- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8273
» miroir du riséd : francisco lachowski
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» année d'études : 10ème année
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» particularité : animagus
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Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Sam 30 Déc 2023 - 17:21
10 janvier 2024 - 14h38
Maximilien fait tourner sa baguette entre ses doigts comme on le ferait d’un stylo, attendant patiemment que son partenaire de TD arrive. Il regarde depuis cinq minutes les spécificités théoriques du sortilège imposé par le professeur King et il se demande sincèrement pourquoi cet homme fait une telle obsession sur les cheveux… ou l’apparence en général, plutôt, vu que c’est ce dont il s’agit. Il tapote du doigt sur la table à un rythme régulier ce qui, s’il s’écoutait, lui mettrait les nerfs à vif. Le premier TD de l’année n’est pas le moment où les élèves sont le plus concentrés et avec sa thèse dans quelques semaines à peine, le Français est désespéré de devoir se concentrer sur un sort aussi bête, dont il ne veut même pas se servir. Peut-être un jour, par nécessité… ou pour Halloween peut-être ? C’est vrai qu’ils en ont déjà fait l’usage de cette façon.
Du coin de l’œil, il repère l’arrivée nonchalante de Lewis qui le fait doucement sourire. Des amis, il n’en a pas tant en fin de compte et beaucoup ne résistent pas à la présence de Peter, lui accordant alors toute leur attention. La faute à ce maudit charme dont il a lui-même été victime. Dont il l’est encore, quand il force un peu les choses. Ce n’est pas qu’il en veuille au Drummond pour ça, il n’y est pour rien et c’est un fait bien ancré en lui, seulement cela rend ses amitiés toujours étranges. Barghest, lui, n’y est pas particulièrement sensible et apprécie leur amitié pour autre chose qu’un tremplin vers quelqu’un de mieux, de plus pétillant et séduisant.
« Hey, bonne année ! » Cette formule est obligatoire, vu le contexte. Son salut est vif et il ne tarde pas à se rassoir, l’invitant silencieusement à en faire de même. Ses cours déjà posés sur la table, il pousse rapidement le sujet du TD vers Lewis, ne lui laissant pas le temps de penser qu’il pourra y échapper.
« Crinus Muto, le prof a dû encore se dire que tout ce qui nous importe, c’est l’apparence ! M’enfin, ça ira vite. On apprend ça en sixième année… » Et il parle bien de Beauxbâtons, pas d’Hungcalf ! Même s’il fait partie de ces sorts que l’on oublie parfois un peu trop vite tant on les utilise peu au quotidien ou pour se défendre, et qu’il est bon de se remémorer parfois.
« T’as passé de bonnes vacances ? »
@Lewis Barghest
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
- Lewis BarghestOldieㄨ experimented wizard
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Mar 2 Jan 2024 - 15:31
Barghest avait nombre de défauts, dont certains qu’il se plait à exagérer selon le besoin pour grapiller quelques minutes de tranquillité. Culpabilise-t-il de se foutre ainsi du monde ? Pas le moins du monde. S’il ne le fait pas sciemment avec ses proches, c’est bien parce que ces derniers le connaissent un peu trop bien. Ils savent distinguer ses innombrables grognements selon l’intensité, le positionnement, au même titre qu’un changement d’intonation lors d’une discussion civilisée. S’il râle, traine les pieds, c’est davantage par habitude que pour exprimer un réel mécontentement. Là, par exemple, il pouvait cocher toutes les cases du : ça me saoule, j’me tire… Alors qu’au fond, il était vraiment content de venir.
Les mains enfoncées dans les poches et l’effluve de sa dernière cigarette pour toute compagnie, le Wright semblait se trainer jusqu’à la bibliothèque avec tout le poids du monde sur ses épaules. C’était pas si faux, si on prenait le temps de comprendre pourquoi il se triturait autant l’esprit à la moindre nuit qu’il passait en solitaire. La fatigue merveilleusement endiguée par les potions que lui concoctait la Blackthorn, il n’avait, à son sens, aucune raison de chercher le pourquoi du comment ça le perturbait autant. Quoiqu’il en soit, c’est avec sa légendaire nonchalance qu’il poussa les portes et flâne dans l’allée jusqu’à lui.
Il avait eu la chance de rencontrer Maximilien il y a de cela plusieurs années et l’avait tout de suite apprécié. De fil en aiguille, ils étaient devenus proches et avaient noués une solide amitié. Depuis l’attaque de Charlie, il était aussi l’une des rares bulles où il pouvait trouver refuge pour éviter de se faire bouffer pas la culpabilité -pas trop, en tout cas. Le fait d’avoir à lui cacher pareil secret aidait pas mal, en soit. S’il n’était pas libre de se confier sur ses doutes, ses craintes, sa haine, il pouvait se concentrer sur des choses bien plus positives. Ou "normales", en quelque sorte. Le simple fait de se retrouver pour bosser un TD était une très bonne raison pour profiter de sa présence.
« ‘Lut ! » se contente-t-il de lui dire avant de lui serrer la main, n’étant toujours pas à l’aise avec les salutations à la française. Tel un chat, il avait ses moments où il pouvait se montrer tactile et d’autres où le moindre contact pouvait le faire feuler.
« Bonne année à toi aussi. Plein de bonnes choses, même si t’as l’air déjà bien parti. » pensée à peine voilée pour Peter et lui, heureux dans leur petit nid d’amour et des projets plein la tête.
S’il trouvait leur parcours fabuleux, il était à des années lumières d’espérer que sa propre vie prenne ce tournant. De toute façon, il n’a jamais été foutu de construire et maintenir un semblant de relation amoureuse. C’était clairement pas son domaine de prédilection.
« On va vraiment faire mumuse avec ça ? Franchement, on pourrait pas gaspiller notre temps autrement ? Je sais pas moi… En comptant le carrelage ? »
S’il était studieux, Lewis n’en était pas moins branché pratico-pratique, raison pour laquelle il avait tout simplement abandonné les potions en troisième année. A quoi ça pourrait bien lui être utile de se teindre les cheveux par magie ? C’était déjà un miracle qu’il prenne le temps de les coiffer le matin.
« J’ai pas à me plaindre. Je suis allée quelque jour chez mes parents. Ça fait du bien, même si ça me fait toujours bizarre d’y retourner. Et toi ? T'étais avec Drummond, non ?»
Le bougon avait quand même décidé de s’asseoir et de lire le TD, un air sérieux se glissant sur son visage de farceur.
@Maximilien Leroy
Les mains enfoncées dans les poches et l’effluve de sa dernière cigarette pour toute compagnie, le Wright semblait se trainer jusqu’à la bibliothèque avec tout le poids du monde sur ses épaules. C’était pas si faux, si on prenait le temps de comprendre pourquoi il se triturait autant l’esprit à la moindre nuit qu’il passait en solitaire. La fatigue merveilleusement endiguée par les potions que lui concoctait la Blackthorn, il n’avait, à son sens, aucune raison de chercher le pourquoi du comment ça le perturbait autant. Quoiqu’il en soit, c’est avec sa légendaire nonchalance qu’il poussa les portes et flâne dans l’allée jusqu’à lui.
Il avait eu la chance de rencontrer Maximilien il y a de cela plusieurs années et l’avait tout de suite apprécié. De fil en aiguille, ils étaient devenus proches et avaient noués une solide amitié. Depuis l’attaque de Charlie, il était aussi l’une des rares bulles où il pouvait trouver refuge pour éviter de se faire bouffer pas la culpabilité -pas trop, en tout cas. Le fait d’avoir à lui cacher pareil secret aidait pas mal, en soit. S’il n’était pas libre de se confier sur ses doutes, ses craintes, sa haine, il pouvait se concentrer sur des choses bien plus positives. Ou "normales", en quelque sorte. Le simple fait de se retrouver pour bosser un TD était une très bonne raison pour profiter de sa présence.
« ‘Lut ! » se contente-t-il de lui dire avant de lui serrer la main, n’étant toujours pas à l’aise avec les salutations à la française. Tel un chat, il avait ses moments où il pouvait se montrer tactile et d’autres où le moindre contact pouvait le faire feuler.
« Bonne année à toi aussi. Plein de bonnes choses, même si t’as l’air déjà bien parti. » pensée à peine voilée pour Peter et lui, heureux dans leur petit nid d’amour et des projets plein la tête.
S’il trouvait leur parcours fabuleux, il était à des années lumières d’espérer que sa propre vie prenne ce tournant. De toute façon, il n’a jamais été foutu de construire et maintenir un semblant de relation amoureuse. C’était clairement pas son domaine de prédilection.
« On va vraiment faire mumuse avec ça ? Franchement, on pourrait pas gaspiller notre temps autrement ? Je sais pas moi… En comptant le carrelage ? »
S’il était studieux, Lewis n’en était pas moins branché pratico-pratique, raison pour laquelle il avait tout simplement abandonné les potions en troisième année. A quoi ça pourrait bien lui être utile de se teindre les cheveux par magie ? C’était déjà un miracle qu’il prenne le temps de les coiffer le matin.
« J’ai pas à me plaindre. Je suis allée quelque jour chez mes parents. Ça fait du bien, même si ça me fait toujours bizarre d’y retourner. Et toi ? T'étais avec Drummond, non ?»
Le bougon avait quand même décidé de s’asseoir et de lire le TD, un air sérieux se glissant sur son visage de farceur.
@Maximilien Leroy
Peter Drummond est fan
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» miroir du riséd : francisco lachowski
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» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» année d'études : 10ème année
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» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Mer 3 Jan 2024 - 22:50
La motivation de Lewis ne fait aucun doute mais Maximilien choisit de passer outre. Autant s’y mettre tout de suite pour en finir le plus vite possible.
« Crois-moi que je suis aussi dépité que toi ! » Le Français n’est pas connu pour râler au moindre TD mais il faut bien l’admettre que celui-là lui coure sur le haricot, surtout à cette période de l’année. Il aurait préféré consacrer son temps à sa thèse car l’angoisse de la rendre et de la soutenir lui pèse chaque jour un peu plus. Mais il fait, Maximilien, parce que ce n’est pas comme s’il avait un autre choix. Ce dernier prend néanmoins le temps d’avoir des nouvelles de son ami et espère ainsi apporter un peu de bonnes ondes sur leur duo de travail.
« Je comprends » répond-il dans un premier temps car c’est un sentiment qu’il connaît bien pour avoir si longtemps été en froid avec ses propres parents, ne sachant trouver dans cet appartement parisien que des souvenirs douloureux et une absence flagrante. Désormais, les choses vont un peu mieux mais la gêne attend toujours dans un coin de se manifester.
« Je l’étais oui ! On est allés un peu partout dans nos familles, saluer les uns et les autres. Épuisant, si tu me demandes mon avis mais c’est le moment idéal pour ça. La coupure fait du bien mine de rien. On en avait bien besoin. » De toute évidence, quand Maximilien pense à ses vacances récentes, il ne voit ni les discussions difficiles avec son grand-père, ni les regards en coin d’Alice Drummond qu’il ne sait toujours pas déchiffrer - mais bien les instants passés avec Peter, leurs cadeaux échangés et le temps qu’ils ont pris l’un pour l’autre quand le quotidien ordinaire les empêche de pleinement en profiter. Une pause appréciable qu’il espère bien voir se reproduire sous peu.
« Et le nouvel an ? Tu l’as fait aussi chez tes parents ou entre amis ? » Il pense, bien sûr, à Cataleya dont il n’a pris que peu de nouvelles dernièrement, ce qui le fâche beaucoup. Ce n’est pas le genre d’amis qu’il souhaite être mais se le dire n’empêche pas l’inaction. Il faut absolument qu’il redresse la barre au plus vite s’il ne veut pas devenir un étranger à ses yeux. Les jours passent si vite que cela pourrait être le cas bientôt ! Il oublie pourtant qu’ils ont partagé un moment ensemble sur le terrain de Quidditch il n’y a même pas deux semaines de ça mais tout lui paraît déjà si loin !
@Lewis Barghest
« Crois-moi que je suis aussi dépité que toi ! » Le Français n’est pas connu pour râler au moindre TD mais il faut bien l’admettre que celui-là lui coure sur le haricot, surtout à cette période de l’année. Il aurait préféré consacrer son temps à sa thèse car l’angoisse de la rendre et de la soutenir lui pèse chaque jour un peu plus. Mais il fait, Maximilien, parce que ce n’est pas comme s’il avait un autre choix. Ce dernier prend néanmoins le temps d’avoir des nouvelles de son ami et espère ainsi apporter un peu de bonnes ondes sur leur duo de travail.
« Je comprends » répond-il dans un premier temps car c’est un sentiment qu’il connaît bien pour avoir si longtemps été en froid avec ses propres parents, ne sachant trouver dans cet appartement parisien que des souvenirs douloureux et une absence flagrante. Désormais, les choses vont un peu mieux mais la gêne attend toujours dans un coin de se manifester.
« Je l’étais oui ! On est allés un peu partout dans nos familles, saluer les uns et les autres. Épuisant, si tu me demandes mon avis mais c’est le moment idéal pour ça. La coupure fait du bien mine de rien. On en avait bien besoin. » De toute évidence, quand Maximilien pense à ses vacances récentes, il ne voit ni les discussions difficiles avec son grand-père, ni les regards en coin d’Alice Drummond qu’il ne sait toujours pas déchiffrer - mais bien les instants passés avec Peter, leurs cadeaux échangés et le temps qu’ils ont pris l’un pour l’autre quand le quotidien ordinaire les empêche de pleinement en profiter. Une pause appréciable qu’il espère bien voir se reproduire sous peu.
« Et le nouvel an ? Tu l’as fait aussi chez tes parents ou entre amis ? » Il pense, bien sûr, à Cataleya dont il n’a pris que peu de nouvelles dernièrement, ce qui le fâche beaucoup. Ce n’est pas le genre d’amis qu’il souhaite être mais se le dire n’empêche pas l’inaction. Il faut absolument qu’il redresse la barre au plus vite s’il ne veut pas devenir un étranger à ses yeux. Les jours passent si vite que cela pourrait être le cas bientôt ! Il oublie pourtant qu’ils ont partagé un moment ensemble sur le terrain de Quidditch il n’y a même pas deux semaines de ça mais tout lui paraît déjà si loin !
@Lewis Barghest
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» âge : 28 (13/02/1996)
» situation : celibataire
» année d'études : 10ème
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Jeu 4 Jan 2024 - 21:13
Il n’avait aucun mal à le croire, que ça concerne le TD ou toute autre chose d’ailleurs. Le français avait gagné sa confiance tellement vite qu’il ne l’avait pas vu venir. Ça lui était tombé dessus, juste comme ça. Comme leur amitié, en fait, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Il lui trouvait de nombreuses qualités, en plus d’un petit on-ne-sait quoi qui réussissait toujours à le rendre de bonne humeur.
« Au moins, ça nous donne une excuse pour nous voir. ‘Faut voir le côté positif. »
Avec les fêtes, les vacances, les aventures des uns et des autres, ils n’avaient fait que se croiser. Du moins, c’était l’impression qu’il en avait. Ils avaient eu l’occasion de se retrouver à Yule sans avoir l’idée d’en profiter, l’un comme l’autre ayant d’autres sources de préoccupations.
« Je vais pas me plaindre. Cette barraque déborde d’amour. J’ai juste du mal à cacher ma vie actuelle aux potes que j’y retrouve. »
En dehors de ses parents, le village ne comptait que des moldus. Il n’avait aucun problème avec, ayant été élevé à leurs façons depuis toujours. Il avait eu l’opportunité de nouer des amitiés solides et la chance de les maintenir malgré la distance et le mensonge Lewis ayant choisi de poursuivre son chemin dans le monde des sorciers, il était forcément contraint de cacher cette partie de sa vie à ses proches. Ca, ca lui foutait toujours un coup même s’il tentait de ne pas y prêter attention.
« Ca devait pas être de tout repos, j’imagine. Tant que t’as pu profiter malgré tout, c’est l’essentiel. »
Le Wright tira sa chaise et fit l’effort de la soulever pour ne pas faire grincer des dents les étudiants voisins. Il était si serviable, quand il le voulait. Non, vraiment, pas la peine de le remercier.
« Je suis revenu pour le nouvel an. J’ai profité de mes potes jusqu’au p’tit matin. C’était vraiment cool. J’me dis que y’a rien de tel pour commencer l’année. T’es pas d’accord ? »
Tout en discutant, Lewis en profita pour sortir de quoi noter. Evidemment, le crayon qu’il venait d’attraper glissa bien vite entre son majeur et son index, son pouce venant le tapoter à cause d’un vieux reflex. Même s’il tentait d’adapter la cigarette électronique, les vieilles habitudes avaient la vie dure. Mais il essayait. Vraiment.
« Et toi alors ? T’as pris des bonnes résolutions ? D’mon côté, j’essaie de calmer la clope. Un peu. C’est pas évident j’t’avoue. Puis y’a pas mal de trucs qui m’agacent donc bon… »
Charlie. Les pleines lunes. Les fréquentations de Charlie. La fin de ses études. Le fait de partager Charlie. Ouaip. Rien que d’y penser, il mourrait d’envie d’aller s’en griller une. Résiste.
« Et avec ton beau gosse (@Peter Drummond), c’est toujours le conte de fée ? »
Croyez-le ou non, il avait vraiment essayé de ne pas dire ça sur un ton moqueur. Il s’intéressait vraiment à la vie de son ami et lui souhaitait le bonheur. Il n’avait juste pas l’expérience nécessaire pour apprécier le bonheur que ça pouvait être de partager sa vie avec la personne aimée. Il n’avait jamais vraiment aimé quelqu’un, de toute façon.
@Maximilien Leroy
« Au moins, ça nous donne une excuse pour nous voir. ‘Faut voir le côté positif. »
Avec les fêtes, les vacances, les aventures des uns et des autres, ils n’avaient fait que se croiser. Du moins, c’était l’impression qu’il en avait. Ils avaient eu l’occasion de se retrouver à Yule sans avoir l’idée d’en profiter, l’un comme l’autre ayant d’autres sources de préoccupations.
« Je vais pas me plaindre. Cette barraque déborde d’amour. J’ai juste du mal à cacher ma vie actuelle aux potes que j’y retrouve. »
En dehors de ses parents, le village ne comptait que des moldus. Il n’avait aucun problème avec, ayant été élevé à leurs façons depuis toujours. Il avait eu l’opportunité de nouer des amitiés solides et la chance de les maintenir malgré la distance et le mensonge Lewis ayant choisi de poursuivre son chemin dans le monde des sorciers, il était forcément contraint de cacher cette partie de sa vie à ses proches. Ca, ca lui foutait toujours un coup même s’il tentait de ne pas y prêter attention.
« Ca devait pas être de tout repos, j’imagine. Tant que t’as pu profiter malgré tout, c’est l’essentiel. »
Le Wright tira sa chaise et fit l’effort de la soulever pour ne pas faire grincer des dents les étudiants voisins. Il était si serviable, quand il le voulait. Non, vraiment, pas la peine de le remercier.
« Je suis revenu pour le nouvel an. J’ai profité de mes potes jusqu’au p’tit matin. C’était vraiment cool. J’me dis que y’a rien de tel pour commencer l’année. T’es pas d’accord ? »
Tout en discutant, Lewis en profita pour sortir de quoi noter. Evidemment, le crayon qu’il venait d’attraper glissa bien vite entre son majeur et son index, son pouce venant le tapoter à cause d’un vieux reflex. Même s’il tentait d’adapter la cigarette électronique, les vieilles habitudes avaient la vie dure. Mais il essayait. Vraiment.
