- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Dusty snowmans. (Ft Malva)
Dim 31 Déc 2023 - 0:42
27 décembre.
Nimbée de la claire opalescence d’une lune au ventre rond, Cataleya progressait sans un mot parmi les froides pierres de Myrddin Wyllt District. Le regard bas mais le flair aiguisé pour la prémunir de toute mauvaise surprise. Ses cheveux dénoués, dansant comme des braises entre les griffes de l’hiver, ondulaient étrangement comme animés d’une volonté propre. S’enroulant comme des tentacules autour de quelques mains invisibles. L’heure était déjà bien avancée et sans doute aurait-elle dû nicher au sommet des tours Blackthorn, là, sagement assise sur le rebord d’une fenêtre où s’était jeté sa soeur afin de lui offrir un peu de compagnie. Sans doute aurait-elle pu trouver du repos entre les bras de Miguel, bien à l’abri d’une nuit où rôdait loup et chasseurs ; plus encore de cette terreur viscérale qui la prenait aux tripes lorsqu’elle s’imaginait trainer sa carcasses abimée jusqu’aux portes du domaine familial. Oui. Peu convaincue par la perspective de retourner dans sa cage après un an de pseudo liberté, Cataleya errait. Quelque part sans doute s’était-elle convaincue que l’épuisement l’aiderait à trouver le sommeil lorsque, minuscule devant les grilles Blackthorn, elle oserait enfin transplaner. Que s’échiner à marcher sans but userait son esprit en ébullition, parviendrait à soumettre questionnement et frayeurs qu’inlassablement elle poursuivait de ses talons noir. Que si elle laissait la nuit filer des desseins et constellations, il serait trop tard pour décemment débarquer chez Miguel, puisque pleinement honteuse après le bal de Yule, c’était toute penaude qu’elle dardait ses grands yeux de biche sur lui. Plus terrible que la perspective de dormir sous le toit de bourreau, c’était celle d’avoir fondamentalement blessé @Miguel Pajares qui la tenait éveillée puisque mordre des mains assassines, elle savait faire. Réparer des cœurs blessés, pas le moins du monde. Qu’importe ses cours de médicomagies, son attrait pour les philtres d’amour ou ses tendances à plonger les mains dans des grimoires obscurs et oubliés : c’était là une chose qu’elle ne savait définitivement pas soigner.
Pinçant entre ses lèvres une myriade de colliers entremêlés, la Blackthorn tourne au coin d’une rue et s’efforce de faire le tri dans des pensées devenues chaotiques. Parfois préfèrerait-elle inhiber les cris du cœur puisqu’ils se faisaient parasites ; corrompait chaque réaction logiques pour en faire un magma étrange où aucun raisonnement ne trouvait finalement sens. Elle voudrait qu’une simple excuse soit apte à tout effacer, mais la vérité c’est qu’il lui fallait bien plus que ça.
Stoppant brutalement le pas devant la Lunar Society Apothecary, Cataleya plisse significativement le nez devant l'infâme crasse qui prend place sur le verre. Qu'importe la patience qu'elle use pour percer à jour la pénombre et la poussière, rien de ce qu'offre la vitrine ne semble véritablement attractif. A dire vrai, nul oeil ne semblait pouvoir percer à jour le contenu d'une boutique sombre et peu mise en valeur. La moue se forme, mais puisqu'elle a décidément trop de temps à perdre, des pensées à noyer, et que la vitrine ne pourra plus encore s'enlaidir, c'est du bout de ses gants noir que la Blackthorn trace des bonhommes de neige dans la poussière.
@Ambrosius Redgrave , @Inès Saouli , @Billie Shakespeare
Ambrosius Redgrave est fan
Re: Dusty snowmans. (Ft Malva)
Jeu 4 Jan 2024 - 22:59
Derrière les fines traces que laissent les doigts gantés de noir de Cataleya Blackthorn sur la vitrine poussiéreuse de la Lunar Society Apothecary se devinent peu à peu les plumes blanches d'une oie. Le volatile dont on ne distingue pas la tête, lovée sous une aile, paraît dormir du sommeil des justes, mais c'est bien mal connaître le cerveau aviaire, qui ne dort jamais que d'un seul côté. Dans le noir d'une nuit féconde, un oeil rond, profond, vindicatif et menaçant s'ouvre soudain et se fixe sans ciller sur les doigts patineurs. L'oeil suit le moindre mouvement, et quelque chose dans la façon dont cet oeil brille promet vengeance et furie.
