- Verena Lacroix-MullerOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 165
» miroir du riséd : Margot Robbie
» crédits : goldbloodedavatars
» multinick : Margaret, Jules et Caël
» âge : 28
» situation : Mariée à Hélios Muller
» année d'études : 9ème année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ médicomagie appliquée, sortilèges, potions.ㅡ options facultatives :▣ droit sorcier, sciences politiques magiques, arts scéniques.
» profession : .
» particularité : Occlumens
» nature du sang : Sang-pur
» gallions sous la cape : 514
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Verena Lacroix | Ad maium bonum
Ven 15 Avr 2022 - 9:17
Je suis une Grymm | pré-lien
« Je crois en la magie, je suis née et j’ai grandi à un moment magique, dans une ville magique, parmi des magiciens. La plupart des gens ne se rendaient pas compte
de la magie qui nous entoure. Mais moi je le savais. »
de la magie qui nous entoure. Mais moi je le savais. »
WIZARD CARD INFORMATIONS Derrière le vernis pourtant, rien n'est parfait. Nymphomane. Obsessionnelle compulsive. Addicte. Intransigeante. Verena a reçu une éducation stricte, tellement stricte que cela a perverti sa façon de percevoir le monde. La réussite n'est pas une possibilité, c'est une obligation. Elle ne laisse rien passer, ni pour elle, ni pour ses amis. Tout devient une obsession. Il faut qu'elle soit la meilleure. La plus belle. La plus appréciée. La plus populaire. A tout prix. Ses obsessions se remarquent, parfois. Quand elle travaille, elle dispose sa baguette et ses instruments dans un ordre bien précis. Elle ne peut pas sortir de chez elle sans se regarder plusieurs fois dans le miroir. Trois fois. Elle doit être parfaite, et sa faim de perfection n'a d'égal que son gouffre pour le reste : elle n'a jamais assez de travail, le sport ce n'est jamais assez, et le sexe encore moins. La perfection est un lourd fardeau, qu'elle porte sans jamais sourciller. Son système de valeurs est si perverti qu'elle estime toutes ces mises sous pression ou ses réussites personnelles comme les souvenirs les plus joyeux de sa jeunesse. Triste n'est-ce pas ? Possessive, elle ne supporte pas qu'on lui ravisse la première place. Elle doit être la première. Partout. . | :copyright:️ vayner ◈ margot robbie |
MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Une famille peut se dépeindre de bien des façons. Certains le font par des ragots, par des anecdotes marrantes que l’on se raconte à un dîner de famille bien arrosé. Dans ma famille, les choses sont bien différentes. Nous ne naissons pas d’un mariage d’amour, nous sommes le fruit de mariages arrangés, certes parfois l’amour ou l’amitié se développe, mais c’est une donnée accessoire, et cette leçon est l’une des premières que l’on apprend lorsque l’on est une jeune femme de bonne famille. Ma grand-mère, la Comtesse Siegliede de Lacroix, me l’a souvent dit. J’étais née dans une ancienne famille de nobles sorciers au cœur de l’Europe, dans une région montagneuse, la Suisse. Notre nom est connu et reconnu. Pour plusieurs raisons. Les Lacroix ont toujours été une famille influente, et cette influence a connu son acmé il y avait de cela un peu plus de quatre-vingt ans, quand l’Europe était différente de ce qu’elle est aujourd’hui. Ma grand-mère, à laquelle je semble ressembler comme deux gouttes d’eau, était alors une jeune sorcière accomplie, promise depuis la naissance au Comte Lacroix, elle qui était née Straussen. Mes grands-parents étaient alors jeunes, mondains, et incarnaient cette jeune génération prometteuse, suivant aveuglément un homme prodigieux, dont le talent et la grandeur ne serait jamais reconnus à leur juste valeur : Gellert Grindelwald. La demeure de ma grand-mère ressemble à ces vieux manoirs où le passé semble s’être réfugié, que cela soit par les tableaux où les dames et les messieurs portent ces tenues d’une autre époque, où le parfum mêle fleurs de lys et eau de Cologne, tout rappelant le sacre d’une gloire passée. Quand j’étais encore une petite fille, et que j’étais amenée chez ma grand-mère pour lui rendre visite, je ne cessais de me tordre le cou, à en être grondée, sur ces tableaux dont l’ancienneté me faisait rêver à des contes pour enfant. Bien rapidement, j’appris par mon tuteur l’histoire de ma famille : l’acquisition du titre de Comte à l’époque féodale par un de nos