« Et toi alors ? T’as pris des bonnes résolutions ? D’mon côté, j’essaie de calmer la clope. Un peu. C’est pas évident j’t’avoue. Puis y’a pas mal de trucs qui m’agacent donc bon… »
Charlie. Les pleines lunes. Les fréquentations de Charlie. La fin de ses études. Le fait de partager Charlie. Ouaip. Rien que d’y penser, il mourrait d’envie d’aller s’en griller une. Résiste.
« Et avec ton beau gosse (@Peter Drummond), c’est toujours le conte de fée ? »
Croyez-le ou non, il avait vraiment essayé de ne pas dire ça sur un ton moqueur. Il s’intéressait vraiment à la vie de son ami et lui souhaitait le bonheur. Il n’avait juste pas l’expérience nécessaire pour apprécier le bonheur que ça pouvait être de partager sa vie avec la personne aimée. Il n’avait jamais vraiment aimé quelqu’un, de toute façon.
@Maximilien Leroy
Maximilien Leroy et Peter Drummond sont fans
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Ven 5 Jan 2024 - 10:10
« Mmh je comprends, ce n’est pas évident… » Il s’estime chanceux de ce côté-là, ce n’est pas une problématique qui lui est imposée et pourtant, Maximilien se dit que c’est bien dommage que ce ne le soit pas. Avoir des amis moldus doit être formidable, non ? Ils doivent avoir une approche de la vie totalement différente de celle des sorciers et le Français a toujours trouvé ça aussi intriguant que passionnant. Mais chaque pièce a son revers et on ne peut rien obtenir sans en subir les conséquences. Il offre à Lewis un regard de soutien. Il n’a pas vécu la même chose pendant ces vacances, même si passer de famille en famille pour perpétrer les mêmes dîners avec des traditions légèrement différentes s’est révélé être épuisant. Il est bien content, en fin de compte, d’avoir pu passer le 24 au soir qu’avec Peter - la meilleure idée qu’ils aient jamais eue.
« Etant donné que j’ai fait la même chose, je ne peux qu’approuver ! » Et ce sera sûrement comme ça l’année prochaine également, ce qui est une bonne chose. La période de Noël est plus réglementée alors que la fête du passage à la nouvelle année, elle, peut bénéficier d’un peu plus de liberté. À vrai dire, il n’est pas certain de se souvenir de chaque instant passé cette soirée-là mais ne s’en inquiète pas outre mesure. Enfin… Presque pas.
« Qui t’agacent ? Comment ça ? Enfin non, plutôt : qu’est-ce qui t’agace en ce moment ? Mais ce n’est pas moi qui vais te dire que tu as tort de calmer la clope. T’as de quoi substituer quelque temps ? » Une telle révélation le pousse forcément à se poser des questions sur ce qui peut tracasser Lewis. Il pense naïvement qu’il s’agit de leurs études car l’un comme l’autre en est à sa dixième et dernière année, celle qui changera tout s’ils la réussissent. Maximilien s’efforce de ne pas penser à l’après mais étant en janvier, il faudra bien qu’il s’y colle à un moment donné ! Il faut envisager une carrière maintenant, un endroit où s’installer sur le long terme… Fini le train-train quotidien impliqué par les études. Fini l’insouciance… ou ce qu’il prenait comme telle mais qui ne l’était pas.
« Le conte de fées, carrément… » Maximilien pouffe un peu. Il aimerait dire que oui, que tout est parfait mais jamais rien ne l’est vraiment et il sait bien que penser le contraire ferait de lui un idiot. De toute évidence, ces dernières semaines lui ont prouvé que non, ce n’est pas un conte de fées. Ou alors si… ? Car les contes d’antan ne se finissent pas toujours très bien et sont ponctués d’actes atroces. Voilà qu’il ne sait plus quoi penser !
« Il est toujours beau gosse, ça c’est sûr. Mais… Bon tu sais, avec l’incident lors de l’épreuve de duels, c’était pas trop la joie de mon côté et j’ai comme l’impression que… non c’est bête… mais… non. Enfin si. J’ai eu l’impression que parce que je n’étais pas mentalement disponible à délirer, il s’est vachement rapproché de son… je ne sais même pas comment l’appeler, ex-copain-plan-cul-super-pote ? » C’est comme ça, il est possessif, il est jaloux - il faut bien qu’il ait des défauts non ? Mais plus que tout, Maximilien ne sait et ne saura jamais reconnaître sa valeur. Et quand il voit ça, forcément, il se pose des questions. Est-ce qu’il y a plus qu’il ne voit ? Le lui dirait-il en face ? Cette peur de le perdre partira-t-elle un jour ?
@Lewis Barghest
« Etant donné que j’ai fait la même chose, je ne peux qu’approuver ! » Et ce sera sûrement comme ça l’année prochaine également, ce qui est une bonne chose. La période de Noël est plus réglementée alors que la fête du passage à la nouvelle année, elle, peut bénéficier d’un peu plus de liberté. À vrai dire, il n’est pas certain de se souvenir de chaque instant passé cette soirée-là mais ne s’en inquiète pas outre mesure. Enfin… Presque pas.
« Qui t’agacent ? Comment ça ? Enfin non, plutôt : qu’est-ce qui t’agace en ce moment ? Mais ce n’est pas moi qui vais te dire que tu as tort de calmer la clope. T’as de quoi substituer quelque temps ? » Une telle révélation le pousse forcément à se poser des questions sur ce qui peut tracasser Lewis. Il pense naïvement qu’il s’agit de leurs études car l’un comme l’autre en est à sa dixième et dernière année, celle qui changera tout s’ils la réussissent. Maximilien s’efforce de ne pas penser à l’après mais étant en janvier, il faudra bien qu’il s’y colle à un moment donné ! Il faut envisager une carrière maintenant, un endroit où s’installer sur le long terme… Fini le train-train quotidien impliqué par les études. Fini l’insouciance… ou ce qu’il prenait comme telle mais qui ne l’était pas.
« Le conte de fées, carrément… » Maximilien pouffe un peu. Il aimerait dire que oui, que tout est parfait mais jamais rien ne l’est vraiment et il sait bien que penser le contraire ferait de lui un idiot. De toute évidence, ces dernières semaines lui ont prouvé que non, ce n’est pas un conte de fées. Ou alors si… ? Car les contes d’antan ne se finissent pas toujours très bien et sont ponctués d’actes atroces. Voilà qu’il ne sait plus quoi penser !
« Il est toujours beau gosse, ça c’est sûr. Mais… Bon tu sais, avec l’incident lors de l’épreuve de duels, c’était pas trop la joie de mon côté et j’ai comme l’impression que… non c’est bête… mais… non. Enfin si. J’ai eu l’impression que parce que je n’étais pas mentalement disponible à délirer, il s’est vachement rapproché de son… je ne sais même pas comment l’appeler, ex-copain-plan-cul-super-pote ? » C’est comme ça, il est possessif, il est jaloux - il faut bien qu’il ait des défauts non ? Mais plus que tout, Maximilien ne sait et ne saura jamais reconnaître sa valeur. Et quand il voit ça, forcément, il se pose des questions. Est-ce qu’il y a plus qu’il ne voit ? Le lui dirait-il en face ? Cette peur de le perdre partira-t-elle un jour ?
@Lewis Barghest
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
- merci :
Peter Drummond et Lewis Barghest sont fans
- Lewis BarghestOldieㄨ experimented wizard
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» miroir du riséd : Diego Barrueco
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» âge : 28 (13/02/1996)
» situation : celibataire
» année d'études : 10ème
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Sortilèges, Métamorphoseㅡ options facultatives :▣ Droit Magique, Étude des Runes et Potions (abandonnée après validation de sa troisième année).
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 735
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Lun 8 Jan 2024 - 14:56
« Qui t’agacent ? Comment ça ? Enfin non, plutôt : qu’est-ce qui t’agace en ce moment ? Mais ce n’est pas moi qui vais te dire que tu as tort de calmer la clope. T’as de quoi substituer quelque temps ? »
Barghest cessa un instant de tapoter sur la petite gomme rose et libéra le pauvre crayon de papier. Il se jeta en arrière et fit basculer la chaise sous son poids, se mettant à se balancer lentement, les bras pendant dans le vide. Qu'est-ce qui pouvait bien l'agacer ? Tout, en réalité. Il était particulièrement irritable ces derniers temps -plus que d'habitude, quoi. Il fronçait les sourcils plus souvent, était moins patient, dormait moins bien, faisait face à ses dépendances... Tout ça, mis bout à bout, ne l'aidait pas. Y'avait Charlie aussi. Il avait tenté de lui mentir pour la première fois depuis... Depuis toujours. Non seulement ça ne lui avait pas plu mais en plus, il en avait été foutrement incapable lorsqu'il s'y était essayé et cet échec l'avait, là aussi, extrêmement agacé. Avec ça c'était ajouté la peur de ne plus être utile à ses yeux, doublée de sa culpabilité mal soignée. Ouaip, y'en avait des choses. Est-ce qu'il pouvait vraiment se confier ? Il n'était clairement pas du genre à se pencher sur ses états d'âme et préférait attendre que le temps efface tout ça. Son regard croisa celui de son ami et se dit que, rien que pour une fois, il pouvait bien s'y autoriser. Peu à l'aise, il croisa ses bras sur son abdomen et se mit à contempler le plafond.
" J'ai pas mal de trucs en tête. Des petits trucs mais qui prennent pas mal de place, à force. Y'a un pote qui... Comment dire ? J'm'inquiète pour lui et j'sais pas comment lui dire. On s'voit de moins en c'moment et j'ai l'impression de faire de la merde à chaque fois. Enfin c'est c'que je fais. J'fais des trucs sans réfléchir et -Ouai, je sais. Rien d'étonnant." Il poussa un long râle avant de passer sa main dans sa chevelure tout juste coiffée, pour finalement se tenir la tête. " Je sais pas comment me comporter avec lui. J'ai l'impression d'marcher sur des œufs. J'suis heureux qu'il fasse des nouvelles rencontres hein ! Mais j'voudrais pas qu'il m'oublie. Ca fait d'moi un connard, pas vrai ? Un pote en carton. "
Le Rouge rebascula en avant et sortit de sa poche la cigarette électronique que Charlie lui avait offert quelques semaines plus tôt. A cette pensée, un sourire vint adoucir les traits de son visage. La magie d'Charlie.
" Ce même pote m'a offert ça pour noël. J'essaie vraiment de m'y tenir mais c'est pas évident. Y'a des moments phares dans la journée où l'envie te prend aux trippes. Après manger, par exemple ! Ou quand je grimpe sur l'toit. Quand j'suis avec Cat ou Alex aussi. Le pire c'est en soirée... Enfin, c'est pas à toi que je vais l'apprendre !" Il pouffa avant de lui mettre un léger coup de coude. Il était fier du chemin qu'avait emprunté Max et espérait pouvoir s'y tenir lui aussi.
Pour le coup, le brun oublia bien vite le TD et se concentra sur le français. Lui qui enviait sa vie était plutôt surpris d'apprendre qu'il y avait, chez eux aussi, de l'eau dans le gaz. En même temps, ils avaient tellement laissés filer le temps qu'ils ne pouvaient que deviner la vie de l'autre. Ce constat lui fit l'effet d'un électrochoc. Il s'était fait avoir une fois, mais pas deux. Maximilien comptait à ses yeux et il ne laisserait plus cette amitié se couvrir de poussière.
"De-Quoi ? Attends. Est-ce que @Peter Drummond a dit ou fait quelque chose de particulier ? J'suis toujours en contact avec un de mes ex (@Ian McCavish) mais ça n'a rien de répréhensible. 'Fin il me l'a jamais reproché. Il a changé d'attitude avec toi ? A le regarder, il ne voit que toi pourtant."
Lewis enfonça son menton dans le creux de sa paume, le coude en appui sur la table. Si Peter faisait de la merde, il avait intérêt à avoir une bonne explication.
"Faut qu'tu m'en dises plus. C'est quoi le rapprochement en question ? "
@Maximilien Leroy
Barghest cessa un instant de tapoter sur la petite gomme rose et libéra le pauvre crayon de papier. Il se jeta en arrière et fit basculer la chaise sous son poids, se mettant à se balancer lentement, les bras pendant dans le vide. Qu'est-ce qui pouvait bien l'agacer ? Tout, en réalité. Il était particulièrement irritable ces derniers temps -plus que d'habitude, quoi. Il fronçait les sourcils plus souvent, était moins patient, dormait moins bien, faisait face à ses dépendances... Tout ça, mis bout à bout, ne l'aidait pas. Y'avait Charlie aussi. Il avait tenté de lui mentir pour la première fois depuis... Depuis toujours. Non seulement ça ne lui avait pas plu mais en plus, il en avait été foutrement incapable lorsqu'il s'y était essayé et cet échec l'avait, là aussi, extrêmement agacé. Avec ça c'était ajouté la peur de ne plus être utile à ses yeux, doublée de sa culpabilité mal soignée. Ouaip, y'en avait des choses. Est-ce qu'il pouvait vraiment se confier ? Il n'était clairement pas du genre à se pencher sur ses états d'âme et préférait attendre que le temps efface tout ça. Son regard croisa celui de son ami et se dit que, rien que pour une fois, il pouvait bien s'y autoriser. Peu à l'aise, il croisa ses bras sur son abdomen et se mit à contempler le plafond.
" J'ai pas mal de trucs en tête. Des petits trucs mais qui prennent pas mal de place, à force. Y'a un pote qui... Comment dire ? J'm'inquiète pour lui et j'sais pas comment lui dire. On s'voit de moins en c'moment et j'ai l'impression de faire de la merde à chaque fois. Enfin c'est c'que je fais. J'fais des trucs sans réfléchir et -Ouai, je sais. Rien d'étonnant." Il poussa un long râle avant de passer sa main dans sa chevelure tout juste coiffée, pour finalement se tenir la tête. " Je sais pas comment me comporter avec lui. J'ai l'impression d'marcher sur des œufs. J'suis heureux qu'il fasse des nouvelles rencontres hein ! Mais j'voudrais pas qu'il m'oublie. Ca fait d'moi un connard, pas vrai ? Un pote en carton. "
Le Rouge rebascula en avant et sortit de sa poche la cigarette électronique que Charlie lui avait offert quelques semaines plus tôt. A cette pensée, un sourire vint adoucir les traits de son visage. La magie d'Charlie.
" Ce même pote m'a offert ça pour noël. J'essaie vraiment de m'y tenir mais c'est pas évident. Y'a des moments phares dans la journée où l'envie te prend aux trippes. Après manger, par exemple ! Ou quand je grimpe sur l'toit. Quand j'suis avec Cat ou Alex aussi. Le pire c'est en soirée... Enfin, c'est pas à toi que je vais l'apprendre !" Il pouffa avant de lui mettre un léger coup de coude. Il était fier du chemin qu'avait emprunté Max et espérait pouvoir s'y tenir lui aussi.
Pour le coup, le brun oublia bien vite le TD et se concentra sur le français. Lui qui enviait sa vie était plutôt surpris d'apprendre qu'il y avait, chez eux aussi, de l'eau dans le gaz. En même temps, ils avaient tellement laissés filer le temps qu'ils ne pouvaient que deviner la vie de l'autre. Ce constat lui fit l'effet d'un électrochoc. Il s'était fait avoir une fois, mais pas deux. Maximilien comptait à ses yeux et il ne laisserait plus cette amitié se couvrir de poussière.
"De-Quoi ? Attends. Est-ce que @Peter Drummond a dit ou fait quelque chose de particulier ? J'suis toujours en contact avec un de mes ex (@Ian McCavish) mais ça n'a rien de répréhensible. 'Fin il me l'a jamais reproché. Il a changé d'attitude avec toi ? A le regarder, il ne voit que toi pourtant."
Lewis enfonça son menton dans le creux de sa paume, le coude en appui sur la table. Si Peter faisait de la merde, il avait intérêt à avoir une bonne explication.
"Faut qu'tu m'en dises plus. C'est quoi le rapprochement en question ? "
@Maximilien Leroy
Peter Drummond est fan
- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
- » parchemins postés : 8273
» miroir du riséd : francisco lachowski
» crédits : wcstedrose (ava)
» multinick : arty / joe / keir
» âge : vingt-huit ans
» situation : en couple
» année d'études : 10ème année
» options obligatoires & facultatives : ♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée
» particularité : animagus
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 8305
Inventaire Sorcier
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Ven 12 Jan 2024 - 10:50
« Arrête… T’es pas un pote en carton ! » Il se doit de protester, inquiet de voir Lewis se coller une étiquette qui ne lui correspond pas. Il est chagriné de voir qu’il porte un tel poids sur les épaules et la conscience et se demande qui peut être cet ami dans son entourage qui lui cause tant de soucis. La question brûle sur sa langue mais il sait dépasser une limite s’il se montre trop curieux. Si le Wright veut lui en parler, il le fera de lui-même comme à cet instant.
« Il y a de toute évidence un abcès à percer entre vous, des non-dits importants qui t’empoisonnent. Vous empoisonnent, peut-être, car il ressent peut-être la même chose que toi ? » Il n’en sait rien, ne fait qu’émettre des hypothèses qui n’ont pour fond que sa propre expérience. Il est possible que cet ami ait cherché cet écart avec Lewis et qu’il soit en train de lui donner de faux espoirs sur une amitié perdue. Mais quoiqu’il en soit, il sera là pour l’aider à se relever si besoin. Pourtant, optimiste au possible, Maximilien préfère se dire que tout ceci n’est qu’un malentendu et qu’une fois qu’ils auront mis des mots sur ce qui les gêne, tout rentrera dans l’ordre. Que, loin d’être perdue, cette amitié se verra renforcée.
Maximilien regarde la cigarette électronique et sourit à l’évocation de ses addictions passées mais qui pourraient revenir à tout instant. Il n’ignore pas qu’il suffit d’un rien pour replonger dans ses travers et plutôt que de s’attarder sur ses angoisses à ce sujet, préfère cultiver la fierté de voir Lewis se prendre en main. Ce qu’il matérialise par un coup de coude rendu, dans la joie et la camaraderie. Une ambiance qui lui permet de se confier à son amie sur les doutes qui lui hantent l’esprit, et qu’il doit sûrement trouver ridicules… Tout le monde lui dit que Peter le regarde avec des yeux amoureux et qu’il ne fait aucun doute de ses sentiments à son égard. Qu’ils sont beaux ensemble, faits l’un pour l’autre. Alors pourquoi, dès que la mention ou la présence de son ex est faite, tout cela part en fumée ? Comme si chaque certitude ne tenait qu’à un fil alors qu’il a travaillé d’arrache-pied pour ne plus succomber à sa jalousie et à ses incertitudes.
« Son attitude envers moi n’a pas changée, non. Et dans un sens, je devrais sûrement me concentrer sur ça plutôt que le reste, je le sais bien… C’est plutôt… le comportement quand son ex est là ou quand il en parle qui me crispe. C’est sûrement que ma jalousie mal placée qui parle hein… Mais c’est normal de parader devant ton ex, de lui laisser te tripoter les fesses - ou de le tripoter toi-même tant qu’on y est - et de parler, tout cela devant toi je précise, de ses exploits sexuels ? Ils vont dans des sex-shops ensemble, dieu seul sait ce qui s’y passe… Pourquoi il complimente autant sa plastique devant moi ? Qu’est-ce que je dois comprendre au juste ? Qu’il était mieux ? Que je manque de quelque chose ? Qu’il ne s’amuse plus autant qu’avant parce qu’il est en couple avec moi et qu’il a le malheur de m’aimer ? » La boule dans sa gorge s’épaissit au fil des questions, jusqu’à l’empêcher de respirer. Alors il se tait, prend de longues inspirations, s’ordonne de prendre le temps de respirer… Il ne pensait pas s’épancher autant et surtout, de cette façon… Comme un idiot jaloux.