Ne jamais chatouiller une oie qui dort. Auca dormiens nunquam titillandus. N'était-ce pas la devise de la plus célèbre des écoles de sorcellerie? Ou peut-être y parlait-on d'un dragon, qui sait.
Pour l'heure, l'oie se réveille et sa rage couve. Quelqu'un touche SA vitrine sans SA permission. Le dragon, lui, dort d'un sommeil de septuagénaire dans son lit derrière une porte menant à l'arrière-boutique. Il a travaillé de nombreuses heures pendant la journée, profitant des journées tranquilles entre Noël et le jour de l'An pour sécher, réduire en poudre, mesurer, peser et transvider certains produits. Il a même trouvé le temps pour nettoyer quelques vases de porcelaine, mais pas sa vitrine, qu'il aime aussi poussiéreuse que possible.
L'oie empaillée soulève tranquillement ses ailes en déployant son long cou. De l'autre côté de la vitrine, la jeune sorcière ignore complètement la menace qui pèse soudain sur elle. Du moins jusqu'à ce que Sycorax ouvre son bec et ne lâche une première bordée d'injures, toutes plus colorées les unes que les autres, entre deux hurlements typiques d'oie qu'on égorge. Il n'en faut pas plus pour tirer l'apothicaire de son sommeil. Malgré son âge, le vieil homme étire le bras pour attraper sa baguette et activer un maléfice d'un seul mot. Il a tiré des leçons du braquage qui l'a laissé diminué cet automne.
Cette fois quelque chose rougeoie sous les bottes de la Blackthorn et avant qu'elle ait le temps de faire un pas de côté, ses semelles adhèrent au sol.
Ambrosius, lui, est déjà en train d'enfiler sa veste et de se précipiter à travers la boutique en direction de l'entrée, baguette toujours en main, tandis que Sycorax continue son vacarme. Il lui jette un regard, un seul sous ses sourcils froncés, et elle se tait sur un couac.
Ne jamais chatouiller une oie qui dort. Auca dormiens nunquam titillandus. N'était-ce pas la devise de la plus célèbre des écoles de sorcellerie? Ou peut-être y parlait-on d'un dragon, qui sait.
Pour l'heure, l'oie se réveille et sa rage couve. Quelqu'un touche SA vitrine sans SA permission. Le dragon, lui, dort d'un sommeil de septuagénaire dans son lit derrière une porte menant à l'arrière-boutique. Il a travaillé de nombreuses heures pendant la journée, profitant des journées tranquilles entre Noël et le jour de l'An pour sécher, réduire en poudre, mesurer, peser et transvider certains produits. Il a même trouvé le temps pour nettoyer quelques vases de porcelaine, mais pas sa vitrine, qu'il aime aussi poussiéreuse que possible.
L'oie empaillée soulève tranquillement ses ailes en déployant son long cou. De l'autre côté de la vitrine, la jeune sorcière ignore complètement la menace qui pèse soudain sur elle. Du moins jusqu'à ce que Sycorax ouvre son bec et ne lâche une première bordée d'injures, toutes plus colorées les unes que les autres, entre deux hurlements typiques d'oie qu'on égorge. Il n'en faut pas plus pour tirer l'apothicaire de son sommeil. Malgré son âge, le vieil homme étire le bras pour attraper sa baguette et activer un maléfice d'un seul mot. Il a tiré des leçons du braquage qui l'a laissé diminué cet automne.
Cette fois quelque chose rougeoie sous les bottes de la Blackthorn et avant qu'elle ait le temps de faire un pas de côté, ses semelles adhèrent au sol.
Ambrosius, lui, est déjà en train d'enfiler sa veste et de se précipiter à travers la boutique en direction de l'entrée, baguette toujours en main, tandis que Sycorax continue son vacarme. Il lui jette un regard, un seul sous ses sourcils froncés, et elle se tait sur un couac.
{ Lunar Society Apothecary }
Do you need anything? We have everything! Ask and you shall see. Fair prices. No credit. By The Other Road, Myrddin Wyllt District. Open MTWTF 8AM-4PM. Saturday by appointment only. Contact by owl. Total discretion.- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: Dusty snowmans. (Ft Malva)
Sam 10 Fév 2024 - 15:16
Déchirant le voile nocturne un cri strident s’élève, figeant le geste de Cataleya Quarta Blackthorn sur l’amorce de chapeau haute forme censé couronner son bonhomme de neige. Heurté par une première injure, le Joyaux Blackthorn entrouvre les lèvres dans une expression toute offusquée qui gagne en dramatisme lorsque la seconde pointe de manière particulièrement imagée sa crasse lignée. Qu’est-ce qu-. Distinguant par delà la poussière une furieuse envolée de plume, la lufkin fronce le nez mais redresse aussitôt le menton en une expression singulièrement altière. C’est que l’instinct hurle à l’attaque, l’esprit à une répartie qui ne trouverait aucune prise devant le vacarme que vociférait la bête, et que devant cet effroyable chaos Cataleya s'efforce de prendre un peu de hauteur en contorsionnant ses impulsivités. Cette chose était-elle seulement capable de tenir une discussion ou argumenter ? Le sourire s’étire avec suffisance mais l’égo se tord subitement devant l’insulte qui vise sa précieuse -si précieuse- capillarité. Foncièrement piquée, et ne supportant pas ce préjudice moral, les griffes du dragon Blackthorn se posent de nouveau sur la vitre qui le sépare de cette chose pas même capable de vêtir la grâce du cygne pour lui promettre en silence Mort et Désolation. Pour un peu elle lui sifflerait vouloir l’empailler mais c’était sans compter la rigidité étrange qui saccadait les colère de l’oiseau : Cette horreur était déjà morte, et les entrailles de la terre avaient préférés la recracher plutôt qu’avoir à la digérer ! Etait-ce donc là l’animal spirituel de Cataleya Quarta Blackthorn ? Une oie démoniaque ? Sans doute que certain opinerait devant cette troublante affirmation, mais l’esprit de la sorcière s’enfermait dans un tel état de fiel et vexation qu’il ne vit pas même les similarités entre son port trop haut et celui de cet immonde psychopompe.
- "Je t’achèterai aux premières lueurs pour te donner en pâture à mes snargalouffs." Souffle t’elle devant la vitre, repoussant du bout de sa langue des canines trop aiguisée. "Et je te ramènerait à la vie pour réitérer l’opération chaque fois que la frustration étreindra mon coeur."
Projetant de bien cruel desseins, l’héritière n’en fait pourtant rien et préfère enregistrer ce monologue hurlé à ses oreilles à destination d’Arthur, Charlie, Lewis, Alexander, Miguel, ou qui que ce soit capable de patpater d’une main complaisante son égo meurtri. C’était sans compter le sortilège venu la figer sur place, et qui ponctua son message vocal d’un “Su-per” marmonné, suivi d’un long soupir. Retirant une main tout juste posé sur la vitrine, l’animagus darde sur un propriétaire aussi vivant que son oie ses grands yeux bleu. Effroyables tempêtes ravageant les flots.
"C’est là la pire approche commerciale qu’aura connu Myrddin Wyllt District. Pouvez-vous me défaire de ce maléfice où dois-je le faire par moi-même ?" Le regard se pose sur la baguette tenue entre les doigts du septuagénaire et le sourcil s'arque un peu devant cette perspective d'agression. "A moins que ce soit là une vulgaire tentative de prise d’otage. Je dois vous prévenir, j'ai tendance à rendre les gens cardiaques ou fous. "
- "Je t’achèterai aux premières lueurs pour te donner en pâture à mes snargalouffs." Souffle t’elle devant la vitre, repoussant du bout de sa langue des canines trop aiguisée. "Et je te ramènerait à la vie pour réitérer l’opération chaque fois que la frustration étreindra mon coeur."
Projetant de bien cruel desseins, l’héritière n’en fait pourtant rien et préfère enregistrer ce monologue hurlé à ses oreilles à destination d’Arthur, Charlie, Lewis, Alexander, Miguel, ou qui que ce soit capable de patpater d’une main complaisante son égo meurtri. C’était sans compter le sortilège venu la figer sur place, et qui ponctua son message vocal d’un “Su-per” marmonné, suivi d’un long soupir. Retirant une main tout juste posé sur la vitrine, l’animagus darde sur un propriétaire aussi vivant que son oie ses grands yeux bleu. Effroyables tempêtes ravageant les flots.
"C’est là la pire approche commerciale qu’aura connu Myrddin Wyllt District. Pouvez-vous me défaire de ce maléfice où dois-je le faire par moi-même ?" Le regard se pose sur la baguette tenue entre les doigts du septuagénaire et le sourcil s'arque un peu devant cette perspective d'agression. "A moins que ce soit là une vulgaire tentative de prise d’otage. Je dois vous prévenir, j'ai tendance à rendre les gens cardiaques ou fous. "
Re: Dusty snowmans. (Ft Malva)
Lun 4 Mar 2024 - 2:40
Le visage buriné et fripé de l'apothicaire laisse peut-être croire que celui-ci partagea avec son oie de garde une nature de bête empaillée, mais il n'en est rien. L'homme à la soixantaine avancée jure chaque matin en se levant sur des grincements d'articulation et des muscles raides qu'il a encore la vigueur de ses jeunes années. Si des vauriens ont réussi à le prendre par surprise à l'automne en le laissant légèrement diminué, et si les (nombreux) jours de pluie de ce foutu bout d'Écosse aiguisent sa mauvaise humeur, Ambrosius compte bien survivre 60 années de plus.
Il répond donc au regard glacial par un regard de pierre, peu impressionné par les commentaires désobligeants. Il tourne d'abord la tête vers sa vitrine, pour constater, en haussant un sourcil broussailleux, que la gamine l'a redécorée à sa manière, ce qui doit être à l'origine du réveil brutal que Sycorax a réservé à son propriétaire.
Reportant les yeux sur la sorcière, et décidant que mis à part sa chevelure rousse, elle ne représente pas une menace à la Lunar Society, l'apothicaire glisse sa baguette dans sa poche de pantalon et agite les doigts. L'air se fait plus léger et les semelles de la donzelle sont libérées du plancher.
« J'ai une sonnette, vous savez. C'est généralement plus efficace pour faire ouvrir une porte que de repeindre la vitrine des gens quoique sans doute pas au milieu de la nuit. »
La voix grave donne aux mots une teinte bourrue, mais les sourcils de l'homme se relèvent plutôt en forme de question. « Il existe de nombreux remèdes pour les maladies cardiaques. J'ai en boutique de quoi vous en préparer 57 différents. Vous cherchez quelque chose de particulier? »
Comme l'apothicaire se tient toujours dans le cadre de la porte, il n'est pas clair s'il s'agit d'une invitation à faire affaire ou une façon détournée d'inviter la femme à laisser un honnête marchand poursuivre sa nuit de sommeil. Mais l'air est froid, humide, et il pénètre Ambrosius jusqu'aux os. Alors il se détourne de la graffiteuse et rentre dans sa boutique, laissant la porte se refermer en partie derrière lui.
« Lavande ou camomille? » fait la voix de l'homme depuis l'intérieur du bâtiment.
-HRP- J'avais pas eu de notiiiiiiiiiiiiif Désolée du retard.
Il répond donc au regard glacial par un regard de pierre, peu impressionné par les commentaires désobligeants. Il tourne d'abord la tête vers sa vitrine, pour constater, en haussant un sourcil broussailleux, que la gamine l'a redécorée à sa manière, ce qui doit être à l'origine du réveil brutal que Sycorax a réservé à son propriétaire.
Reportant les yeux sur la sorcière, et décidant que mis à part sa chevelure rousse, elle ne représente pas une menace à la Lunar Society, l'apothicaire glisse sa baguette dans sa poche de pantalon et agite les doigts. L'air se fait plus léger et les semelles de la donzelle sont libérées du plancher.
« J'ai une sonnette, vous savez. C'est généralement plus efficace pour faire ouvrir une porte que de repeindre la vitrine des gens quoique sans doute pas au milieu de la nuit. »
La voix grave donne aux mots une teinte bourrue, mais les sourcils de l'homme se relèvent plutôt en forme de question. « Il existe de nombreux remèdes pour les maladies cardiaques. J'ai en boutique de quoi vous en préparer 57 différents. Vous cherchez quelque chose de particulier? »
Comme l'apothicaire se tient toujours dans le cadre de la porte, il n'est pas clair s'il s'agit d'une invitation à faire affaire ou une façon détournée d'inviter la femme à laisser un honnête marchand poursuivre sa nuit de sommeil. Mais l'air est froid, humide, et il pénètre Ambrosius jusqu'aux os. Alors il se détourne de la graffiteuse et rentre dans sa boutique, laissant la porte se refermer en partie derrière lui.
« Lavande ou camomille? » fait la voix de l'homme depuis l'intérieur du bâtiment.
