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Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Mer 10 Jan 2024 - 14:22
14.09.2023
Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
feat. @James Blackthorn
La madre que te parió de craving. Ça te saisit comme [insulte] de lasso autour du cou, te serre jusqu'à sentir chaque veine dans tes tripes. C'est comme un concert discordant, un crescendo de désir qui pulse à l'intérieur. C'est là, tapie dans un coin obscur de ta tête, cette foutue envie qui te chatouille sans relâche. C'est le genre de besoin impérieux qui te fait prendre conscience que t'es en manque, que t'es comme un maricón de junkie en quête de sa dose, mais là, c'est juste de la nicotine. C'est le froid qui agit comme un déclencheur dans le fond de cette zorra de serre, qui te fait ressentir chaque parcelle de ton être, te rappelant cette satanée habitude que t'as eue le culot de croire anodine. Le froid, il s'infiltre sournoisement, comme une encre glacée dans tes veines, te rappelant que t'es faible, putain, face à ce besoin impérieux.
Je me sens comme une meuf en plein sevrage qui essaie de se convaincre qu'elle n'a pas besoin de sa dose par heure. Un paquet de clopes dans la poche, une bouée de sauvetage dans ce désert glacial que je n’ai pas le droit de m’appropriée. Mais non, on reste fort, on fait genre on a tout sous contrôle. Sauf que c'est faux. Alors je serre les dents, je farfouille dans mes poches comme une folle, la jambe aussi elle à la tremblote et les bulle de chewing-gum éclate. J’irais même jusqu’à fumé les feuilles de tentacula vénéneuse ou réduire la mandragore en poudre pour la snifé. Que dalle. Rien qu'une puta de boule de froid qui s'installe, qui se love dans mes poumons en me murmurant à l'oreille : "Va, allume-moi".
Et je lutte. Ouais, je fais genre. Je sais pertinemment que je vais craquer. Ça me démange, joder ça me bouffe. Je me vois déjà marcher jusqu'à se putain de parc dans le froid, comme un chien affamé qui traque sa proie. Mais pour l'instant, je fais semblant. Je m'engueule dans ma tête, je râle contre ce froid qui rend tout plus difficile. Je pourrais presque jurer dans toutes les langues, mais ça ne ferait pas apparaître miraculeusement la clope entre mes lèvres ou l’autorisation de m’intoxiqué. Et mierda. C'est là, ce putain de besoin, qui grandit, qui monte crescendo jusqu'à devenir presque insupportable. Et moi, je me tiens là, en proie à cette envie grandissante de nicotine qui me tenaille comme une putain de faim insatiable. Vous la voyez bien, là, l’humeur de mierda ?
J’aime ça pourtant la botanique, vraiment. Je suis même carrément bonne en la matière. Mais la madre que te parió que c’est long les cours. Et pourquoi on à pas le droit d’en grillée une ? Ce n’est pas comme si on était à l’intérieur vraiment, c’est des puta de serre. Et au pire, les plantes, ça renouvelle le CO2 non ? Donc on ne va pas me tortillée du cul cent-sept ans. La fin du court, Hallelujah, putain il était temps. Je me redresse, parce que dans ma grande classe j’était juste le cul posé sur une surface quelconque à mâchouillée mon chewing-gum comme une vache mâchouille son herbe. Bras croisée, jambe croisée, avec l’air d’en m’en battre les ovaires comme de l’an quarante de ce cours. Même si ce n’est pas vraiment le cas. Même si j’écoute. Je suis aussi la première à glisser mon sac suur mon bras pour prendre la tangeant. Mais quedal, v’la que l’prof interpelle. Putain qu’il me fait chier. Et c’est qui le pendejo qui se tiens à côté ? Il n’est pas dans mon cours, ou mon année lui. Chinga tu madre, ils me veulent quoi ? parce que moi, j’veux juste ma clope de mierda.
---
Traduction de mon titre ; mais qu'est-ce que je vais devoir me fadé ? Un mange-merde !
