- Peter DrummondOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 1701
» miroir du riséd : Ezra Miller
» crédits : © avatar: the-curious-corvidae - strange-hell - unknown ; id-gifs: brasillovers - BryceH - rdhoods - ; signature-code: magma ; signature-gifs: keiynan-lonsdale - soletear; signature-text: calum scott 'you are the reason'
» multinick : isabelle d'essenault (la bg)
» âge : 27 yo (12.09.1996)
» situation : en couple
» année d'études : 9ème année
» options obligatoires & facultatives :
ㅡ options obligatoires :
▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.
ㅡ options facultatives :
▣ Métamorphose, Sortilèges et Littérature Magique.
ㅡ objet de thèse :
▣ Fruit de l'hybridation : sa reproduction magique en laboratoire et la réattribution de ses particularités dans le domaine cosmétique.
Mes blases :
▣ Rends-nousvisite!
» profession : employé chez Becs et museaux (animalerie)
» particularité : semi-vélane
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 1475
Inventaire Sorcier
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[Party du Nouvel An] skunk drunk (ft. Cataleya)
Dim 19 Fév 2023 - 11:51
┗ February Showers ┛
ஃ There goes my heart beating, cause you are the reason I'm losing my sleep. If I could turn back the clock, I'd spend every hour of every day keeping you safe. I'd climb every moutain just to be with you. (c) C. Scott ஃ
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
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Re: [Party du Nouvel An] skunk drunk (ft. Cataleya)
Mar 28 Fév 2023 - 17:41
En tout point radieuse après avoir soufflé une nouvelle fois à l’oreille de Peter que @Dalia Colacino était forcément la femme de sa vie parce que, duh, elles formeraient le couple féminin le plus sexy de tout les environs (Parce que Peter lui arguerait évidemment que c’était lui et Max, et elle ne pourrait pas lui donner tord), Cataleya s’avachit lourdement sur les épaules du Wright. Signe évident, en plus de son obsession à danser avec tous ceux qui croisaient ses grands yeux bleus, que le verre de trop avait été avalé cul sec il y avait de cela plusieurs heures déjà, et sous l’impulsion d’un éniem pari stupide qui plus est.
Au moins avait-elle jeté son entier dévolu sur Peter et non pas Maximilien, mais seulement parce que l’écossais portrait des diamants et qu’elle se plaisait à imiter son accent lorsque celui-ci s’accentuait davantage. Du moins, c’est ce qu’elle avait chouiné à @James Blackthorn lorsque, perché sur ses genoux à la manière d’un chat sauvage, l’étudiant en science occulte lui avait offert sa main.
Pleinement capricieuse, c’était les joues un peu gonflé et le regard farouche qu’elle avait emboîté le pas du Wright après quelques secondes à peine, arguant qu’elle ne voulait pas sans pourtant parvenir à garder ses fesses savamment posé sur les genoux de son blond. Non, elle n’avait décidément pas été bien difficile à convaincre car la perspective d’une danse seule lui avait suffit. Merlin seul savait, pourtant, ô combien James devait désormais le regretter tant ces deux démons couraient à la catastrophe depuis qu’ils avaient liés leurs mains.
Si l’alcool désinhibait grandement la Blackthorn et la ramenait à ces jours insouciant où, malicieuse et téméraire, elle filait sur la pointe des pieds pour rejoindre Juliet et Eleanor et ainsi faire fit du couché, force était d’admettre que Cataleya Quarta Blackthorn avait gagné en assurance et en caractère. Pas qu’elle en ait eu manqué dans ses jeunes années tant on la disait pleine de caprice et d’impériosité mais, à la voir se rire de tout, fière et désinvolte, il ne faisait aucun doute que la si tendre Quarta s’était différemment forgée sous le marteau parental. Alors, enhardie sur le regard de Peter et l’alcool, Cataleya se sentait l’âme conquérante. Toute puissante ainsi pendu au cou de son cousin, et définitivement difficile à suivre.
C’est pleinement fière qu’elle avait soudainement plaquée ses mains sur la table de leur groupe, arguant qu’elle avait enfin trouvé sa voie et que, fuck les études de médecine, elle chanterai dans un groupe de rock pirate. Et c’est presque autant déterminée qu’elle était revenue vingt minutes plus tard pour proposer un after urbex dans un manoir complètement délabré. Sans grande surprise, personne n’avait voulu suivre, et c’était tout d’abord franchement vexée, puis clairement surexcitée qu’elle avait retrouvé Peter puisque Wyatt la délaisser odieusement pour ce qui se dessinait comme un charmant compagnon de nuitée. Meh.