-HRP- J'avais pas eu de notiiiiiiiiiiiiif Désolée du retard.
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» miroir du riséd : Abigail Cowen
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» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
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Re: Dusty snowmans. (Ft Malva)
Mer 6 Mar 2024 - 21:18
Têtue, Cataleya l’était des cils aux griffes, aussi s'efforça-t-elle de maintenir le port de tête aussi haut que possible et ce, en dépit du ridicule qu’exigeait la situation. Dépossédée de l’aura effroyable et singulière que traînait ceux qui l'avaient adoptée, elle n’en était pas moins férocement altière et pleine d’orgueil, aussi s'engagea-t-elle dans un duel de regard que le vieillard soutint sans effort. Certainement peu impressionné par cette gamine -bientôt docteur- aux airs de chatons se contorsionnant comme le diable. L’échange se brise au profit de cet affreux bonhomme de neige tracé, mais se renoue avec tout autant d’arrogance. Peut être que l’héritière d’Aloysius trouva la force prodigieuse de redresser encore un peu le menton pour prouver qu’elle ne regrettait en rien. Les pieds se libèrent pourtant en dépit de ce sursaut d’audace et aussitôt le talon droit claque par deux fois au sol pour s’en assurer.
“J'ai une sonnette, vous savez.” Le nez de la lufkin se plisse aussitôt, prête à arguer que seuls les fous devaient éprouver le besoin de poser pied ici, mais se souvint aussitôt que son cousin avait élu domicile dans un point alentour et qu’elle même se tenait en ces lieux. Prise sur le fait de manière étrange et quelque peu improbable, il était vrai. La moue se fait donc quelque peu dubitative, jusqu’à accompagner la question du marchant d’un sourcil doucement arqué. Pensait-il véritablement qu’elle venait faire ses achats à minuit passé ? La curiosité l’emporte pourtant, réduisant au silence le sourire quelque peu sardonique qui s’amorçait sous ses canines acérées.
« Je doute que vous ayez de quoi ravir mes yeux, monsieur l'apothicaire » Ses intenses iris aux couleurs de l’océan se lèvent pour observer le nom de la boutique. « De la lunar society. » Mais comme la porte se referme déjà et que l’ennuie, autant que l’angoisse, lui remue les viscères…
La bottine de la rousse s’avance doucement pour intercepter la porte, le temps que Cataleya dégaine superbement son portable et se laisser aller à l’envoie d’un message à destination d’Alexander, lui contant qu’elle avait croisé le chemin d’un vieil homme louche et aigri, et que son instinct de survie défectueux la poussait à le suivre parce qu’elle était curieuse.
«Lavande. Sans arsenic de préférence. » Conclue t'elle enfin à voix haute, enfonçant l'objet moldu dans la poche intérieur de sa cape. La politesse absente, le dragon Blackthorn darde un dernier regard sur l'oie avant de passer son index ganté sur une étagère poussiéreuse. «Ma loyauté va à la concurrence, mais peut être saurez vous trouver un Mucus de Veracrasse de qualité, de l'Eau du fleuve Léthé et...» Les doigts claquent un peu dans le vide, comme pour ponctuer une réflexion qui se fait intense. Entre les potions personnelles, celles à destinations des capes noires, des chauffes plats, et enfin de sainte marie, elle se perdait parfois. «De l'aconit. La nepellus, pas un odieux cultivar horticole ; ils altèrent les potions tue-loups d'une bien affreuse manière.»
“J'ai une sonnette, vous savez.” Le nez de la lufkin se plisse aussitôt, prête à arguer que seuls les fous devaient éprouver le besoin de poser pied ici, mais se souvint aussitôt que son cousin avait élu domicile dans un point alentour et qu’elle même se tenait en ces lieux. Prise sur le fait de manière étrange et quelque peu improbable, il était vrai. La moue se fait donc quelque peu dubitative, jusqu’à accompagner la question du marchant d’un sourcil doucement arqué. Pensait-il véritablement qu’elle venait faire ses achats à minuit passé ? La curiosité l’emporte pourtant, réduisant au silence le sourire quelque peu sardonique qui s’amorçait sous ses canines acérées.