Je me sens comme une meuf en plein sevrage qui essaie de se convaincre qu'elle n'a pas besoin de sa dose par heure. Un paquet de clopes dans la poche, une bouée de sauvetage dans ce désert glacial que je n’ai pas le droit de m’appropriée. Mais non, on reste fort, on fait genre on a tout sous contrôle. Sauf que c'est faux. Alors je serre les dents, je farfouille dans mes poches comme une folle, la jambe aussi elle à la tremblote et les bulle de chewing-gum éclate. J’irais même jusqu’à fumé les feuilles de tentacula vénéneuse ou réduire la mandragore en poudre pour la snifé. Que dalle. Rien qu'une puta de boule de froid qui s'installe, qui se love dans mes poumons en me murmurant à l'oreille : "Va, allume-moi".
Et je lutte. Ouais, je fais genre. Je sais pertinemment que je vais craquer. Ça me démange, joder ça me bouffe. Je me vois déjà marcher jusqu'à se putain de parc dans le froid, comme un chien affamé qui traque sa proie. Mais pour l'instant, je fais semblant. Je m'engueule dans ma tête, je râle contre ce froid qui rend tout plus difficile. Je pourrais presque jurer dans toutes les langues, mais ça ne ferait pas apparaître miraculeusement la clope entre mes lèvres ou l’autorisation de m’intoxiqué. Et mierda. C'est là, ce putain de besoin, qui grandit, qui monte crescendo jusqu'à devenir presque insupportable. Et moi, je me tiens là, en proie à cette envie grandissante de nicotine qui me tenaille comme une putain de faim insatiable. Vous la voyez bien, là, l’humeur de mierda ?
J’aime ça pourtant la botanique, vraiment. Je suis même carrément bonne en la matière. Mais la madre que te parió que c’est long les cours. Et pourquoi on à pas le droit d’en grillée une ? Ce n’est pas comme si on était à l’intérieur vraiment, c’est des puta de serre. Et au pire, les plantes, ça renouvelle le CO2 non ? Donc on ne va pas me tortillée du cul cent-sept ans. La fin du court, Hallelujah, putain il était temps. Je me redresse, parce que dans ma grande classe j’était juste le cul posé sur une surface quelconque à mâchouillée mon chewing-gum comme une vache mâchouille son herbe. Bras croisée, jambe croisée, avec l’air d’en m’en battre les ovaires comme de l’an quarante de ce cours. Même si ce n’est pas vraiment le cas. Même si j’écoute. Je suis aussi la première à glisser mon sac suur mon bras pour prendre la tangeant. Mais quedal, v’la que l’prof interpelle. Putain qu’il me fait chier. Et c’est qui le pendejo qui se tiens à côté ? Il n’est pas dans mon cours, ou mon année lui. Chinga tu madre, ils me veulent quoi ? parce que moi, j’veux juste ma clope de mierda.
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Traduction de mon titre ; mais qu'est-ce que je vais devoir me fadé ? Un mange-merde !
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
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Re: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Sam 13 Jan 2024 - 16:55
-
Tutorer une nouvelle élève. Sérieusement ? Toi ? Ils sont sûrs d'eux, là ? Non parce que tes capacités sociales frisent quand même pas mal le zéro absolu... Mais t'as rien à redire au fait que tu connaisses l'université, que tu saches ce que c'est d'être en décalage avec les autres - de par ton exil et ton changement de maison - et que tes capacités en botanique et potions ne sont plus à prouver.
Pas de bol pourtant, la fille que tu dois "guider" dans son insertion à Hungcalf a pas l'air plus aimable que toi derrière ton masque de marbre. Ca sent l'embrouille à plein nez. Rebeka Velazquez. Ok, tu vas te mettre à dos toute la communauté hispanique du campus ou bien ? Elle a l'air d'avoir qu'une envie : se barrer d'ici. Et à vrai dire, toi aussi. Les présentations faites, on te laisse prendre ton "poste" et tu réprimes un soupir.
-
Pas besoin de rester dans la serre pour faire le point sur son arrivée ici. Tu lui tiens galamment la porte pour sortir de la verrière, prenant l'initiative de la discussion.
-
Aucune envie de t'étendre sur ton propre passif, et t'enchaînes aussitôt, reprenant les informations qu'on t'a données.
-
Rien que verbaliser ces points te dépite davantage encore. Mais dans quel bourbier es-tu encore fourré ?