A défaut de pouvoir se pendre au cou de l’espagnol en lui soufflant qu’elle étouffait tant elle avait chaud, ou à celui de @James Blackthorn parce qu’il avait commit l’affront de partir au toilette lorsqu’elle était parvenu à discrètement retirer ses collants, Cataleya avait finit par les fourrer dans la poche de cette si charmante veste qui avait fini sur les épaules de @Maximilien Leroy . Autant pour le voir rougir ou se décomposer lorsqu’il chercherait machinalement un mouchoir, que parce qu’elle savait que ses précieux collants ne seraient définitivement pas bien loin.
Mmh ? Arrachant son regard aux doux reflets que prenait son verre vide sous les lumières artificielles, Cataleya suivi le regard de l’écossais et fronça quelque peu les sourcils. Elle peinait encore à comprendre comment Peter et le français pouvaient former un couple aussi amoureux et solide en dépit de leurs différences flagrantes. Certes, Maximilien avait de beaux abdos mais la tentation de siffler que ceux de @Miguel Pajares étaient clairement plus impressionnant fut grande. Maximilien était canon, oui, et reprenait tout les points du parfait prince charmant, mais sa perfection évidente agaçait parfois la rouquine. Une perfection lisse, plate, un peu ennuyante. Quoi qu’il était vrai qu’il avait un sacré beau cul, Peter marquait un point. La moue se forge pourtant, autant parce qu’elle aimerait souffler au Wright qu’il aurait pu mériter quelqu’un de plus fun, au risque de se manger une claque derrière le crâne, que parce qu’elle avait désespérément voulu une flopée de neveux et nièces issue du mariage de Juliet et Maximilien. Sa presque soeur aurait été entre de bonne main, leurs enfants bénits des dieux, mais Cataleya n’était pas dupes. Aucun d’eux n’auraient été réellement épanouis.
Maximilien rayonnait toujours en présence de cet écossais qui le reluquait sans grande discrétion, et il n’y avait pas à dire. Qu'importe si ça contrariait encore un peu la Blackthorn, c’était définitivement magnifique. Au final, et quand bien même elle aimait arguer que non, définitivement, elle ne pouvait pas comprendre cette attraction, il était assez aisé de deviner pourquoi Peter s’était tant entiché de Mr parfait.
Alors, accoudée au bar, une moue un peu contrite sur les lèvres, Cataleya le contemple longuement. Maximilien était profondément doux et gentil. Le genre d’homme qui prouvait par sa seule existence que le monde n’était pas totalement pourri. Il n’était pas plat et dénué d'intérêt, loin de là, mais c’était toujours plus facile de le dénigrer plutôt que réaliser que ce qui agaçait véritablement la rousse c’est qu’il incarnait parfaitement ce qu’elle ne serait jamais. C’était infiniment plus simple de plaquer sur son visage l’image d’un prince charmant plat plutôt qu’admettre qu’elle le jalousait un peu, lui et toute la beauté qu’il apportait au monde.. Qui sait, si Cataleya s’était faite aussi douce, belle, ouverte d’esprit et bienveillante, peut-être que James n’aurait pas eu à la tromper. Après tout, n’était-ce pas ce qu’il cherchait en collant d’aussi près son meilleur ami ?
L’odeur de l’amortensia la détourne subitement du trouble qui la ronge et le sourire prime sur la peur de ne définitivement pas être suffisante. Elle n’a pas envie de réfléchir à tout ça, pas ce soir, et préfère une fois encore tromper son chaos avec l’alcool plutôt qu'à affronter ce qui la pousse à boire plus que de raison cette nuit.