@Lewis Barghest
« Il y a de toute évidence un abcès à percer entre vous, des non-dits importants qui t’empoisonnent. Vous empoisonnent, peut-être, car il ressent peut-être la même chose que toi ? » Il n’en sait rien, ne fait qu’émettre des hypothèses qui n’ont pour fond que sa propre expérience. Il est possible que cet ami ait cherché cet écart avec Lewis et qu’il soit en train de lui donner de faux espoirs sur une amitié perdue. Mais quoiqu’il en soit, il sera là pour l’aider à se relever si besoin. Pourtant, optimiste au possible, Maximilien préfère se dire que tout ceci n’est qu’un malentendu et qu’une fois qu’ils auront mis des mots sur ce qui les gêne, tout rentrera dans l’ordre. Que, loin d’être perdue, cette amitié se verra renforcée.
Maximilien regarde la cigarette électronique et sourit à l’évocation de ses addictions passées mais qui pourraient revenir à tout instant. Il n’ignore pas qu’il suffit d’un rien pour replonger dans ses travers et plutôt que de s’attarder sur ses angoisses à ce sujet, préfère cultiver la fierté de voir Lewis se prendre en main. Ce qu’il matérialise par un coup de coude rendu, dans la joie et la camaraderie. Une ambiance qui lui permet de se confier à son amie sur les doutes qui lui hantent l’esprit, et qu’il doit sûrement trouver ridicules… Tout le monde lui dit que Peter le regarde avec des yeux amoureux et qu’il ne fait aucun doute de ses sentiments à son égard. Qu’ils sont beaux ensemble, faits l’un pour l’autre. Alors pourquoi, dès que la mention ou la présence de son ex est faite, tout cela part en fumée ? Comme si chaque certitude ne tenait qu’à un fil alors qu’il a travaillé d’arrache-pied pour ne plus succomber à sa jalousie et à ses incertitudes.
« Son attitude envers moi n’a pas changée, non. Et dans un sens, je devrais sûrement me concentrer sur ça plutôt que le reste, je le sais bien… C’est plutôt… le comportement quand son ex est là ou quand il en parle qui me crispe. C’est sûrement que ma jalousie mal placée qui parle hein… Mais c’est normal de parader devant ton ex, de lui laisser te tripoter les fesses - ou de le tripoter toi-même tant qu’on y est - et de parler, tout cela devant toi je précise, de ses exploits sexuels ? Ils vont dans des sex-shops ensemble, dieu seul sait ce qui s’y passe… Pourquoi il complimente autant sa plastique devant moi ? Qu’est-ce que je dois comprendre au juste ? Qu’il était mieux ? Que je manque de quelque chose ? Qu’il ne s’amuse plus autant qu’avant parce qu’il est en couple avec moi et qu’il a le malheur de m’aimer ? » La boule dans sa gorge s’épaissit au fil des questions, jusqu’à l’empêcher de respirer. Alors il se tait, prend de longues inspirations, s’ordonne de prendre le temps de respirer… Il ne pensait pas s’épancher autant et surtout, de cette façon… Comme un idiot jaloux.
@Lewis Barghest
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Mer 17 Jan 2024 - 14:52
Un abcès à percer ? Lewis ne savait ce qui le mettait le plus mal à l’aise. Les plaies, les infections et j’en passe, il les laissait à Cat. Lui se contentait de les recevoir et c’était déjà assez. Pas que ça lui fasse peur, loin de là. Les hématomes, il s’en cognait pas mal -sans mauvais jeu de mot. Il les cherchait depuis qu’il était haut comme trois pommes et avait toujours une marque quelque part, de quoi rappeler qu’il était suffisamment crétin pour ne pas réussir à éviter les ennuis. Y’avait qu’à voir comme il s’était lié aux autres chauffe-plats alors que tout lui criait que c’était la pire idée qui puisse exister. Niveau instinct de conservation, on repassera. Le message en lui-même n’était pas spécialement des plus attrayants. Est-ce que c’était vraiment bénéfique qu’il dise le fond de sa pensée à Charlie ? Et pour qui ? Leur binôme ou lui seul ? Il était inconcevable que le louveteau trinque pour de futiles états d’âme. Barghest n’avait jamais été un grand sensible, pas vrai ? Ça allait bien finir par lui passer. Il devait juste redevenir raisonnable, mais force est de constaté que c’était terriblement difficile dès lors qu’il était question de l’ethelred. L’étudiant commença à jouer avec la cigarette entre ses doigts sans réellement prêter attention à ce qu’il faisait.
« Tu me connais d’puis le temps Beauté*, les mots c’est pas mon truc. J’fais plus de mal en tentant de pas m’emmêler les pinceaux qu’autre chose. Tu t’souviens comment ça c’est fini à notre dernière soirée, quand j’ai tenté de jouer le médiateur ? Pas moi. Pas vraiment. La commotion n’aide pas j’crois. » l’aspirant auror, future figure de la justice, soupira exagérément avant de le regarder du coin de l’œil, un sourire joueur aux lèvres. « Ca m’manque d’ailleurs. Faudrait qu’on s’refasse ça. Juste tous les deux, comme dans l’bon vieux temps. » quand l’un n’était pas collé à la glu à son mec et que l’autre ne l’était pas… à un sorcier qui n’était même pas son mec. Qui était le plus ridicule des deux ? Non. Ne répondez pas.
L’alchimie entre les deux hommes étaient toujours là, intacte malgré le temps passé sans se voir. Il n’en avait pas l’air comme ça, avec sa fâcheuse habitude de feuler dès qu’on l’approchait trop, mais il savourait cet instant auprès de son ami. S’il arrêtait de froncer les sourcils à la moindre occasion, il pourrait peut-être se rendre accessible et montrer au monde qu’il était un gars vraiment sympa, tant qu’on ne l’emmerdait pas. Heureusement pour lui, ses proches avaient rapidement cerné sa personnalité et parvenaient à décrypter ses grognements avec une précision effrayante. Max n’en était pas à son coup d’essai avec lui et aura certainement compris que derrière ses cils noirs, il était terriblement content de le retrouver.
La e-cigarette tourna entre ses doigts, à l’image du bâton des majorettes, avant de retrouver tant bien que mal la sécurité de sa poche. Oui, sécurité ! Pour une fois que ça poche n’était pas trouée…
« Pourquoi tu doutes autant d’toi Max ? T’es monstrueusement canon et j’sais d’quoi je parle. J’compte plus les fois où j’ai pu m’brûler les rétines à force de voir tes fesses blanches. Pete est surement pas l’seul intéressé par ta plastique. T’es juste trop aveuglé pour t’en rendre compte. L’pire c’est qu’ils doivent le penser sans te connaitre. T’imagines le harem que t’aurais sinon ? Drummond a d’la chance de t’avoir. Rentre le dans ta p’tite tête. »
Le Wright avait perçu son désarroi et la drôle de chose qui lui servait de conscience s’affola. Merde. Il était vraiment pas doué pour ce genre de choses. Maladroitement, il posa sa main sur son genou. Il était là, affreusement nul, mais il faisait de son mieux. Il reprit son sérieux, autant que faire ce peu.
« Tu sais, j’ai jamais été fichu d’entretenir une relation viable alors j’suis peut-être complétement à côté d’la plaque mais on est rarement mal sans raison ? Surtout qu’là, pour l’coup, tu l’as carrément bien ciblée. J’connais mal Pete mais il n’a pas l’air du genre à blesser quelqu’un volontairement. Encore moins quelqu’un qu’il aime. Ca ne le dédouane en rien, attention. Si j’tombais amoureux, j’serais terriblement possessif. Y’a qu’à voir comment j’peux l’être avec Ch-mes potes. » Il roula si fort des yeux qu’on ne devina plus que le blanc pendant deux bonnes secondes, avant de reprendre comme si de rien était. « C’que je veux dire, c’est que chacun à sa limite. C’est pas parce que vous vous aimez qu’ça pardonne tout. En agissant comme un con avec ce gars, il te blesse. Maintenant, est-ce que tu lui en as parlé ? J’veux dire : tu lui as dit concrètement qu’ça te plaisait pas ? C’qui est choquant pour toi l’est peut-être pas pour lui. »
Il n’accorda plus aucun regard au devoir complètement nase. Pire encore, il le repoussa de l’autre côté de la table pour s’étaler de moitié dessus. Là, comme ça, il lui accordait toute son attention.
Français*
@Maximilien Leroy Personne mentionnée : @Peter Drummond
« Tu me connais d’puis le temps Beauté*, les mots c’est pas mon truc. J’fais plus de mal en tentant de pas m’emmêler les pinceaux qu’autre chose. Tu t’souviens comment ça c’est fini à notre dernière soirée, quand j’ai tenté de jouer le médiateur ? Pas moi. Pas vraiment. La commotion n’aide pas j’crois. » l’aspirant auror, future figure de la justice, soupira exagérément avant de le regarder du coin de l’œil, un sourire joueur aux lèvres. « Ca m’manque d’ailleurs. Faudrait qu’on s’refasse ça. Juste tous les deux, comme dans l’bon vieux temps. » quand l’un n’était pas collé à la glu à son mec et que l’autre ne l’était pas… à un sorcier qui n’était même pas son mec. Qui était le plus ridicule des deux ? Non. Ne répondez pas.
L’alchimie entre les deux hommes étaient toujours là, intacte malgré le temps passé sans se voir. Il n’en avait pas l’air comme ça, avec sa fâcheuse habitude de feuler dès qu’on l’approchait trop, mais il savourait cet instant auprès de son ami. S’il arrêtait de froncer les sourcils à la moindre occasion, il pourrait peut-être se rendre accessible et montrer au monde qu’il était un gars vraiment sympa, tant qu’on ne l’emmerdait pas. Heureusement pour lui, ses proches avaient rapidement cerné sa personnalité et parvenaient à décrypter ses grognements avec une précision effrayante. Max n’en était pas à son coup d’essai avec lui et aura certainement compris que derrière ses cils noirs, il était terriblement content de le retrouver.
La e-cigarette tourna entre ses doigts, à l’image du bâton des majorettes, avant de retrouver tant bien que mal la sécurité de sa poche. Oui, sécurité ! Pour une fois que ça poche n’était pas trouée…
« Pourquoi tu doutes autant d’toi Max ? T’es monstrueusement canon et j’sais d’quoi je parle. J’compte plus les fois où j’ai pu m’brûler les rétines à force de voir tes fesses blanches. Pete est surement pas l’seul intéressé par ta plastique. T’es juste trop aveuglé pour t’en rendre compte. L’pire c’est qu’ils doivent le penser sans te connaitre. T’imagines le harem que t’aurais sinon ? Drummond a d’la chance de t’avoir. Rentre le dans ta p’tite tête. »
Le Wright avait perçu son désarroi et la drôle de chose qui lui servait de conscience s’affola. Merde. Il était vraiment pas doué pour ce genre de choses. Maladroitement, il posa sa main sur son genou. Il était là, affreusement nul, mais il faisait de son mieux. Il reprit son sérieux, autant que faire ce peu.
« Tu sais, j’ai jamais été fichu d’entretenir une relation viable alors j’suis peut-être complétement à côté d’la plaque mais on est rarement mal sans raison ? Surtout qu’là, pour l’coup, tu l’as carrément bien ciblée. J’connais mal Pete mais il n’a pas l’air du genre à blesser quelqu’un volontairement. Encore moins quelqu’un qu’il aime. Ca ne le dédouane en rien, attention. Si j’tombais amoureux, j’serais terriblement possessif. Y’a qu’à voir comment j’peux l’être avec Ch-mes potes. » Il roula si fort des yeux qu’on ne devina plus que le blanc pendant deux bonnes secondes, avant de reprendre comme si de rien était. « C’que je veux dire, c’est que chacun à sa limite. C’est pas parce que vous vous aimez qu’ça pardonne tout. En agissant comme un con avec ce gars, il te blesse. Maintenant, est-ce que tu lui en as parlé ? J’veux dire : tu lui as dit concrètement qu’ça te plaisait pas ? C’qui est choquant pour toi l’est peut-être pas pour lui. »
Il n’accorda plus aucun regard au devoir complètement nase. Pire encore, il le repoussa de l’autre côté de la table pour s’étaler de moitié dessus. Là, comme ça, il lui accordait toute son attention.
Français*
@Maximilien Leroy Personne mentionnée : @Peter Drummond
Valentine ValentineValentine, my decline
Is so much better with you
Valentine, my decline
I'm always running to you
Is so much better with you
Valentine, my decline
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- Maximilien LeroyMODO - french style ♔ sweet golden boy
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» année d'études : 10ème année
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» profession : chroniqueur à la Chouette Enchaînée
» particularité : animagus
» nature du sang : sang-pur
» gallions sous la cape : 8305
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Mer 17 Jan 2024 - 20:35
« Avec plaisir, tu sais bien ! » Ils sont rares, ceux sur qui Maximilien peut compter en dehors de Peter et qui n’ont pas ce foutu attrait perverti par la nature semi-vélane du Drummond. Une nature qu’il a accepté et accepte toujours car c’est comme ça et râler, même en bon Français, n’y changera rien. Mais quand même. Cela le soulage d’en voir un qui ne cède pas, qui n’a pas que son nom à la bouche et sa main sur ses fesses. Tiens, voilà qu’il recommence à bougonner dans sa tête… Peut-être qu’une soirée sans toutes ces questions lui fera le plus grand bien oui. Lewis sait bien le distraire après tout, le passé l’a prouvé ! Et cette fois, ils ne seront pas obligés d’en faire trop.
Les doutes sont posés et une fois les mots partis, il est impossible de les reprendre. Pourtant, Max les lâche à une vitesse affolante, conscient qu’il peut passer pour un excessif jaloux mais cherchant dans cette délivrance de lettres celle qui saura lui apaiser l’âme.
« S’il y en a d’autres, ils ne se sont jamais manifestés et ce n’est pas comme si je le regrettais ! Je n’ai juste pas l’impression qu’il sache ce que ça fait de mon point de vue, c’est tout. On ne me montre pas d’intérêt de ce genre et de toute façon, je ne saurais pas comment y répondre. Ni même le voir. Mais Peter, c’est tellement évident ! Ils sont tous là à lorgner dessus, à baver dessus, à chercher à en avoir un morceau que ça me dégoûte de penser qu’à la moindre faiblesse, il pourrait… je pourrais le perdre au profit d’un autre. » N’est-ce pas idiot ? Après tout ce qu’ils ont vécu, sachant l’amour qu’ils se renouvellent par la voix suffisamment souvent pour qu’aucun des deux ne puisse l’oublier… Comment peut-il encore avoir ces pensées, ces doutes qui l’assaillent de toute part ? Ce sont ces regards qu’il ne parvient pas à dépasser, cette jalousie et cette envie qui creusent leurs traits et illuminent leurs iris quand le Wright arrive dans une pièce. Quand il leur fait la bise ou les prend dans ses bras parce qu’il est comme ça, amical et tactile. Il voit les gestes qui s’éternisent sur sa peau, les regards langoureux et parfois lubriques. C’est la vélane en lui, rien d’autre, se répète-t-il sans cesse, comme une litanie. Et même si elle est vraie, cela n’enlève en rien les actions qui se déroulent sous ses yeux.
Maximilien relève les yeux sur son ami, note le lapsus et se promet d’y revenir plus tard, quand son esprit sera plus clair et sa raison confortée. Il déglutit si fort que toute la bibliothèque doit l’entendre. L’idée d’en parler à Peter l’effraie, non pas pour le jugement qu’il aurait mais pour la peine qu’il provoquerait et le gouffre qui s’installerait en eux. Il tient la pelle et se retient de toutes ses forces de ne pas commencer à creuser. Il les entend, les mots. « Tu t’en fais pour rien, tu es trop jaloux, on en a déjà parlé, c’est juste un ami, j’ai le droit d’avoir des amis, c’est pas parce que c’est mon ex que je vais coucher avec lui, t’en fais encore une montagne, t’es trop possessif… » Oh oui il les entend, clairs comme de l’eau de roche. Et une fois dit, ces mots ne pourront être repris.
« Non, je n’ai rien dit encore. Ce n’est pas évident. Parce qu’il est comme ça, d’un naturel chaleureux, qu’il y a des choses qui font que… que ça ne peut pas changer, qu’il attirera toujours tout le monde comme du sucre les mouches. Je ne peux pas changer sa personnalité, c’est d’elle aussi dont je suis tombé amoureux, tu comprends ? » Il geint, croise les bras sur la table et enfouit sa tête dedans. L’obscurité lui fait le plus grand bien. Là, il a le temps de trier ses pensées – ou au moins, de réarranger un tout petit peu le désordre qui y règne en maître.
« Puis même si lui accepte de faire gaffe à ses gestes, j’ai pas de contrôle sur son ex. J’peux pas lui imposer de respecter notre relation. Ni l’empêcher de le voir. Dans tous les cas, c’est moi qui passera pour l’emmerdeur de première… Des fois je me demande si je ne ferais pas mieux d’attendre qu’il me trompe et décider de ce que je veux faire à ce moment-là… » Sa gorge se bloque. C’est la première fois que cette pensée s’exprime et elle lui glace le sang. C’est d’une lâcheté sans nom et d’un irrespect fou envers son partenaire. Et pourtant…
@Lewis Barghest
Les doutes sont posés et une fois les mots partis, il est impossible de les reprendre. Pourtant, Max les lâche à une vitesse affolante, conscient qu’il peut passer pour un excessif jaloux mais cherchant dans cette délivrance de lettres celle qui saura lui apaiser l’âme.
« S’il y en a d’autres, ils ne se sont jamais manifestés et ce n’est pas comme si je le regrettais ! Je n’ai juste pas l’impression qu’il sache ce que ça fait de mon point de vue, c’est tout. On ne me montre pas d’intérêt de ce genre et de toute façon, je ne saurais pas comment y répondre. Ni même le voir. Mais Peter, c’est tellement évident ! Ils sont tous là à lorgner dessus, à baver dessus, à chercher à en avoir un morceau que ça me dégoûte de penser qu’à la moindre faiblesse, il pourrait… je pourrais le perdre au profit d’un autre. » N’est-ce pas idiot ? Après tout ce qu’ils ont vécu, sachant l’amour qu’ils se renouvellent par la voix suffisamment souvent pour qu’aucun des deux ne puisse l’oublier… Comment peut-il encore avoir ces pensées, ces doutes qui l’assaillent de toute part ? Ce sont ces regards qu’il ne parvient pas à dépasser, cette jalousie et cette envie qui creusent leurs traits et illuminent leurs iris quand le Wright arrive dans une pièce. Quand il leur fait la bise ou les prend dans ses bras parce qu’il est comme ça, amical et tactile. Il voit les gestes qui s’éternisent sur sa peau, les regards langoureux et parfois lubriques. C’est la vélane en lui, rien d’autre, se répète-t-il sans cesse, comme une litanie. Et même si elle est vraie, cela n’enlève en rien les actions qui se déroulent sous ses yeux.