ancêtres, et les sorciers qui avaient marqué l’histoire de notre famille, jusqu’à l’implication de mes grands-parents et de leurs parents dans la noble cause que représentait alors Gellert Grindelwald. Ma grand-mère m’avait elle-même déjà montré certaines photos la représentant elle, mon défunt grand-père, et le leader puriste qu’était Grindelwald. Je savais que ma grand-mère venait d’une famille noble allemande, proche, très proche même, du cercle intime de Grindelwald. Cette proximité était telle qu’aujourd’hui encore, bien que ma famille ait été amnistiée, ma grand-mère avait interdiction totale de sortir de Suisse, sous peine d’être arrêté par les forces de l’ordre pour certains actes commis durant cette période. J’ai toujours trouvé cela terriblement triste, de voir le monde se retourner contre ceux qui s’étaient battus pour sa sauvegarde. Gellert Grindelwald était une chance pour nous tous, de sortir enfin de ce secret lourd et palpable qui nous empêchaient de nous épanouir pleinement. Et nous avons laissé passer cette chance, préférant le faire passer pour un criminel. Aujourd’hui encore, je peine à comprendre les agissements du monde des sorciers. Comme s’il se refusait à reconnaître l’ordre naturel des choses. Ce goût de l’histoire et notamment celle de ma famille, était le fruit d’une éducation stricte, je le savais, mais qu’il m’avait été nécessaire de suivre pour honorer le sang qui coulait dans mes veines.
Plus que l’amour et les étreintes de mes parents, c’était bel et bien la voix de mes tuteurs qui avaient rythmé mon enfance. Mes parents suivaient cela avec attention, mais ne démontrant aucune affection entre eux, ou en de trop rares moments, comme toujours lors des mariages arrangés, je n’étais pas choquée qu’ils ne soient pas affectueux avec moi, même si mon frère me confiera un jour que ma naissance fut l’une des rares fois où il vit un sentiment spontané sur le visage de mes parents. Je le savais, après la naissance de Kyle, ils avaient eu beaucoup de mal à m’avoir, et ce n’était que seize années plus tard, après que tout espoir avait disparu, que ma mère était finalement tombée enceinte. J’étais devenu le nouveau diamant de la famille. Mon frère ainé était déjà à l’université alors que je faisais mes premiers pas. Mes journées n’étaient pas celles d’une enfant normale : je n’allais pas à l’école publique, et je ne jouais pas avec les autres enfants de mon âge, même sorciers au sang-pur. Non, ma seule compagnie étaient mes tuteurs, et mes ours en peluche. Avec les premiers, j’appris les rudiments à connaître pour une jeune femme bien éduquée : le français, l’allemand, l’italien et l’anglais pour les langues, mais aussi l’histoire et les mathématiques. Pour les arts, je fus formée à la danse classique, ainsi qu’à la musique, et plus précisément à la flûte traversière et au clavecin. Un peu avant l’âge de dix ans, je pris mes premiers cours d’équitation, sur le dos d’une jument à la robe alezane que j’adorais, et dont la mort quelques années plus tard me fit la plus grande peine. Je n’avais pas eu une enfance malheureuse. Beaucoup diraient d’ailleurs que j’eus de la chance, mais l’affection et l’amour d’une famille présente n’était pas là. Pour autant, je n’étais pas triste. J’étais une jeune fille obéissante, docile presque. Mais aussi avec des objectifs que je savais haut, je redoublais d’effort pour satisfaire mes parents, et notamment mon père, le plus dur des deux. Peu après avoir eu onze ans, à l’aube de ma scolarité à Beauxbâtons, j’eus le droit à la visite de nombreux boutiquiers au manoir de ma grand-mère, tous étaient là pour m’apporter les articles dont j’aurais besoin pour ma scolarité. La toilette était magnifique, car au-delà de l’uniforme de soie bleue, j’avais eu d’autres tenues élégantes, faites de taffetas, de tulle, de lin, des tissus magnifiques. C’est sans doute à ce moment-là que je commençai à prendre plaisir à bien me vêtir. C’est également à cette occasion que j’acquis ma baguette, mon amie la plus fidèle, ainsi que Minerve, la chouette effraie que ma grand-mère m’offrait pour pouvoir correspondre avec elle une fois esseulée dans les montagnes pyrénéennes où se cachait l’académie de magie Beauxbâtons. La séparation fut dure, mais je savais que je reverrais mes parents à chaque vacance scolaire, comme ce fut le cas avec mon frère avant moi.