-”Watch out !” Trop tard, l’enthousiasme de Peter venait de frapper la robe d’une inconnue qui lui faisait les yeux doux depuis trois bonne minutes déjà, et si Cataleya devina sans peine qu’utiliser sa baguette était la pire décision à prendre en dépit des brumes éthylique qui berçait ses neurones, son appétit pour le chaos lui souffla de ne dire mot. Le rire tient plus de la hyène que du gracieux lorsqu’elle croise l’expression du Wright, si bien que lorsqu’il tente de réparer son erreur en cédant son veston, la Blackthorn peine à reprendre son souffle. Ses joues lui font décidément trop mal
-”You're a bad influence, Pete” parvient-elle à souffler lorsqu’elle le rire se fait plus doux. Si le regard pétille et que le ton se veut étonnamment affectueux, elle le pense un peu car à l’instar de Wyatt, Peter l’arrache un peu plus aux sentiers si parfaitement tracés par papa /maman. Elle aimerait souffler qu’elle déteste ça, mais la vérité est que cela lui fait un bien fou. D’un geste tranquille, la rouquine se saisit de leurs boissons et s'éloigne un peu du bar pour fuir la nuée étouffante qui pèse autour d’eux.
-”Why does everyone feel compelled to order at the same time ? That crazy. ”
Elle juge profondément et s’indigne presque lorsqu’elle voit l’attroupement se dissiper dès lors que Peter daigne enfin la suivre. Les sourcils se froncent franchement pour dissuader les deux filles qui s'apprêtaient à agripper son cousin, et c’est après une réflexion vraisemblablement intense que Cataleya conclue, dans un ton digne d’une inspectrice de mauvais film ; “It's because you're shirt off ! “ Elle décomposerait bien sa robe digne d’une princesse pour partager le tissu mais savait James capable de traverser la pièce en trois secondes pour lui interdire. Ce à quoi elle répondrait certainement qu’il était profondément injuste que les hommes ait le droit de se balader torse nu mais que la poitrine féminine était au mieux sexualisée, au pire diabolisée. Un scandale si vous voulez son avis ! Alors, pour seule conclusion, les épaules se haussent.
Au moins avait-elle jeté son entier dévolu sur Peter et non pas Maximilien, mais seulement parce que l’écossais portrait des diamants et qu’elle se plaisait à imiter son accent lorsque celui-ci s’accentuait davantage. Du moins, c’est ce qu’elle avait chouiné à @James Blackthorn lorsque, perché sur ses genoux à la manière d’un chat sauvage, l’étudiant en science occulte lui avait offert sa main.
Pleinement capricieuse, c’était les joues un peu gonflé et le regard farouche qu’elle avait emboîté le pas du Wright après quelques secondes à peine, arguant qu’elle ne voulait pas sans pourtant parvenir à garder ses fesses savamment posé sur les genoux de son blond. Non, elle n’avait décidément pas été bien difficile à convaincre car la perspective d’une danse seule lui avait suffit. Merlin seul savait, pourtant, ô combien James devait désormais le regretter tant ces deux démons couraient à la catastrophe depuis qu’ils avaient liés leurs mains.
Si l’alcool désinhibait grandement la Blackthorn et la ramenait à ces jours insouciant où, malicieuse et téméraire, elle filait sur la pointe des pieds pour rejoindre Juliet et Eleanor et ainsi faire fit du couché, force était d’admettre que Cataleya Quarta Blackthorn avait gagné en assurance et en caractère. Pas qu’elle en ait eu manqué dans ses jeunes années tant on la disait pleine de caprice et d’impériosité mais, à la voir se rire de tout, fière et désinvolte, il ne faisait aucun doute que la si tendre Quarta s’était différemment forgée sous le marteau parental. Alors, enhardie sur le regard de Peter et l’alcool, Cataleya se sentait l’âme conquérante. Toute puissante ainsi pendu au cou de son cousin, et définitivement difficile à suivre.
C’est pleinement fière qu’elle avait soudainement plaquée ses mains sur la table de leur groupe, arguant qu’elle avait enfin trouvé sa voie et que, fuck les études de médecine, elle chanterai dans un groupe de rock pirate. Et c’est presque autant déterminée qu’elle était revenue vingt minutes plus tard pour proposer un after urbex dans un manoir complètement délabré. Sans grande surprise, personne n’avait voulu suivre, et c’était tout d’abord franchement vexée, puis clairement surexcitée qu’elle avait retrouvé Peter puisque Wyatt la délaisser odieusement pour ce qui se dessinait comme un charmant compagnon de nuitée. Meh.
A défaut de pouvoir se pendre au cou de l’espagnol en lui soufflant qu’elle étouffait tant elle avait chaud, ou à celui de @James Blackthorn parce qu’il avait commit l’affront de partir au toilette lorsqu’elle était parvenu à discrètement retirer ses collants, Cataleya avait finit par les fourrer dans la poche de cette si charmante veste qui avait fini sur les épaules de @Maximilien Leroy . Autant pour le voir rougir ou se décomposer lorsqu’il chercherait machinalement un mouchoir, que parce qu’elle savait que ses précieux collants ne seraient définitivement pas bien loin.
“Isnae he th' hottest laddie ye'v ever seen? Sorching het!”
Mmh ? Arrachant son regard aux doux reflets que prenait son verre vide sous les lumières artificielles, Cataleya suivi le regard de l’écossais et fronça quelque peu les sourcils. Elle peinait encore à comprendre comment Peter et le français pouvaient former un couple aussi amoureux et solide en dépit de leurs différences flagrantes. Certes, Maximilien avait de beaux abdos mais la tentation de siffler que ceux de @Miguel Pajares étaient clairement plus impressionnant fut grande. Maximilien était canon, oui, et reprenait tout les points du parfait prince charmant, mais sa perfection évidente agaçait parfois la rouquine. Une perfection lisse, plate, un peu ennuyante. Quoi qu’il était vrai qu’il avait un sacré beau cul, Peter marquait un point. La moue se forge pourtant, autant parce qu’elle aimerait souffler au Wright qu’il aurait pu mériter quelqu’un de plus fun, au risque de se manger une claque derrière le crâne, que parce qu’elle avait désespérément voulu une flopée de neveux et nièces issue du mariage de Juliet et Maximilien. Sa presque soeur aurait été entre de bonne main, leurs enfants bénits des dieux, mais Cataleya n’était pas dupes. Aucun d’eux n’auraient été réellement épanouis.
Maximilien rayonnait toujours en présence de cet écossais qui le reluquait sans grande discrétion, et il n’y avait pas à dire. Qu'importe si ça contrariait encore un peu la Blackthorn, c’était définitivement magnifique. Au final, et quand bien même elle aimait arguer que non, définitivement, elle ne pouvait pas comprendre cette attraction, il était assez aisé de deviner pourquoi Peter s’était tant entiché de Mr parfait.
Alors, accoudée au bar, une moue un peu contrite sur les lèvres, Cataleya le contemple longuement. Maximilien était profondément doux et gentil. Le genre d’homme qui prouvait par sa seule existence que le monde n’était pas totalement pourri. Il n’était pas plat et dénué d'intérêt, loin de là, mais c’était toujours plus facile de le dénigrer plutôt que réaliser que ce qui agaçait véritablement la rousse c’est qu’il incarnait parfaitement ce qu’elle ne serait jamais. C’était infiniment plus simple de plaquer sur son visage l’image d’un prince charmant plat plutôt qu’admettre qu’elle le jalousait un peu, lui et toute la beauté qu’il apportait au monde.. Qui sait, si Cataleya s’était faite aussi douce, belle, ouverte d’esprit et bienveillante, peut-être que James n’aurait pas eu à la tromper. Après tout, n’était-ce pas ce qu’il cherchait en collant d’aussi près son meilleur ami ?
L’odeur de l’amortensia la détourne subitement du trouble qui la ronge et le sourire prime sur la peur de ne définitivement pas être suffisante. Elle n’a pas envie de réfléchir à tout ça, pas ce soir, et préfère une fois encore tromper son chaos avec l’alcool plutôt qu'à affronter ce qui la pousse à boire plus que de raison cette nuit.
-”Watch out !” Trop tard, l’enthousiasme de Peter venait de frapper la robe d’une inconnue qui lui faisait les yeux doux depuis trois bonne minutes déjà, et si Cataleya devina sans peine qu’utiliser sa baguette était la pire décision à prendre en dépit des brumes éthylique qui berçait ses neurones, son appétit pour le chaos lui souffla de ne dire mot. Le rire tient plus de la hyène que du gracieux lorsqu’elle croise l’expression du Wright, si bien que lorsqu’il tente de réparer son erreur en cédant son veston, la Blackthorn peine à reprendre son souffle. Ses joues lui font décidément trop mal
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-”Why does everyone feel compelled to order at the same time ? That crazy. ”
Elle juge profondément et s’indigne presque lorsqu’elle voit l’attroupement se dissiper dès lors que Peter daigne enfin la suivre. Les sourcils se froncent franchement pour dissuader les deux filles qui s'apprêtaient à agripper son cousin, et c’est après une réflexion vraisemblablement intense que Cataleya conclue, dans un ton digne d’une inspectrice de mauvais film ; “It's because you're shirt off ! “ Elle décomposerait bien sa robe digne d’une princesse pour partager le tissu mais savait James capable de traverser la pièce en trois secondes pour lui interdire. Ce à quoi elle répondrait certainement qu’il était profondément injuste que les hommes ait le droit de se balader torse nu mais que la poitrine féminine était au mieux sexualisée, au pire diabolisée. Un scandale si vous voulez son avis ! Alors, pour seule conclusion, les épaules se haussent.