Maximilien relève les yeux sur son ami, note le lapsus et se promet d’y revenir plus tard, quand son esprit sera plus clair et sa raison confortée. Il déglutit si fort que toute la bibliothèque doit l’entendre. L’idée d’en parler à Peter l’effraie, non pas pour le jugement qu’il aurait mais pour la peine qu’il provoquerait et le gouffre qui s’installerait en eux. Il tient la pelle et se retient de toutes ses forces de ne pas commencer à creuser. Il les entend, les mots. « Tu t’en fais pour rien, tu es trop jaloux, on en a déjà parlé, c’est juste un ami, j’ai le droit d’avoir des amis, c’est pas parce que c’est mon ex que je vais coucher avec lui, t’en fais encore une montagne, t’es trop possessif… » Oh oui il les entend, clairs comme de l’eau de roche. Et une fois dit, ces mots ne pourront être repris.
« Non, je n’ai rien dit encore. Ce n’est pas évident. Parce qu’il est comme ça, d’un naturel chaleureux, qu’il y a des choses qui font que… que ça ne peut pas changer, qu’il attirera toujours tout le monde comme du sucre les mouches. Je ne peux pas changer sa personnalité, c’est d’elle aussi dont je suis tombé amoureux, tu comprends ? » Il geint, croise les bras sur la table et enfouit sa tête dedans. L’obscurité lui fait le plus grand bien. Là, il a le temps de trier ses pensées – ou au moins, de réarranger un tout petit peu le désordre qui y règne en maître.
« Puis même si lui accepte de faire gaffe à ses gestes, j’ai pas de contrôle sur son ex. J’peux pas lui imposer de respecter notre relation. Ni l’empêcher de le voir. Dans tous les cas, c’est moi qui passera pour l’emmerdeur de première… Des fois je me demande si je ne ferais pas mieux d’attendre qu’il me trompe et décider de ce que je veux faire à ce moment-là… » Sa gorge se bloque. C’est la première fois que cette pensée s’exprime et elle lui glace le sang. C’est d’une lâcheté sans nom et d’un irrespect fou envers son partenaire. Et pourtant…
@Lewis Barghest
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» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Sortilèges, Métamorphoseㅡ options facultatives :▣ Droit Magique, Étude des Runes et Potions (abandonnée après validation de sa troisième année).
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Ven 19 Jan 2024 - 19:05
Pour sûr qu’il le savait, mais l’entendre de la bouche du français ne pouvait pas lui faire plus plaisir. Il ne fallait rien de moins pour que son aspect taciturne disparaisse, pour laisser place à cet air de gamin sous cortisone. Inarrêtable. Inépuisable.
« Parfait. J’m’occuperai d’organiser ça. »
Des millions d’idées défilaient déjà dans sa foutue caboche, sans qu’aucune ne soit suffisamment intéressante pour daigner être retenue. Ça faisait si longtemps qu’il n’avait pas pu passer un moment rien que tous les deux, en dehors d’une salle poussiéreuse j’entends, qu’il voulait trouver la combinaison parfaite pour une soirée… Parfaite ? Oui. Logique.
Puis, en un claquement de doigts, ses sourcils se froncèrent et les petites ridules qui marquaient l’espace au-dessus de son nez apparurent. Il était tantôt peiné de voir la si médiocre image que Maximilien avait de lui-même, tantôt agacé par la comparaison qu’il ne cessait de faire. S’il mourrait d’envie de le prendre par les épaules et de le secouer comme un vulgaire sac de pommes de terre, il n’en fit rien. Par miracle, il avait pris le temps de réfléchir et de se dire que, peut-être, il valait mieux tendre l’oreille que de crier dans la sienne.
« Max, il faudrait qu’ils brandissent un panneau de deux mètres de haut pour que tu l’remarques. Ça a toujours été l’cas d’puis que je te connais. » lui dit-il en tordant sa mouche en un simulacre de sourire. Peu mieux faire.
« Oui je comprends. L’amour, ça peut pas se contrôler. Quand tu aimes, c’est l’être entier ou rien du tout. »
Preuve en est, il n’avait jamais été foutu de tomber amoureux jusqu’à présent. Y’avait toujours quelque chose qui le freinait ou pire, l’ennuyait au plus haut point. Il y avait constamment une raison qui le faisait baisser les bras à la moindre difficulté rencontré, comme pour justifier le fait qu’il n’arrivait jamais à s’attacher.
« Je comprends que tu puisses avoir peur de sa réaction mais tu n’crois pas qu’il mériterait d’entendre tout ça ? Si comme tu dis, il est incapable de changer sa nature profonde, va bien falloir que tu l’acceptes et pour que tu puisses le digérer, faut qu’il puisse te rassurer. J’vois pas comment il pourrait avoir l’idée de le faire si pour lui, tout va bien dans l’meilleur des mondes. Tu vois c’que je veux dire ? »
Machinalement, Barghest commença à faire rouler l’un des crayons de bois sur la table. En avant. En arrière. En avant…
« T’as pas à gérer son ex. C’est à Pete de lui foutre une limite. C’est son boulot de te protéger. T’as vu dans quel état ça t’met cette histoire ? C’est pas sain. Faut qu’tu lui parles. T’as confiance en lui, alors parles-lui. »
… En arrière. Stop. Lewis se redressa légèrement et toisa l’un de ses plus anciens amis.
« T’as toujours confiance en lui, pas vrai ? »
Sans confiance, comment parler d'amour ?
@Maximilien Leroy mention : @Peter Drummond
« Parfait. J’m’occuperai d’organiser ça. »
Des millions d’idées défilaient déjà dans sa foutue caboche, sans qu’aucune ne soit suffisamment intéressante pour daigner être retenue. Ça faisait si longtemps qu’il n’avait pas pu passer un moment rien que tous les deux, en dehors d’une salle poussiéreuse j’entends, qu’il voulait trouver la combinaison parfaite pour une soirée… Parfaite ? Oui. Logique.
Puis, en un claquement de doigts, ses sourcils se froncèrent et les petites ridules qui marquaient l’espace au-dessus de son nez apparurent. Il était tantôt peiné de voir la si médiocre image que Maximilien avait de lui-même, tantôt agacé par la comparaison qu’il ne cessait de faire. S’il mourrait d’envie de le prendre par les épaules et de le secouer comme un vulgaire sac de pommes de terre, il n’en fit rien. Par miracle, il avait pris le temps de réfléchir et de se dire que, peut-être, il valait mieux tendre l’oreille que de crier dans la sienne.
« Max, il faudrait qu’ils brandissent un panneau de deux mètres de haut pour que tu l’remarques. Ça a toujours été l’cas d’puis que je te connais. » lui dit-il en tordant sa mouche en un simulacre de sourire. Peu mieux faire.
« Oui je comprends. L’amour, ça peut pas se contrôler. Quand tu aimes, c’est l’être entier ou rien du tout. »
Preuve en est, il n’avait jamais été foutu de tomber amoureux jusqu’à présent. Y’avait toujours quelque chose qui le freinait ou pire, l’ennuyait au plus haut point. Il y avait constamment une raison qui le faisait baisser les bras à la moindre difficulté rencontré, comme pour justifier le fait qu’il n’arrivait jamais à s’attacher.
« Je comprends que tu puisses avoir peur de sa réaction mais tu n’crois pas qu’il mériterait d’entendre tout ça ? Si comme tu dis, il est incapable de changer sa nature profonde, va bien falloir que tu l’acceptes et pour que tu puisses le digérer, faut qu’il puisse te rassurer. J’vois pas comment il pourrait avoir l’idée de le faire si pour lui, tout va bien dans l’meilleur des mondes. Tu vois c’que je veux dire ? »
Machinalement, Barghest commença à faire rouler l’un des crayons de bois sur la table. En avant. En arrière. En avant…
« T’as pas à gérer son ex. C’est à Pete de lui foutre une limite. C’est son boulot de te protéger. T’as vu dans quel état ça t’met cette histoire ? C’est pas sain. Faut qu’tu lui parles. T’as confiance en lui, alors parles-lui. »
… En arrière. Stop. Lewis se redressa légèrement et toisa l’un de ses plus anciens amis.
« T’as toujours confiance en lui, pas vrai ? »
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Dim 21 Jan 2024 - 17:36
« Je vois oui, en même temps son rôle n’est pas non plus de me rassurer tout le temps… Faut aussi que je me fasse une raison. » Et à partir de là, comment se dire qu’il est plus logique de lui en parler en face à face ? S’il n’y a rien à faire, rien à changer, à quoi bon traverser une discussion houleuse ? Peter ne comprendra pas, Maximilien s’en voudra d’avoir abordé le sujet et ils finiront sur une note d’incompréhension et de ressentiment qui n’arrangera en rien leurs affaires. La communication est la clé, certes… mais quand il n’y a plus rien à dire, est-ce que ça vaut vraiment le coup de continuer à parler ? Et pour dire quoi, au final ? « Tu ne sais pas me rassurer, c’est ton ex ou moi » ? Jamais il ne sera la personne qui prononcera ces mots.
Pendant un instant, son regard fixe le vide. La question rebondit aux quatre coins de son cerveau non parce qu’il n’y trouve pas de réponse, mais parce qu’elle est si évidente qu’il cherche le piège qui se cache forcément derrière cette facilité.
« Oui, bien sûr. Là n’est pas la question. C’est l’autre en qui je n’ai pas confiance. Alors certes, Peter le repoussera, mais ça n’empêche qu’il l’aura touché, il aura eu les gestes et que rien ne pourra les reprendre. Et moi, j’aurai juste l’air d’un con. Parce que c’est ce que tout le monde doit se dire quand ils sont vus ensemble, non ? Que je dois être débile. Tu les as jamais vu, toi ? T’en penses quoi ? » En tant que Wright, il traîne forcément avec des potes de Peter et donc, par conséquent, avec lui. Il le sait, il n’en doute pas, il les a forcément vu. Peut-être même les a-t-il connu lorsqu’ils étaient ensemble, dans cette relation libre régie par le sexe. Parce que l’excuse du « ce n’était qu’un plan cul » n’a rien de rassurant aux oreilles de Maximilien. Pour lui, l’amour et le sexe sont liés, ils finissent toujours par se croiser un jour ou l’autre. Ça a été le cas pour lui, pourquoi pas pour les autres ? Pourquoi pas pour Peter ? Pour Dakota ?
« Attention, je ne dis pas que je regrette d’être là où j’en suis hein, pas du tout. Mais le quotidien est quand même plus simple quand on n’est pas engagé émotionnellement avec une autre personne. T’es seul toi en ce moment, non ? Personne pour te titiller le cerveau ? » Il a fini par le comprendre, Lewis n’est pas exactement régi par les mêmes forces que lui. Il ne l’a pas vu très souvent en couple et jamais pour de longues périodes. Pas qu’il se souvienne, en tout cas. Peut-être n’aime-t-il pas ça… ?
@Lewis Barghest
Pendant un instant, son regard fixe le vide. La question rebondit aux quatre coins de son cerveau non parce qu’il n’y trouve pas de réponse, mais parce qu’elle est si évidente qu’il cherche le piège qui se cache forcément derrière cette facilité.
« Oui, bien sûr. Là n’est pas la question. C’est l’autre en qui je n’ai pas confiance. Alors certes, Peter le repoussera, mais ça n’empêche qu’il l’aura touché, il aura eu les gestes et que rien ne pourra les reprendre. Et moi, j’aurai juste l’air d’un con. Parce que c’est ce que tout le monde doit se dire quand ils sont vus ensemble, non ? Que je dois être débile. Tu les as jamais vu, toi ? T’en penses quoi ? » En tant que Wright, il traîne forcément avec des potes de Peter et donc, par conséquent, avec lui. Il le sait, il n’en doute pas, il les a forcément vu. Peut-être même les a-t-il connu lorsqu’ils étaient ensemble, dans cette relation libre régie par le sexe. Parce que l’excuse du « ce n’était qu’un plan cul » n’a rien de rassurant aux oreilles de Maximilien. Pour lui, l’amour et le sexe sont liés, ils finissent toujours par se croiser un jour ou l’autre. Ça a été le cas pour lui, pourquoi pas pour les autres ? Pourquoi pas pour Peter ? Pour Dakota ?
« Attention, je ne dis pas que je regrette d’être là où j’en suis hein, pas du tout. Mais le quotidien est quand même plus simple quand on n’est pas engagé émotionnellement avec une autre personne. T’es seul toi en ce moment, non ? Personne pour te titiller le cerveau ? » Il a fini par le comprendre, Lewis n’est pas exactement régi par les mêmes forces que lui. Il ne l’a pas vu très souvent en couple et jamais pour de longues périodes. Pas qu’il se souvienne, en tout cas. Peut-être n’aime-t-il pas ça… ?
@Lewis Barghest
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» âge : 28 (13/02/1996)
» situation : celibataire
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» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Sortilèges, Métamorphoseㅡ options facultatives :▣ Droit Magique, Étude des Runes et Potions (abandonnée après validation de sa troisième année).
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Mer 24 Jan 2024 - 9:39
Ne pas le secouer. Ne pas rouler des yeux. Ne pas souffler et encore moins lui feuler dessus. Lewis respectait là d’impossibles contraintes pour permettre à son ami de libérer sa parole. Il n’était pas d’accord avec lui et estimait qu’une confrontation honnête valait mille "et si ?". En ce qui les concernait, bien sûr. Faites ce que je dis, pas ce que je fais.
« Il est pas là uniquement pour ça, c’est clair… Mais il doit participer à ce qu’un climat sain s’maintienne tout autant que toi. C’est un travail à parts égales sur le long terme l’amour. » Un hoquet se fit entendre, signe de rire qu’il avait étouffé en pinçant ses lèvres trop fort. « Mec, tu m’entends parler ? »
Le crayon glissa sur la table, occupant ses mains à la place de sa bien aimée cigarette. Il devait être foutrement insupportable -plus que d’habitude. Au moins, il était concentré et prêtait une oreille aussi attentive que possible. Vint alors la question fatidique. Celle dont dépendait la santé de leur relation. Comment avancer avec quelqu’un en qui on a plus confiance ? C’est impensable, que ce soit en amitié ou en amour. Peut-être que le français n’était pas prêt à s’interroger de la sorte, que ça lui ferait du mal mais des fois, il valait mieux tirer sur le pansement d’un coup sec que de s’éterniser. Le poing fermé contre sa joue, son coude en appui sur la table, Barghest attendit patiemment sa réponse et sourit en l’entendant. Bien. Tout n’était pas perdu.
« C’est un pauvre type. C’est bien que t’es pas confiance en lui. Tu lui dois rien, et encore moins ça. Il va s’mettre dans la merde tout seul en grattant à la porte de son ex. Ex qui est en couple, qui plus est. J’ai dû les croiser mais sans plus. J’ai réellement parlé à ton mec qu’au bal, quand j’ai manqué d’me ridiculiser. J’ferai plus attention maintenant que je sais tout ça. ‘Puis tant que Pete le jette, c’est tout c’qui compte non ? Même si ça fait mal de voir ça, j’te l’accorde volontiers. Et j’me disais… »
Il délaissa une bonne fois pour toute le crayon de bois pour caler son menton entre ses mains, son regard partant au loin. Une idée avait surgit sans prévenir, comme ça, et il se demandait vraiment si elle valait la peine d’être dite. Son regard chaud coula sur lui avant qu’un soupire ne se fasse entendre.
« Tu disais que Pete voyait pas forcement l’mal la dedans. Qu’il avait toujours été entouré de cette façon, que c’était sa personnalité et toutes ces c-tout ça. Puisque d’après toi, ça ne changera pas au risque de changer c’lui que t’aime, comment il réagirait si tu d’venais pareil ? Attends. Je t’explique. M’hurles pas dessus tout de suite. »
Il prit une grande respiration et croisa ses bras sur son torse avant de partir en arrière, se tenant en équilibre précaire sur les deux derniers pieds de la chaise.
« Pour toi, t’as jamais été au centre de c’genre d’attention, y’a toujours eu que lui pour toi. C’est adorable hein ! Et très sécurisant pour lui. Et si ça changeait ? Si soudainement des "mouches" te tournaient autour ? Quelqu’un qui n’a jamais eu de raison d’être jaloux ne pourrait pas comprendre c’que tu ressens. Tu vois où j’veux en venir Beauté? »
Et là, à bien y regarder, deux de ses épis semblaient former des cornes. Son sourire en coin n’aidait en rien à conserver son image d’ange. De-Comment ça, il en avait jamais eu ? Mince. Qu’à cela ne tienne, à défaut il adopterait une mine revêche. D’ailleurs, il venait de la retrouver suite à la dernière question posée par son ami. S’il était tenté de répondre qu’il n’avait besoin de personne parce qu’il avait déjà Keir, il se ravisa. Il ne se voyait pas expliquer encore en quoi leur relation tenait de l’amitié à quelqu’un qui vivait déjà mal l’amitié tordue qu’entretenait son mec avec son ex. Le déni emmitouflé par de bonnes intentions, vous connaissez ?
« Ouai. Ca fait un moment d’ailleurs. J’pas trop la tête à ça en ce moment et… Bah tu m’connais. Si je suis pas disponible pour ce genre de chose, ça bloque. Même quand j’fais un effort d’ailleurs. J’sais pas trop si ça vaut le coup que je m’investisse dans quelque chose qui s’éclatera en moins de trente jours. »
Le pire, c’est que la solitude ne l’affectait pas plus que ça. Bien sûr, quand il voyait Cat, Alex ou Max roucouler comme des andouilles, ça lui faisait un petit quelque chose. Même Andrew avait quelqu’un. Ne parlons même pas de Charlie qui avait ramené sa cavalière. Il se demandait s’il était pas détraqué puisqu’impossible d’entretenir une quelconque relation ou de tomber amoureux. Il avait essayé, joué le jeu quelque fois mais avait toujours fini par baisser les bras. Il se pensait incapable de ressentir ce "truc" dont ils parlaient tous, même s’il en avait envie. Parfois.
« J’ai fais la connaissance d’une nana au bal. Holly . Elle avait l’air cool alors j’lui ai envoyé un message et on s’est revu. Rien de bien croustillant d’mon côté. Comme d’hab’ quoi. »
Avait-il oublié de mentionner la raison réelle de cette envie soudaine de la revoir ? Oui. Sciemment. Il se sentait encore foutrement con, en y repensant. Il avait aussi le sentiment d’avoir fait quelque chose de mal, sans comprendre pourquoi.
« J’me suis rangé depuis Ian. Tellement bien que j’prends la poussière maintenant. Comme une antiquité ! »
Il commença à se balancer, ses épaules sautant sous ses gloussements.
@Maximilien Leroy
Personnes mentionnées : @Cataleya Blackthorn @Alexander McCandless @Charlie Keir @Andrew Hill @Peter Drummond @Ian McCavish @Holly De Launay
« Il est pas là uniquement pour ça, c’est clair… Mais il doit participer à ce qu’un climat sain s’maintienne tout autant que toi. C’est un travail à parts égales sur le long terme l’amour. » Un hoquet se fit entendre, signe de rire qu’il avait étouffé en pinçant ses lèvres trop fort. « Mec, tu m’entends parler ? »
Le crayon glissa sur la table, occupant ses mains à la place de sa bien aimée cigarette. Il devait être foutrement insupportable -plus que d’habitude. Au moins, il était concentré et prêtait une oreille aussi attentive que possible. Vint alors la question fatidique. Celle dont dépendait la santé de leur relation. Comment avancer avec quelqu’un en qui on a plus confiance ? C’est impensable, que ce soit en amitié ou en amour. Peut-être que le français n’était pas prêt à s’interroger de la sorte, que ça lui ferait du mal mais des fois, il valait mieux tirer sur le pansement d’un coup sec que de s’éterniser. Le poing fermé contre sa joue, son coude en appui sur la table, Barghest attendit patiemment sa réponse et sourit en l’entendant. Bien. Tout n’était pas perdu.