Beauxbâtons fut l’endroit où je pus m’affirmer et m’épanouir de la plus belle des façons. Après que le Gévaudan se soit manifesté, et que j’eus rejoint la maison de l’air, j’avais pleinement pris possession de cette nouvelle vie, celle d’une élève avide d’apprendre de nouvelles choses. Très rapidement, je me pris de passion pour l’histoire de la magie, comme mon frère avant moi, mais également pour les sortilèges et enchantements, ou encore les potions, qui révélaient un caractère alchimique ici à Beauxbâtons. J’aimais tant me promener avec mes amis dans les couloirs de l’école, sous ces gigantesques arches de pierre claires, ou dans les allées du jardin à la française. Nous y papotions, et quand le soleil était sorti, il n’était pas rare que nous prenions place près d’une fontaine pour réviser nos cours et faire nos devoirs. J’aimais tellement apprendre que j’avais pris le plus d’options possibles, à la fois sur la demande de mes parents, dont les attentes étaient fortes, mais aussi par goût de l’érudition. Et par ambition. Je savais que j’étais destinée à de grandes fonctions, je savais que j’en étais capable, alors je devais mettre toutes les chances de mon côté. Personne ne pouvait être meilleure que moi, je ne pouvais pas le permettre, c’était tout bonnement impossible. La compétition me galvanisait et m’exhortait à faire de mon mieux. Ce fut finalement par le sport que ce sens de la compétition avait atteint son apogée, et dès la cinquième année, j’étais entrée dans l’équipe de quidditch de ma maison. Et sur le terrain je pouvais me montrer féroce et déterminer, loin de figure d’ange que je pouvais renvoyer parfois. J’avais beaucoup d’amis et d’amies à Beauxbâtons, mon cœur était large et j’aimais passer du temps avec eux. Mais je savais aussi me montrer sous un autre jour si l’on me voulait du mal à moi ou à un proche. Je devenais alors particulièrement horrible aux dires de certains. Méconnaissable. Une vraie peste. La fin de ma scolarité à Beauxbâtons coïncida avec deux autres moments fondamentaux : les examens et la découverte de la sexualité.
Les examens de fin de cycle arrivaient à grand pas, et l’anxiété était très forte chez moi. Je devais être la meilleure. Je n’avais pas le choix. Je ne pouvais pas décevoir mes parents, eux qui comptaient tant sur moi après n’avoir pu compter sur mon frère aîné pour assurer la tradition des Lacroix. Certes, il était un érudit, comme je le serai après lui. ll avait excellé dans toutes les matières, mais il avait refusé de suivre la voie de la médicomagie, ce qui avait déçu notre père. Lui et moi étions somme toute assez différents. Il était la Lune là où j’étais le Soleil. Il avait beau avoir fait des efforts, cela ne suffisait jamais à nos parents, et ses excentricités déplaisaient tout autant. Il n’avait pas voulu suivre la voie que mon père aurait aimé pour lui, à savoir la médicomagie. Il portait des tatouages et ses tenues ne tenaient pas du classicisme. J’aimais mon frère, mais il n’avait pas eu conscience du poids que sa décharge avait représenté pour moi. Les examens m’avaient mis dans un très fort état d’anxiété. L’exigence qu’on attendait de moi depuis des années avaient donné lieu à certaines obsessions, je pouvais devenir irritable quand j’étais concentré sur un objet. Mais j’avais finalement trouvé une échappatoire : le sexe.