« Je doute que vous ayez de quoi ravir mes yeux, monsieur l'apothicaire » Ses intenses iris aux couleurs de l’océan se lèvent pour observer le nom de la boutique. « De la lunar society. » Mais comme la porte se referme déjà et que l’ennuie, autant que l’angoisse, lui remue les viscères…
La bottine de la rousse s’avance doucement pour intercepter la porte, le temps que Cataleya dégaine superbement son portable et se laisser aller à l’envoie d’un message à destination d’Alexander, lui contant qu’elle avait croisé le chemin d’un vieil homme louche et aigri, et que son instinct de survie défectueux la poussait à le suivre parce qu’elle était curieuse.
“Si demain tu n’as plus de nouvelle, ou si ton bras te brûle dans la soirée, dit à Andrew qu’il a enfin le droit de me remplacer par James parce que je serai morte. Des bisous sur ta glabelle trop haute, je viendrais te hanter si j’y pense.”
«Lavande. Sans arsenic de préférence. » Conclue t'elle enfin à voix haute, enfonçant l'objet moldu dans la poche intérieur de sa cape. La politesse absente, le dragon Blackthorn darde un dernier regard sur l'oie avant de passer son index ganté sur une étagère poussiéreuse. «Ma loyauté va à la concurrence, mais peut être saurez vous trouver un Mucus de Veracrasse de qualité, de l'Eau du fleuve Léthé et...» Les doigts claquent un peu dans le vide, comme pour ponctuer une réflexion qui se fait intense. Entre les potions personnelles, celles à destinations des capes noires, des chauffes plats, et enfin de sainte marie, elle se perdait parfois. «De l'aconit. La nepellus, pas un odieux cultivar horticole ; ils altèrent les potions tue-loups d'une bien affreuse manière.»
James Blackthorn est fan
Re: Dusty snowmans. (Ft Malva)
Jeu 18 Avr 2024 - 4:32
Lavande et arsenic... tiens, pourquoi pas? La tisane pouvait avoir des effets intéressants qu'il vaudrait la peine de noter soigneusement dans un carnet pour usage futur. Mais cette nuit-là, et malgré son sommeil interrompu, Ambrosius se sent magnanime. Il ne répond donc pas à la remarque de la persifleuse nocturne, se contentant d'aller chercher dans une armoire le pot de tisane à la lavande et décrocher, au-dessus du foyer, la théière en fonte qui se remplit d'eau aussitôt.
« Incendio », marmotte l'apothicaire en allumant un petit feu d'un mouvement du doigt. Le bruit des pas dans la pièce à côté le ramène vers la boutique; il n'aimait pas laisser ses clients seuls auprès de ses chers ingrédients, des plans pour qu'ils se croient tout permis et se servent eux-mêmes.
La tête haute, le port altier, l'oeil méprisant, la gamine semble toiser l'apothicairerie. Le vieux sorcier ne relève pas les insultes sous-jacentes. Il a connu des hommes et des femmes que l'orgueil a perdu. Rien ne se met en travers d'Ambrosius Redgrave et d'une bonne affaire. Reste à savoir si la rouquine en représente vraiment une.
Le tiroir qu'il ouvre grince comme son genou un jour humide de janvier. Il en tire un lourd cahier de cuir qu'il pose lourdement sur son comptoir de bois. Puis lentement, il étire le bras pour aller cueillir une plume gorgée d'encre. Il n'a pas une seule fois reposé les yeux sur Cataleya, même lorsqu'elle passe un doigt sur une étagère.
Le sifflement de la théière lui fait enfin relever la tête. Sous ses épais sourcils, le regard est sévère, mais pas hostile. « Si je vendais de la camelote, je tiendrais pas la Lunar, je travaillerais aux Trois corneilles. » Il tourne le dos à la cliente et passe derrière le rideau pour faire taire la théière dans l'arrière-boutique. Les trois tasses qu'il pose sur le comptoir en revenant ne tardent pas à se remplir de tisane, versée avec précision par l'apothicaire. La fumée qui se dégage ne forme aucune tête de mort, un bon signe.
Il prend la tasse noire, pousse la blanche en direction de la jeune femme et fait flotter la vieille tasse ébréchée en direction de l'oie dans la vitrine. L'apothicaire s'assoit sur son tabouret, n'offre aucune chaise à la visiteuse. « Aconitum Napellus. C'est 12 mornilles pour 30 grammes, culture ultra locale. Efficacité garantie. Forte concentration. Mucus de veracrasse, j'en ai en quantité. Cueillette, mai de l'année dernière. Mes prix varient selon l'âge de la bestiole. Quant à votre eau du Léthé, je n'en ai pas actuellement en stock, mais je peux vous en avoir sous 7 jours. Elle est préparée à Delos. »
La tisane lui brûle les lèvres, mais il poursuit. « Mais je doute que ce soit ce qui vous amène à ma porte en pleine nuit. »
« Incendio », marmotte l'apothicaire en allumant un petit feu d'un mouvement du doigt. Le bruit des pas dans la pièce à côté le ramène vers la boutique; il n'aimait pas laisser ses clients seuls auprès de ses chers ingrédients, des plans pour qu'ils se croient tout permis et se servent eux-mêmes.
La tête haute, le port altier, l'oeil méprisant, la gamine semble toiser l'apothicairerie. Le vieux sorcier ne relève pas les insultes sous-jacentes. Il a connu des hommes et des femmes que l'orgueil a perdu. Rien ne se met en travers d'Ambrosius Redgrave et d'une bonne affaire. Reste à savoir si la rouquine en représente vraiment une.
Le tiroir qu'il ouvre grince comme son genou un jour humide de janvier. Il en tire un lourd cahier de cuir qu'il pose lourdement sur son comptoir de bois. Puis lentement, il étire le bras pour aller cueillir une plume gorgée d'encre. Il n'a pas une seule fois reposé les yeux sur Cataleya, même lorsqu'elle passe un doigt sur une étagère.
Le sifflement de la théière lui fait enfin relever la tête. Sous ses épais sourcils, le regard est sévère, mais pas hostile. « Si je vendais de la camelote, je tiendrais pas la Lunar, je travaillerais aux Trois corneilles. » Il tourne le dos à la cliente et passe derrière le rideau pour faire taire la théière dans l'arrière-boutique. Les trois tasses qu'il pose sur le comptoir en revenant ne tardent pas à se remplir de tisane, versée avec précision par l'apothicaire. La fumée qui se dégage ne forme aucune tête de mort, un bon signe.
Il prend la tasse noire, pousse la blanche en direction de la jeune femme et fait flotter la vieille tasse ébréchée en direction de l'oie dans la vitrine. L'apothicaire s'assoit sur son tabouret, n'offre aucune chaise à la visiteuse. « Aconitum Napellus. C'est 12 mornilles pour 30 grammes, culture ultra locale. Efficacité garantie. Forte concentration. Mucus de veracrasse, j'en ai en quantité. Cueillette, mai de l'année dernière. Mes prix varient selon l'âge de la bestiole. Quant à votre eau du Léthé, je n'en ai pas actuellement en stock, mais je peux vous en avoir sous 7 jours. Elle est préparée à Delos. »
La tisane lui brûle les lèvres, mais il poursuit. « Mais je doute que ce soit ce qui vous amène à ma porte en pleine nuit. »
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» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
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» particularité : Animagus chien (Malinois)
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Re: Dusty snowmans. (Ft Malva)
Sam 27 Avr 2024 - 17:09
Elle avait cette facheuse tendance à jouer les chats errant, Cataleya Blackthorn. Pénétrant les demeures sans gène véritable, jusqu’à ronronner sous les mâchoires en quête d’un thé ou d’un repas gratuit. Elle avait charmé le terrible @Arthur Batthyány jusqu’à en faire son distributeur officiel de tupperware puisqu’elle était un désastre culinaire, piquait dans les réserves de thé des chauffes-plats, avait même instauré un stock au trois corneilles pour pouvoir taper dedans lorsqu’elle échouer sur le comptoir sans trouver ce qu’elle voulait et, là voici, de nouveau le cul prêt à se poser à la table d’un inconnu qui pourrait certainement l’empoisonner. L’instinct de survie semblait un peu anesthésié et pourtant, c’était le culot qui était au final monstrueux. Penchant la tête en arrière pour observer le tiroire qui avait si effroyablement grincé, la Blackthorn se laisse aller à un rictus satisfait devant cette pique de l’esprit qui charmait si joliment le sien. Elle aimait ceux qui avait du mordant, et le vieille homme n’en semblait pas dénué aussi rebrousse t’elle chemin jusqu’à s’accouder à ce nouveau comptoir. L’œil accroche pourtant intensément le breuvage et, si le nez plisse un peu, il semble longuement en humer le parfum en quête d’odeur suspecte. L’animagus était en définitive un peu plus méfiant qu’il n’en avait l’air. Ne détectant rien d’anormal, c’est d’un souffle doux qu’elle chasse la fumée et observe Ambrosius, trop consciente des prix pratiqués par son concurrent directe pour ne pas les mètres côte à côte. C’est qu’elle fourrait un peu trop souvent le nez dans les comptes de son oncle et de son frère quand l’ennuie la tenait.
-C’est relativement honnête. Elle aurait de l’aconit un peu moins cher ailleurs, mais elle savait que son oncle n’était pas assez rigoureux sur cette plante en particulier, trop conscient que son usage était globalement destinés aux lycanthropes et certainement trop raciste pour leur promettre de la qualité. Ca en devenait agaçant quand sa si précieuse nièce, pourtant, se destinait à la recherche sur ce sujet en particulier. Quant à l’eau de Lethé, elle pouvait définitivement attendre. Ca ne l’empêche pourtant pas d’esquisser un sourire au nom de Délos. “L’île sacrée d’Apollon et Artémis.”
Elle aurait un jour aimé se perdre sur les contours de la Grèce et de ses îles, mais son père n’aimait guère qu’elle s’éloigne. Pendant bon nombre d’année, il l’avait cloitré dans l’enceinte du jardin familial en lui répétant que le monde, dehors, la dévorerait sans mal. Ca ne l’empêchait aujourd’hui plus de partir explorer des cryptes aux confins de l’écosses, mais force était d’admettre qu’elle avait toujours quelques appréhension à l’idée de découvrir du pays. Si les lèvres de la Blackhtorn s’entrouvrent, ce n’est que pour mieux se raviser devant l’ultime question qui tombent entre cette âme errante, le vieux et l’oie. Elle sait la raison de son insomnie un peu ridicule et peine à la confier.
-C’est la perspective de dépoussiérer votre vitrine qui m’a conduite sur le seuil de votre boutique. Répond t’elle en posant sa tisane devant elle, avant de perdre ses yeux au fond de sa tasse. La moue se forme pourtant et, certainement trop bavarde, c’est dans un soupire las qu’elle signe sa reddition. “Et accessoirement beaucoup de doute, un avenir un peu flou, et une histoire de cœur. C’était soit perdre mes pensées au travers d’une marche nocturne, soit m’essayer à des expérimentations qui m’aurait certainement menée au cimetière. Mais les fantômes sont de souvent de mauvais conseils quand on parle nécromancie.”
-C’est relativement honnête. Elle aurait de l’aconit un peu moins cher ailleurs, mais elle savait que son oncle n’était pas assez rigoureux sur cette plante en particulier, trop conscient que son usage était globalement destinés aux lycanthropes et certainement trop raciste pour leur promettre de la qualité. Ca en devenait agaçant quand sa si précieuse nièce, pourtant, se destinait à la recherche sur ce sujet en particulier. Quant à l’eau de Lethé, elle pouvait définitivement attendre. Ca ne l’empêche pourtant pas d’esquisser un sourire au nom de Délos. “L’île sacrée d’Apollon et Artémis.”
Elle aurait un jour aimé se perdre sur les contours de la Grèce et de ses îles, mais son père n’aimait guère qu’elle s’éloigne. Pendant bon nombre d’année, il l’avait cloitré dans l’enceinte du jardin familial en lui répétant que le monde, dehors, la dévorerait sans mal. Ca ne l’empêchait aujourd’hui plus de partir explorer des cryptes aux confins de l’écosses, mais force était d’admettre qu’elle avait toujours quelques appréhension à l’idée de découvrir du pays. Si les lèvres de la Blackhtorn s’entrouvrent, ce n’est que pour mieux se raviser devant l’ultime question qui tombent entre cette âme errante, le vieux et l’oie. Elle sait la raison de son insomnie un peu ridicule et peine à la confier.
-C’est la perspective de dépoussiérer votre vitrine qui m’a conduite sur le seuil de votre boutique. Répond t’elle en posant sa tisane devant elle, avant de perdre ses yeux au fond de sa tasse. La moue se forme pourtant et, certainement trop bavarde, c’est dans un soupire las qu’elle signe sa reddition. “Et accessoirement beaucoup de doute, un avenir un peu flou, et une histoire de cœur. C’était soit perdre mes pensées au travers d’une marche nocturne, soit m’essayer à des expérimentations qui m’aurait certainement menée au cimetière. Mais les fantômes sont de souvent de mauvais conseils quand on parle nécromancie.”
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