« C’est un pauvre type. C’est bien que t’es pas confiance en lui. Tu lui dois rien, et encore moins ça. Il va s’mettre dans la merde tout seul en grattant à la porte de son ex. Ex qui est en couple, qui plus est. J’ai dû les croiser mais sans plus. J’ai réellement parlé à ton mec qu’au bal, quand j’ai manqué d’me ridiculiser. J’ferai plus attention maintenant que je sais tout ça. ‘Puis tant que Pete le jette, c’est tout c’qui compte non ? Même si ça fait mal de voir ça, j’te l’accorde volontiers. Et j’me disais… »
Il délaissa une bonne fois pour toute le crayon de bois pour caler son menton entre ses mains, son regard partant au loin. Une idée avait surgit sans prévenir, comme ça, et il se demandait vraiment si elle valait la peine d’être dite. Son regard chaud coula sur lui avant qu’un soupire ne se fasse entendre.
« Tu disais que Pete voyait pas forcement l’mal la dedans. Qu’il avait toujours été entouré de cette façon, que c’était sa personnalité et toutes ces c-tout ça. Puisque d’après toi, ça ne changera pas au risque de changer c’lui que t’aime, comment il réagirait si tu d’venais pareil ? Attends. Je t’explique. M’hurles pas dessus tout de suite. »
Il prit une grande respiration et croisa ses bras sur son torse avant de partir en arrière, se tenant en équilibre précaire sur les deux derniers pieds de la chaise.
« Pour toi, t’as jamais été au centre de c’genre d’attention, y’a toujours eu que lui pour toi. C’est adorable hein ! Et très sécurisant pour lui. Et si ça changeait ? Si soudainement des "mouches" te tournaient autour ? Quelqu’un qui n’a jamais eu de raison d’être jaloux ne pourrait pas comprendre c’que tu ressens. Tu vois où j’veux en venir Beauté? »
Et là, à bien y regarder, deux de ses épis semblaient former des cornes. Son sourire en coin n’aidait en rien à conserver son image d’ange. De-Comment ça, il en avait jamais eu ? Mince. Qu’à cela ne tienne, à défaut il adopterait une mine revêche. D’ailleurs, il venait de la retrouver suite à la dernière question posée par son ami. S’il était tenté de répondre qu’il n’avait besoin de personne parce qu’il avait déjà Keir, il se ravisa. Il ne se voyait pas expliquer encore en quoi leur relation tenait de l’amitié à quelqu’un qui vivait déjà mal l’amitié tordue qu’entretenait son mec avec son ex. Le déni emmitouflé par de bonnes intentions, vous connaissez ?
« Ouai. Ca fait un moment d’ailleurs. J’pas trop la tête à ça en ce moment et… Bah tu m’connais. Si je suis pas disponible pour ce genre de chose, ça bloque. Même quand j’fais un effort d’ailleurs. J’sais pas trop si ça vaut le coup que je m’investisse dans quelque chose qui s’éclatera en moins de trente jours. »
Le pire, c’est que la solitude ne l’affectait pas plus que ça. Bien sûr, quand il voyait Cat, Alex ou Max roucouler comme des andouilles, ça lui faisait un petit quelque chose. Même Andrew avait quelqu’un. Ne parlons même pas de Charlie qui avait ramené sa cavalière. Il se demandait s’il était pas détraqué puisqu’impossible d’entretenir une quelconque relation ou de tomber amoureux. Il avait essayé, joué le jeu quelque fois mais avait toujours fini par baisser les bras. Il se pensait incapable de ressentir ce "truc" dont ils parlaient tous, même s’il en avait envie. Parfois.
« J’ai fais la connaissance d’une nana au bal. Holly . Elle avait l’air cool alors j’lui ai envoyé un message et on s’est revu. Rien de bien croustillant d’mon côté. Comme d’hab’ quoi. »
Avait-il oublié de mentionner la raison réelle de cette envie soudaine de la revoir ? Oui. Sciemment. Il se sentait encore foutrement con, en y repensant. Il avait aussi le sentiment d’avoir fait quelque chose de mal, sans comprendre pourquoi.
« J’me suis rangé depuis Ian. Tellement bien que j’prends la poussière maintenant. Comme une antiquité ! »
Il commença à se balancer, ses épaules sautant sous ses gloussements.
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Sam 27 Jan 2024 - 22:47
Il y a de quoi rire. Lewis, plus avisé que lui sur le sujet de l’amour ? On tombe des nues ! Mais ce n’est pas pour rien s’il lui en parle à lui plutôt qu’à un.e autre. Dans sa franchise presque démodée, Barghest sait remettre les pendules à l’heure et faire se questionner sur ce qu’il est plus logique de mettre en place comme action. Cela permet à Maximilien de réaliser l’étendue de sa bêtise.
Le voilà qu’il relève les yeux vers lui, curieux comme pas deux. Il voit dans l’iris de Lewis une lueur diablotine qui ne lui dit rien qui vaille. Et pourtant, il s’y raccroche comme moule à son rocher. Quand sa bouche s’ouvre pour protester, son ami l’oblige à écouter. Et il tend l’oreille, Maximilien, anxieux à l’idée de découvrir ce plan supposé équilibrer une balance dont Peter n’a même pas conscience du dérèglement. Il passe par toutes les émotions de la palette, de l’incompréhension au doute, à la colère aussi… Rien ne dit que tout ceci fonctionnera. Cela pourrait précipiter son couple vers la prochaine sortie d’autoroute… Et il aime rouler sur cette autoroute !
« Oh oui je vois… Peut-être que ça pourrait marcher. Je suis sûr qu’il le verrait. Mais sa réaction… je ne saurais pas te dire ce qu’elle sera. Et s’il s’en fout ? » Ce serait horrible d’être le seul à éprouver ce sentiment mesquin. Puis, il ne peut pas avouer à Lewis la vraie nature de Peter et ce que la colère risque de provoquer chez lui. Il ne veut pas le outer juste parce qu’il est jaloux de sa relation avec son ex… Et en même temps… ne serait-ce pas bon pour eux que cette jalousie soit partagée ? Acceptée ? Équilibrée ?
Maximilien a un œil suspicieux envers Lewis. Apparemment, il n’est pas le seul à se mettre des œillères… « Mais sans tenter, comment savoir si ça dépassera les trente jours ? » ose-t-il demander, plein d’espoir. Il n’attend de personne de suivre son exemple. Son couple n’appartient qu’à lui, tout comme sa sexualité et il trouve normal que Lewis fasse les choses à sa façon. Mais ce qu’il entend, surtout, c’est une profonde résignation qui étouffe dans l’œuf toute potentielle histoire d’amour. Sans mentir, il s’attend à ce qu’il lui parle de Charlie, ce p’tit bonhomme avec qui il a l’air de passer tout son temps. Contre toute attente, son ami lui parle d’Holly. Un brusque retournement de situation qu’il n’a pas vu venir.
« T’envisages quelque chose avec elle ? Parce que j’avais cru que… » Ses mots s'évanouissent tandis que son cerveau bouillonne. Il se repasse les quelques secondes qui ont fait de lui un ami heureux pour son pote. Il rit avec lui, garde sa phrase en suspens. La reprend, plus audacieux. « Je pensais qu’après avoir embrassé Keir au bal, vous seriez enfin ensemble. ‘Fin tu n’ignores pas ce qui se dit non ? J’aime pas spécialement colporter des rumeurs mais… c’était pas un smack, Lew. Même de là où on était avec Peter, on a vu le frenchkiss. Tu vas pas me dire que c’était qu’un délire de pote hein ? » Et puis, surtout, il est sorti quand avec Holly ? Avant ? Après ça ? Lui qui pensait sa situation complexe, il a trouvé son maître…
@Lewis Barghest
Le voilà qu’il relève les yeux vers lui, curieux comme pas deux. Il voit dans l’iris de Lewis une lueur diablotine qui ne lui dit rien qui vaille. Et pourtant, il s’y raccroche comme moule à son rocher. Quand sa bouche s’ouvre pour protester, son ami l’oblige à écouter. Et il tend l’oreille, Maximilien, anxieux à l’idée de découvrir ce plan supposé équilibrer une balance dont Peter n’a même pas conscience du dérèglement. Il passe par toutes les émotions de la palette, de l’incompréhension au doute, à la colère aussi… Rien ne dit que tout ceci fonctionnera. Cela pourrait précipiter son couple vers la prochaine sortie d’autoroute… Et il aime rouler sur cette autoroute !
« Oh oui je vois… Peut-être que ça pourrait marcher. Je suis sûr qu’il le verrait. Mais sa réaction… je ne saurais pas te dire ce qu’elle sera. Et s’il s’en fout ? » Ce serait horrible d’être le seul à éprouver ce sentiment mesquin. Puis, il ne peut pas avouer à Lewis la vraie nature de Peter et ce que la colère risque de provoquer chez lui. Il ne veut pas le outer juste parce qu’il est jaloux de sa relation avec son ex… Et en même temps… ne serait-ce pas bon pour eux que cette jalousie soit partagée ? Acceptée ? Équilibrée ?
Maximilien a un œil suspicieux envers Lewis. Apparemment, il n’est pas le seul à se mettre des œillères… « Mais sans tenter, comment savoir si ça dépassera les trente jours ? » ose-t-il demander, plein d’espoir. Il n’attend de personne de suivre son exemple. Son couple n’appartient qu’à lui, tout comme sa sexualité et il trouve normal que Lewis fasse les choses à sa façon. Mais ce qu’il entend, surtout, c’est une profonde résignation qui étouffe dans l’œuf toute potentielle histoire d’amour. Sans mentir, il s’attend à ce qu’il lui parle de Charlie, ce p’tit bonhomme avec qui il a l’air de passer tout son temps. Contre toute attente, son ami lui parle d’Holly. Un brusque retournement de situation qu’il n’a pas vu venir.
« T’envisages quelque chose avec elle ? Parce que j’avais cru que… » Ses mots s'évanouissent tandis que son cerveau bouillonne. Il se repasse les quelques secondes qui ont fait de lui un ami heureux pour son pote. Il rit avec lui, garde sa phrase en suspens. La reprend, plus audacieux. « Je pensais qu’après avoir embrassé Keir au bal, vous seriez enfin ensemble. ‘Fin tu n’ignores pas ce qui se dit non ? J’aime pas spécialement colporter des rumeurs mais… c’était pas un smack, Lew. Même de là où on était avec Peter, on a vu le frenchkiss. Tu vas pas me dire que c’était qu’un délire de pote hein ? » Et puis, surtout, il est sorti quand avec Holly ? Avant ? Après ça ? Lui qui pensait sa situation complexe, il a trouvé son maître…
@Lewis Barghest
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» âge : 28 (13/02/1996)
» situation : celibataire
» année d'études : 10ème
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Jeu 1 Fév 2024 - 18:31
Avec les années, Barghest avait appris à anticiper les réactions de l’abeille et à utiliser cette science à son avantage. Il s’imaginait capable de conduire la plupart de leur discussion, passant du point A au point C sans difficulté, le point B étant gentiment balayé sous le tapis. L’air de rien. S’il prenait le temps de choisir intelligemment chacun de ses mots, il n’aurait sans doute pas vu mille et une couleur teinter son visage. Il est comme il est, après tout. Si la manipulation est un outil comme un autre à ses yeux, jamais il n’imaginerait l’utiliser un jour sur un ami. Encore moins sur Maximilien qui bénéficiait d’une fidélité sans borne de sa part depuis… Toujours ? Oui. Plus ou moins.
« Réfléchis-y. Tu n’as pas cinquante solutions sous le coude et qu’importe ce que tu choisis, rien ne te garantit que le résultat soit celui que tu attends. Tu pourrais aussi être surpris, qui sait ? »
Sa bouche s’entrouvrit plusieurs fois avant de se refermer une bonne fois pour toutes, sans qu’aucun son n’en sorte. Est-ce qu’il pouvait botter en touche et dire que les deux situations n’avaient strictement rien à voir ? Peut-être… Mais ça invaliderait ses propos et les conduiraient de nouveau à la case départ. Ce n’était clairement pas ce qu’il lui souhaitait, alors… A la réflexion… Il s’abstint de mentionner la sainte balance bénéfique-risque, de lui citer chacune de ses relations qui avaient éclatées comme autant de bulles de savon. Au lieu de ça, il lui balança un prénom. C’était une preuve en soit, n’est-ce pas ?
« Je suis pas comme ça. J’peux pas me projeter avec quelqu’un sans l’connaitre. Ça bloque chez moi. C’est pas… Intuitif ? Hm. Oui. On va dire ça comme ça. J’avais juste envie de la revoir. »
Et le pire, c’est qu’il ne voyait vraiment pas de mal à ça. Des fois, il avait vraiment du mal à comprendre pourquoi tout le monde cherchait à se compliquer la vie ? S’il souhaitait voir quelqu’un, en quoi est-ce que ça engageait forcément quelque chose derrière ? Il n’était pas fermé à l’idée mais ne ressentait juste pas cet empressement à se poser ce genre de question. Et quand bien même la vie l’aurait rendu aussi opérationnel que d’autres à ce sujet, il n’était pas sûr d’avoir la volonté nécessaire pour passer le cap d’une relation. Ça l’épuisait déjà, rien que d’y penser. Pourquoi est-ce que ça ne venait pas naturellement, comme pour d’autres ? Un coup de foudre et boom, on en parlait plus. Non, lui, il avait besoin de temps, d’atomes excessivement crochus et même avec ça, rien ne garantissait que ça fonctionne.
Le dernier année se mit à rire de bon cœur, bien vite rejoint par le jaune.
Franchement, pourquoi se prendre la tête à… Attends. Minutes. Il avait cru quoi ? Curieux, le brun tenta de calmer ses gloussements rauques et tendit l’oreille. Erreur fatale.
« Je… Si ? » articula-t-il avec la plus grande maladresse.
Sa main passa sur son visage avant de venir s’appuyer contre sa joue, dissimulant à peine la couleur rosée qui avait décidé de pointer son nez. Dire qu’il avait évité de remettre le sujet sur la table était un doux euphémisme. Il ne regrettait pas son geste mais n’était foutrement pas prêt à affronter les conséquences qui pourraient en découler. Plutôt que de faire face, il avait décidé de faire comme si de rien n’était et d’enfouir son trouble loin. Très loin.
« Ça va faire six ans qu’on dit ça d’nous tu sais. Je fais plus attention maintenant. » Mensonge. « C’était dans l’feu de l’action. J’avais bu un de leur truc et ça m’avait fait pousser du gui sur la tête. Ça l’a fait rire et on s’est embrassé. » Il déglutit difficilement en sentant l’emprunte des lèvres de Charlie sur les siennes. « Je ne sais pas ce qui m’a pris. Il devait y avoir autre chose dans la boisson parce que mon cerveau s’est transformé en guimauve. J’avais le ventre en feu et -» Ok. C’était le moment où il devait reprendre sa respiration avant de tourner de l’œil. Il n’avait jamais parlé aussi vite de sa vie, le grincheux.
« J’ai poussé la blague et… Enfin… Je ne pensais pas à mal du tout ! J’ai été trop loin tu crois ? Ce serait con d’me brouiller avec un pote comme lui pour ça.» Cet homme était l’incarnation même de la mauvaise foi et du déni mélangés. Il y a avait un sacré nœud à démêler et il avait terriblement peur de s’y essayer.
« Vous avez vu quoi ? » se risqua-t-il à demander en le regardant du coin de l’œil, trop honteux pour assumer. T'en penses quoi ?
@Maximilien Leroy
« Réfléchis-y. Tu n’as pas cinquante solutions sous le coude et qu’importe ce que tu choisis, rien ne te garantit que le résultat soit celui que tu attends. Tu pourrais aussi être surpris, qui sait ? »
Sa bouche s’entrouvrit plusieurs fois avant de se refermer une bonne fois pour toutes, sans qu’aucun son n’en sorte. Est-ce qu’il pouvait botter en touche et dire que les deux situations n’avaient strictement rien à voir ? Peut-être… Mais ça invaliderait ses propos et les conduiraient de nouveau à la case départ. Ce n’était clairement pas ce qu’il lui souhaitait, alors… A la réflexion… Il s’abstint de mentionner la sainte balance bénéfique-risque, de lui citer chacune de ses relations qui avaient éclatées comme autant de bulles de savon. Au lieu de ça, il lui balança un prénom. C’était une preuve en soit, n’est-ce pas ?
« Je suis pas comme ça. J’peux pas me projeter avec quelqu’un sans l’connaitre. Ça bloque chez moi. C’est pas… Intuitif ? Hm. Oui. On va dire ça comme ça. J’avais juste envie de la revoir. »
Et le pire, c’est qu’il ne voyait vraiment pas de mal à ça. Des fois, il avait vraiment du mal à comprendre pourquoi tout le monde cherchait à se compliquer la vie ? S’il souhaitait voir quelqu’un, en quoi est-ce que ça engageait forcément quelque chose derrière ? Il n’était pas fermé à l’idée mais ne ressentait juste pas cet empressement à se poser ce genre de question. Et quand bien même la vie l’aurait rendu aussi opérationnel que d’autres à ce sujet, il n’était pas sûr d’avoir la volonté nécessaire pour passer le cap d’une relation. Ça l’épuisait déjà, rien que d’y penser. Pourquoi est-ce que ça ne venait pas naturellement, comme pour d’autres ? Un coup de foudre et boom, on en parlait plus. Non, lui, il avait besoin de temps, d’atomes excessivement crochus et même avec ça, rien ne garantissait que ça fonctionne.
Le dernier année se mit à rire de bon cœur, bien vite rejoint par le jaune.
Franchement, pourquoi se prendre la tête à… Attends. Minutes. Il avait cru quoi ? Curieux, le brun tenta de calmer ses gloussements rauques et tendit l’oreille. Erreur fatale.
« Je… Si ? » articula-t-il avec la plus grande maladresse.
Sa main passa sur son visage avant de venir s’appuyer contre sa joue, dissimulant à peine la couleur rosée qui avait décidé de pointer son nez. Dire qu’il avait évité de remettre le sujet sur la table était un doux euphémisme. Il ne regrettait pas son geste mais n’était foutrement pas prêt à affronter les conséquences qui pourraient en découler. Plutôt que de faire face, il avait décidé de faire comme si de rien n’était et d’enfouir son trouble loin. Très loin.
« Ça va faire six ans qu’on dit ça d’nous tu sais. Je fais plus attention maintenant. » Mensonge. « C’était dans l’feu de l’action. J’avais bu un de leur truc et ça m’avait fait pousser du gui sur la tête. Ça l’a fait rire et on s’est embrassé. » Il déglutit difficilement en sentant l’emprunte des lèvres de Charlie sur les siennes. « Je ne sais pas ce qui m’a pris. Il devait y avoir autre chose dans la boisson parce que mon cerveau s’est transformé en guimauve. J’avais le ventre en feu et -» Ok. C’était le moment où il devait reprendre sa respiration avant de tourner de l’œil. Il n’avait jamais parlé aussi vite de sa vie, le grincheux.
« J’ai poussé la blague et… Enfin… Je ne pensais pas à mal du tout ! J’ai été trop loin tu crois ? Ce serait con d’me brouiller avec un pote comme lui pour ça.» Cet homme était l’incarnation même de la mauvaise foi et du déni mélangés. Il y a avait un sacré nœud à démêler et il avait terriblement peur de s’y essayer.
« Vous avez vu quoi ? » se risqua-t-il à demander en le regardant du coin de l’œil, trop honteux pour assumer. T'en penses quoi ?
@Maximilien Leroy
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Lun 5 Fév 2024 - 10:59
Qui sait, oui… Etrangement, il y accorde vite une attention à cette possibilité. Il n’est pas fou-fou à l’idée de « jouer un jeu » pour « tester » Peter, mais aux grands maux les grands remèdes puisqu’il n’a pas envie de lui faire une scène. Encore. Ras-le-bol de cette jalousie maladie qui parasite son quotidien. Si le Drummond pouvait faire état de la sienne de temps en temps, il se sentirait moins défavorisé dans leur couple, plus à l’aise avec sa possessivité. C’est qu’il veut l’étaler à la vue de tous quand Maximilien, lui, préfère le garder bien en sécurité à ses côtés. L’exclusivité est un concept sur lequel ils travaillent encore. N’ayant aucun doute sur sa fidélité, il manque encore quelques réglages pour qu’il puisse considérer que Peter est à lui, et rien qu’à lui. Non, par réglage, il ne pense pas au mot qui rime… Le mariage n’est pas une option actuelle. Trop d’instabilité, ils auront bientôt fini leurs études et la recherche de travail va leur prendre un temps fou. Peter veut monter sa boîte, lui veut réussir en tant que journaliste. Qui sait quelles offres il pourrait trouver ou recevoir s’il s’avère être bon… En plus, ils viennent déjà de claquer toutes leurs économies dans un cottage ! Tout le monde sait qu’un mariage draine énormément d’argent, surtout celui qui vit dans la tête du Leroy…
« Hum, je vois. Après je te connais, si tu veux la revoir c’est qu’elle est quand même intéressante. »
Lewis est comme ça. Ceux qui le connaissent vraiment finissent rapidement par le comprendre. Maximilien est seulement perturbé par le discours de son ami en comparaison avec ce qu’il a vu ce soir-là. Sa question trahit son désarroi. Si Peter s’amusait à galocher ses amis de cette façon, il virerait vite au rouge. Et vice versa, logiquement. Logiquement. Ce n’est pas comme s’il côtoyait souvent Charlie non plus, connaître ses pensées est hors de ses limites. Mais Lewis, lui, c’est autre chose. Il ne l’a jamais vu embrasser quelqu’un sans réel intérêt sous-jacent, son discours vibre étrangement à ses oreilles. Comme une fausse note dans un beau concerto. Peut-être parce qu’il se voit, des années en arrière, coupable à l’idée d’apprécier le temps passé en compagnie de Peter tout en étant fiancé à sa cousine. Le premier baiser a eu cet effet. Gorgé d’envie et de culpabilité. Des regrets, il en a toujours. Pas de l’avoir embrassé, mais de l’avoir fait de cette façon, dans le dos d’une autre. À sa connaissance, Lewis et Charlie sont libres comme l’air. Pourquoi, alors, est-ce que ça a l’air encore plus compliqué que sa situation à l’époque ?
« Le ventre en feu… »
Maximilien mord sa langue pour ne pas émettre un jugement trop vite et laisser à son ami le temps d’exposer son point de vue. Le doute l’assaille en l’écoutant. N’est-il pas comme tous ces gens qui propagent une fausse rumeur en y croyant ? En se disant qu’il y a entre eux plus que ce qu’ils affirment ? Ne manque-t-il pas de considération pour Lewis en ne le croyant pas ?
« Je n’avais pas compris que c’était une blague. D’où on était, c’était plus comme… Eh bien, je ne sais pas. Je me suis retourné, je vous ai vu vous embrasser et j’ai ressenti beaucoup de joie pour toi. Je me suis dit que si tu le faisais devant un public, avec ce qui semblait être de l’ardeur – mais je me trompe encore peut-être – c’est que tu devais en avoir vraiment envie et que ça te rendait heureux. Et moi c’est tout ce que je te souhaite. »
Il lui sourit avec force et compréhension. Sa main vient tapoter l’épaule du Wright avec affection avant de reprendre.
« Mais si tu me dis que ce n’est pas ça, que c’était juste une blague entre vous, je te crois. Vraiment. Il n’y a que vous pour savoir ce qui s’est vraiment passé. Après, si tu me poses cette question… c’est que vous n’en avez pas discuté entre vous ? »
@Lewis Barghest
« Hum, je vois. Après je te connais, si tu veux la revoir c’est qu’elle est quand même intéressante. »
Lewis est comme ça. Ceux qui le connaissent vraiment finissent rapidement par le comprendre. Maximilien est seulement perturbé par le discours de son ami en comparaison avec ce qu’il a vu ce soir-là. Sa question trahit son désarroi. Si Peter s’amusait à galocher ses amis de cette façon, il virerait vite au rouge. Et vice versa, logiquement. Logiquement. Ce n’est pas comme s’il côtoyait souvent Charlie non plus, connaître ses pensées est hors de ses limites. Mais Lewis, lui, c’est autre chose. Il ne l’a jamais vu embrasser quelqu’un sans réel intérêt sous-jacent, son discours vibre étrangement à ses oreilles. Comme une fausse note dans un beau concerto. Peut-être parce qu’il se voit, des années en arrière, coupable à l’idée d’apprécier le temps passé en compagnie de Peter tout en étant fiancé à sa cousine. Le premier baiser a eu cet effet. Gorgé d’envie et de culpabilité. Des regrets, il en a toujours. Pas de l’avoir embrassé, mais de l’avoir fait de cette façon, dans le dos d’une autre. À sa connaissance, Lewis et Charlie sont libres comme l’air. Pourquoi, alors, est-ce que ça a l’air encore plus compliqué que sa situation à l’époque ?
« Le ventre en feu… »
Maximilien mord sa langue pour ne pas émettre un jugement trop vite et laisser à son ami le temps d’exposer son point de vue. Le doute l’assaille en l’écoutant. N’est-il pas comme tous ces gens qui propagent une fausse rumeur en y croyant ? En se disant qu’il y a entre eux plus que ce qu’ils affirment ? Ne manque-t-il pas de considération pour Lewis en ne le croyant pas ?
« Je n’avais pas compris que c’était une blague. D’où on était, c’était plus comme… Eh bien, je ne sais pas. Je me suis retourné, je vous ai vu vous embrasser et j’ai ressenti beaucoup de joie pour toi. Je me suis dit que si tu le faisais devant un public, avec ce qui semblait être de l’ardeur – mais je me trompe encore peut-être – c’est que tu devais en avoir vraiment envie et que ça te rendait heureux. Et moi c’est tout ce que je te souhaite. »
Il lui sourit avec force et compréhension. Sa main vient tapoter l’épaule du Wright avec affection avant de reprendre.
« Mais si tu me dis que ce n’est pas ça, que c’était juste une blague entre vous, je te crois. Vraiment. Il n’y a que vous pour savoir ce qui s’est vraiment passé. Après, si tu me poses cette question… c’est que vous n’en avez pas discuté entre vous ? »
@Lewis Barghest
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» âge : 28 (13/02/1996)
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Mer 7 Fév 2024 - 13:42
Holly était intéressante. Surprenante, même. S’il n’avait pas rejoint McCrétin pour le charrier sur sa cravate trop serrée, jamais l’occasion de la connaître ne se serait présentée. Cet univers n’était pas le sien. Il s’y sentait effroyablement mal à l’aise et avait l’impression d’y évoluer avec l’aisance d’un éléphant dans une boutique de porcelaine. Il n’y avait pas sa place et ne tenait en aucune façon à s’en faire une. Sa tenue débraillée lors du bal l’attestait, si vous en doutiez encore. D’ailleurs, si ça n’avait tenu qu’à lui, jamais il n’y aurait foutu les pieds. Il aurait plutôt étendu ses jambes sous une table en terrasse, commandé une vraie bière et pas ce mélange cannelle-épices toxique avant de s’en griller une… Enfin, c'était sans compter sur le harcèlement efficace d’une rouquine démoniaque.
“J’ai envoyé le message sans rien attendre en retour. On est clairement pas du même monde tu vois ? Elle était ultra distinguée au bal et moi… Bah j’étais comme d’hab, quoi.” En se repassant la scène en mémoire, le brun ne put que sourire. C’était clairement une rencontre improbable. “Je suis resté sur le cul quand elle a accepté. Encore après que j’lui ai dit d’me rejoindre à la Taverne du Troll. Ça m'aurait pas étonné qu’elle me pose un lapin, vu le standing de l’endroit. Mais non ! Elle est venue. Le pire, c’est qu’elle y était super à son aise. C’est pas juste une lady en froufrou donc… Ouai. Elle est intéressante en un sens.”
Waouh. Sacré monologue pour un type connu pour sa capacité désastreuse à exprimer ses pensées -s’exprimer tout court, d’ailleurs. La sorcière avait su éveiller son intérêt, ce qui était assez rare pour que leur date soit marqué comme un jour saint sur le calendrier. Il se serait sans doute comporter de la même façon avec Ian mais la nature secrète de leur relation avait suffi à lui clouer le bec. En était-ce seulement une, de relation ? Non. Clairement pas. C’était sûrement pour ça que ça avait tenu dans la durée. Rappelons que son record en la matière s’arrêtait à deux mois. Ni plus, ni moins. Le seul dont il ne tarissait jamais d’éloge était Charlie mais quoi de plus normal vu la place qu’il occupait dans le cœur du Wright ?
En parlant du loup… Les pommettes rosées de Barghest trahissait sa honte. N’allez pas croire qu’il regrettait son geste. C’était tout le contraire et cette simple idée suffisait à bouleverser son univers. Son ami l’avait embrassé à cause d’une blague et il y avait naturellement répondu. Le hic, c’est que le raisonnement tiendrait bien plus s’il n’avait pas conservé en mémoire le goût de ses lèvres sur les siennes ou la caresse de sa langue. Evidemment, il mentit. A Maximilien. A lui-même. Son fonctionnement lui intimait de suivre la logique et même si cette dernière était vacillante, c’était toujours mieux que de se jeter dans le vide. C’était moins effrayant en tout cas.
“Le truc c’est que j’en ai eu envie. Bizarre, venant de moi.” le dernier année se vautra et imprima son visage sur la feuille vierge, ses bras se refermant comme un cocon autour de lui. Là, dans le noir, il serait le seul à percevoir le sourire niais qu’il était incapable de refouler. “C’est p’t’être parce que ça faisait longtemps qu’on m’avait pas montré un intérêt du genre. J’suis pas insensible malgré les apparences.” Un pas en avant. Deux pas en arrière.
Lewis accueilli volontiers la tape amicale sur son épaule. Heureusement que cette conversation avait lieu avec l’abeille. Il n’aurait clairement pas pu s’ouvrir autant avec quelqu’un d’autre.
“ Non. J’vois pas ce que ça pourrait apporter. Charlie a pas eu l’air plus bouleversé que ça par mon acte. S’il ne m’en a pas parlé, c’est que ça doit pas être si important que ça pour lui.”
Le penser, c’est une chose. Le dire à voix haute, en revanche… Il grimaça, caché derrière la sécurité de ses bras. C’était pourtant ce qu’il souhaitait, non ? Leur amitié était immuable et devait le rester, pas vrai ? La vie de l’Ethelred était suffisamment compliquée comme ça pour qu’il lui rajoute un problème supplémentaire à gérer.
“Tu crois qu’il l’a mal vécu ?”
Pire scénario possible. Il se redressa tout juste pour laisser apparaître ses yeux inquiets. Il n’avait pas pensé à cette éventualité avant, trop centré sur son nombril. Et s’il lui en voulait ? Ou s’était forcé ?
@Maximilien Leroy
“J’ai envoyé le message sans rien attendre en retour. On est clairement pas du même monde tu vois ? Elle était ultra distinguée au bal et moi… Bah j’étais comme d’hab, quoi.” En se repassant la scène en mémoire, le brun ne put que sourire. C’était clairement une rencontre improbable. “Je suis resté sur le cul quand elle a accepté. Encore après que j’lui ai dit d’me rejoindre à la Taverne du Troll. Ça m'aurait pas étonné qu’elle me pose un lapin, vu le standing de l’endroit. Mais non ! Elle est venue. Le pire, c’est qu’elle y était super à son aise. C’est pas juste une lady en froufrou donc… Ouai. Elle est intéressante en un sens.”
Waouh. Sacré monologue pour un type connu pour sa capacité désastreuse à exprimer ses pensées -s’exprimer tout court, d’ailleurs. La sorcière avait su éveiller son intérêt, ce qui était assez rare pour que leur date soit marqué comme un jour saint sur le calendrier. Il se serait sans doute comporter de la même façon avec Ian mais la nature secrète de leur relation avait suffi à lui clouer le bec. En était-ce seulement une, de relation ? Non. Clairement pas. C’était sûrement pour ça que ça avait tenu dans la durée. Rappelons que son record en la matière s’arrêtait à deux mois. Ni plus, ni moins. Le seul dont il ne tarissait jamais d’éloge était Charlie mais quoi de plus normal vu la place qu’il occupait dans le cœur du Wright ?
En parlant du loup… Les pommettes rosées de Barghest trahissait sa honte. N’allez pas croire qu’il regrettait son geste. C’était tout le contraire et cette simple idée suffisait à bouleverser son univers. Son ami l’avait embrassé à cause d’une blague et il y avait naturellement répondu. Le hic, c’est que le raisonnement tiendrait bien plus s’il n’avait pas conservé en mémoire le goût de ses lèvres sur les siennes ou la caresse de sa langue. Evidemment, il mentit. A Maximilien. A lui-même. Son fonctionnement lui intimait de suivre la logique et même si cette dernière était vacillante, c’était toujours mieux que de se jeter dans le vide. C’était moins effrayant en tout cas.
“Le truc c’est que j’en ai eu envie. Bizarre, venant de moi.” le dernier année se vautra et imprima son visage sur la feuille vierge, ses bras se refermant comme un cocon autour de lui. Là, dans le noir, il serait le seul à percevoir le sourire niais qu’il était incapable de refouler. “C’est p’t’être parce que ça faisait longtemps qu’on m’avait pas montré un intérêt du genre. J’suis pas insensible malgré les apparences.” Un pas en avant. Deux pas en arrière.
Lewis accueilli volontiers la tape amicale sur son épaule. Heureusement que cette conversation avait lieu avec l’abeille. Il n’aurait clairement pas pu s’ouvrir autant avec quelqu’un d’autre.
“ Non. J’vois pas ce que ça pourrait apporter. Charlie a pas eu l’air plus bouleversé que ça par mon acte. S’il ne m’en a pas parlé, c’est que ça doit pas être si important que ça pour lui.”
Le penser, c’est une chose. Le dire à voix haute, en revanche… Il grimaça, caché derrière la sécurité de ses bras. C’était pourtant ce qu’il souhaitait, non ? Leur amitié était immuable et devait le rester, pas vrai ? La vie de l’Ethelred était suffisamment compliquée comme ça pour qu’il lui rajoute un problème supplémentaire à gérer.
“Tu crois qu’il l’a mal vécu ?”
Pire scénario possible. Il se redressa tout juste pour laisser apparaître ses yeux inquiets. Il n’avait pas pensé à cette éventualité avant, trop centré sur son nombril. Et s’il lui en voulait ? Ou s’était forcé ?
@Maximilien Leroy
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» particularité : animagus
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Dim 11 Fév 2024 - 18:01
« Les apparences trompeuses, tout ça… »
Ils y sont tous sujet un jour ou l’autre. Raison pour laquelle il ne peut juger Lewis sur ses attentes particulières au sujet d’Holly. Il est vrai qu’il s’en dégage un standing qui pousse à croire que la simplicité n’est pas à son goût. Toujours si bien apprêtée, donnant l’impression de ne laisser aucune chance au hasard. Pour un gars comme Lewis, c’est probablement le mont Everest. Qu’il en parle autant vient confirmer son impression initiale : il est intéressé. Maximilien est perturbé. Non pas pour l’intérêt de son ami envers une telle femme, car il faut de tout pour faire un monde, mais pour l’incohérence avec ce qu’il a vu et dont il lui fait rapidement part. C’est à n’y plus rien comprendre, non ? Il ose. Poser la question, émettre son doute. Demander pourquoi. Le Français sait bien que l’alcool peut ravager et faire faire des choses difficilement explicables par la suite. Il ne veut plus être sous cette emprise mais ne peut exclure que Lewis y était. Mais est-ce la seule vérité derrière ce baiser ? L’alcool ? L’effervescence de la soirée ? Un jeu ? Non. Barghest l’admet enfin : il en a eu envie. Et quand on connaît le peu de facilité avec laquelle Lewis a envie de ces choses-là – car forcément entre amis, on finit toujours par en discuter à un moment ou à un autre – c’est que ce n’est pas « rien ». Il aurait pu embrasser Holly. Ça n’a pas été le cas et il y a une raison. Forcément, il y en a une. Maximilien ne vit pas sans connaître la cause des conséquences.
« Bien sûr que tu n’es pas insensible… »
Il ne le touche pas tout de suite, laissant sa barrière de protection intacte, les yeux rivés sur le moindre mouvement de son visage dissimulé. Là encore, les théories se bousculent dans le cerveau français. Il est toujours plus difficile d’admettre une vérité lorsqu’il faut regarder l’autre dans les yeux et Lewis s’échappe.
« Et si tu ne lui en as pas parlé, c’est que ça ne doit pas être si important que ça pour toi non plus… Je présume ? Désolé, je suis juste ta logique Lewis et tu vois bien qu’elle est merdique non ? »
Ne pas juger et il ne le veut pas, sauf qu’il est obligé de montrer à son ami que son raisonnement ne tient pas debout. Il connaît ces mots et ces pensées, il s’en est servi pour justifier son inaction pendant des mois lorsque Peter se montrait plus empressé envers lui. Les « s’il ne dit pas ça, c’est qu’il s’en fiche de moi » alors que lui-même ne pipait mot pour lui faire connaître ses sentiments. Des attentes qu’on pense appartenir qu’à soi alors qu’elles sont partagées par l’autre. Qui sait vraiment ce que pense Charlie à part lui-même ? Maximilien ne peut parler à sa place, simplement imaginer et déduire du comportement qu’il a eu.
L’inquiétude, la peur. Elles se battent dans ses yeux sombres. Il se sent triste pour Lewis. De toute évidence, il y tient bien plus que ce qu’il veut bien admettre.
« Tout ce que je vais dire n’est que pure supposition, tu sais. Il n’y a que lui pour te répondre. Mais… si je ne me fie qu’à mon regard et mon instinct, je dirais que non. Il t’aurait repoussé ? Quand t’es parti dehors, il est resté comme… figé sur place. Ça a eu l’air de le perturber quand même. Je ne sais pas si c’est en bien ou en mal. Et je doute que se réfugier aux toilettes veuille dire qu’il s’en fout. Mais que des suppositions… »
Maximilien se mord la lèvre. Doit-il tout lui dire de ce qui s’est passé ce soir-là ? De ce qu’il a fait, par peur que les choses aillent mal ? Lewis lui a si souvent parlé en bien de Charlie que, forcément, il s’est inquiété. Être honnête est la meilleure des politiques, il n’en dérogera pas.