- Nymphomanie:
- La puberté m’avait touché comme n’importe quelle jeune fille, et j’avais très vite été une source d’intérêt pour les garçons de mon âge, et même si j’avais pu me laisser aller à quelques aventures, rien de mémorable. Mais l’anxiété avait fait naître en moi un besoin irrépressible de me soulager de toute la tension par une activité sexuelle plutôt compulsive… je n’en parlais jamais, car je savais bien que cela ne se faisait pas pour une jeune femme de bonne famille, et pourtant, dès le jour où je perdis ma virginité, un peu après l’âge de seize ans je sus que je pouvais m’en passer. Ainsi, je découvrais bientôt qu’après un match de quidditch, ou après un examen, ou même avant, le creux de mes reins me brûlait tant j’avais envie de sexe. La première fois, c’était comme si je m’étais libéré d’un poids, comme si sur l’instant toute la pression retombait et où je pouvais être moi. Ainsi, au lit, je pouvais être une vraie sauvage. Mais cela avait eu des conséquences. Un garçon avec qui j’eus plusieurs relations intimes crut bon de le raconter à ses amis, pour s’en vanter. Bien entendu, il subit mon courroux. Après une nouvelle nuit de sexe, je l’avais attaché et retiré tout souvenir de moi. Il en fut hébété pendant des jours, mais je savais que je ne serais plus embêtée. Ce désir sexuel qui m’habitait était pourtant de plus en plus fort, et même si au début je ne couchais qu’avec des sang-pur, ce désir était parfois si fort qu’il dépassait mes préjugés sur la pureté du sang. Mais jamais moins qu’un sang-mêlé. Le sexe était devenu une drogue, comme l’avaient été le sport et les études. Désormais, je devrai vivre avec ces addictions. Être addict n'est pas toujours facile. Je suis parfois comme une lionne en cage, le sexe n'est pas seulement un loisir ou un défouloir, c'est un besoin, et j'ai alors du mal à ne pas me jeter sur le premier homme plaisant à l'oeil. Et j'ai encore plus de mal si celui-ci me repousse pour une raison ou une autre. J'ai ce besoin viscéral en moi, celui d'être une Reine du Saba, une Bilquis à la peau de lait et aux cheveux pâles. Ma seule limite devait être la discrétion. Et de ne pas tomber enceinte avant le mariage.
Je devenais une femme, et l’obtention de mes diplômes haut la main, major de ma promotion, avait satisfait mes parents. Ajoutons à cela ma réussite au test du miroir, et je ne pouvais leur donner plus entière satisfaction. Ou presque. Cette tradition du miroir était propre à notre famille. Ma grand-mère, la si belle Comtesse Siegfriede de Lacroix, possédait un antique miroir entourée de boiseries dorées, dont la surface réfléchissante ensorcelée ne révélait son image qu'au sorcier représentant quelque chose dans notre monde. Disparaître de ce miroir est synonyme de disgrâce, et il vaut mieux ne pas tenter l'expérience si l'on veut rester dans les bonnes grâces de la famille. Bien entendu, enfant, nous n'avons pas notre reflet, ou alors un très faible halo, représentant la renommée de notre famille, mais pour y voir son reflet plein et entier, il faut que notre personne même soit reconnue par la communauté. Cette renommée, je l'ai acquise par les études, par ma réussite, et par ma présence aux nombreux événements mondains auxquels je participe. Mon frère aîné aussi y possède son reflet, comme chaque membre de notre famille. Kyle est reconnu pour son très grand savoir en histoire de la magie, et même s'il peut parfois passer pour un marginal par ses tenues ou son maquillage, il ne faut pas oublier qu'il reste exceptionnel, et qu'il est l'héritier de la famille. Certes, il n'a pas suivi un cursus de médicomagie comme l'aurait espéré nos parents, mais il n'en est pas moins un expert dans son domaine. Il était reconnu, tant pour son érudition, que pour son penchant pour notre noble cause. Premier fils de la famille, il avait beaucoup plus voyagé que moi pour assister à des réunions mondaines ou politiques à la gloire de Grindelwald. Je le connaissais si bien. Il était mon âme frère. Il était la Lune, astre de la Nuit, aux cheveux de jais et au regard sombre, et aux pratiques bien obscures pour qui connaît ses secrets, j'étais le Soleil, couronne de cheveux d'or autour d'un visage angélique, souriante et joviale, regard clair, mais nous partagions bien plus que le sang : l'excellence, l'érudition, le haut rang et l'amour pour la cause. Et autre point commun : les leçons d'occlumencie. Nous n'en avions jamais parlé lui et moi, mais nous avons tous deux subis les leçons brutales de notre père. Lors des premières leçons, j'en ressortais épuisée et en larmes. Mon père était le seul capable de me mettre dans un tel état d'épuisement mental et psychique. Mais il avait commencé ces leçons après mes BUSEs, et aujourd'hui, alors que j'allais partir en Ecosse, loin du manoir familial, pour l'université, il avait redoublé les leçons et c'est au prix de longues séances douloureuses que j'étais désormais capables de déjouer les attaques sans sourciller, sans perdre mon sourire, sans souffrir. Nous, les Lacroix, étions des huîtres de qualité, capables de se fermer au moindre danger.
Armée de ce premier diplôme, j’allais pouvoir entrer à l’université, comme mon frère avant moi. Mais à sa différence, je devais être l’héritière parfaite aux yeux de nos parents. Mon père le savait, et il en était fier, sa fille serait une médicomage, comme lui. Il fallait que je sois la meilleure dans ce domaine, et c’est dans ce but-là que j’ai choisi dans un premier temps de faire des stages à l’hôpital où mon paternel exerçait. J’ai très vite été passionné par le corps humain, la conception organique et physique des muscles et des os. Cette passion, je l’avais depuis mes premières semaines comme simple stagiaire à l’hôpital, quand mon père m’avait emmené dans la salle d’autopsie, et où j’avais pu observer tous ces cadavres. Cette visite, je l’avais … adoré. La vue de ces corps parfaitement immobiles, comme faits d’albâtre, la vie les ayant quittés, était une vue de perfection. La médicomagie était ma voie, celle à partir de laquelle je pourrais rendre fière ma famille. Deux années. Je fis deux années de stage en médicomagie, de quoi me donner de solides bases pour bien démarrer ma scolarité à Hungcalf dès la rentrée de septembre 2015. Je devenais une jeune femme mature, qui se démarquait de la masse. Bien entendu, en parallèle, je poursuivais les réunions, comme mon frère jadis, entre sorciers de bonne famille ayant la nostalgie des années Grindelwald… Je traçais ma route, fidèle à moi-même, me faisant de nouvelles amitiés, passant mon temps entre les cours, les options (nombreuses), le sport et mes activités annexes. Je participais aux évènements qu’organisaient les Nymphes de Hungcalf, et très vite je trouvais ici aussi la popularité qui avait été la mienne à Beauxbâtons, devenant proches des héritiers des plus grandes familles au sang-pur du monde des sorciers. Mais pas uniquement. Je savais parler avec les autres aussi, même si je savais au fond de moi quelle était leur place. Il n’y avait bien qu’avec les moldus avec lesquels j’avais du mal… Ces sous-hommes …Une éducation qui m’était rappelée sans cesse par ce camé que je portais en pendentif et qui comportait deux portraits : celui de ma grand-mère, et celui de Gellert Grindelwald… Comme mon frère, j’avais assisté à ces réunions de sorciers puristes. Et malgré ma solarité, je possédais moi aussi ma part d’ombre… Secrète et bien cachée. Nous devions penser, et agir, pour le plus grand bien. Certains auraient pensé que j'éprouvais une relation très ambigue avec Grindelwald, que je percevais comme un mentor. D'autres diraient que la puissance de mon admiration pour lui pourrait être perçue comme de l'amour obsessionnel et aveugle. Semblable à ce que l'on peut éprouver pour son père, son référent. Et en soi, je vénérais son père comme Gellert Grindelwald. Jusqu'à l'obsession... Jamais un homme ne pourrait être aussi bien qu'eux.
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- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Ven 15 Avr 2022 - 9:43
TEAM GRYYYYYYYYYYYYYYYYYYYMM YEAAAAAAAAAAAAAAAH on t'attend dans l'équipe pour finir cette saison en beauté hein
Rebienvenue sous cette magnifique forme féminine on aura forcément un lien avec Max ET Octave need it Hâte de voir la dame en action !
Rebienvenue sous cette magnifique forme féminine on aura forcément un lien avec Max ET Octave need it Hâte de voir la dame en action !
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
- InvitéInvité
Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Ven 15 Avr 2022 - 9:51
Bienvenue. Je ne pouvais pas ne pas venir te le dire
Je n'ai pas le temps de lire ta fiche maintenant mais je prendrais j'en suis sûr beaucoup de plaisir à la lire tantot.
Je n'ai pas le temps de lire ta fiche maintenant mais je prendrais j'en suis sûr beaucoup de plaisir à la lire tantot.