- Peter DrummondOldieㄨ experimented wizard
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» multinick : isabelle d'essenault (la bg)
» âge : 27 yo (12.09.1996)
» situation : en couple
» année d'études : 9ème année
» options obligatoires & facultatives :
ㅡ options obligatoires :
▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.
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▣ Métamorphose, Sortilèges et Littérature Magique.
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Mes blases :
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Re: [Party du Nouvel An] skunk drunk (ft. Cataleya)
Jeu 17 Aoû 2023 - 16:06
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Re: [Party du Nouvel An] skunk drunk (ft. Cataleya)
Jeu 17 Aoû 2023 - 18:22
Relevant le menton si haut que ça frisait le ridicule, Cataleya harponne un à un du regards les dernier hardis souhaitant approcher Peter, comme le parfait petit chien de garde qu'elle était. Il faut dire qu'elle s'était convaincue d'avoir abattu une main ferme et décidée sur l'épaule de James pour lui promettre que son cousin, avec elle, était en sécurité. Peut être que keeper alignés avaient, au final, drastiquement augmenté la confiance qu'elle plaçait en son charisme et ses airs de peste, au point d'en oublier que haut perchée sur ses talons, c'est elle qui lamentablement se ramassait sur l'épaule du Wright. Néanmoins, et alors que le duel de regard qu'elle avait lancé au porteur d'un immonde vestons faisait silencieusement rage, c'est avec la vivacité d'un écureuil sous caféine que la Blackthorn se laissa de nouveau happer par les mots de son cousin. « thay can’t hulp it ». L'expression toute théâtrale de l'écossais pousse au mimétisme la plus jeune qui, à son tour et dans une inspiration toute dramatique, plaque ses deux mains sur ses lèvres avec enthousiasme. Quoi que ces quelques mots étrangement jetés tournent encore dans son esprit bercé de brume éthylique. Aurais tu un secret, Peter ? Une singulière malice file à toute vitesse dans le bleu regard de Cataleya mais déjà Peter change de sujet, ou du moins la perd dans des exemples duquel elle décroche un instant, cherchant longuement @Miguel Pajares du regard sans le trouver. Le sourire s'effondre un peu mais l'expression finit par rapidement tenir du caprice puisqu'il n'était pas venu déposer sur sa joue avide de douceur un baiser de nouvelle année. Et ce constat -Aussi terribles étaient Scylla et Charybde- éveilla chez la sorcière des allures de mauvaise tragédienne puisque, dramatiquement, elle finit par s'écrouler tout contre un Peter au sol. La réception est maladroite, le verre sauf, et c'est un peu plus délicate que la jeune femme cale sa tête tout prêt de l'épaule du rouge.
Ces étoiles ne sont pas aussi belle que les Perséides d’août songe la rousse un instant, peut être parce qu'elle les observait toujours sur le pont d'un voilier en discutant magie avec @Alexander McCandless . Peut être parce que ce parquet-ci était collant et qu'ils n'avaient pas les vagues pour les bercer. Et puis la chaleur du cochon à plume n'était pas aussi agréable que celle des nuits d'été ; elle était étouffante, chargée d'alcool et de transpiration, et s'il n'y avait plus grand monde, la contre-plongée soulignait la disgrâce de visages essoufflés par leur soirée. Et ça, c'était définitivement laid. Elle ne fait pourtant pas exception miss Blackthorn puisque ses cheveux les plus court ondulent furieusement et en tout sens sous la chaleur environnante. Le visage est rougit, les joues douloureuse tant elle avait sourit et, à en croire cet index qui pokait inlassablement son ventre contracté, le rire avait forgé les abdos et ceux-ci ne supporterait plus aucun autre effort. Pourtant, ainsi couché, l'adrénaline consent à redescendre. Les doigts tentent pourtant encore un peu d'accrocher la douce clarté des astres mais, résignés, le bras retombe mollement sur Peter.
« Uuuuh. I'm drunk... » Elle voudrait s'en indigner mais, quelque part, n'était-ce pas ce après quoi elle avait couru toute la soirée ? Anesthésier un peu le coeur pour supporter la défaite cuisante que lui imposait la mine défaite de James ? Pas étonnant qu'elle se soit shootée à la confiance et à l'amour ; jamais elle n'avait autant ressentit leurs besoins. « Pete...? »
Laborieusement l'épine noire se retourne sur le ventre et pose son verre un peu plus loin pour ne pas craindre de le renverser, terriblement consciente de l'imprécision de ses gestes. Les bras se croisent sur les diamants de l'écossais, menton affalé sur sa peau laiteuse et constellée de rousseur et, enfin la moue se pince pour réprimer tout les doutes venu subitement l'assaillir.
« What do you do when you're heartbroken ? » Ca tombe étrangement, à peine osé, et si le regard coule lentement vers un James qu'elle ne sent pas franchement à l'aise -peut être plus parce qu'elle était étalée à la manière d'un phoque sur sa banquise, il est vrai-, force est d'admettre que la vision arrache à la médicomage un soupire amer. « I don't know how to fix this silly thing... And it's huuuuurt » Si la confidence tenait presque du murmure, force est d'admettre que l'égo s'est subitement éveillé puisque, tragiquement, Cataleya vient à mourir sur le torse de l'écossais. Avant de se laisser rouler sur le côté pour simuler de nouveau la Mort et le Désespoir.
Ne t'inquiète pas @Peter Drummond, c'est toujours un plaisir de te lire
Ces étoiles ne sont pas aussi belle que les Perséides d’août songe la rousse un instant, peut être parce qu'elle les observait toujours sur le pont d'un voilier en discutant magie avec @Alexander McCandless . Peut être parce que ce parquet-ci était collant et qu'ils n'avaient pas les vagues pour les bercer. Et puis la chaleur du cochon à plume n'était pas aussi agréable que celle des nuits d'été ; elle était étouffante, chargée d'alcool et de transpiration, et s'il n'y avait plus grand monde, la contre-plongée soulignait la disgrâce de visages essoufflés par leur soirée. Et ça, c'était définitivement laid. Elle ne fait pourtant pas exception miss Blackthorn puisque ses cheveux les plus court ondulent furieusement et en tout sens sous la chaleur environnante. Le visage est rougit, les joues douloureuse tant elle avait sourit et, à en croire cet index qui pokait inlassablement son ventre contracté, le rire avait forgé les abdos et ceux-ci ne supporterait plus aucun autre effort. Pourtant, ainsi couché, l'adrénaline consent à redescendre. Les doigts tentent pourtant encore un peu d'accrocher la douce clarté des astres mais, résignés, le bras retombe mollement sur Peter.
« Uuuuh. I'm drunk... » Elle voudrait s'en indigner mais, quelque part, n'était-ce pas ce après quoi elle avait couru toute la soirée ? Anesthésier un peu le coeur pour supporter la défaite cuisante que lui imposait la mine défaite de James ? Pas étonnant qu'elle se soit shootée à la confiance et à l'amour ; jamais elle n'avait autant ressentit leurs besoins. « Pete...? »
Laborieusement l'épine noire se retourne sur le ventre et pose son verre un peu plus loin pour ne pas craindre de le renverser, terriblement consciente de l'imprécision de ses gestes. Les bras se croisent sur les diamants de l'écossais, menton affalé sur sa peau laiteuse et constellée de rousseur et, enfin la moue se pince pour réprimer tout les doutes venu subitement l'assaillir.
« What do you do when you're heartbroken ? » Ca tombe étrangement, à peine osé, et si le regard coule lentement vers un James qu'elle ne sent pas franchement à l'aise -peut être plus parce qu'elle était étalée à la manière d'un phoque sur sa banquise, il est vrai-, force est d'admettre que la vision arrache à la médicomage un soupire amer. « I don't know how to fix this silly thing... And it's huuuuurt » Si la confidence tenait presque du murmure, force est d'admettre que l'égo s'est subitement éveillé puisque, tragiquement, Cataleya vient à mourir sur le torse de l'écossais. Avant de se laisser rouler sur le côté pour simuler de nouveau la Mort et le Désespoir.
Ne t'inquiète pas @Peter Drummond, c'est toujours un plaisir de te lire
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