« À vrai dire… je l’ai suivi pas longtemps après parce qu’il ne ressortait pas. Je me suis dit qu’il se passait peut-être quelque chose ? Mais je ne l’ai pas entendu pleurer ou être en colère. Y’avait que du silence là-dedans. Alors je n’ai rien dit et je suis parti. Quand il est ressorti plus tard, pendant ton couronnement, il n’avait pas les yeux rougis. Je ne crois pas qu’il ait pleuré du tout. T’es sûr que tu ne veux pas lui parler ? Vous avez l’air si proches qu’il serait dommage de tout casser… »
@Lewis Barghest
Ils y sont tous sujet un jour ou l’autre. Raison pour laquelle il ne peut juger Lewis sur ses attentes particulières au sujet d’Holly. Il est vrai qu’il s’en dégage un standing qui pousse à croire que la simplicité n’est pas à son goût. Toujours si bien apprêtée, donnant l’impression de ne laisser aucune chance au hasard. Pour un gars comme Lewis, c’est probablement le mont Everest. Qu’il en parle autant vient confirmer son impression initiale : il est intéressé. Maximilien est perturbé. Non pas pour l’intérêt de son ami envers une telle femme, car il faut de tout pour faire un monde, mais pour l’incohérence avec ce qu’il a vu et dont il lui fait rapidement part. C’est à n’y plus rien comprendre, non ? Il ose. Poser la question, émettre son doute. Demander pourquoi. Le Français sait bien que l’alcool peut ravager et faire faire des choses difficilement explicables par la suite. Il ne veut plus être sous cette emprise mais ne peut exclure que Lewis y était. Mais est-ce la seule vérité derrière ce baiser ? L’alcool ? L’effervescence de la soirée ? Un jeu ? Non. Barghest l’admet enfin : il en a eu envie. Et quand on connaît le peu de facilité avec laquelle Lewis a envie de ces choses-là – car forcément entre amis, on finit toujours par en discuter à un moment ou à un autre – c’est que ce n’est pas « rien ». Il aurait pu embrasser Holly. Ça n’a pas été le cas et il y a une raison. Forcément, il y en a une. Maximilien ne vit pas sans connaître la cause des conséquences.
« Bien sûr que tu n’es pas insensible… »
Il ne le touche pas tout de suite, laissant sa barrière de protection intacte, les yeux rivés sur le moindre mouvement de son visage dissimulé. Là encore, les théories se bousculent dans le cerveau français. Il est toujours plus difficile d’admettre une vérité lorsqu’il faut regarder l’autre dans les yeux et Lewis s’échappe.
« Et si tu ne lui en as pas parlé, c’est que ça ne doit pas être si important que ça pour toi non plus… Je présume ? Désolé, je suis juste ta logique Lewis et tu vois bien qu’elle est merdique non ? »
Ne pas juger et il ne le veut pas, sauf qu’il est obligé de montrer à son ami que son raisonnement ne tient pas debout. Il connaît ces mots et ces pensées, il s’en est servi pour justifier son inaction pendant des mois lorsque Peter se montrait plus empressé envers lui. Les « s’il ne dit pas ça, c’est qu’il s’en fiche de moi » alors que lui-même ne pipait mot pour lui faire connaître ses sentiments. Des attentes qu’on pense appartenir qu’à soi alors qu’elles sont partagées par l’autre. Qui sait vraiment ce que pense Charlie à part lui-même ? Maximilien ne peut parler à sa place, simplement imaginer et déduire du comportement qu’il a eu.
L’inquiétude, la peur. Elles se battent dans ses yeux sombres. Il se sent triste pour Lewis. De toute évidence, il y tient bien plus que ce qu’il veut bien admettre.
« Tout ce que je vais dire n’est que pure supposition, tu sais. Il n’y a que lui pour te répondre. Mais… si je ne me fie qu’à mon regard et mon instinct, je dirais que non. Il t’aurait repoussé ? Quand t’es parti dehors, il est resté comme… figé sur place. Ça a eu l’air de le perturber quand même. Je ne sais pas si c’est en bien ou en mal. Et je doute que se réfugier aux toilettes veuille dire qu’il s’en fout. Mais que des suppositions… »
Maximilien se mord la lèvre. Doit-il tout lui dire de ce qui s’est passé ce soir-là ? De ce qu’il a fait, par peur que les choses aillent mal ? Lewis lui a si souvent parlé en bien de Charlie que, forcément, il s’est inquiété. Être honnête est la meilleure des politiques, il n’en dérogera pas.
« À vrai dire… je l’ai suivi pas longtemps après parce qu’il ne ressortait pas. Je me suis dit qu’il se passait peut-être quelque chose ? Mais je ne l’ai pas entendu pleurer ou être en colère. Y’avait que du silence là-dedans. Alors je n’ai rien dit et je suis parti. Quand il est ressorti plus tard, pendant ton couronnement, il n’avait pas les yeux rougis. Je ne crois pas qu’il ait pleuré du tout. T’es sûr que tu ne veux pas lui parler ? Vous avez l’air si proches qu’il serait dommage de tout casser… »
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Jeu 15 Fév 2024 - 15:50
« Ne pas juger un livre sur sa couverture, tout ça… » Répondit-il à l’abeille le plus simplement du monde, une pointe de malice pétillant au fond de ses yeux noisette.
Lewis n’était pas au-dessus des autres. Comme tout à chacun, il avait tendance à se baser sur ce qu’il voyait pour éviter les contraintes pouvant être anticipées. Il associait depuis toujours cet univers de faste à des problèmes sans nom qu’il le fuyait comme la peste. Il roulait des yeux, trainait des pieds, grognait et se montrait terriblement imbuvable juste pour pouvoir y échapper. Qu’est-ce qu’un type comme lui pouvait apporter à des personnes du genre ? Holly était une surprise à ses yeux. Leur rencontre n’avait rien eu d’imposé, comme ce fut le cas avec Cataleya. Ce n’eut rien à voir avec Max qu’il découvrit et affectionna au travers de leur passion commune et moments de vie anodins. Il était rentré dans le jeu de la sorcière sans trop savoir pourquoi. La faute à l’ennui ? La contrariété ? Un peu des deux sans doute.
Charlie. La discussion se rapporta à lui et c’est tout naturellement que le visage mutin du brun s’invita dans son esprit. Les sensations, si courtes, si infimes, de ce baiser échangé sous le coup de la farce se diffusèrent dans son corps. Sa bouche lui picotait, comme pour lui signifier que : hey mec, on en veut encore. Cette pensée folle, dévastatrice, franchit ses lèvres. Il s’en mordit les doigts aussitôt et se réfugia au creux de ses bras. Il se rattrapa aux branches, broda un mensonge plus gros que lui et se flagella à l’intérieur de sa foutue tête de pioche en imaginant ce que ça pourrait lui faire de l’embrasser encore. Quelle question ! Des problèmes, voilà ce que ça créerait.
Un râle long, à semi-cassé se fit entendre, comme une bête touchée en pleine course. Max avait fait mouche. Comme toujours. Est-ce qu’il ne pouvait pas faire comme tout le monde et se concentrer sur son nombril, plutôt que de lui apporter de l’aide ? Est-ce que pour une fois, il pouvait faire l’effort d’être un ami en carton ?
« Elle était pas merdique avant que tu le soulignes mec… »
C’est pas important pour lui. C’était cent fois plus que ça. Ca lui passerait clairement au-dessus de la tête sinon… Mais Charlie l’avait embrassé pour une putain de blague. C’est lui qui avait merdé, qui avait poussé le vice. Et si Charlie ne l’avait pas repoussé juste pour lui faire plaisir ? Ou parce qu’il trouvait drôle ? Il devrait être soulagé à l’idée que le brun ne lui en tienne pas rigueur mais, au fond, ça l’agaçait. Ca tiraillait dans l’cœur et il en avait pas l’habitude.
« Je… Il a… Hm… »
Ses épaules se soulevèrent largement alors qu’il prendra une profonde inspiration, à défaut de réussir à mettre de l’ordre dans ses idées. Au moins, il n’avait pas pleuré. Il se serait jeter sous les rouges du premier magicobus venu sinon. C’était bien la dernière chose qu’il souhaitait ! A découvert -à peine, Lewis jeta un regard au français.
« Tu sais, Charlie a pas une vie très simple depuis quelques temps. J’ai pas envie de foutre plus de bordel encore. Il mérite pas ça. J’me dis que… Je sais pas… Ce serait plus simple de faire comme d’hab ? »
Comme si ce tout petit acte de rien du tout ne l’avait pas frappé avec la force d’un tsunami.
@Maximilien Leroy
Lewis n’était pas au-dessus des autres. Comme tout à chacun, il avait tendance à se baser sur ce qu’il voyait pour éviter les contraintes pouvant être anticipées. Il associait depuis toujours cet univers de faste à des problèmes sans nom qu’il le fuyait comme la peste. Il roulait des yeux, trainait des pieds, grognait et se montrait terriblement imbuvable juste pour pouvoir y échapper. Qu’est-ce qu’un type comme lui pouvait apporter à des personnes du genre ? Holly était une surprise à ses yeux. Leur rencontre n’avait rien eu d’imposé, comme ce fut le cas avec Cataleya. Ce n’eut rien à voir avec Max qu’il découvrit et affectionna au travers de leur passion commune et moments de vie anodins. Il était rentré dans le jeu de la sorcière sans trop savoir pourquoi. La faute à l’ennui ? La contrariété ? Un peu des deux sans doute.
Charlie. La discussion se rapporta à lui et c’est tout naturellement que le visage mutin du brun s’invita dans son esprit. Les sensations, si courtes, si infimes, de ce baiser échangé sous le coup de la farce se diffusèrent dans son corps. Sa bouche lui picotait, comme pour lui signifier que : hey mec, on en veut encore. Cette pensée folle, dévastatrice, franchit ses lèvres. Il s’en mordit les doigts aussitôt et se réfugia au creux de ses bras. Il se rattrapa aux branches, broda un mensonge plus gros que lui et se flagella à l’intérieur de sa foutue tête de pioche en imaginant ce que ça pourrait lui faire de l’embrasser encore. Quelle question ! Des problèmes, voilà ce que ça créerait.
Un râle long, à semi-cassé se fit entendre, comme une bête touchée en pleine course. Max avait fait mouche. Comme toujours. Est-ce qu’il ne pouvait pas faire comme tout le monde et se concentrer sur son nombril, plutôt que de lui apporter de l’aide ? Est-ce que pour une fois, il pouvait faire l’effort d’être un ami en carton ?
« Elle était pas merdique avant que tu le soulignes mec… »
C’est pas important pour lui. C’était cent fois plus que ça. Ca lui passerait clairement au-dessus de la tête sinon… Mais Charlie l’avait embrassé pour une putain de blague. C’est lui qui avait merdé, qui avait poussé le vice. Et si Charlie ne l’avait pas repoussé juste pour lui faire plaisir ? Ou parce qu’il trouvait drôle ? Il devrait être soulagé à l’idée que le brun ne lui en tienne pas rigueur mais, au fond, ça l’agaçait. Ca tiraillait dans l’cœur et il en avait pas l’habitude.
« Je… Il a… Hm… »
Ses épaules se soulevèrent largement alors qu’il prendra une profonde inspiration, à défaut de réussir à mettre de l’ordre dans ses idées. Au moins, il n’avait pas pleuré. Il se serait jeter sous les rouges du premier magicobus venu sinon. C’était bien la dernière chose qu’il souhaitait ! A découvert -à peine, Lewis jeta un regard au français.
« Tu sais, Charlie a pas une vie très simple depuis quelques temps. J’ai pas envie de foutre plus de bordel encore. Il mérite pas ça. J’me dis que… Je sais pas… Ce serait plus simple de faire comme d’hab ? »
Comme si ce tout petit acte de rien du tout ne l’avait pas frappé avec la force d’un tsunami.
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Dim 18 Fév 2024 - 15:16
« Toujours là pour t’aider » assène-t-il d’un sourire tordu.
C’est que Lewis doit bien se rendre compte de la stupidité de son raisonnement, même s’il ne peut pas user de ce mot. Le renfermer sur lui-même ne servirait à rien. Tout ce qu’il peut faire à présent, c’est témoigner de ses impressions qui peuvent être à des kilomètres de la vérité. Maximilien ne prétend pas tout savoir ni tout connaître. Emotions et expressions de celles-ci sont inhérentes aux personnes, comment pourrait-il assurer avec certitude que Charlie a aimé ou pas aimé leur baiser ? Non, il n’en sait fichtre rien. Tout ce qui lui reste, c’est son instinct. Sa lecture biaisée. Evidemment qu’il veut le meilleur pour son ami, n’est-ce pas une bonne raison pour voir l’amour là où il n’y est pas ? Se tromper pourrait lui faire bien plus de mal. Il ne raconte donc que ce qu’il a vu. Ne pas rentrer dans l’interprétation, même si c’est dur. Quasiment impossible. Il n’y parvient pas. Il a envie de croire que rien de mauvais n’est ressorti de cet échange. Qu’ils sont simplement perdus autant l’un que l’autre. Mais est-ce vraiment son rôle que de donner un coup de pouce là où on ne l’attend pas ?
« Mmmh… » dit-il en soutenant son regard. Rien de plus, pour le moment. Il est tellement difficile d’émettre une opinion sans faire pencher la balance d’un côté ou de l’autre. Maximilien ne veut être responsable d’aucun malheur. Pour cela, il ne doit pas s’engager. Mais comment rester en dehors du problème quand un ami cher se trouve au cœur de la tornade ? Comment ne pas tendre la main pour l’aider à l’en sortir ? Il voudrait bien être impassible mais n’y arrive pas. Il faut dire que la tête de miséreux de Lewis ne l’aide pas à rester impartial.
« Je ne sais pas quoi te conseiller. J’ai peur de dire n’importe quoi, de t’encourager à faire la mauvaise chose. Je ne sais pas… »
Le Summerbee baisse les yeux sur ses mains qui grattent le bois de la table. Les mots tournent en rond dans sa tête, puis se croisent. Cherchent une place pour former le réconfort dont son ami a désespérément besoin, il le sent, le sait, le voit.
« Si toi ça ne te blesse pas de faire ça alors… oui, peut-être. Est-ce que ça t’irait de faire « comme d’hab » ? Et c’est quoi d’ailleurs ? Parce que si vraiment il n’a pas eu vie facile, faudrait pas la lui compliquer en te rendant malheureux. Enfin, je sais qu’à sa place, je ne me sentirais pas mieux en te sachant mal à cause de moi. Je ne sais pas si c’est clair. »
Il se pince l’intérieur de la joue, se sent comme une anguille entre les rochers, se faufilant là où il le peut. La vérité, c’est qu’il n’est même pas certain de saisir le lien qui les unit vraiment. Et que, sans ça, comment apporter le juste conseil ? Comment rendre sa parole légitime ?
« Hey, te morfonds pas comme ça. Ça fait plusieurs années que vous êtes potes, c’est pas ça qui va tout démolir. Il y a toujours des façons d’arranger les choses. Faut juste prendre le temps de trouver laquelle, okay ? »
Il a bien compris que parler n’était pas son fort. Et même si Maximilien reste persuadé que c’est la seule chose à faire, il n’en dit rien pour ne pas lui mettre un coup de pression supplémentaire. C’est à Lewis de prendre la décision.
@Lewis Barghest
C’est que Lewis doit bien se rendre compte de la stupidité de son raisonnement, même s’il ne peut pas user de ce mot. Le renfermer sur lui-même ne servirait à rien. Tout ce qu’il peut faire à présent, c’est témoigner de ses impressions qui peuvent être à des kilomètres de la vérité. Maximilien ne prétend pas tout savoir ni tout connaître. Emotions et expressions de celles-ci sont inhérentes aux personnes, comment pourrait-il assurer avec certitude que Charlie a aimé ou pas aimé leur baiser ? Non, il n’en sait fichtre rien. Tout ce qui lui reste, c’est son instinct. Sa lecture biaisée. Evidemment qu’il veut le meilleur pour son ami, n’est-ce pas une bonne raison pour voir l’amour là où il n’y est pas ? Se tromper pourrait lui faire bien plus de mal. Il ne raconte donc que ce qu’il a vu. Ne pas rentrer dans l’interprétation, même si c’est dur. Quasiment impossible. Il n’y parvient pas. Il a envie de croire que rien de mauvais n’est ressorti de cet échange. Qu’ils sont simplement perdus autant l’un que l’autre. Mais est-ce vraiment son rôle que de donner un coup de pouce là où on ne l’attend pas ?
« Mmmh… » dit-il en soutenant son regard. Rien de plus, pour le moment. Il est tellement difficile d’émettre une opinion sans faire pencher la balance d’un côté ou de l’autre. Maximilien ne veut être responsable d’aucun malheur. Pour cela, il ne doit pas s’engager. Mais comment rester en dehors du problème quand un ami cher se trouve au cœur de la tornade ? Comment ne pas tendre la main pour l’aider à l’en sortir ? Il voudrait bien être impassible mais n’y arrive pas. Il faut dire que la tête de miséreux de Lewis ne l’aide pas à rester impartial.
« Je ne sais pas quoi te conseiller. J’ai peur de dire n’importe quoi, de t’encourager à faire la mauvaise chose. Je ne sais pas… »
Le Summerbee baisse les yeux sur ses mains qui grattent le bois de la table. Les mots tournent en rond dans sa tête, puis se croisent. Cherchent une place pour former le réconfort dont son ami a désespérément besoin, il le sent, le sait, le voit.
« Si toi ça ne te blesse pas de faire ça alors… oui, peut-être. Est-ce que ça t’irait de faire « comme d’hab » ? Et c’est quoi d’ailleurs ? Parce que si vraiment il n’a pas eu vie facile, faudrait pas la lui compliquer en te rendant malheureux. Enfin, je sais qu’à sa place, je ne me sentirais pas mieux en te sachant mal à cause de moi. Je ne sais pas si c’est clair. »
Il se pince l’intérieur de la joue, se sent comme une anguille entre les rochers, se faufilant là où il le peut. La vérité, c’est qu’il n’est même pas certain de saisir le lien qui les unit vraiment. Et que, sans ça, comment apporter le juste conseil ? Comment rendre sa parole légitime ?
« Hey, te morfonds pas comme ça. Ça fait plusieurs années que vous êtes potes, c’est pas ça qui va tout démolir. Il y a toujours des façons d’arranger les choses. Faut juste prendre le temps de trouver laquelle, okay ? »
Il a bien compris que parler n’était pas son fort. Et même si Maximilien reste persuadé que c’est la seule chose à faire, il n’en dit rien pour ne pas lui mettre un coup de pression supplémentaire. C’est à Lewis de prendre la décision.
@Lewis Barghest
il est libre max
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- merci :
- Lewis BarghestOldieㄨ experimented wizard
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» nature du sang : sang-mêlé
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Mar 20 Fév 2024 - 15:44
Maximilien se foutait de lui. Il n’y avait pas photo. Y’avait de quoi faire claquer sa langue au palais ou rouler exagérément des yeux tout en soupirant aussi longuement et fort que possible. Pour la forme. Pour rien du tout, surtout. Barghest n’en avait pas envie. Non, au lieu de ça, c’est une œillade discrète qu’il lui accorda et un mot. Lâché comme ça. A peine articulé. Comme s’il ne valait pas la peine de s’attarder dessus. Putain non. Il le pensait plus que jamais en cet instant précis. A défaut de lui jeter un discours prémâché, il avait préféré lui faire entendre son cri du cœur. En toute sincérité.
« ‘erci. » parce que même avec ce fichu sourire, il savait. Il n’avait jamais douté de son amitié et la patience monstre qu’il était en train de démontrer à son encontre suffisait à le prouver. Heureusement que t’es là. Ca, par contre, ça resta pour lui. Il ne fallait pas non plus abuser des bonnes choses.
C’était foutrement réconfortant de le savoir à ces côtés, alors qu’un rien avait réussi à le déboussoler. Il ne se pensait pas être aussi sentimentale. Attends. Non. Ce n’était pas le bon terme. Ou si ? Est-ce qu’il était autant touché parce qu’il ressentait quelque chose envers Charlie ? Bien sûr. Ils ont toujours eu une relation particulière, même lui le sait. Il n’y avait jamais rien eu comme ça, dans sa vie. Il n’existait aucun mode d’emploi. Aucun certificat de garantie. C’était ça qui lui faisait peur, au fond. Ce n’était pas de l’amour. Ça se saurait sinon. Leur amitié est juste… Différente. Et la marmotte elle met le chocolat dans le papier alu, Lew. Ta gueule, petite voix.
« Je m’en remettrai. J’préfère ça que de le perde. Il compte, tu sais ? Beaucoup. » son ongle s’attaqua à l’une des rainures de la table en bois, comme si ce tout petit rien était soudainement devenu l’élément le plus intéressant au monde. « En suivant ton raisonnement, j’ai juste à être… Moi ? Si j’suis normal, ça passera. J’me débrouillerai pour qu’il se doute de rien. »
Ah. Voilà. Ses sourcils venaient de se froncer. Comment ça, il se morfond ? Pas du tout. Est-ce que l’espoir que rien ne serait "démoli" venait de lui redonner du baume au cœur ? Carrément. Il s’était même redressé. Un sourire pointait timidement le bout de son nez, trop fragile pour oser s’afficher.
« T’as raison ! J’me prends la tête pour rien. Tout ira bien. »
Oui, il n'avait retenu que ce qui l'arrangeait de cette conversation. Il restait encore fort à faire pour que le message ne passe. Au moins, la graine avait été planté.
@Maximilien Leroy
« ‘erci. » parce que même avec ce fichu sourire, il savait. Il n’avait jamais douté de son amitié et la patience monstre qu’il était en train de démontrer à son encontre suffisait à le prouver. Heureusement que t’es là. Ca, par contre, ça resta pour lui. Il ne fallait pas non plus abuser des bonnes choses.
C’était foutrement réconfortant de le savoir à ces côtés, alors qu’un rien avait réussi à le déboussoler. Il ne se pensait pas être aussi sentimentale. Attends. Non. Ce n’était pas le bon terme. Ou si ? Est-ce qu’il était autant touché parce qu’il ressentait quelque chose envers Charlie ? Bien sûr. Ils ont toujours eu une relation particulière, même lui le sait. Il n’y avait jamais rien eu comme ça, dans sa vie. Il n’existait aucun mode d’emploi. Aucun certificat de garantie. C’était ça qui lui faisait peur, au fond. Ce n’était pas de l’amour. Ça se saurait sinon. Leur amitié est juste… Différente. Et la marmotte elle met le chocolat dans le papier alu, Lew. Ta gueule, petite voix.
« Je m’en remettrai. J’préfère ça que de le perde. Il compte, tu sais ? Beaucoup. » son ongle s’attaqua à l’une des rainures de la table en bois, comme si ce tout petit rien était soudainement devenu l’élément le plus intéressant au monde. « En suivant ton raisonnement, j’ai juste à être… Moi ? Si j’suis normal, ça passera. J’me débrouillerai pour qu’il se doute de rien. »
Ah. Voilà. Ses sourcils venaient de se froncer. Comment ça, il se morfond ? Pas du tout. Est-ce que l’espoir que rien ne serait "démoli" venait de lui redonner du baume au cœur ? Carrément. Il s’était même redressé. Un sourire pointait timidement le bout de son nez, trop fragile pour oser s’afficher.
« T’as raison ! J’me prends la tête pour rien. Tout ira bien. »
Oui, il n'avait retenu que ce qui l'arrangeait de cette conversation. Il restait encore fort à faire pour que le message ne passe. Au moins, la graine avait été planté.
@Maximilien Leroy
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Sam 24 Fév 2024 - 17:18
Maximilien s’installe de façon plus confortable, dos contre la chaise. Son regard n’a pas quitté le profil de son ami. Il essaye de déceler quelque chose sauf qu’il ne sait pas quoi. Une preuve de mensonge ? Il serait hypocrite de sa part de lui faire la leçon alors qu’il a mis dix plombes à reconnaître que Peter lui plaisait et qu’il a piétiné les sentiments de plusieurs personnes au passage. Qui est-il pour juger ? Critiquer ? Sa langue a pourtant envie de dire un bon nombre de choses. Des mots qui ne plairont pas au Barghest, à coup sûr. Probablement parce qu’il n’est pas prêt à les entendre et il n’est jamais bon de dire les choses de cette manière. Tant que le mur sera là, incontournable, ses paroles se perdront dans les vents sans jamais atteindre leur destinataire. C’est idiot. Parce qu’il est bien avec Peter – si on oblitère quelques détails qui le chiffonnent – il s’imagine que tout le monde peut l’être aussi. Voit-il des sentiments là où il n’y aurait que de l’amitié ? Serait-il à ce point aveuglé par sa propre expérience ? Fait-il partie de ces personnes gênantes qui ont fait des suppositions sur l’amitié de Lewis et Charlie ? Il s’en voudrait d’exercer ce type de pression sur le Wright.
Il y a pourtant des indices. Des mots qui ne trompent pas. Des expressions peintes difficile à ne pas voir. Maximilien pince encore ses lèvres pour ne pas parler trop vite. On peut avoir une amitié forte au point de ne pas vouloir tout gâcher. Ça s’est déjà vu.
« Je sais. »
Deux simples mots mais qui veulent tant dire. Je t’entends, Lewis. Je comprends. Je ne juge pas. Tu as le droit d’avoir ces sentiments-là. Ils sont pourtant couplés à une envie folle de le secouer pour en sortir la vérité. Est-ce qu’il l’apprécie plus que ça ou pas ? Il a très envie de le découvrir. Le Français conseille le naturel, persuadé que c’est ce qui marche en fin de compte. La personnalité de Lewis est si riche, cela l’embêterait de le voir la dénaturer pour conserver une amitié. Les amis, ça vous prend comme vous êtes, c’est fait pour ça. Engueuler quand on fait de la merde, réconforter quand ça ne va pas et accepter les petits défauts sans pour autant se laisser marcher dessus à la moindre occasion. C’est ce qu’il espère être pour Barghest. C’est ce qu’il a l’air de vivre avec Charlie, au centuple à la réflexion. Eux ne se prennent pas aussi aisément dans les bras, ne se font pas des câlins de dix minutes, ne s'assied pas l’un sur l’autre dans un canapé ou ne dorment pas ensemble. Un comportement de c… non. Il ne dira pas ce mot, il ne sera pas cette personne-là pour Lewis. Celle qui juge sans savoir. Se douter de quoi, Lewis ? Que tu l’aimes ? Ah non, tais-toi Max. Tu ne sais pas de quoi tu parles. Tu supputes sans marcher dans leurs chaussures. Tout ce qu’il peut faire, là maintenant, c’est de le rassurer et ainsi offrir un peu de répit à son esprit torturé.
« Puis ma porte t’est toujours ouverte, tu sais bien. »
Il lui met une nouvelle petite tape sur l’épaule avant de poser ses yeux sur le travail qu’ils sont supposés réaliser. Cette grimace-là n’est pas belle à voir, il est pourtant rarement le dernier à se mettre au boulot ! Il a alors un petit sourire en tournant la tête vers Barghest. Autant prendre ça le plus possible à la rigolade à ce stade… Histoire de détendre l’atmosphère.
« Bon par contre j’te préviens, t’amuses pas à me foutre ta langue dans la bouche hein ! Tu ne sais pas quelle furie tu déclencherais… »
@Lewis Barghest
Il y a pourtant des indices. Des mots qui ne trompent pas. Des expressions peintes difficile à ne pas voir. Maximilien pince encore ses lèvres pour ne pas parler trop vite. On peut avoir une amitié forte au point de ne pas vouloir tout gâcher. Ça s’est déjà vu.
« Je sais. »
Deux simples mots mais qui veulent tant dire. Je t’entends, Lewis. Je comprends. Je ne juge pas. Tu as le droit d’avoir ces sentiments-là. Ils sont pourtant couplés à une envie folle de le secouer pour en sortir la vérité. Est-ce qu’il l’apprécie plus que ça ou pas ? Il a très envie de le découvrir. Le Français conseille le naturel, persuadé que c’est ce qui marche en fin de compte. La personnalité de Lewis est si riche, cela l’embêterait de le voir la dénaturer pour conserver une amitié. Les amis, ça vous prend comme vous êtes, c’est fait pour ça. Engueuler quand on fait de la merde, réconforter quand ça ne va pas et accepter les petits défauts sans pour autant se laisser marcher dessus à la moindre occasion. C’est ce qu’il espère être pour Barghest. C’est ce qu’il a l’air de vivre avec Charlie, au centuple à la réflexion. Eux ne se prennent pas aussi aisément dans les bras, ne se font pas des câlins de dix minutes, ne s'assied pas l’un sur l’autre dans un canapé ou ne dorment pas ensemble. Un comportement de c… non. Il ne dira pas ce mot, il ne sera pas cette personne-là pour Lewis. Celle qui juge sans savoir. Se douter de quoi, Lewis ? Que tu l’aimes ? Ah non, tais-toi Max. Tu ne sais pas de quoi tu parles. Tu supputes sans marcher dans leurs chaussures. Tout ce qu’il peut faire, là maintenant, c’est de le rassurer et ainsi offrir un peu de répit à son esprit torturé.
« Puis ma porte t’est toujours ouverte, tu sais bien. »
Il lui met une nouvelle petite tape sur l’épaule avant de poser ses yeux sur le travail qu’ils sont supposés réaliser. Cette grimace-là n’est pas belle à voir, il est pourtant rarement le dernier à se mettre au boulot ! Il a alors un petit sourire en tournant la tête vers Barghest. Autant prendre ça le plus possible à la rigolade à ce stade… Histoire de détendre l’atmosphère.
« Bon par contre j’te préviens, t’amuses pas à me foutre ta langue dans la bouche hein ! Tu ne sais pas quelle furie tu déclencherais… »
@Lewis Barghest
il est libre max
y'en a même qui disent qu'ils l'ont vu voler
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Mar 27 Fév 2024 - 16:23
Barghest n’avait clairement pas signé pour une session de thérapie en rejoignant l’Abeille. Il y était allé les mains enfoncées au plus loin de ses poches, bien décidé à torcher ce devoir vite et bien. Il avait été à mille lieux de se douter de la tournure étrange qu’aurait pris leur conversation. Si on lui avait dit qu’ils allaient mettre leur cœur à nu, là, sur la table, il aurait ri. S’épancher sur ses sentiments, même amicaux ? Non. Très peu pour lui. C’est plutôt le genre d’homme à se laisser porter, à suivre le cours des évènements et à s’y adapter. Sauf que là, y’avait comme un grain de sable. Petit. Minuscule. Il avait beau chercher, il ne parvenait pas à mettre le doigt dessus. Maximilien semblait l’avoir vu lui, ou avait-il simplement entendu les rouages de son cerveau grincer un peu trop fort ? Arf. Avoir un ami qui vous connaissait par cœur, c’était agréable… Mais aussi foutrement perturbant dans certains cas.
« J’sais. Tout comme la mienne, Leroy. »
La tape reçue sur l’épaule eut le mérite de le dérider. Le sujet de la conversation pourrait enfin s’axer sur quelque chose de plus évident. Désespérant, certes, mais c’était toujours mieux que rien n’est-ce pas ? Ses yeux sombres ne manquèrent pas de voir la grimace de son compagnon de travail, à laquelle il répondit en soupirant allégrement. Ils devaient s’y coller, pas le choix.
« Hey ! » une main se porta soudainement à son cœur, l’autre à sa bouche. Il n’était peut-être pas inscrit en théâtre, mais il pensait son haut le cœur suffisamment convainquant
« J’fourre pas ma langue n’importe où, contrairement à d'autres. »
Un sourire remonta lentement, tordant le coin de sa bouche. Goguenard lui ? Parfaitement. Surtout en ce qui concernait sa personne.
« Une furie ? Ouh je tremble. » Il devrait oui, mais ça il n’en savait rien. « T’sais pas ce que tu rates. J’emballe super bien. Si seulement t’avais l’souvenir de nos soirées, tu l’saurais. »
Max et lui ? Non. Jamais. C’était une idée qui ne lui était jamais venue à l’esprit. Déjà, parce qu’il agissait comme un parfait hétéro-responsable et que lui… Ben, c’était lui. Puis Peter était arrivé dans l’équation et confirmait cette plus stricte vérité : jamais il ne pourrait le summerbee de cette façon. C’était son ami, après tout.
« Aller, on va pas y passer trois heures. J’serais embrassable en rouge ? Ou j'pars sur du bleu ? » Il haussa à de nombreuses reprises les sourcils, avant de rire légèrement.
@Maximilien Leroy
« J’sais. Tout comme la mienne, Leroy. »
La tape reçue sur l’épaule eut le mérite de le dérider. Le sujet de la conversation pourrait enfin s’axer sur quelque chose de plus évident. Désespérant, certes, mais c’était toujours mieux que rien n’est-ce pas ? Ses yeux sombres ne manquèrent pas de voir la grimace de son compagnon de travail, à laquelle il répondit en soupirant allégrement. Ils devaient s’y coller, pas le choix.
« Hey ! » une main se porta soudainement à son cœur, l’autre à sa bouche. Il n’était peut-être pas inscrit en théâtre, mais il pensait son haut le cœur suffisamment convainquant
« J’fourre pas ma langue n’importe où, contrairement à d'autres. »
Un sourire remonta lentement, tordant le coin de sa bouche. Goguenard lui ? Parfaitement. Surtout en ce qui concernait sa personne.
« Une furie ? Ouh je tremble. » Il devrait oui, mais ça il n’en savait rien. « T’sais pas ce que tu rates. J’emballe super bien. Si seulement t’avais l’souvenir de nos soirées, tu l’saurais. »
Max et lui ? Non. Jamais. C’était une idée qui ne lui était jamais venue à l’esprit. Déjà, parce qu’il agissait comme un parfait hétéro-responsable et que lui… Ben, c’était lui. Puis Peter était arrivé dans l’équation et confirmait cette plus stricte vérité : jamais il ne pourrait le summerbee de cette façon. C’était son ami, après tout.
« Aller, on va pas y passer trois heures. J’serais embrassable en rouge ? Ou j'pars sur du bleu ? » Il haussa à de nombreuses reprises les sourcils, avant de rire légèrement.
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» situation : en couple
» année d'études : 10ème année
» options obligatoires & facultatives : ♔ options obligatoires : histoire de la magie, sciences politiques magiques, médias moldus et sorciers. ♔ options facultatives : métamorphose, sortilèges et enchantements.
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Re: Confidence pour confidence (ft. Lewis)
Mer 28 Fév 2024 - 18:29
C’est toujours un sentiment rassurant. Ces paroles n’ont l’air de rien, elles font pourtant un bien fou. Maximilien ne manque pas de contact au quotidien, mais les vraies amitiés se comptent sur le doigt d’une main et même s’il considère Peter comme son meilleur ami, il est agréable d’avoir une personne extérieure à qui parler de tout ça. Il se sent tant entendu que légitime. Il n’a jamais vu Lewis le juger une seule fois et pourtant, qu’est-ce qu’il en a fait de la merde ! Rien que d’y penser, il grimace.
« N’importe où, contrairement à d’autres ? Je ne sais pas ce que je dois comprendre par là ou même, si je dois me vexer ! »
Il rigole, prenant à son tour un air faussement dramatique. Bien sûr que Barghest n’embrasse pas n’importe qui et c’est ce qu’il essaye de lui faire comprendre depuis qu’ils ont mentionné Keir. Mais hors de question de relancer ce sujet bancal. Maximilien comprend qu’il faut lui laisser du temps. Il est pourtant étonnant que Lewis n’entende pas ses propres mots et n’en tire pas des conclusions… Peut-on être à ce point dans le déni, se demande le ROY du déni ? Ce dernier a un petit rictus en pensant à la furie que peut devenir Peter si, vraiment, Lewis s’amusait à le galocher comme bon lui semble. Il en rigole là mais ce serait moins le cas si cela devait se produire. Et l’apprenti Auror rirait lui aussi bien moins…
« Arrête de raconter n’importe quoi ! Va pas me faire croire des trucs faux. La seule chose que tu sais bien emballer, c’est tes restes de bouffe de la veille. »
Il est tellement plus facile de s’envoyer des vannes que de poser des mots sur l’amitié qui les lie. De dire « je t’aime bro » sans que ça n’ait l’air étrange ou ambiguë. Maximilien sait désormais reconnaître des sentiments et voit bien qu’il n’a rien de tel envers Lewis. Se poser la question n’aurait même aucun sens !
« Essaye le jaune et on en reparle. »
Maximilien lève les yeux au ciel en riant puis pousse les parchemins entre eux pour que Lewis puisse faire sa part du travail, comme convenu. La vérité, c’est qu’il a bien du mal à se concentrer et que ça n’ira pas en s’améliorant si Barghest ne lui donne pas un coup de main. Il n’est pourtant pas le genre à être mauvais élève et ne pas faire ses travaux pratiques… Au contraire, il est si appliqué que c’en est souvent énervant. Il relit ce qu’ils doivent faire à voix haute comme pour retrouver un semblant de concentration et emporter Lewis avec lui dans sa tentative de se responsabiliser. Au moins pendant cinq minutes.
@Lewis Barghest
« N’importe où, contrairement à d’autres ? Je ne sais pas ce que je dois comprendre par là ou même, si je dois me vexer ! »
Il rigole, prenant à son tour un air faussement dramatique. Bien sûr que Barghest n’embrasse pas n’importe qui et c’est ce qu’il essaye de lui faire comprendre depuis qu’ils ont mentionné Keir. Mais hors de question de relancer ce sujet bancal. Maximilien comprend qu’il faut lui laisser du temps. Il est pourtant étonnant que Lewis n’entende pas ses propres mots et n’en tire pas des conclusions… Peut-on être à ce point dans le déni, se demande le ROY du déni ? Ce dernier a un petit rictus en pensant à la furie que peut devenir Peter si, vraiment, Lewis s’amusait à le galocher comme bon lui semble. Il en rigole là mais ce serait moins le cas si cela devait se produire. Et l’apprenti Auror rirait lui aussi bien moins…
« Arrête de raconter n’importe quoi ! Va pas me faire croire des trucs faux. La seule chose que tu sais bien emballer, c’est tes restes de bouffe de la veille. »
Il est tellement plus facile de s’envoyer des vannes que de poser des mots sur l’amitié qui les lie. De dire « je t’aime bro » sans que ça n’ait l’air étrange ou ambiguë. Maximilien sait désormais reconnaître des sentiments et voit bien qu’il n’a rien de tel envers Lewis. Se poser la question n’aurait même aucun sens !
« Essaye le jaune et on en reparle. »
Maximilien lève les yeux au ciel en riant puis pousse les parchemins entre eux pour que Lewis puisse faire sa part du travail, comme convenu. La vérité, c’est qu’il a bien du mal à se concentrer et que ça n’ira pas en s’améliorant si Barghest ne lui donne pas un coup de main. Il n’est pourtant pas le genre à être mauvais élève et ne pas faire ses travaux pratiques… Au contraire, il est si appliqué que c’en est souvent énervant. Il relit ce qu’ils doivent faire à voix haute comme pour retrouver un semblant de concentration et emporter Lewis avec lui dans sa tentative de se responsabiliser. Au moins pendant cinq minutes.
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- Une étoile pour le sapin. (Ft Lewis) - terminé
- Megara .:. L'amante oubliée refait surface pour le meilleur...et pour le pire...
- un plan pour trois, pour toi et moi ft. elsje de booij & luigi caravatti
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- Joséphine & Annah — pour le meilleur et pour le pire
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