- InvitéInvité
Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Ven 15 Avr 2022 - 10:45
Re-bienvenue avec cette perso dont j'avais déjà un peu entendu parler
J'aurai surement quelques liens à te proposer mais tu connais déjà toutes mes têtes alors tu devais t'en douter.
J'aurai surement quelques liens à te proposer mais tu connais déjà toutes mes têtes alors tu devais t'en douter.
- Miguel PajaresADMIN - I'm sexy and my dragon ate my homework !
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Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Ven 15 Avr 2022 - 10:48
Re-bienvenue
GO SHOOTERS, GO !
- InvitéInvité
Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Ven 15 Avr 2022 - 17:20
Have fun avec ce très joli bébé
- InvitéInvité
Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Lun 18 Avr 2022 - 13:33
Re bienvenue, j'aime beaucoup ta FC !
- InvitéInvité
Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Lun 18 Avr 2022 - 18:56
C'est ma siiiiiiistaaaaa !!!!!!
Héhé !! Rewelcome !
Héhé !! Rewelcome !
- Verena Lacroix-MullerOldieㄨ experimented wizard
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Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Mar 19 Avr 2022 - 11:34
@Maximilien Leroy Merci toi ne t'inquiète pas, j'arrive dans l'équipe pour fêter la victoire comme il se doit ! Et je t'attends pour un lien avec Max ET Octave ^^ la dame en action devrait te plaire je pense
@Kumiko Wakumi J'espère que ta lecture te satisfait
@Fiona Colquhoun Je connais en effet tes têtes, alors je suis sûr que l'on pourra trouver des liens intéressants
@Miguel Pajares Merci mon beau Miguel
@Niamh Walsh Tu sais que Verena ne va pas trop t'aimer ? mais enjoy :tong:
@Maciya Mane Merci !
@Luka Agreste Merci beaucoup ! J'adore tellement Margot Robbie que j'avais hâte de la jouer (même si certaines ont essayé de me fourvoyer avec André, n'est-ce pas @Maximilien Leroy ?)
@Vitalya Ivanenka Merci !!!
@Kyle Lacroix Mon frère adoré !!! Ta petite soeur aura besoin de toi on va en faire des choses ensemble, qu'ils tremblent ! Et moi j'aurais besoin de ta validation avant de demander la validation par le staff. Ha et j'ai une question, je te la pose en privé.
@Kumiko Wakumi J'espère que ta lecture te satisfait
@Fiona Colquhoun Je connais en effet tes têtes, alors je suis sûr que l'on pourra trouver des liens intéressants
@Miguel Pajares Merci mon beau Miguel
@Niamh Walsh Tu sais que Verena ne va pas trop t'aimer ? mais enjoy :tong:
@Maciya Mane Merci !
@Luka Agreste Merci beaucoup ! J'adore tellement Margot Robbie que j'avais hâte de la jouer (même si certaines ont essayé de me fourvoyer avec André, n'est-ce pas @Maximilien Leroy ?)
@Vitalya Ivanenka Merci !!!
@Kyle Lacroix Mon frère adoré !!! Ta petite soeur aura besoin de toi on va en faire des choses ensemble, qu'ils tremblent ! Et moi j'aurais besoin de ta validation avant de demander la validation par le staff. Ha et j'ai une question, je te la pose en privé.
- InvitéInvité
Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Mer 20 Avr 2022 - 14:59
Re-bienvenue avec la belle Margot
- InvitéInvité
Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Mer 20 Avr 2022 - 18:37
Rebienvenue par ici avec cette reine des glaces ! On en manque beaucoup sur le forum en ce moment
Amuse-toi bien avec ta nouvelle tête
Amuse-toi bien avec ta nouvelle tête
- InvitéInvité
Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Ven 22 Avr 2022 - 18:17
@Verena Lacroix a écrit:@Kyle Lacroix Mon frère adoré !!! Ta petite soeur aura besoin de toi on va en faire des choses ensemble, qu'ils tremblent ! Et moi j'aurais besoin de ta validation avant de demander la validation par le staff. Ha et j'ai une question, je te la pose en privé.
Pour moi, c'est tout bon ma biche !!! :tong:
- InvitéInvité
Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Sam 23 Avr 2022 - 16:36
Re-Bienvenu a toi !
Margot Robbie....
Bon courage pour la rédac' de ta fiche !
Margot Robbie....
Bon courage pour la rédac' de ta fiche !