@Rebeka Velazquez
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Re: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Jeu 25 Jan 2024 - 22:11
14.09.2023
Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
feat. @James Blackthorn
« On sort ». Il ne m’en avait pas fallu plus. De toute façon, à le toisé de haut en bas en sortant déjà une clope de mon paquet pour lui taper le cul sur le carton de son emballage avant de la glissée entre mes lèvres, j’avais déjà commencé à contourner les obstacles entre moi, ma clope et une putain de bouffé d’air frais. Il aura vu, ou pas, mes yeux accrochés au plafond parce que putain qu’est-ce qu’il cause celui-là ! Et ma patience là ? Elle est proportionnelle à mon taux de nicotine dans le sang, à l’inverse. C’est pour ça que dès que l’extrémité de mon gros orteil frôlera à peine les dalles qui sépare vraiment les serres de l’extérieur, je serais déjà en train de frotter mon zippo une première fois à ma cuisse pour l’ouvrir et une seconde pour en frotter la pierre histoire d’avoir une belle flammèche pour venir incendier mon petit instant de félicité. Une grande bouffée que j’inspire comme une toxico qui viens sniffer sa dose limite à même la cuvette des chiottes. Et que je recrache lentement et en direction du ciel en formant un épais nuage grisâtre au-dessus de la tête. Là, enfin, il pourra avoir un peu de mon attention. Mais pas avant que j’aille me resservir un peu de mon futur cancer.
- Joder… Donc en gros ta présentation c’est de me dire que tu sers à rien ?
Pas d’édulcorant, c’est que ça fini par sortir quand mon regard le toise à nouveau et que je crache la seconde bouffée directement sur son visage sans même y pensée.
- Les potions… La botanique surtout c’est ça qui m’intéresse. Le reste j’men branle et ils le savent. Au pire, tu fait ton gentil petit rapporteur de bonne nouvelle, à leurs dire ce qu’ils veulent entendre et tout va bien dans le meilleur des mondes. Je me rappelle pas avoir demander de l’aide.
Nouvelle bouffée, nouveau nuage, nouveau regard qui part s’accrochée au plafond -ciel- et la mastication, classique et presque clichée qui reprend. Enfin, jusqu’à ce que je me rappelle que j’aime pas le gout de ma clope avec un chewing-gum. Ce qui me fera grimacée. Donc de ma main libre -qui ne tiens pas ma clope- je vais attraper la boule rose et gluante, chercher peut-être trois seconde et demi quoi en foutre. Et me dire que derrière ce vase, là, ou ici, ça ira très bien. En plus j’suis sympa, je rajoute de la couleur au paysage.
- Joder… Donc en gros ta présentation c’est de me dire que tu sers à rien ?
Pas d’édulcorant, c’est que ça fini par sortir quand mon regard le toise à nouveau et que je crache la seconde bouffée directement sur son visage sans même y pensée.
- Les potions… La botanique surtout c’est ça qui m’intéresse. Le reste j’men branle et ils le savent. Au pire, tu fait ton gentil petit rapporteur de bonne nouvelle, à leurs dire ce qu’ils veulent entendre et tout va bien dans le meilleur des mondes. Je me rappelle pas avoir demander de l’aide.
Nouvelle bouffée, nouveau nuage, nouveau regard qui part s’accrochée au plafond -ciel- et la mastication, classique et presque clichée qui reprend. Enfin, jusqu’à ce que je me rappelle que j’aime pas le gout de ma clope avec un chewing-gum. Ce qui me fera grimacée. Donc de ma main libre -qui ne tiens pas ma clope- je vais attraper la boule rose et gluante, chercher peut-être trois seconde et demi quoi en foutre. Et me dire que derrière ce vase, là, ou ici, ça ira très bien. En plus j’suis sympa, je rajoute de la couleur au paysage.
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
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Re: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Mar 30 Jan 2024 - 17:51
C'est pas gagné, songes-tu alors que vous sortez de la serre. La fille a vraiment pas l'air de vouloir y mettre du sien non plus, ce qui n'arrange rien à ton cas. Hécate, mais pourquoi toi ? Tu fais le point sur ce que révèlent les notes qu'on t'a transmises, encore plus dépité à mesure que tu les énumères. Et visiblement, c'est réciproque.
- Joder… Donc en gros ta présentation c’est de me dire que tu sers à rien ?
Et un nuage de fumée dans ta tronche. T'arques un sourcil, stoïque, mais clairement pas ravi non plus. Ok, ça va vraiment mal finir cette histoire, songes-tu, clairement pas certain de supporter bien longtemps ce genre d'attitude.
- Les potions… La botanique surtout c’est ça qui m’intéresse. