprocher d’être en couple avec William et la blondinette n’avait pas encore parlé de son histoire avec le Lewis, elle ne voulait pas mettre son fiancé mal à l’aise même s’il faudrait bien lui raconter un jour.
- De ce fait, je n’avais pas d’hibou sous la main, j’étais trop bouleversée pour créer un patronus… C’est finalement un jeune homme très gentil qui m’a proposé d’utiliser son téléphone portable et qui m’a convaincu d’en acheter un.
Voilà, encore une grande aventure de Juliet Sixtine Blackthorn. La jeune femme acquiesce à la proposition du jeune homme de favoriser ce mode de communication :
- Oui, je t’avoue que j’avais déjà cette idée en tête. Ma famille peut être assez … intrusive.
Et quand elle disait famille, elle ne pensait pas qu’à ses parents… Elle sourit à la question du jeune homme concernant Peter et perdit son sourire instantanément tandis que le français lui apprend avoir été convoqué. Elle fronce le nez, mais qu’elle commère celui-là alors. Ceci dit, ça ne t’étonne qu’à moitié…
- Peter et moi sommes très proches, c’est vrai. Si bien qu’il semble se permettre beaucoup de choses celui-là…
Le Wright s’était bien gardé de la prévenir. El soit, ça ne la dérangeait pas, elle préférait de loin que Maximilien et Peter s’entendent bien, c’était évident. Mais si le Drummond pouvait éviter d’agir sous sa cape ça serait pas mal. Il faudrait qu’elle lui en touche un mot :
- Mais oui, tu as raison, il n’est pas vraiment favorable aux mariages arrangés. Sa famille est moins conservatrice que les nôtres et il a une pensée plus… progressiste. Je pense qu’il se sent un peu responsable de ce qui nous arrive aussi… J’ai cru comprendre que c’était sa mère qui avait soufflé cette idée à la mienne.
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Mer 21 Oct 2020 - 17:15
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Maximilien a un rire incontrôlable aux propos de Juliet, ce qui n’est pas pour se moquer d’elle. Mais lui qui est si naïf retrouve cette certaine… innocence chez Juliet qui lui plaît beaucoup. Qui le fait se sentir un peu plus à l’aise, de ce fait.
“C’est exactement cela. Au début, c’est très étrange mais si on le marie avec les bonnes choses, son goût devient… je ne sais pas… évident. Un plus. Je ne saurais pas comment dire ça.” Il sourit à nouveau, se prenant à parler exactement comme son père lorsqu’il lui parlait de vin, petit. Il faut croire qu’il a fini par adopter les goûts des Leroy…
La mention d’Elwin ne manque pas de le troubler, plus qu’il ne le devrait. Bien qu’il soit toujours son ami, Maximilien n’arrive pas à oublier le moment qu’ils ont partagé il y a de cela deux ans, quand bien même il met tous ses efforts dans l’éradication de ces souvenirs… Embrasser un garçon, et puis quoi encore ? Son cerveau lui joue encore sûrement des tours et il ne se voit pas aborder le sujet avec Juliet. Pas maintenant et peut-être même jamais. Elle ne comprendrait pas et lui non plus d’ailleurs. Elwin est son ami et même si le trouble doit se voir sur son visage, il préfère éluder cet événement.
“Je veux bien te croire ! C’est aussi un de mes amis et je peux confirmer qu’il n’est pas virtuose. Je pense me débrouiller mieux que lui, sans vouloir me vanter bien sûr.” Mais quelque chose lui dit que le niveau de Juliet lui est bien supérieur. Maximilien n’a rien contre ça, bien au contraire. Il est heureux de ne pas avoir hérité du caractère macho de son grand-père et de ne pas envisager Juliet comme, essentiellement, une future mère au foyer à son service. Mon dieu, cette simple idée lui donne des aigreurs.
La jeune femme lui raconte sa mésaventure qui l’a conduite à utiliser un smartphone, plutôt cocasse d’ailleurs et il boit ses paroles avec un sourire. Sa décision de prendre un de ces appareils a été beaucoup plus simple et fluide, il doit bien l’admettre. Rien d’intéressant à raconter, comme un peu toute sa vie faut-il croire.
“Et la mienne… je veux bien te croire !” Ils se ressemblent au moins là-dessus, entre autres choses. Une famille intrusive, qui veut se mêler de tout ce qui les regarde, eux. S’ils peuvent s’en émanciper un peu par ce biais, pourquoi pas…
Il se sent pas ailleurs obligé de lui signaler la discussion que Peter a voulu avoir avec lui, se disant que la jeune femme était en droit de savoir que des membres de sa famille cherchaient à le connaître d’avantage en dehors de leurs entrevues communes. Il ne sait pas si cela réjouit vraiment la jolie blonde d’ailleurs… mais ça devrait, non ?
“Faut pas t’en faire, ça ne m’a pas gêné de discuter avec lui.” Bien que cela ait été très étrange. Sauf qu’il ne se voit pas dire une telle chose à Juliet, au risque de susciter plus de questions auxquelles il ne saurait pas répondre avec certitude.
“Mmmmh… en fait, je peux confirmer cette supposition. C’est avec Alice, enfin Mme Drummond que j’ai vu mon père converser le plus, plutôt que tes propres parents. J’ai même été étonné que ce soit toi ma fiancée, mais c’est sûrement parce qu’elle n’a qu’un fils, et pas de filles…” Sinon il aurait fini avec une fille Drummond directement. Bien qu’il n’ait toujours pas compris pourquoi il y avait ce besoin urgent d’unir leurs deux familles… “Enfin voilà, je voulais juste te le dire, comme ça… pour que ça ne te surprenne pas si Peter vient à faire des commentaires sur ce qu’il a pensé de moi ! Je ne sais pas ce qu’il a pensé d’ailleurs. Mais en général, je devine rarement ce que les gens pensent de moi !” Il rit, finissant son verre.
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Sam 24 Oct 2020 - 13:33
Juliet ne s'attendait pas à ce que sa petite phrase déclenche autant d'hilarité chez son fiancé. Sur le coup, elle se trouve un peu stupide et finalement elle se rend compte que le Summerbee ne se moque pas d'elle et qu'il est même plutôt d'accord. Faut dire ce qu'il est... le vin rouge, quand on a pas l'habitude, c'est quand même bien dégueulasse. Entre un ice tea pêche tout sucré et tout doux et un vin rouge âpre et amer y'avait pas photo hein... ? Mais Juliet savait que c'était une boisson qu'on finissait par aimer si on en goutait souvent. Autant pour la bière elle avait décrété aussitôt que c'était la première et la dernière fois qu'elle en portait à sa bouche, autant elle était prête à faire l'effort pour le vin. D'ailleurs, elle en porte une troisième toute petite gorgée.
- Ohlala, non décidément c'est assez pour moi pour aujourd'hui.
Dit elle en riant et en posant son verre sur la table. Maximilien, lui, semblait apprécier. Il buvait avec cet air que seuls les connaisseurs pouvaient avoir. La blonde préféra reprendre son verre d'eau et en boire une grande gorgée qui lui fit du bien, même si le goût âpre restait sur sa langue et dans son palais.
La Blakcthorn ne vit absolument pas le trouble dans le regard de Maximilien quand elle parla d'Elwin. Mais alors pas du tout. Tout ce qu'elle retenait c'était que son fiancé connaissait le Frye. Pour être honnête, cela ne l'étonnait guère. Elwin était vraiment la coqueluche des Summerbee. Le mec populaire par définition. Il s'entendait bien avec presque tous les jaunes, et il les connaissait absolument tous... là où Juliet n'avait que quelques connaissances et brillait comme une minuscule étoile, Elwin était un phare dans la nuit. Cet été elle était même tombé sur son colocataire de chambre. Improbable non ? Enfin bon... C'était certes un mec sympa, il était vraiment nul au piano et dieu merci, Maximilien était surement plus doué que lui.
- Non seulement il ne savait pas se débrouiller mais en plus il n'écoutait rien. Tu seras forcément un meilleur partenaire.
Elle sourit. En réalité, elle a déjà hâte de partager ce moment avec le français. Le piano, c'est son élément. Elle se sent sûre d'elle, elle se sent bien, elle se sent en confiance quand elle est assise derrière le clavier aux touches noires et blanches. Elle aime partager ces moments et elle pense qu'avec Maximilien ça peut être vraiment agréable.
Juliet hoche la tête gravement en entendant Maximilien lui dire que sa famille est également particulièrement intrusive. Elle n'en doute pas. S'il a eut cette pensée, c'est que forcément il savait à quoi s'attendre... Le pire, c'est que chez elle, il n'y avait pas que ses parents qui mettaient leur nez dans ses affaires. Sa fratrie s'y mettait aussi. Avec toute la bienveillance qui les caractérisait mais... quand même... Et même Peter s'y mettait. Si ça n'avait pas dérangé Maximilien, Juliet n'était pas une grande adoratrice de cette idée :
- Si même les Drummond comment à s'y mettre, je n'ai plus qu'a déménager à l'autre bout du monde pour y échapper. Les Blackthorn, ça me suffit amplement, tu sais...
Juliet écouta attentivement le français lui expliquer ce qu'il savait sur les backstage de leurs fiançailles. Elle se doutait que tout ceci venait d'Alice... Mais elle ne comprenait pas pourquoi sa tante avait été à l'origine de tout ceci. Elle ne voyait tout simplement pas où était son intérêt... comme elle n'avait longtemps pas comprit pourquoi c'était elle qui était fiancée et pas Enora ...
- Mhm... J'avoue que je m'en doutas mais certaines parties de cette histoire m'échappent encore. Je ne vois pas quel était l'intérêt de ma tante de faire tant d'efforts pour unir sa belle-famille à la votre...
Juliet avait toujours aimé la mère de Peter, laquelle était beaucoup plus maternelle avec Juliet que son autre tante Claudia. Aujourd'hui, elle en voulait quand même un peu à Alice d'avoir été l'instigatrice de tout ça... Juliet termina son assiette et posa ses couvert de part et d'autre avant de répondre au brun :
- Le connaissant, il se serait bien gardé de me dire quoi que ce soit ! Et toi, comment l'as-tu trouvé ?
Juliet qui aimait Peter comme un frère, si ce n'était comme un jumeau, ne pouvait pas supporter l'idée que son fiancé et lui ne s'entendent pas. Ce qui était peu probable, car les deux étaient assez sociables...
- Ohlala, non décidément c'est assez pour moi pour aujourd'hui.
Dit elle en riant et en posant son verre sur la table. Maximilien, lui, semblait apprécier. Il buvait avec cet air que seuls les connaisseurs pouvaient avoir. La blonde préféra reprendre son verre d'eau et en boire une grande gorgée qui lui fit du bien, même si le goût âpre restait sur sa langue et dans son palais.
La Blakcthorn ne vit absolument pas le trouble dans le regard de Maximilien quand elle parla d'Elwin. Mais alors pas du tout. Tout ce qu'elle retenait c'était que son fiancé connaissait le Frye. Pour être honnête, cela ne l'étonnait guère. Elwin était vraiment la coqueluche des Summerbee. Le mec populaire par définition. Il s'entendait bien avec presque tous les jaunes, et il les connaissait absolument tous... là où Juliet n'avait que quelques connaissances et brillait comme une minuscule étoile, Elwin était un phare dans la nuit. Cet été elle était même tombé sur son colocataire de chambre. Improbable non ? Enfin bon... C'était certes un mec sympa, il était vraiment nul au piano et dieu merci, Maximilien était surement plus doué que lui.
- Non seulement il ne savait pas se débrouiller mais en plus il n'écoutait rien. Tu seras forcément un meilleur partenaire.
Elle sourit. En réalité, elle a déjà hâte de partager ce moment avec le français. Le piano, c'est son élément. Elle se sent sûre d'elle, elle se sent bien, elle se sent en confiance quand elle est assise derrière le clavier aux touches noires et blanches. Elle aime partager ces moments et elle pense qu'avec Maximilien ça peut être vraiment agréable.
Juliet hoche la tête gravement en entendant Maximilien lui dire que sa famille est également particulièrement intrusive. Elle n'en doute pas. S'il a eut cette pensée, c'est que forcément il savait à quoi s'attendre... Le pire, c'est que chez elle, il n'y avait pas que ses parents qui mettaient leur nez dans ses affaires. Sa fratrie s'y mettait aussi. Avec toute la bienveillance qui les caractérisait mais... quand même... Et même Peter s'y mettait. Si ça n'avait pas dérangé Maximilien, Juliet n'était pas une grande adoratrice de cette idée :
- Si même les Drummond comment à s'y mettre, je n'ai plus qu'a déménager à l'autre bout du monde pour y échapper. Les Blackthorn, ça me suffit amplement, tu sais...
Juliet écouta attentivement le français lui expliquer ce qu'il savait sur les backstage de leurs fiançailles. Elle se doutait que tout ceci venait d'Alice... Mais elle ne comprenait pas pourquoi sa tante avait été à l'origine de tout ceci. Elle ne voyait tout simplement pas où était son intérêt... comme elle n'avait longtemps pas comprit pourquoi c'était elle qui était fiancée et pas Enora ...
- Mhm... J'avoue que je m'en doutas mais certaines parties de cette histoire m'échappent encore. Je ne vois pas quel était l'intérêt de ma tante de faire tant d'efforts pour unir sa belle-famille à la votre...
Juliet avait toujours aimé la mère de Peter, laquelle était beaucoup plus maternelle avec Juliet que son autre tante Claudia. Aujourd'hui, elle en voulait quand même un peu à Alice d'avoir été l'instigatrice de tout ça... Juliet termina son assiette et posa ses couvert de part et d'autre avant de répondre au brun :
- Le connaissant, il se serait bien gardé de me dire quoi que ce soit ! Et toi, comment l'as-tu trouvé ?
Juliet qui aimait Peter comme un frère, si ce n'était comme un jumeau, ne pouvait pas supporter l'idée que son fiancé et lui ne s'entendent pas. Ce qui était peu probable, car les deux étaient assez sociables...
- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Sam 24 Oct 2020 - 16:07
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Maximilien a un petit sourire en pensant à Elwin car une chose est sûre, sa compagnie lui manque énormément. Il se souvient de toutes les soirées manifestations qu’ils faisaient avant que tout ne “dérape”. Et même s’ils ont continué de se côtoyer depuis, les choses restent différentes. Comme si ce baiser avait mis une barrière supplémentaire entre eux. Il décide de ne pas s’attarder sur le sujet car il doute que Juliet soit encline à entendre cette histoire… Son fiancé qui embrasse des mecs - enfin, UN mec et ce bourré - ça ne doit pas vraiment l’intéresser ou la faire rêver !
“Tu as un inconvénient que je n’ai pas, je dois bien l’admettre. Mes parents ne se mêlent pas trop de cette histoire de mariage arrangé, seul mon grand-père est là pour me foutre la pression. Mais il doit bien valoir tous les Blackthorn réunis à lui tout seul…” Fait-il comme constat tout en parlant. Il faut dire que le français a les idées très claires et fera tout pour qu’elles se réalisent de la façon dont il le souhaite. Sa détermination peut même faire un peu peur, et Maximilien est bien trop naïf pour se rendre compte à quel point les décisions de son grand-père peuvent être dangereuses. Et pas forcément à son avantage. Il faut croire que quand il s’agit de la famille, on a des œillères…
“Je ne sais pas non plus. Elle a sûrement vu là une opportunité dont elle aurait discuté avec tes parents, qui auraient acquiescé par la suite ? Je ne vois pas quoi d’autre. Les rouages des mariages arrangés ne me sont pas familiers. J’ai même encore un peu de mal à croire qu’on s’y adonne au vingt-et-unième siècle mais bon… il doit y avoir encore un peu de bon dans la tradition, peut-être ?” Après tout, pourquoi pas ? Au moins, c’est une étape qu’il n’aura pas à accomplir seul, de lui-même. Se trouver une épouse, ne peut-être jamais tomber amoureux, déprimer… Bref. Il s’invente des bonnes raisons d’accepter mais ne souhaite pas l’admettre. Pas encore. Maximilien pose couverts et verre, alors que Juliet lui demande ce qu’il pense de son cousin. C’est de sa faute, il n’aurait pas dû en parler en premier… et puis, qu’est-ce que ça peut faire s’il donne son avis ? Bien sûr, il s’efforcera de ne pas froisser la jeune femme, mais il n’y a rien de mal à partager ses pensées. Surtout sur une personne qui lui est si chère, il l’a vite compris.
“Hum…” Commence-t-il avant de se gratter la gorge. Il affiche un léger sourire. “Il est intéressant. Dans le sens… très ouvert, il dit ce qu’il pense. Extraverti. Il paraît facile de devenir ami avec lui, ce qui pourrait être notre cas après tout ! Si t’es… ok avec ça bien sûr. Enfin, je dois sûrement me répéter mais il semble beaucoup tenir à toi, c’est une évidence. Mais il a été cool.” Nouveau raclement de gorge et il termine pour de bon son verre, ayant soudainement un besoin urgent de le vider. Il ne regarde pas tout de suite Juliet dans les yeux.
“Un dessert ?” Demande-t-il en examinant leurs assiettes vides.
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Dim 25 Oct 2020 - 19:05
Juliet hocha la tête en buvant une gorgée d'eau. Oui, sa famille était une incroyable force comme ça pouvait être un énorme boulet au pied... Comme quoi, tout dépendait de la perspective qu'on utilisait... Elle l'avait plus souvent vu comme une force et un avantage qu'autre chose mais depuis ses fiançailles la jeune femme ouvrait les yeux. Elle avait longtemps idéalisé sa famille... Les Blackthorn par ci, les Blackthorn par là... Très influencée dans le discours de ses parents et pas très embêtée par eux contrairement à ses aînées... Elle n'avait constaté constater que le meilleure. Depuis les fiançailles et depuis la réapparition de Baby, elle devinait le pire.
Si la famille de Juliet ressemblait une hydre d'une bonne douzaine de têtes, celle de Maximilien se résumait au géant Charles Leroy. Le patriarche était la figure centrale de la famille et il détenait la pleine autorisé sur ses sujets... Un colosse que nul ne semblait vouloir contrarier. Maximilien lui même semblait partager entre respect et agacement à l'encontre de son grand-père paternel.
- Ne faisons pas de paris sur qui a la famille la plus envahissante, laissons les agir et constater.
Dit elle en terminant son verre d'eau et en souriant sur leur sort. Maximilien essaye de deviner pourquoi sa tante Alice a tant œuvré pour ses fiançailles... Une question qui reste en suspend dans l'esprit de la Summerbee qui n'arrive guère à ébaucher la moindre réponse à cette question. Le français s'y essaye mais décidément... quelque-chose ne colle pas. Alice est une femme très terre à terre et particulièrement brillante. Elle est également du genre égocentrique. Elle n'aurait pas fait ça pour faire plaisir à sa belle-soeur ou pour l'arranger simplement. Ce n'était vraiment pas son genre d'agir sans intérêt personnel à avancer. Et Juliet ne voyait pas en quoi cette union lui profitait...
- Oui... non... Je ne sais pas. Je pense qu'on aura pas le fin mot de cette histoire avant bien longtemps. Ma tante ne fait jamais rien au hasard et mise sur le long terme.
Juliet sourit en écoutant le Summerbee lui raconter son moment avec Peter et comment il a trouvé son cousin. Aux yeux de Juliet, Maximilien le décrit plutôt bien. Bon... extraverti c'était évidemment un euphémisme. Peter était carrément exubérant parfois, au contraire de la douce et calme Juliet. Les contraires s'attirent parfois... Elle est évidemment ravie que les garçons se soient bien entendue. Elle s'en veut un peu de ne pas avoir le moindre feeling avec la copine de Peter...
- Oh non, je suis ravie que vous vous entendiez bien.
La blonde posa sur verre d'eau vide et quand Maximilien lui proposa un dessert elle répondit gentiment par la négative :
- Non merci, c'était copieux et si je mange encore je ne saurais plus rien avaler de la journée... Mais prend en un toi, si tu es tenté.
Si la famille de Juliet ressemblait une hydre d'une bonne douzaine de têtes, celle de Maximilien se résumait au géant Charles Leroy. Le patriarche était la figure centrale de la famille et il détenait la pleine autorisé sur ses sujets... Un colosse que nul ne semblait vouloir contrarier. Maximilien lui même semblait partager entre respect et agacement à l'encontre de son grand-père paternel.
- Ne faisons pas de paris sur qui a la famille la plus envahissante, laissons les agir et constater.
Dit elle en terminant son verre d'eau et en souriant sur leur sort. Maximilien essaye de deviner pourquoi sa tante Alice a tant œuvré pour ses fiançailles... Une question qui reste en suspend dans l'esprit de la Summerbee qui n'arrive guère à ébaucher la moindre réponse à cette question. Le français s'y essaye mais décidément... quelque-chose ne colle pas. Alice est une femme très terre à terre et particulièrement brillante. Elle est également du genre égocentrique. Elle n'aurait pas fait ça pour faire plaisir à sa belle-soeur ou pour l'arranger simplement. Ce n'était vraiment pas son genre d'agir sans intérêt personnel à avancer. Et Juliet ne voyait pas en quoi cette union lui profitait...
- Oui... non... Je ne sais pas. Je pense qu'on aura pas le fin mot de cette histoire avant bien longtemps. Ma tante ne fait jamais rien au hasard et mise sur le long terme.
Juliet sourit en écoutant le Summerbee lui raconter son moment avec Peter et comment il a trouvé son cousin. Aux yeux de Juliet, Maximilien le décrit plutôt bien. Bon... extraverti c'était évidemment un euphémisme. Peter était carrément exubérant parfois, au contraire de la douce et calme Juliet. Les contraires s'attirent parfois... Elle est évidemment ravie que les garçons se soient bien entendue. Elle s'en veut un peu de ne pas avoir le moindre feeling avec la copine de Peter...
- Oh non, je suis ravie que vous vous entendiez bien.
La blonde posa sur verre d'eau vide et quand Maximilien lui proposa un dessert elle répondit gentiment par la négative :
- Non merci, c'était copieux et si je mange encore je ne saurais plus rien avaler de la journée... Mais prend en un toi, si tu es tenté.
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Dim 25 Oct 2020 - 19:31
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Il serait en effet idiot de faire un quelconque pari sur laquelle des deux familles réussira le mieux à leur pourrir la vie. Mais on peut dire une chose plutôt certaine : les deux ensemble, ça risque de faire une belle explosion si ce n’est pas parfaitement maîtrisé. Maximilien sait que son grand-père est très - voire trop - à cheval sur les convenances et certains de ses principes. Si une tête pensante et dirigeante des Blackthorn s’amuse à aller contre tout cela, il risque d’y avoir grabuge. Mais cela ne sert à rien d’envisager le pire avant qu’il ne se produise. De toute évidence, ils ne sont que des pions dans un rouage bien huilé.
La description de ladite Alice n’est pas pour le rassurer. Là aussi, ils sont face à un mur et la perspective de n’en découvrir les détails que dans plusieurs décennies ne lui fait pas forcément plaisir. Conscient de sa naïveté - la plupart du temps - Maximilien n’aime pas qu’on joue trop longtemps avec lui. Et tabler toute cette mascarade sur le long terme ? Vivre une vie qu’il n’aura pas choisie pour au final apprendre les desseins d’un.e marionnettiste ? Cette idée le fait frissonner d’horreur. M’enfin, ce n’est pas comme s’il avait été totalement libre de ses décisions jusqu’à présent…
Et en parlant de liberté, ils en viennent à mentionner Peter, qu’il a rencontré quelques jours plus tôt. Le garçon, lui, semble presque être un symbole de cette liberté tant désirée - du moins selon le regard enchaîné de Maximilien. Sa façon de se tenir, se vêtir ou s’exprimer relève d’une grande aisance et confiance qu’il aimerait bien posséder. C’est peut-être pour cela qu’il a pu ressentir ne serait-ce qu’une once d’intérêt pour le Wright - par curiosité voire même, un peu de jalousie.
“Tant mieux, dans ce cas. Je ne garantis pas que ce soit le cas avec tous les membres de ta famille mais je ne suis pas non plus du genre à chercher volontairement le conflit. S’il y a inimitié, je saurais me comporter correctement. Enfin, je dis ça comme ça.” Il n’est pas certain de vouloir rencontrer la tribu des Blackthorn au complet mais ce n’est pas vraiment comme s’il allait avoir le choix. Il s’imagine qu’il existe déjà des querelles dans cette grande famille - comment les éviter vu leur nombre ? - et redoute de se retrouver au milieu d’un de ces conflits… Juliet elle-même ne semble pas être de ceux.lles qui cherchent la confrontation et il en est rassuré.
“Non, ça ira. On prendra quelque chose en ville plus tard, ce sera tout aussi bon !” Le français affiche un sourire et fait signe au serveur de lui apporter l’addition. Bien élevé jusqu’au bout des ongles, il règle le tout sans même envisager une seule seconde que la jeune femme puisse vouloir partager l’addition avec lui. Après tout, il l’a invité non ? C’est ce qu’un gentleman doit faire, il le sait - même si ça peut parfois être un peu ennuyant d’être gentleman, il en convient.
Ils quittent donc le restaurant côte à côte, le Summerbee ne tentant aucune technique d’approche envers Juliet, surtout après leur conversation sur le fait d’être amis pour commencer. Il serait donc étrange qu’il lui prenne ne serait-ce que le bras… encore moins la taille ! Il aurait trop peur de passer pour un pervers. C’est là qu’il envie la confiance de Drummond, par exemple. Lui saurait sûrement quoi faire, il en est persuadé sans même réellement le connaître. C’est l’impression dégagée. Et lui, il dégage surtout du malaise, il le sait. Bon, que feraient des amis maintenant ?
“Je te propose de découvrir le métro français, ça a un petit côté étrange et marrant. On va s’en servir pour rejoindre - de façon moldue du coup - une rue très jolie que j’aimerais te faire visiter. Il y a là-bas aussi une boutique qui vend de délicieux macarons, de toutes sortes. Je t’en ai promis ! Et après ça, on pourra se promener ou faire autre chose, selon tes désirs.” Achève-t-il dans un sourire. Il n’est pas certain que le petit passage par le métro soit vraiment quelque chose qui plaise à une héritière de grande famille sorcière de sang-pur, mais lui trouve ça plutôt amusant à expérimenter de temps en temps. C’est comme être dans une capsule sous terre ! Ils prennent déjà la direction du métro, le français ayant une solution de rechange au cas où Juliet soit rebutée par sa proposition étrange.
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Jeu 5 Nov 2020 - 13:08
Quitte à parler de sa famille, Juliet préférait encore parler de Peter que de sa tante la comploteuse où de ses parents les traites... Même si Peter était un petit curieux et qu'elle allait lui remonter les bretelles pour avoir convoqué le français, elle ne pouvait que l'aimer. Elle savait qu'il faisait ça non seulement par curiosité mais aussi parce qu'il était inquiet pour elle. Il était devenu fou quand il avait su pour les fiançailles. Il avait bien plus mal réagit que la jeune Blackthorn qui avait surtout été sonnée. Bon... elle avait un peu craqué dans les bras d'Ailla et de Kaiden mais ça personne d'autre n'était au courant.
Juliet hoche la tête volontiers en entendant que Maximilien ne garantissait pas de s'entendre avec l'ensemble des membres de sa famille. Voyons... sa mère l'adorait déjà. Son père avait du mal avec l'idée que Juliet soit déjà fiancé mais il pourrait apprécier Max même si le contraire n'était pas certain. Claudia et Aloysius étaient aussi charmants que faux avec les étrangers, le Summerbee pourrait bien les apprécier mais Juliet se promis d'alerter le jeune homme sur le véritable nature. Mikhail était un cousin prévenant, si Maximilien restait agréable tout se passerait bien. Kiran fonctionnait au feeling, ça devrait passer. Awa était plus... distante. Et elle était surtout très différente du français. Eliott était pro mariage arrangé, rien que pour ça il apprécierait le brun. Tout ce qui comptait pour Adalia, c'était d'avoir eu raison, elle n'avait surement pas d'avis sur le français. Et Baby aimerait forcément Maximilien... ils avaient beaucoup de chose en commun. Avec Kaiden ça ne pourrait qu'aller, avec Ailla... elle risquait d'être un peu sur la réserve... Enora allait le couvrir de patisseries délicieuses et Quartus n'aura pas l'occasion de le rencontrer avant un long moment. Bref, dans l'ensemble... c'était pas si mal non ?
- Notre famille est trop étendue, et ses membres trop différents, pour que qui que ce soit puisse parfaitement s'entendre avec chacun... J'en suis bien consciente. L'essentiel c'est que ça se passe bien de manière générale.
Maximilien refusa de prendre un dessert, tout comme la blonde, il pensait déjà à ce qu'ils pourraient prendre pour le goûter. C'était tout une stratégie de visiter Paris sans se gaver au point d'en avoir mal à l'estomac. Juliet ne bronche pas tandis que Maximilien paie. Habituée des convenances sociales, elle le laissa faire. Bien sur s'il avait proposé de partagé, elle aurait accepté avec le sourire. Mais pour le premier restaurant, elle pouvait bien le laisser lui offrir. Elle payerait le prochain, histoire d'équilibrer un peu les comptes. Juliet était de la vieille école, mais elle aimait l'équité. Le garçon d'abord puis chacun son tour, c'était très bien pour elle. De toute façon elle n'avait pas un seul centime moldu. La jeune femme était admirative de son fiancé, tel un caméléon il se fondait dans une société ou dans une autre avec une facilité déconcertante. Surtout pour un jeune garçon sang pur et elevé ainsi. La blondinette remercia très sincèrement le serveur qui vint les encaisser et lança un sourire à celle qui les avait servit avant de quitter la terrasse.
Ils marchèrent quelques instant et tombèrent sur une jolie place qui accueillaient divers artistes dont certains étaient vraiment très talentueux. Juliet hésita même à s'offrir une toile avant de se rappeler qu'elle n'avait même pas un euro sur celle. Ca serait pour une prochaine fois. Ils descendaient tranquillement la butte de Montmartres avant que le jeune français ne propose un programme très intéressant :
- Excellente idée, je me suis toujours demandée à quoi ça pouvait ressembler le métro !
Il paraissait que celui de Moscou étaient de véritables palais. Enfin... c'est Grâce qui lui avait dit ça dans une lettre mais le séjour de Juliet avait été raccourci par le drame et elle n'avait pas pu le constater de ses propres yeux. La blonde remonta son col puisque le vent commençait à souffler et suivait son fiancé d'un bon pas, pressée de découvrir d'autres facettes de la ville lumière.
Juliet hoche la tête volontiers en entendant que Maximilien ne garantissait pas de s'entendre avec l'ensemble des membres de sa famille. Voyons... sa mère l'adorait déjà. Son père avait du mal avec l'idée que Juliet soit déjà fiancé mais il pourrait apprécier Max même si le contraire n'était pas certain. Claudia et Aloysius étaient aussi charmants que faux avec les étrangers, le Summerbee pourrait bien les apprécier mais Juliet se promis d'alerter le jeune homme sur le véritable nature. Mikhail était un cousin prévenant, si Maximilien restait agréable tout se passerait bien. Kiran fonctionnait au feeling, ça devrait passer. Awa était plus... distante. Et elle était surtout très différente du français. Eliott était pro mariage arrangé, rien que pour ça il apprécierait le brun. Tout ce qui comptait pour Adalia, c'était d'avoir eu raison, elle n'avait surement pas d'avis sur le français. Et Baby aimerait forcément Maximilien... ils avaient beaucoup de chose en commun. Avec Kaiden ça ne pourrait qu'aller, avec Ailla... elle risquait d'être un peu sur la réserve... Enora allait le couvrir de patisseries délicieuses et Quartus n'aura pas l'occasion de le rencontrer avant un long moment. Bref, dans l'ensemble... c'était pas si mal non ?
- Notre famille est trop étendue, et ses membres trop différents, pour que qui que ce soit puisse parfaitement s'entendre avec chacun... J'en suis bien consciente. L'essentiel c'est que ça se passe bien de manière générale.
Maximilien refusa de prendre un dessert, tout comme la blonde, il pensait déjà à ce qu'ils pourraient prendre pour le goûter. C'était tout une stratégie de visiter Paris sans se gaver au point d'en avoir mal à l'estomac. Juliet ne bronche pas tandis que Maximilien paie. Habituée des convenances sociales, elle le laissa faire. Bien sur s'il avait proposé de partagé, elle aurait accepté avec le sourire. Mais pour le premier restaurant, elle pouvait bien le laisser lui offrir. Elle payerait le prochain, histoire d'équilibrer un peu les comptes. Juliet était de la vieille école, mais elle aimait l'équité. Le garçon d'abord puis chacun son tour, c'était très bien pour elle. De toute façon elle n'avait pas un seul centime moldu. La jeune femme était admirative de son fiancé, tel un caméléon il se fondait dans une société ou dans une autre avec une facilité déconcertante. Surtout pour un jeune garçon sang pur et elevé ainsi. La blondinette remercia très sincèrement le serveur qui vint les encaisser et lança un sourire à celle qui les avait servit avant de quitter la terrasse.
Ils marchèrent quelques instant et tombèrent sur une jolie place qui accueillaient divers artistes dont certains étaient vraiment très talentueux. Juliet hésita même à s'offrir une toile avant de se rappeler qu'elle n'avait même pas un euro sur celle. Ca serait pour une prochaine fois. Ils descendaient tranquillement la butte de Montmartres avant que le jeune français ne propose un programme très intéressant :
- Excellente idée, je me suis toujours demandée à quoi ça pouvait ressembler le métro !
Il paraissait que celui de Moscou étaient de véritables palais. Enfin... c'est Grâce qui lui avait dit ça dans une lettre mais le séjour de Juliet avait été raccourci par le drame et elle n'avait pas pu le constater de ses propres yeux. La blonde remonta son col puisque le vent commençait à souffler et suivait son fiancé d'un bon pas, pressée de découvrir d'autres facettes de la ville lumière.
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Ven 6 Nov 2020 - 11:05
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Il sait la famille de Juliet très grande et en rencontrer tous les membres est un défi en soit. Il est rare que Maximilien parvienne à se faire détester, en général on l’apprécie plutôt bien mais avec une famille si éclectique, rien ne peut garantir cela désormais. Il suffit parfois d’un mot mal placé, d’une expression du visage et on se met quelqu’un à dos pour le reste de sa vie. Enfin, façon de parler. Il faudra d’ailleurs qu’il revoit ses notes sur le nombre de ses frères/sœurs/cousin.e.s car il n’est pas certain d’avoir retenu tous les noms par cœur… Tout comme il ne sait pas encore quand est-ce qu’il sera présenté à toute la famille Blackthorn. Cela aussi, ça va être un challenge de taille…
“Tu as raison.” Dit-il avant de passer à autre chose. Le règlement de leurs consommations, par exemple, qui se solde assez rapidement. On ne s’y attend sûrement pas de sa part, mais Maximilien est très à l’aise avec les systèmes moldus. Gardez-vous bien cependant de le faire savoir à son grand-père, qui trouverait ce manque de distance avec les moldus très décevant de la part de son petit-fils. Mais s’il y a bien une chose sur laquelle il ose désobéir, c’est bien celle-là. Le rapprochement avec les moldus, leurs systèmes et leurs habitudes. Il trouve cela si passionnant ! Et en un sens, il espère que cela ne dérange pas Juliet - ou que, même, elle éprouve la même chose.
Bien plus tard, après quelques minutes d’une marche fort distrayante, le français propose à sa fiancée un nouvel itinéraire, serti d’une expérience hors du commun pour une sorcière de sang-pur comme elle. Ou comme lui, si on met de côté son inclinaison pour les moldus. Cela vient sûrement de sa propre mère, qui appréciait de se mêler à eux ou de faire emprunter à ses enfants - toujours en sa compagnie - les transports non-sorciers. Maximilien éprouve donc toujours une certaine fascination et nostalgie pour le transport appelé “métro”. Il possède de nombreux souvenirs avec son frère le reliant à cet endroit. Et Juliet semble très enthousiaste à cette idée, ce qui lui tire un sourire de satisfaction. Il n’y a pas de plus grand plaisir actuellement pour lui que de faire plaisir à la jeune femme.
“Allons-y dans ce cas ! Je t’expliquerais sur place le plan, car c’est un réseau très complexe et on a l’impression de se perdre au début, alors qu’au final c’est assez simple.” Il se met à chuchoter. “Moins simple que de transplaner je te l’accorde, mais c’est tout aussi drôle !” Après un court moment d’hésitation, il passe le bras de Juliet sous le sien et prend la direction du métro du plus proche. Quelques minutes de marche à peine suffisent à les amener devant le panneau orné d’un M et ils s’engouffrent dans les escaliers menant sous le sol. L’odeur n’est certes pas des plus agréables à certains endroits et ils arrivent rapidement devant des tourniquets.
“Ah, alors attends, si je ne me trompe pas, on doit prendre des tickets sur cette machine.” Maximilien garde sa fiancée contre lui tout en s’achetant leur pass pour la journée - tant qu’à faire - car il n’est pas non plus naïf au point de croire que les transports en communs sont tous sécuritaires. Il a déjà entendu parler d’agression et Juliet fait image à son sang. Inutile de créer des ennuis, surtout que des sorciers comme eux auraient vite tendance à user de leur magie pour se sortir plus vite d’une situation qui leur échappe.
“Voilà !” Dit-il en brandissant fièrement les deux billets. Il en donne un à la jolie blonde et lui explique rapidement comment les utiliser - mais aussi qu’il faut précieusement les garder pour le moment. Un passage de tourniquet et un peu de marche plus tard, ils se retrouvent sur le quai du métro. “Alors, qu’en penses-tu jusqu’à présent ?” Maximilien utilise un ton bas, car nombreux sont les moldus présents autour d’eux susceptibles de les entendre.
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Dim 8 Nov 2020 - 22:25
Bien que sang-pure, élevée dans la pure tradition sorcière, avec tout ce qui va avec évidemment... éducation et préjugés... Juliet ne s'est jamais sentie supérieure aux moldus, ni aux sangs mêlés, ni aux nés moldus. A la limite, elle se sent différentes des moldus mais il s'agit pour elle d'une différence de nature et non de qualité. Quant aux nés moldus et aux sangs mêlés, ce sont des sorciers comme les autres, elle a juste conscience d'avoir été élevée différemment, sans penser que c'est mieux ou moins bien... C'est juste différent.
Mais le fait est qu'en ayant grandit comme ça, la jeune Blackthorn n'a que très peu de contact avec le monde moldu... Elle n'a un téléphone que depuis très peu de temps par exemple... Elle n'est pas contre les inventions moldus mais elle a besoin qu'un lui tienne un peu la main pour l'amener à tout ça. C'est ce que Murdoch à fait avec le téléphone... et c'est ce que Maximilien va faire avec le métro, monde inconnu de la jeune femme...
Ils descendent les quelques marches sous le mot "Abbesses" et la blonde apprécie le design un peu fantastique et féérique du panneau. Quelques marches et ils arrivent au niveau d'une plateforme et Maximilien lui précise qu'il lui expliquera comment ça fonctionne avec le plan mais la Blackthorn est trop occupée à dévisager les moldus qui passent des barres qui tournent sur leurs jambes. Elle se laisse guider par Maximilien et le regarde acheter des ticket. Le tactile de la machine lui rappelle son smartphone et elle récupère le ticket que Maximilien lui tend. Elle passe les portiques à sa suite et tandis que les moldus vont tous vers une gigantesque boite en métal qui ne lui dit rien qui vaille, ils prennent les escaliers. Les interminables escaliers seraient plus juste même... Arrivés sur le quai, elle répond à son fiancé en regardant autour d'elle :
- C'est... très profond non ? J'ai l'impression d'être sous des milliers de tonne de terre. Tout ces gens ne doivent pas être claustrophobe...
Dit elle sur le même ton que le jeune homme en désignant les moldus qui sortent de ce qui est en réalité un ascenseur énorme. Bon, même s'il y avait une paire de marches, l'escalier c'était très bien... Juliet n'avait pas vraiment l'habitude de se retrouver entourée de dizaines de personne dans un endroit si exigu. De l'autre coté de la rame, un métro passe. Les gens montent et descendent et Juliet les observe. Ils ont l'air si... difficile à dire. Entre ennuyés et sereins. La blonde se tourne vers ce qui semble être une carte du metro. Elle repère rapidement le point rouge qui indique "vous êtes ici" et demande :
- Où allons nous ?
Mais le fait est qu'en ayant grandit comme ça, la jeune Blackthorn n'a que très peu de contact avec le monde moldu... Elle n'a un téléphone que depuis très peu de temps par exemple... Elle n'est pas contre les inventions moldus mais elle a besoin qu'un lui tienne un peu la main pour l'amener à tout ça. C'est ce que Murdoch à fait avec le téléphone... et c'est ce que Maximilien va faire avec le métro, monde inconnu de la jeune femme...
Ils descendent les quelques marches sous le mot "Abbesses" et la blonde apprécie le design un peu fantastique et féérique du panneau. Quelques marches et ils arrivent au niveau d'une plateforme et Maximilien lui précise qu'il lui expliquera comment ça fonctionne avec le plan mais la Blackthorn est trop occupée à dévisager les moldus qui passent des barres qui tournent sur leurs jambes. Elle se laisse guider par Maximilien et le regarde acheter des ticket. Le tactile de la machine lui rappelle son smartphone et elle récupère le ticket que Maximilien lui tend. Elle passe les portiques à sa suite et tandis que les moldus vont tous vers une gigantesque boite en métal qui ne lui dit rien qui vaille, ils prennent les escaliers. Les interminables escaliers seraient plus juste même... Arrivés sur le quai, elle répond à son fiancé en regardant autour d'elle :
- C'est... très profond non ? J'ai l'impression d'être sous des milliers de tonne de terre. Tout ces gens ne doivent pas être claustrophobe...
Dit elle sur le même ton que le jeune homme en désignant les moldus qui sortent de ce qui est en réalité un ascenseur énorme. Bon, même s'il y avait une paire de marches, l'escalier c'était très bien... Juliet n'avait pas vraiment l'habitude de se retrouver entourée de dizaines de personne dans un endroit si exigu. De l'autre coté de la rame, un métro passe. Les gens montent et descendent et Juliet les observe. Ils ont l'air si... difficile à dire. Entre ennuyés et sereins. La blonde se tourne vers ce qui semble être une carte du metro. Elle repère rapidement le point rouge qui indique "vous êtes ici" et demande :
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- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Mar 10 Nov 2020 - 13:07
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Le processus consistant à prendre le métro lui est devenu si ‘familier’ qu’il ne pense pas à tout décrire à Juliet, principalement parce que tout semble couler de source pour lui. Mais il peut comprendre que cela soit surprenant. Rien que le fait d’aller sous terre a quelque chose de réellement impressionnant et si on s’arrête quelques secondes, le fourmillement qui s’opère est très étrange. Voire fascinant. Pourtant, il essaye de faire de son mieux mais rien que le choix du ticket relève d’un diplôme de MAGIC et il ne s’attarde pas à lui expliquer ce que chaque intitulé signifie. Ce serait une perte de temps. Ils se retrouvent assez vite sur le quai et Maximilien attend qu’un groupe de moldus passe pour demander à sa fiancée ce qu’elle pense jusqu’à présent de ce système de transport non-sorcier. Sa réponse lui tire un sourire car c’est la réflexion qu’il se faisait lui-même, petit, à propos du métro.
“C’est assez profond, en effet. On est à environ… dix mètres sous le sol, je crois ! Mais c’est étudié pour. Et pour la claustrophobie, on s’y fait. C’est un peu plus flippant quand il n’y a personne sur le quai tard la nuit, je trouve…” Avoue-t-il car lui-même a déjà ressenti cette sensation d’insécurité par le passé en prenant le métro. Pour des raisons peut-être idiotes, mais avec une réalité très dérangeante. Maximilien observe les gens autour de lui lorsque Juliet l’interpelle, le visage devant la carte du métro parisien. Il s’approche avec un sourire et pointe du doigt leur destination.
“Nous allons à Hôtel de Ville mais comme nous sommes assez loin, on va devoir changer de métro entre temps. Regarde, on va s’arrêter à 7 stations après la notre, Concorde. Ensuite, on va prendre le métro n°1 en jaune, et on s’arrêtera pour de bon à Hôtel de Ville. Là, on marchera encore un peu, quelques minutes à peine et je t’emmènerai à la boutique de Pierre Hermé, un grand pâtissier et surtout chocolatier français. Il fait des macarons vraiment insolites comme traditionnels. Tu pourras même en emporter pour ta famille, si tu veux.” Il lui propose cela comme une invitation à faire un cadeau à la famille Blackthorn. Ce ne sont certes que des macarons, mais l’intention est bien là et c’est tout ce qui compte, n'est-ce pas ? Qui leur montre sa sympathie et leur fasse découvrir, peut-être, de nouvelles saveurs françaises. Sinon, quel intérêt de s’allier à une famille étrangère à la sienne ?
Ses yeux s’attardent sur le panneau lumineux indiquant l’arrivée imminente de leur transport. Et en effet, à peine une minute plus tard, le métro fait son arrêt à leur hauteur dans une bourrasque de vent.
“Ca décoiffe hein ?” A-t-il à peine le temps de dire avant que les portes ne s’ouvrent. Il passe aussitôt son bras sous celui de Juliet pour ne pas la perdre en cours de route car ce passage est toujours très compliqué. Ce n’est pas comme au Japon où il y a une queue respectée par les passagers… non, en France on monte et on descend comme des bourrins - et les appeler animaux serait trop injurieux pour les pauvres bêtes. Premier arrivé, premier servi et certains jouent déjà du coude. Il se doute que la Blackthorn n’appréciera pas spécialement se faire bousculer mais cela fait partie de l’expérience. Il ne faut jamais se laisser totalement faire. En ce qui les concerne, ils ne sont pas dans l’urgence donc attendre quatre minutes pour le prochain métro ne serait pas grave, en soit… Sauf que, jouant de sa grande taille à son tour, Maximilien les aide à se faufiler jusqu’à la grosse cabine en fer, leur trouvant in extremis des places assises. Enfin, une place assise vu qu’une dame d’une cinquantaine d’années a eu pour superbe et élégante idée de pousser la jolie blonde à l’instant même où elle allait s’asseoir. Aussitôt, Maximilien s’est levé pour lui laisser la place et, attrapant la poignée au-dessus de lui, stabilise sa position alors que les portes se referment sur un métro chargé. Il offre à Juliet un sourire rassurant.
“Tu auras expérimenté presque tout ce qui implique de prendre le métro à Paris… il ne manque plus qu’un arrêt total en plein trajet.” Mais ce n’est pas ce qu’il leur souhaite…
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Mar 17 Nov 2020 - 20:56
A la réponse de son fiancé la benjamine Blackthorn lève les yeux vers le plafond carrelé de la station de métro. Elle imagine assez mal d'être sous dix mètres de terre, de ciment ... L'idée même la met mal à l'aise mais c'est trop abstrait pour qu'elle puisse vraiment le ressentir. Il n'y a pas de lumière naturelle ici, elle se sait sous terre, mais elle n'a pas l'impression d'être aussi loin du ciel. Juliet regarde autour d'elle quand Maximilien lui précise que le plus effrayant c'est d'être seul ici la nuit. Juliet fronce le nez, bizarrement, ça l'effraierait moins. Si elle était en danger et qu'il n'y avait personne d'autre que son agresseur... un petit stupéfix puis un oubliette et c'était réglé. Alors que si ces tonnes de terre lui tombaient sur la tête... y'avait rien à faire.
A sa demande, Maximilien lui décrit le petit périple qu'il a prévu dans les entrailles de la ville Lumière. La blonde suit des yeux les descriptions de son fiancé sur le plan... Elle comprend l'idée du changement de métro et visualise rapidement leur trajet. Elle sourit à la proposition du jeune français de passer chez un pâtissier renommé. L'idée l'enchante tout autant que celle de continuer à se balader et de découvrir l'hypercentre parisien.
- C'est une très bonne idée...
A peine termine-t-elle sa phrase que le métro arriva, soufflant dans es boucles blondes et surprenant la sorcière. Elle rit en entendant Maximilien commenter ses cheveux. Oui, effectivement ça décoiffait ! Juliet attrapa le bras du Leroy tandis qu'il lui tendait. Elle le suivit parmi les passagers qui entraient précipitamment dans la rame, impressionnant la jeune femme qui se senti soudainement très petite. Maximilien la guida vers une place assise mais une femme lui grilla la politesse, se précipitant pour s'assoir là où elle avait poser ses fesses. Déstabilisée, la blondinette lança un regard à son fiancé qui finalement lui laissa sa place. Elle jeta de nouveau un oeil vers la femme qui ne semblait guère entretenir de culpabilité... heureusement, Maximilien la détendit (ou pas) en lui parlant :
- Ce n'est pas le moyen de transport le plus tranquille que l'on puisse imaginer. Tu le prenais souvent quand même ?
Répond elle avec un sourire mais en priant le ciel pour éviter le scénario de la panne qu'elle préférait largement éviter. La sorcière glissa sa main dans sa poche et senti sa baguette, ce contact aussi simple soit il la rassura parmi ce monde inconnu ou Maximilien était sa seule accroche. La blonde était surprise par la rapidité de l'engin... Les sept stations passèrent vite et elle demanda alors que la leur arrivait :
- On descend là, n'est ce pas ?
A sa demande, Maximilien lui décrit le petit périple qu'il a prévu dans les entrailles de la ville Lumière. La blonde suit des yeux les descriptions de son fiancé sur le plan... Elle comprend l'idée du changement de métro et visualise rapidement leur trajet. Elle sourit à la proposition du jeune français de passer chez un pâtissier renommé. L'idée l'enchante tout autant que celle de continuer à se balader et de découvrir l'hypercentre parisien.
- C'est une très bonne idée...
A peine termine-t-elle sa phrase que le métro arriva, soufflant dans es boucles blondes et surprenant la sorcière. Elle rit en entendant Maximilien commenter ses cheveux. Oui, effectivement ça décoiffait ! Juliet attrapa le bras du Leroy tandis qu'il lui tendait. Elle le suivit parmi les passagers qui entraient précipitamment dans la rame, impressionnant la jeune femme qui se senti soudainement très petite. Maximilien la guida vers une place assise mais une femme lui grilla la politesse, se précipitant pour s'assoir là où elle avait poser ses fesses. Déstabilisée, la blondinette lança un regard à son fiancé qui finalement lui laissa sa place. Elle jeta de nouveau un oeil vers la femme qui ne semblait guère entretenir de culpabilité... heureusement, Maximilien la détendit (ou pas) en lui parlant :
- Ce n'est pas le moyen de transport le plus tranquille que l'on puisse imaginer. Tu le prenais souvent quand même ?
Répond elle avec un sourire mais en priant le ciel pour éviter le scénario de la panne qu'elle préférait largement éviter. La sorcière glissa sa main dans sa poche et senti sa baguette, ce contact aussi simple soit il la rassura parmi ce monde inconnu ou Maximilien était sa seule accroche. La blonde était surprise par la rapidité de l'engin... Les sept stations passèrent vite et elle demanda alors que la leur arrivait :
- On descend là, n'est ce pas ?
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Mer 18 Nov 2020 - 13:38
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Maximilien est plus que ravi que son programme plaise à Juliet. Il n’ira pas jusqu’à dire qu’il l’a étudié à la minute près, mais il aime bien respecter ses engagements et cette idée lui tient à cœur. Car il sait que non seulement cela plaira à la jeune femme - qui n’aime pas entrer dans une chocolaterie de cette envergure ? - mais qu’en plus, cela leur permettra peut-être de consolider un peu leur amitié. Bien sûr, ils ne s’arrêteront pas là, du moins ce n’est pas son intention. Mais pour l’heure, il est plus attentif à l’idée d’expliquer leur trajet à la jolie blonde, ce avant qu’ils n’entrent dans le métro. Ce dernier arrive rapidement et y entrer est, comme d’habitude, une vraie bataille vu l’heure. Mais le français ne se démonte pas, usé à ce type de pratique et ce malgré sa gentillesse et son respect évident. C’est soit ça, soit il se fait marcher dessus et il ne veut pas donner une telle image à Juliet. Bien qu’ils aient dit y aller lentement et commencer par une amitié, il n’y a rien de très gratifiant à être accompagné d’une personne incapable de faire entendre sa voix ou se faire respecter. La jeune Blackthorn ne connaissant rien à Paris et ses pratiques, il est donc de son devoir de l’y guider le mieux possible. La laisser tomber n’est même pas envisageable !
Voilà pourquoi il s’empresse de lui laisser son siège lorsqu’elle se fait sauvagement voler le sien. En parlant de respect… Il est bien plus à l’aise pour lui de la voir, elle, confortable et la regarde de toute sa hauteur, accroché à la poignée au-dessus de lui. “Et encore, tu n’as pas essayé le bus…” Dit-il dans un rire, bien que ce qui soit présenté sous forme de plaisanterie ne soit que la pure vérité. Il préfère souvent prendre le métro que le bus qui, une fois plus bondé, lui paraît bien plus insupportable. Il ne saurait dire pourquoi, surtout qu’il a l’avantage d’être à l’extérieur et donc d’avoir la lueur du jour. “Mmmh… souvent non. Quand je le pouvais, disons ! C’est très efficace pour les longues distances à faire seul en fait. Plus rapide, surtout quand on n’a pas de voiture. Ou même quand on en a une, les bouchons parisiens peuvent être très éprouvant je trouve. Mais pour les petites distances, je préfère y aller à pieds ou… enfin tu vois.” Il ne peut parler de poudre de cheminette ou de transplanage dans le métro au risque de se faire entendre, surtout vu sa proximité avec les autres usagers. Le français laisse simplement sa phrase en suspens, sachant qu’elle l’interprétera correctement.
Le trajet est, somme toute, rapide comme il l’avait espéré et à la question de Juliet, il se contente de hocher de la tête tout en l’enjoignant à se relever. Autant prendre quelques secondes d’avance. L’épreuve est la même à la descente qu’à la montée, sachant qu’on leur laisse à peine le temps de poser le pied sur la plateforme du quai. Mais Maximilien tient bon, Juliet à son bras et veillant à ce qu’on ne leur fasse aucun tort. Si seulement ils savaient ce dont ils sont capables… Rejoindre le prochain quai est plutôt rapide, quelques minutes de marche suffisent et les voilà à nouveau à attendre mais, cette fois, un peu plus longtemps. Le français se tourne alors vers elle et, avec un sourire, remet correctement une mèche de ses cheveux dérangée par la bourrasque du métro. Ce, sans un mot. Geste d’attention qu’elle ne prendra pas mal, il l’espère.
“On fera le reste à pied. Dans l’hypercentre, je veux dire. Ce sera bien plus agréable pour toi, pour découvrir Paris. J’espère que pour le moment, ce que tu as vu t’as plu, hormis… le métro, on ne peut pas vraiment trouver ça plaisant. Plus pratique que plaisant… hum.” Il tourne la tête quelques secondes la tête en se raclant la gorge. S’il ne l’avait pas convaincu pendant le déjeuner, ce n’est pas maintenant qu’il va le faire ! S’il y a bien une chose que son grand-père aurait dû lui apprendre, c’est de parler à une femme sans paraître idiot…
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Dim 22 Nov 2020 - 18:33
Le bruit bourdonnant du métro était saisissante. Parfois, on entendait un clac, comme si une rame sautait. Mais ça n'avait pas du tout l'air d'inquiéter les autres voyageurs, pas plus que ça ne semblait inquiéter Maximilien. Elle devrait donc s'en retrouver rassérénée mais elle ne pouvait s'empêcher de caresser du bois des doigts sa baguette magique. Sentir l'objet sous la pulpe de ses doigts la rassurait. Elle avait beaucoup de respect pour les moldus qui vivaient dans la magie laquelle était certes fantastique mais qui rendait très dépendant finalement...
Juliet arqua un sourcil, surprise par la réponse du Leroy qui affirmait préférer le bus au métro. Alors là, vraiment, elle ne comprenait pas. Elle avait déjà prit le bus avec les De Launay en Bretagne et elle avait trouvé ça très agréable. Il faisait beaucoup en plus ce jour là et n'ayant pas d'adulte pour leur préparer un portoloin, pas de permis de transplaner et une panne de poudre de chemisette, ça avait été la seule façon pour les pré-adolescents de sortir en ville. Maximilien précise alors qu'il n'utilise pas si souvent le métro que ça... en même temps pour un sorcier, comme le laissait sous entendre sa phrase suspendue, c'était un peu stupide comme question. Mais le français avait eut la politesse de ne pas souligner sa bêtise. Suivant les gestes de son fiancé, la Blackthorn se leva et se laisse de nouveau surprendre par la marée humaine qui veut monter alors qu'elle souhaite descendre. Heureusement, Maximilien la tienne fermement par le bras et elle suit son mouvement pour traverser la vague.
Quelques minutes de marche, un nouveau quai bondé, la blondinette s'accroche à son fiancé comme à une bouée de sauvetage. Si elle se perdait, là maintenant, elle ne donnait pas cher de sa peau. Elle contre les parisiens en heure de pointe... elle perdrait à coup sûre. Nouveau métro. Celle fois-ci, la blondinette s'appuie sur un côté de siège et reste debout. Elle sourit à Maximilien qui remet une mèche de ses cheveux derrière son oreille. La blonde se regarde dans la fenetre du wagon qui grâce à l'obscurité reflète parfaitement la scène. Un yeux extérieur pourrait facilement croire à un couple en les regardant. Pourtant, ils n'en étaient pas encore là... Mais au moins, ils donnaient le change... c'était déjà ça. Maximilien vint rompre le fil des pensées de la jeune femme qui lui répond avec un sourire :
- C'est intéressant, mais j'ai quand même hâte de sortir et de marcher.
Leur destination approche et cette fois Juliet se met tout prêt de la porte, prête à bondir pour sortir de la rame. Inutile, personne ne semble vouloir prendre sa place alors qu'elle quitte le métro. Elle suit Maximilien dans le dédale de couloir, notant que cette station de métro est bien joliment décorée comparée à celle de tout à l'heure. Enfin, ils se retrouvent à la surface de la terre et Juliet respire l'air frais avec ravissement.
- Décidément... Les airs, les sous terrains. Tu ne projettes pas de me jeter dans la Seine ensuite, rassure moi !
Dit elle en riant et en appréciant de retrouver le ciel. Il fait toujours beau. Quelques nuages se disputent le ciel mais rien de méchant. Il y a un peu de monde dans la rue mais ce n'est rien comparé au métro. La jeune blonde s'éloigne de quelques pas pour se rapprocher de la Seine. La vue sur la Scène est juste magique... D'ailleurs de nombreux touristes font des photos...
- On a oublié de se faire dessiner mais... on peut faire une photo ?
Demande-t-elle en sortant son téléphone de la poche de son manteau.
Juliet arqua un sourcil, surprise par la réponse du Leroy qui affirmait préférer le bus au métro. Alors là, vraiment, elle ne comprenait pas. Elle avait déjà prit le bus avec les De Launay en Bretagne et elle avait trouvé ça très agréable. Il faisait beaucoup en plus ce jour là et n'ayant pas d'adulte pour leur préparer un portoloin, pas de permis de transplaner et une panne de poudre de chemisette, ça avait été la seule façon pour les pré-adolescents de sortir en ville. Maximilien précise alors qu'il n'utilise pas si souvent le métro que ça... en même temps pour un sorcier, comme le laissait sous entendre sa phrase suspendue, c'était un peu stupide comme question. Mais le français avait eut la politesse de ne pas souligner sa bêtise. Suivant les gestes de son fiancé, la Blackthorn se leva et se laisse de nouveau surprendre par la marée humaine qui veut monter alors qu'elle souhaite descendre. Heureusement, Maximilien la tienne fermement par le bras et elle suit son mouvement pour traverser la vague.
Quelques minutes de marche, un nouveau quai bondé, la blondinette s'accroche à son fiancé comme à une bouée de sauvetage. Si elle se perdait, là maintenant, elle ne donnait pas cher de sa peau. Elle contre les parisiens en heure de pointe... elle perdrait à coup sûre. Nouveau métro. Celle fois-ci, la blondinette s'appuie sur un côté de siège et reste debout. Elle sourit à Maximilien qui remet une mèche de ses cheveux derrière son oreille. La blonde se regarde dans la fenetre du wagon qui grâce à l'obscurité reflète parfaitement la scène. Un yeux extérieur pourrait facilement croire à un couple en les regardant. Pourtant, ils n'en étaient pas encore là... Mais au moins, ils donnaient le change... c'était déjà ça. Maximilien vint rompre le fil des pensées de la jeune femme qui lui répond avec un sourire :
- C'est intéressant, mais j'ai quand même hâte de sortir et de marcher.
Leur destination approche et cette fois Juliet se met tout prêt de la porte, prête à bondir pour sortir de la rame. Inutile, personne ne semble vouloir prendre sa place alors qu'elle quitte le métro. Elle suit Maximilien dans le dédale de couloir, notant que cette station de métro est bien joliment décorée comparée à celle de tout à l'heure. Enfin, ils se retrouvent à la surface de la terre et Juliet respire l'air frais avec ravissement.
- Décidément... Les airs, les sous terrains. Tu ne projettes pas de me jeter dans la Seine ensuite, rassure moi !
Dit elle en riant et en appréciant de retrouver le ciel. Il fait toujours beau. Quelques nuages se disputent le ciel mais rien de méchant. Il y a un peu de monde dans la rue mais ce n'est rien comparé au métro. La jeune blonde s'éloigne de quelques pas pour se rapprocher de la Seine. La vue sur la Scène est juste magique... D'ailleurs de nombreux touristes font des photos...
- On a oublié de se faire dessiner mais... on peut faire une photo ?
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Mar 24 Nov 2020 - 14:08
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Maximilien n’est pas dépourvu de tendresse, si tant est qu’il s’en laisse l’occasion. Demandez à ses amies d’enfance, Elsje et Léonie, ce qu’elles en pensent - voire même Catalina. Le français est très enclin à faire des câlins et en règle générale, ne s’en prive pas avec les personnes qu’il affectionne plus particulièrement. Cela étant, sa relation avec Juliet est floue et toujours en construction, il ne sait donc pas les limites qui sont imposées - que ce soit de la part de la jeune blonde ou de la sienne. Il n’est pas non plus du genre à câliner le premier inconnu qui passe ! Et la réflexion de la Blackthorn sur une approche d’abord amicale plutôt que sentimentale le freine beaucoup, même s’il approuve cette méthode. Pourtant, dans le métro, Maximilien laisse échapper un simulacre de ce qu’il est vraiment en remettant la mèche de la jeune femme derrière son oreille. Affectueux, prévenant et pas toujours aussi coincé qu’on semble le croire. Si Juliet lui en laisse l’opportunité, il pourrait devenir toutes ces choses avec elle, dans le futur.
“Je veux bien te croire.” Répond-il sur le même ton, un léger sourire ornant ses lèvres. Et leur vœu est exaucé puisque la rame s’arrête enfin pour leur laisser l’occasion de descendre. Ils ne sont que peu nombreux à le faire et c’est tant mieux. Ainsi, pas de bousculade et une marche plutôt tranquille pour remonter à la surface de la terre. La réapparition du soleil lui fait un bien fou et il profite de la sensation des rayons chauds sur son visage quelques secondes. L’effet semble être similaire sur Juliet qui paraît être heureuse - ce qui a un effet bénéfique sur le moral du français. Il a, ainsi, un peu moins l’impression d’être un loser.
“Mince, tu as découvert ma prochaine surprise ! Moi qui ai passé des heures à trouver le bon spot pour te jeter dans l’eau… Je suis déçu.” Il rit un peu tandis qu’ils font quelques pas en direction des bords de la Seine. Le temps étant beau, la vue l’est tout autant et c’est ce qu’il aime particulièrement à Paris : ce genre d’endroit. La jeune femme fait alors une proposition qui l’emballe, plutôt deux fois qu’une. Il hoche de la tête avec vigueur en désignant du menton un endroit libre.
“Par là, comme ça l’arrière-plan sera vraiment magnifique et on évitera le contre-jour !” Son téléphone à la main, il l’emmène à un ou deux mètres de l’endroit où ils étaient et se poste à côté d’elle, dos à la Seine. La question pour Maximilien est désormais : quelle position prendre ? Il ne veut pas paraître trop familier en la prenant dans ses bras, quand bien même il l’aurait fait avec Els, Leo ou encore Lina. Mais se tenir droit comme un piquet juste à côté d’elle ne lui semble pas particulièrement engageant ou fun. Il veut que Juliet ait un bon souvenir de cette journée et cela passe par une photo réussie.
“Je peux ?” Toujours aussi galant, Maximilien lui demande l’autorisation avant de passer son bras autour de ses épaules, penchant légèrement la tête dans sa direction. Il fait bien attention à ne pas la serrer ou faire peser son poids sur son corps. Il maintient ainsi une position de proximité sans qu’elle ne soit trop envahissante. Et cette idée lui plaît beaucoup. Un sourire vient naturellement orner son visage alors que l’objectif se centre sur celui-ci.
“Tu sais ce qu’on dit parfois en France pour prendre des photos ? Bon c’est un peu ringard hein… mais au lieu de dire “cheese”, on peut dire “ouistitiiiiii”.” Il rit un peu de sa propre bêtise, espérant qu’elle ne le prenne pas pour un attardé mental avec son histoire de ouistiti…
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Mar 8 Déc 2020 - 21:26
Bilan du passage dans le métro … ? C’était à tester, histoire de se sentir comme les vrais parisiens… Mais la Blackthorn préférait de loin transplaner ou marcher. Ce qui l’avait finalement le plus gênée c’était en réalité la sensation d’être comme une minuscule souris sous plusieurs tonnes de bétons… Elle n’avait jamais été claustrophobe mais là ça y ressemblait un peu !
Le retour sur les quais de Seine se fait avec ravissement pour la jeune femme qui admire l’endroit. La vue sur la scène depuis ce pont est juste magnifique. Paris est si belle et si raffinée que Juliet se dit qu’elle pourrait vraiment se plaire dans cette ville, si toutefois elle devait y habiter un jour. La blondinette rit en imaginant Maximilien l’envoyer dans le fleuve. Elle grimace au passage, autant il fait bon, autant elle ne se risquerait pas à se baigner dans une eau pareille !
Elle propose une photo et Maximilien se prête au jeu, choisissant l’endroit et l’exposition la plus appropriée. Ils jouent aux touristes comme beaucoup d’autres personnes présente sur ce pont. Juliet se place un peu à côté et un peu devant lui, ainsi il y aura de la place sur la photo pour voir Notre Dame en arrière plan. Elle sourit à Maximilien quand il passe son bras autour de ses épaules, elle attrape doucement sa main pour lui faire comprendre qu’elle n’est pas dérangée et commence à sourire. Un sourire parfaitement Blackthorn, un sourire élégant, droit, calme, une parfaite petite poupée aux boucles blondes.
Enfin… Ca c’était avant que le jeune français ne lui explique que les français disaient « ouistiti » pour prendre une photo. Sur le coup, elle ne comprend pas puis finit par traduire le mot en anglais dans sa tête ce qui n’a pour seule conséquence que d’éclater de rire au moment ou le jeune homme prend la photo.
- Hééééé ! Non, c’est injuste je n’était pas prête ! Et puis je n’ai pas dit « ouistiti » en plus !
Elle se replace pour poser et cette fois se concentre sur son reflet dans l’écran du téléphone de Maximilien. Elle sourit et dit :
- Un, deux, trois… Ouistiti !
Elle sourit et alors que la photo se déclenche, elle sait déjà que la photo va être très belle. Elle s’approche pour la regarder de plus près et d’un doigts les fait défiler. Finalement, celle ou elle éclate de rire est belle aussi. La jeune femme commente :
- Elles sont vraiment belles ! Tu me l’enverras ?
Le regard de Juliet se pose sur une sorte de petite cahute en fer vert qui est installée un peu plus loin sur le Quai. Un vieil homme est assis sur un tabouret et discute avec certains badauds qui regardent les livres qu’il semble vendre. Quand il y avait des livres, Juliet ne pouvait s’empêcher d’avoir envie d’y jeter un coup d’oeil. Elle désigna la petite cabane :
- Ce sont des librairie ?
Le retour sur les quais de Seine se fait avec ravissement pour la jeune femme qui admire l’endroit. La vue sur la scène depuis ce pont est juste magnifique. Paris est si belle et si raffinée que Juliet se dit qu’elle pourrait vraiment se plaire dans cette ville, si toutefois elle devait y habiter un jour. La blondinette rit en imaginant Maximilien l’envoyer dans le fleuve. Elle grimace au passage, autant il fait bon, autant elle ne se risquerait pas à se baigner dans une eau pareille !
Elle propose une photo et Maximilien se prête au jeu, choisissant l’endroit et l’exposition la plus appropriée. Ils jouent aux touristes comme beaucoup d’autres personnes présente sur ce pont. Juliet se place un peu à côté et un peu devant lui, ainsi il y aura de la place sur la photo pour voir Notre Dame en arrière plan. Elle sourit à Maximilien quand il passe son bras autour de ses épaules, elle attrape doucement sa main pour lui faire comprendre qu’elle n’est pas dérangée et commence à sourire. Un sourire parfaitement Blackthorn, un sourire élégant, droit, calme, une parfaite petite poupée aux boucles blondes.
Enfin… Ca c’était avant que le jeune français ne lui explique que les français disaient « ouistiti » pour prendre une photo. Sur le coup, elle ne comprend pas puis finit par traduire le mot en anglais dans sa tête ce qui n’a pour seule conséquence que d’éclater de rire au moment ou le jeune homme prend la photo.
- Hééééé ! Non, c’est injuste je n’était pas prête ! Et puis je n’ai pas dit « ouistiti » en plus !
Elle se replace pour poser et cette fois se concentre sur son reflet dans l’écran du téléphone de Maximilien. Elle sourit et dit :
- Un, deux, trois… Ouistiti !
Elle sourit et alors que la photo se déclenche, elle sait déjà que la photo va être très belle. Elle s’approche pour la regarder de plus près et d’un doigts les fait défiler. Finalement, celle ou elle éclate de rire est belle aussi. La jeune femme commente :
- Elles sont vraiment belles ! Tu me l’enverras ?
Le regard de Juliet se pose sur une sorte de petite cahute en fer vert qui est installée un peu plus loin sur le Quai. Un vieil homme est assis sur un tabouret et discute avec certains badauds qui regardent les livres qu’il semble vendre. Quand il y avait des livres, Juliet ne pouvait s’empêcher d’avoir envie d’y jeter un coup d’oeil. Elle désigna la petite cabane :
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- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Mer 9 Déc 2020 - 12:01
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Enfin quelque chose qu’il maîtrise : s’amuser et immortaliser ces bons moments. C’est bien plus agréable à mettre en place pour le français qu’une conversation polie et distinguée avec une future fiancée ! Il préfère de loin rire et créer de bons souvenirs de complicité. Sa timidité avec les femmes le rattrape bien assez vite lorsqu'il s’agit de passer un bras autour de ses épaules, se sentant obligé de lui demander la permission avant de ne serait-ce qu’imaginer le geste. Se faisant, la main de Juliet attrape la sienne et il prend cela pour un accord tacite de proximité.
Il lui explique alors une pratique dans certaines familles françaises qui, certes, ne fait pas l’unanimité mais en fait rire beaucoup malgré tout. Bien sûr, il prend le risque de se ridiculiser auprès de la jolie blonde ou qu’elle le prenne pour un attardé mental… Ce qui ne semble pas être le cas. Au contraire, elle se met brusquement à rire et c’est le moment qu’il choisit pour prendre la photo. Il ne dira pas que tout cela avait un but précis, mais Maximilien est bien content d’avoir pu faire une photo de Juliet où celle-ci est totalement naturelle, sans ce sourire “officiel” qu’elle abordait il y a quelques secondes de cela.
“C’est vrai, on va devoir recommencer !” Et cela lui convient parfaitement d’ailleurs. La jeune femme semble se prendre au jeu et ils chantonnent en cœur un “ouistiti” qui fait se retourner quelques têtes. Mais pour le moment, le français s’en moque bien. Il partage quelque chose de très important avec sa fiancée, quelque chose d’inouï vu la teneur de la conversation pendant leur repas. Par-dessus son épaule, il la regarde faire défiler les photos et bien sûr, sa préférée est quasiment évidente. La première photo est bien plus représentative de la beauté de Juliet, et cela passe par son rire. Bien sûr, il n’en dira rien au risque de les gêner tous les deux…
“Bien sûr !” Il peut même les faire imprimer, si elle le souhaite mais c’est probablement un peu précipité de, déjà, faire développer des photos d’eux. Ou pas ? Il n’en a aucune idée. Interpellé par la jeune femme, il regarde l’endroit qu’elle désigne et décide de s’en approcher pour lui faire plaisir.
“Ce sont des kiosques à livres, en fait. C’est bien moins cher et on peut trouver de belles perles rares. De vieilles éditions, par exemple ! Il y a de tous les genres.” Il s’arrête de parler à proximité du kiosque, profitant du moment pour, lui-même, inspecter les ouvrages à la recherche de ce qui pourrait être sa petite pépite littéraire. Entre autres, cette activité lui plaît peut-être bien plus que tout ce qu’ils pourraient faire dans cette grande ville cosmopolite. Maximilien est ravi de voir qu’elle possède le même amour que lui pour les livres.
“Qu’est-ce que tu aimes ? Comme bouquin. Tu lis quoi en ce moment ?” S’intéresse-t-il, car il y a forcément quelque chose dans l’un de ces kiosques qu’il pourrait lui offrir, si jamais. Maximilien n’est pas avare de cadeaux, tant qu’il peut faire plaisir à la personne qui l’accompagne. Le but étant que la jeune femme passe un bon moment en sa compagnie. Non pas qu’il achète son affection, il n’y a rien de tel dans sa démarche. Simplement, il veut pouvoir se rappeler de cette journée comme quelque chose de joyeux et positif. Elle aussi, il s’imagine.
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Jeu 10 Déc 2020 - 22:08
Encore installée dans les bras du français, la jeune Blackthorn swipe avec son doigts pour regarder les photos qui ont été tirées. Maximilien a eut la bonne idée d’en faire plusieurs et elles sont toutes très jolies. En même temps, tout est réunis pour faire une belle photo : la luminosité d’un jour d’automne ensoleillé, la ville de Paris en fond, un charmant jeune homme et une blondinette qui semble s’amuser comme une folle. La première photo est de loin la plus belle de toute et elle a déjà hâte que Maximilien ne lui envoie.
Elle rend le téléphone à son fiancé car déjà quelque-chose d’autre attire son attention. Paris a cet incroyable pouvoir de vous émerveiller à chaque coin de rue. Elle regarde une sorte de grosse boite verte qui est installée à quelque pas d’eux, sur les quais, et où sont installés des centaines de livres mais aussi des posters, des bibelots et des souvenirs. Maximilien lui explique que c’est boite sont des sortes de librairies à ciel ouvert, ou les livres sont moins chers et où on trouve parfois de belles éditions.
- C’est très sympa comme concept.
Ils s’en approchent et Juliet adore effectivement le concept. Elle imite Maximilien et commence à regarder les livres vendus. Certains sont récents mais d’autres possèdent une reliure comme les livres anciens. Elle est absorbée par ce qu’elle voit, si bien qu’elle répond à Maximilien avec quelques minutes de retard.
- Oh, en ce moment je relis les Hauts de Hurlevents, mais récemment j’ai adoré lire le Livre des Baltimore d’un auteur m.. suisse.
Oups, elle allait dire moldu alors qu’il y en avait un juste à côté d’eux qui souriait à la jeune femme tandis qu’elle manipulait les livres.
- Et toi ? Qu’est ce que tu lis en ce moment ? Tu as un genre particulier de lecture ?
Demanda-t-elle, sachant désormais que Maximilien était un lecteur régulier. En même temps, elle regardait les anciennes éditions que vendait le moldu. Elle adorerait trouver une belle édition d’un livre en français, d’un auteur français aussi… ça serait un beau souvenir de cette journée, en plus des photos et de ce qu’elle pourrait garder en mémoire.
Elle rend le téléphone à son fiancé car déjà quelque-chose d’autre attire son attention. Paris a cet incroyable pouvoir de vous émerveiller à chaque coin de rue. Elle regarde une sorte de grosse boite verte qui est installée à quelque pas d’eux, sur les quais, et où sont installés des centaines de livres mais aussi des posters, des bibelots et des souvenirs. Maximilien lui explique que c’est boite sont des sortes de librairies à ciel ouvert, ou les livres sont moins chers et où on trouve parfois de belles éditions.
- C’est très sympa comme concept.
Ils s’en approchent et Juliet adore effectivement le concept. Elle imite Maximilien et commence à regarder les livres vendus. Certains sont récents mais d’autres possèdent une reliure comme les livres anciens. Elle est absorbée par ce qu’elle voit, si bien qu’elle répond à Maximilien avec quelques minutes de retard.
- Oh, en ce moment je relis les Hauts de Hurlevents, mais récemment j’ai adoré lire le Livre des Baltimore d’un auteur m.. suisse.
Oups, elle allait dire moldu alors qu’il y en avait un juste à côté d’eux qui souriait à la jeune femme tandis qu’elle manipulait les livres.
- Et toi ? Qu’est ce que tu lis en ce moment ? Tu as un genre particulier de lecture ?
Demanda-t-elle, sachant désormais que Maximilien était un lecteur régulier. En même temps, elle regardait les anciennes éditions que vendait le moldu. Elle adorerait trouver une belle édition d’un livre en français, d’un auteur français aussi… ça serait un beau souvenir de cette journée, en plus des photos et de ce qu’elle pourrait garder en mémoire.
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Sam 12 Déc 2020 - 15:15
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Paris est la ville des opportunités et cela se ressent depuis qu’ils sont arrivés. Maximilien a fait un programme de leur journée avec diverses activités mais ils n’en ont fait que la moitié, rapidement accaparés par les multiples possibilités qu’offre la ville. Que ce soit la nourriture, les lieux, les objets… on peut vite se perdre dans des contemplations mais n’est-ce pas là la beauté du moment ? Il a cette réflexion tout en s’approchant du kiosque à livres et souvenirs. Ce n’est pas quelque chose qu’il a prévu de faire mais maintenant qu’ils y sont, il se demande comment ils auraient pu visiter Paris sans y passer n’y serait-ce que quelques secondes. C’est une des particularités à ne pas manquer, assurément. La jeune femme semble accaparée par ses découvertes, ne lui répondant que bien plus tard. Avec leurs discussions, il a bien vite compris que Juliet aime lire et cet endroit est parfait pour satisfaire ce genre de plaisir. Lui-même éprouve un certain confort à promener ses mains parmi les dos des ouvrages, sortant de temps en temps l’un d’eux pour le feuilleter en quête d’un intérêt soudain. La bibliothèque des Leroy, dans le sud de la France, est immense et regorge de vieux ouvrages aux reliures dorées, comme celles du livre qu’il a en sa possession. C’est donc très jeune qu’il a éprouvé une vive inclination pour ces anciennes éditions, notamment des incunables dont le prix dépasse souvent l’entendement.
“J’aime bien Dicker même si, à choisir entre les deux, je préfère largement les romans des sœurs Brontë. J’ai un faible pour les classiques, les romans historiques et les polars me distraient beaucoup. En ce moment, je relis Le Nom de la Rose. Oui, relis, ça m’arrive souvent de me replonger dans des livres que j’ai déjà lus il y a longtemps. On redécouvre des choses. Des sentiments, des informations qu’on avait manquées la première fois.” Il sourit doucement à la jeune femme, avec cette sensation d’avoir le cœur ouvert à elle. Comme s’il lui laissait voir une part de sa vraie personnalité. Après tout, ils vont être mariés dans quelques mois, il est important qu’ils sachent les goûts et les activités de l’autre. Avec cette discussion, Maximilien les imagine bien tous les deux, un soir d’hiver, dans leurs fauteuils ou canapé avec plaid, à lire leurs ouvrages respectifs… pour ensuite en débattre avec passion autour d’un thé bien chaud. C’est une vision qui lui plaît, étrangement, alors qu’il ne se l’était jamais imaginée auparavant.
“Oh, regarde celui-ci. Une vieille édition de Jules Verne. 1863, Cinq semaines en ballon. Tu l’as lu ?” Il lui tend l’ouvrage avec précaution, se demandant même comment un tel livre peut se trouver là. Ne coûte-t-il pas au bas mot une centaine d’euros sur le marché de l’occasion ? En tout cas, si Juliet n’en veut pas, il le prendra pour lui. L’odeur des vieux livres le fascine et le transporte. De nouveau les mains libres, il parcourt les autres bouquins mais sans trouver d’autres pépites.
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Mar 15 Déc 2020 - 21:11
Ses mains caressent le dos des livres avant que ses doigts d'en attrapent certains pour effleurer leur couverture et en lire quelques lignes. La quasi-totalité des livres étaient en français et bien qu'elle parle plutôt bien la langue, la lecture lui était un chouilla moins aisée, surtout les anciens livres dont les manières de parler son très différentes du français moderne qu'elle a pu apprendre auprès de sa préceptrice tandis qu'elle était enfant.
La jeune Blackthorn se fend d'un sourire tandis que Maximilien affirme préféré un classique britannique à un roman de famille du vingtième siècle. Elle même a du mal à définir ce qu'elle préfère... Elle ne saurait dire. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle aime ce genre de roman, ceux où les relations humaines sont au coeur de l'histoire, où les sentiments sont presque vécu par le lecteur assidu. Elle rit même lorsque son fiancé avoue relire souvent des ouvrages... là dessus, elle ne le trouve pas bizarre du tout, parce qu'elle même le fait très souvent.
- Je suis du genre à relire aussi... Surtout les romans policiers. J'adore retrouver les indices disséminés au fur et à mesure des pages et me rendre compte que l'évidence était sous mes yeux.
Maximilien lui tend un livre et elle repose celui qu'elle avait dans les mains pour se saisir du roman qui lui est présenté. Une exceptionnelle édition d'un roman de Jules Vernes qu'elle n'a pas lu. Elle connait l'auteur mais elle est bien loin d'avoir pu lire l'exhaustivité de sa bibliographie.
- Oh, belle trouvaille ! Il est splendide ! Les couvertures de cette époque sont tellement belles.
Puis se souvenant de la question du français, elle ajouta :
- Non, je ne l'ai pas lu. Mais je suppose que toi si, tu l'as aimé ?
Une illustration sur du cuir coloré à plusieurs endroits avec des délimitations à la feuille d'or. Ce sont les préférées de Juliet. Le moderne de l'illustration et le charme du cuir. Le livre est en parfait état. Elle le feuillette doucement et l'inspecte avec minuties avant d'affirmer tout en rendant l'ouvrage à son fiancé :
- Tu devrais le prendre. Je suis sûre que tu le regretteras si tu ne le fais pas !
La jeune Blackthorn se fend d'un sourire tandis que Maximilien affirme préféré un classique britannique à un roman de famille du vingtième siècle. Elle même a du mal à définir ce qu'elle préfère... Elle ne saurait dire. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle aime ce genre de roman, ceux où les relations humaines sont au coeur de l'histoire, où les sentiments sont presque vécu par le lecteur assidu. Elle rit même lorsque son fiancé avoue relire souvent des ouvrages... là dessus, elle ne le trouve pas bizarre du tout, parce qu'elle même le fait très souvent.
- Je suis du genre à relire aussi... Surtout les romans policiers. J'adore retrouver les indices disséminés au fur et à mesure des pages et me rendre compte que l'évidence était sous mes yeux.
Maximilien lui tend un livre et elle repose celui qu'elle avait dans les mains pour se saisir du roman qui lui est présenté. Une exceptionnelle édition d'un roman de Jules Vernes qu'elle n'a pas lu. Elle connait l'auteur mais elle est bien loin d'avoir pu lire l'exhaustivité de sa bibliographie.
- Oh, belle trouvaille ! Il est splendide ! Les couvertures de cette époque sont tellement belles.
Puis se souvenant de la question du français, elle ajouta :
- Non, je ne l'ai pas lu. Mais je suppose que toi si, tu l'as aimé ?
Une illustration sur du cuir coloré à plusieurs endroits avec des délimitations à la feuille d'or. Ce sont les préférées de Juliet. Le moderne de l'illustration et le charme du cuir. Le livre est en parfait état. Elle le feuillette doucement et l'inspecte avec minuties avant d'affirmer tout en rendant l'ouvrage à son fiancé :
- Tu devrais le prendre. Je suis sûre que tu le regretteras si tu ne le fais pas !
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Ven 18 Déc 2020 - 11:53
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]C’est une conversation plutôt simple qu’ils ont, mais l’une des meilleures. Il n’y a parfois pas besoin de plus que cela pour se sentir proche d’une autre personne. Et alors qu’ils partagent leurs goûts et leurs habitudes de lecture, Maximilien se sent un peu plus en phase avec Juliet. Voilà une activité qu’ils pourront allègrement partager ensemble lorsqu’ils seront mariés, cela ne fait aucun doute pour le français.
“C’est vrai que c’est un exercice assez intéressant ! Je trouve juste que certains polar deviennent juste trop ‘évidents’ de nos jours. Le coupable est trop vite trouvé, bien que certains aient un talent remarquable pour apporter un peu de surprise dans ce domaine !” Bien sûr, son avis n’est que subjectif et non exhaustif, étant donné qu’il n’a pas eu l’opportunité de lire tous les romans policiers sur cette Terre… Il espère tous les jours voir ses avis négatifs changer sur certains ouvrages et s’estime assez ouvert d’esprit pour changer d’opinion lorsque cela s’impose.
Parcourant les ouvrages, il finit par tomber sur une vieille édition de Jules Verne, qu’il sort aussitôt du bac pour le montrer à sa fiancée, espérant secrètement qu’elle en aime l’intention. Il a un grand sourire alors qu’elle admire la couverture dont les reliures et le cuir font un parfait mariage. Il n’en attendait pas moins d’elle, après tous les propos qu’elle a tenu.
“Beaucoup, mais il est difficile pour moi de détester un ouvrage de Verne. Je pourrais essayer mais ce serait dénaturer mes sentiments ! Non, c’est vraiment une bonne histoire et rien que la couverture fait tout le charme.” Maximilien la regarde le feuilleter, espérant qu’elle voudra le garder afin de le lire une fois rentrée chez elle. Mais à la place, la jeune femme lui rend le livre en affirmant qu’il doit se l’acheter au risque de le regretter. Pour cela, elle n’a sûrement pas tort.
“Je pourrais le prendre et tu me l’emprunteras ?” Il ne souhaite pousser personne à lire un ouvrage en particulier, il ne veut simplement pas que Juliet passe à côté de quelque chose sous prétexte que le livre semble plus lui plaire à lui qu’à elle. Surtout que, il s’imagine, elle n’a pas d’euros sur elle pour se l’offrir. Il ne veut pas non plus qu’elle pense qu’il lui fait la charité ou qu’est-ce, en lui offrant toutes ces choses. Des macarons, des livres… Maximilien veut juste bien faire, sans arrière pensée. Ou peut-être simplement celle de lui plaire.
“Est-ce qu’il y a quelque chose qui te fait envie parmi tout ça ? Même dans les bibelots souvenirs de Paris. Comme ça, tu auras quelque chose à ramener du pays et de cette journée.” Il lui sourit, gardant Jules Verne précautionneusement contre lui. On ne sait jamais… Un coup d’œil à sa montre permet à Maximilien de remarquer que même s’ils prennent beaucoup de bon temps, ils ne sont pas en avance et qu’il tient absolument à lui faire goûter ces macarons. Ils ne devraient pas tarder à se mettre en route car sorciers ou non, ils n’ont pas le pouvoir d’arrêter le temps…
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Mer 23 Déc 2020 - 22:42
Juliet ne s’en rend pas compte mais… Elle se sent vraiment bien. Pas juste bien. Vraiment bien. Elle n’avait plus d’appréhension… Elle se sentait elle même, sans filtre, naturellement. Et ça faisait du bien, un bien fou. Elle était naturelle alors qu’elle parlait à son fiancé de littérature. Ce n’était même plus son promis imposé, c’était un jeune homme apprenait à découvrir, qu’elle trouvait génial et charmant et qui lui plaisait tout simplement. Et elle rit, elle rit en réaction à l’affirmation du Leroy.
- Alors je dois être vraiment nulle ! Je serais une très mauvaise policière crois moi !
Parfois même, elle relit un polar… et non seulement elle ne retrouve pas les indices mais en plus elle ne se souvient déjà plus de qui est le criminel. Poisson rouge ayant fait le tour de son bocal quoi… Mais pour Jules Vernes, elle comprend que le français aime autant, surtout si les autres livres qu’il avait écrit étaient aussi bons que les deux seuls qu’elle avait lus.
Quoi qu’il en soit, le livre est vraiment beau rien qu’à sa couverture. Il serait vraiment plaisant de voir les autres livres de la même édition. Elle poussa gentillement Maximilien à ne surtout pas reposer le livre sans se retourner. Il propose de lui prêter et la blonde ne va certes pas refuser une si agréable proposition :
- Oui, avec plaisir.
Et puisqu’il l’y incite, la blonde regarde de nouveau l’étal du bouquiniste. Elle trouve finalement un petit livre de poésie écrit par des parisiens moldu lors d’un concours de la mairie de Paris. Le livre tient dans la main, la couverture est d’une douceur sans nom avec une esquisse de la Tour Eiffel comme sur du parchemin… Juliet le feuillette un instant, la mise en page est magnifique…
- Ca, ça serait un parfait souvenir de cette journée.
Elle tend le petit livre à son fiancé et il effectue la transaction avec le bouquiniste, échangeant des banalités charmantes au passage, tandis que Juliet les observe de son regard bienveillant. En reprenant le cadeau dans ses mains, elle glisse ses yeux dans ceux du jeune homme.
- Merci Maximilien. Pour le cadeau et pour la journée.
- Alors je dois être vraiment nulle ! Je serais une très mauvaise policière crois moi !
Parfois même, elle relit un polar… et non seulement elle ne retrouve pas les indices mais en plus elle ne se souvient déjà plus de qui est le criminel. Poisson rouge ayant fait le tour de son bocal quoi… Mais pour Jules Vernes, elle comprend que le français aime autant, surtout si les autres livres qu’il avait écrit étaient aussi bons que les deux seuls qu’elle avait lus.
Quoi qu’il en soit, le livre est vraiment beau rien qu’à sa couverture. Il serait vraiment plaisant de voir les autres livres de la même édition. Elle poussa gentillement Maximilien à ne surtout pas reposer le livre sans se retourner. Il propose de lui prêter et la blonde ne va certes pas refuser une si agréable proposition :
- Oui, avec plaisir.
Et puisqu’il l’y incite, la blonde regarde de nouveau l’étal du bouquiniste. Elle trouve finalement un petit livre de poésie écrit par des parisiens moldu lors d’un concours de la mairie de Paris. Le livre tient dans la main, la couverture est d’une douceur sans nom avec une esquisse de la Tour Eiffel comme sur du parchemin… Juliet le feuillette un instant, la mise en page est magnifique…
- Ca, ça serait un parfait souvenir de cette journée.
Elle tend le petit livre à son fiancé et il effectue la transaction avec le bouquiniste, échangeant des banalités charmantes au passage, tandis que Juliet les observe de son regard bienveillant. En reprenant le cadeau dans ses mains, elle glisse ses yeux dans ceux du jeune homme.
- Merci Maximilien. Pour le cadeau et pour la journée.
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Jeu 24 Déc 2020 - 10:47
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Il ne sait comment il a réussi à la faire rire si naturellement mais il apprécie le son qu’il entend, lui tirant ainsi un sourire timide et bienveillant. N’est-ce pas reprendre sur une bonne base que de réussir à lui faire avoir ce type de réaction ? Bien sûr, il la trouvait déjà jolie avant ça, mais maintenant plus encore. Son sourire lui donne beaucoup de charme, à n’en pas douter.
Ce qu’il pensait lui faire choisir lui revient finalement et Maximilien garde l’édition originale de Jules Verne dans sa main avec un léger sourire satisfait. Proposant par la suite à la jeune femme de le lui emprunter afin d’en découvrir toutes les beautés. Lire est une activité passionnante, mais partager ses lectures avec une personne proche l’est encore plus et il se voit parfaitement s’adonner à ce type d’amusement avec Juliet. Que leurs goûts soient similaires ou non. Ils n’ont pas forcément à l’être.
C’est à son tour de la pousser à se procurer l’un des livres de cet étal, un souvenir de cette journée qu’elle emportera avec elle. Maximilien la regarde faire son choix avec intérêt, ravi de découvrir celui qu’elle emportera avec elle. “Je suis bien d’accord.” Dit-il en prenant l’ouvrage de poésie, qu’il feuillette quelques secondes avant d’aller régler leurs achats auprès du bouquiniste. Ce dernier lui fait la conversation polie d’usage, sur le temps qu’il fait, la situation politique, les touristes… Rien d’extraordinaire et Maximilien est trop bien élevé pour y couper court le premier. Finalement, il remercie l’homme et retourne vers Juliet, dont la gratitude le touche profondément.
“Tout le plaisir est pour moi, vraiment. Si on la finissait, cette journée, avec une petite douceur ? Et après je te ramène chez toi.” Il sourit en se rapprochant d’elle, leurs pas les conduisant dans la rue adjacente. Tout en marchant, Maximilien lui parle de ce qu’il sait du quartier - pas forcément énormément mais assez pour entretenir une conversation - jusqu’à ce qu’il arrive, quelques pâtés de maisons plus tard, à la boutique de Pierre Hermé. Une chance pour eux, il n’y a pas foule et ils peuvent entrer sans se faire bousculer - ni avoir à jouer des coudes. L’atmosphère y est chaleureuse et ils se trouvent entourés de sucreries en tous genres. Chocolats de toutes sortes mais surtout, les macarons qu’il lui avait promis. Laissant la jeune femme vagabonder à sa guise, il finit par la rejoindre devant les pâtisseries françaises et lui montre les divers paniers à découvrir.
“C’est de ça dont je te parlais. Il y en a vraiment pour tous les goûts. De quoi aurais-tu envie ?” Lui craquera sûrement pour celui au pignon de cèdre, ou peut-être encore le framboise/pain d’épices. Mais il y a tellement de choix qu’il est bien difficile de se décider. “Ce serait okay si j’en offrais une boîte de vingt-quatre pour ta famille ? Ou ce ne serait pas assez ?” Après tout, ils sont une grande famille et ce ne serait peut-être pas suffisant. À moins de ne les offrir qu’à ses parents ? Mais n’aurait-il pas l’air d’acheter leur sympathie ? Maximilien veut simplement faire plaisir. Et, c’est vrai, qu’on l’apprécie au passage.
- Juliet BlackthornADMIN - Baby sixtine - Little sun
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Re: It all starts in Paris (ft. Juliet) [terminé]
Dim 27 Déc 2020 - 16:28
Juliet récupère avec un sourire le petit recueil de poésie. Il est si petit qu'elle le glisse facilement dans la poche de son manteau en laine beige foncé. Elle sait déjà qu'elle pourra le feuilleter ce soir avant d'aller se coucher. Le poids dans sa poche ne la gêne pas, elle y glisse d'ailleurs aussi ses lunettes de soleil puisque le temps semble se couvrir un petit peu, rien de plus normal pour une journée d'automne bien entamé.
Elle remercie son fiancé, qu'elle considère plutôt comme un ami pour l'instant mais qu'importe, l'essentiel étant qu'elle se rend compte à quel point elle apprécie le français. Elle aurait pu être unie à un homme sans personnalité, à quelqu'un de désagréable voir de violent comme peut l'être son oncle ... il n'en est rien. Elle est promise à un homme charmant et même si elle ne tombe pas amoureuse elle pense pouvoir au moins être heureuse et en confiance avec le Leroy. Et si le reste bien plus tard... tant mieux. Ca ne sera que du bonus.
Elle écoute Maximilien lui parler du quartier. Elle admire le petit passage qui se cache entre deux vitrines et s'arrête parfois pour observer une boutique. Les pavés défilent sous leurs pieds et la Blackthorn prend le bras de son hôte pour déambuler dans la ville. La discussion est plaisante, elle rit et sourire à tour de rôle et s'imprègne de la vie parisienne qu'elle apprécie plus encore qu'elle ne l'aurait pensé. Finalement ils entrent dans une boutique. A peine rentrée, la jeune femme est enchantée par les odeurs qui lui parviennent... Elle regarde les différentes pâtisseries et s'arrête devant les macarons, à côté de Maximilien.
- Il y a des goûts amusants ! Celui-ci est au fois gras et celui là à l'anis. Et lui... au cactus ? Vraiment ?
Elle croise le regard amusé d'une vendeuse au look original elle aussi. Elle a un percing au milieu du nez et les cheveux colorés de diverses façons. Commerciale, la jeune femme leur propose de goûter celui au foie gras qui est actuellement en test et qui pourrait être davantage développé pour les fêtes. La Blackthorn la remercie et prend le quart de macaron qui lui est présenté avant que l'assiette ne soit proposée à Maximilien :
- Aller, en même temps parce que si tu fais une tête bizarre je ne vais pas savoir me lancer. Un, deux...
Juliet ne se débine pas et met à la bouche le morceau de macaron. Elle adore la texture de la friandise et sent tout de suite la touche de foie gras qui est subtilement enrobé dans un goût plutôt sucré. C'est plutôt bon, même si elle n'aime pas le foie gras plus que ça.
- C'est vraiment excellent...
Commente-t-elle après avoir avalé la bouchée. Maximilien lui propose d'en acheter pour sa famille et Juliet apprécie le geste. Avec tout ces gouts, bien que les membres de sa famille soient tous très différents, il y en aurait forcément un pour plaire à chacun.
- C'es amplement suffisant, ils apprécieront le geste. On prend aussi un assortiment pour en goûter quelques uns ? Celui à la pistache et au chocolat me donnent vraiment envie.
Elle remercie son fiancé, qu'elle considère plutôt comme un ami pour l'instant mais qu'importe, l'essentiel étant qu'elle se rend compte à quel point elle apprécie le français. Elle aurait pu être unie à un homme sans personnalité, à quelqu'un de désagréable voir de violent comme peut l'être son oncle ... il n'en est rien. Elle est promise à un homme charmant et même si elle ne tombe pas amoureuse elle pense pouvoir au moins être heureuse et en confiance avec le Leroy. Et si le reste bien plus tard... tant mieux. Ca ne sera que du bonus.
Elle écoute Maximilien lui parler du quartier. Elle admire le petit passage qui se cache entre deux vitrines et s'arrête parfois pour observer une boutique. Les pavés défilent sous leurs pieds et la Blackthorn prend le bras de son hôte pour déambuler dans la ville. La discussion est plaisante, elle rit et sourire à tour de rôle et s'imprègne de la vie parisienne qu'elle apprécie plus encore qu'elle ne l'aurait pensé. Finalement ils entrent dans une boutique. A peine rentrée, la jeune femme est enchantée par les odeurs qui lui parviennent... Elle regarde les différentes pâtisseries et s'arrête devant les macarons, à côté de Maximilien.
- Il y a des goûts amusants ! Celui-ci est au fois gras et celui là à l'anis. Et lui... au cactus ? Vraiment ?
Elle croise le regard amusé d'une vendeuse au look original elle aussi. Elle a un percing au milieu du nez et les cheveux colorés de diverses façons. Commerciale, la jeune femme leur propose de goûter celui au foie gras qui est actuellement en test et qui pourrait être davantage développé pour les fêtes. La Blackthorn la remercie et prend le quart de macaron qui lui est présenté avant que l'assiette ne soit proposée à Maximilien :
- Aller, en même temps parce que si tu fais une tête bizarre je ne vais pas savoir me lancer. Un, deux...
Juliet ne se débine pas et met à la bouche le morceau de macaron. Elle adore la texture de la friandise et sent tout de suite la touche de foie gras qui est subtilement enrobé dans un goût plutôt sucré. C'est plutôt bon, même si elle n'aime pas le foie gras plus que ça.
- C'est vraiment excellent...
Commente-t-elle après avoir avalé la bouchée. Maximilien lui propose d'en acheter pour sa famille et Juliet apprécie le geste. Avec tout ces gouts, bien que les membres de sa famille soient tous très différents, il y en aurait forcément un pour plaire à chacun.
- C'es amplement suffisant, ils apprécieront le geste. On prend aussi un assortiment pour en goûter quelques uns ? Celui à la pistache et au chocolat me donnent vraiment envie.
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