- Verena Lacroix-MullerOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 165
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Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Lun 25 Avr 2022 - 20:43
Suite et fin de l'histoire de Verena
@Verena Lacroix a écrit:MY STORY IS NOT LIKE THE OTHERS
Ce n'est pas pour rien que j'avais choisi la médicomagie. Les stages que j'ai pu faire avec mon père à l'hôpital Ste-Mangouste m'avaient passionné. J'avais surtout adoré passer du temps dans la morgue.
- Scènes macabres:
Observer, pendant des heures, ces cadavres. Regarder le médecin légiste découper, trancher, comme un artiste, ces corps à la peau froide et blanche, c'était fascinant. J'en étais hypnotisée. J'aimais particulièrement ce moment où le médicomage légiste prenait sa baguette pour trancher le thorax en forme de Y, puis décoller la peau des côtes, des muscles abdominaux, découvrir l'intérieur de ce qu'un sorcier pouvait avoir en lui. Ces muscles, ces organes, qui jadis vivaient, et qui aujourd'hui ressemblaient à de la pierre. Deuxième élément de fascination : le musée des horreurs. C'est comme cela que les internes appelaient la réserve où l'on conservait les organes malformés par des potions ou des sortilèges dans des bocaux verdâtres. Il y avait même quelques bocaux contenant des embryons d'hybride. Fascinant. Tout ce que la nature pouvait faire de pire. J'avais adoré trancher pour la première fois la peau d'un de ces cadavres. La médicomagie, ce n'était pas que la vie. C'était également la mort. Et la mort me plaisait beaucoup. Beaucoup trop peut-être ?
Aujourd'hui, je suis résidente à l'hôpital Ste-Mangouste, à Londres, c'est plus simple de travailler dans le même hôpital que mon père. Je suis désormais résidente en pathologies des sortilèges, avec une spécialité en médicomagie légale. J'identifie les pathologies de sortilèges, et j'examine les cadavres. La médicomagie légale s'étend sur trois domaines, la médicomagie légale du vivant, thanatologique et l'expertise légale. Mon point fort : l'expertise, identifier telle blessure, telle plaie, en deviner l'origine, sortilège, potions ou morsure animale et y voir les conséquences générales quand le sorcier est encore vivant, ou les conclusions légales quand il est mort. Ce domaine prédilection m'a amené au sujet suivant pour ma thèse : Faire parler le corps violenté : l'incidence traumatologique des sortilèges offensifs.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
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» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
» particularité : occlumens
» nature du sang : sang-pur
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Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Mer 27 Avr 2022 - 19:45
ta nouvelle et grande famille
★ Hey, tu l'as fait ! Ta fiche est terminée et les portes vers les délices du rp s'ouvrent à toi, bravo ! Toute l'équipe du staff te souhaite officiellement la bienvenue et espère que tu t'amuseras bien parmi nous ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un mp ou bien crier à l'aide sur la CB, les
★ Afin de te guider au mieux dans cette nouvelle aventure, voici le guide du nouveau joueur ou tu trouveras toutes les informations nécessaires à ton intégration ! Métier, chambre à l'université, quidditch, ou bien refaire un tour dans les annexes... Ne t'inquiètes de rien, tout y est expliqué !
★ Que tu sois professeur.e ou étudiant.e, nous t'invitons également à faire un tour dans le guide du professeur, qui te donnera toutes les informations nécessaires sur le fonctionnement des cours de l'université ! Bon jeu parmi nous et à bientôt, en rp!
edit foireux pardon **
MULLER LIKE ME
I don't need a man to make me feel good, I get off doin' my thing
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
I don't need a ring around my finger, to make me feel complete.
- pride:
- InvitéInvité
Re: Verena Lacroix | Ad maium bonum
Dim 1 Mai 2022 - 12:25
Message de Mme Référentiels
Verena, je t'informe que tu es bien référencé(e) ici. Le référentiel de Hungcalf peut être utile pour savoir qui est du même sang que toi, qui vient de quelle école, ou encore qui suit les mêmes cours que toi ! Le référentiel amoureux, lui, te permet de savoir qui est de la même orientation que toi, et quels sont les ships du moment Tout cela est rempli manuellement donc n'hésite pas à me contacter en cas d'oubli, d'erreur ou de modification à faire.
Amuse toi bien sur le forum
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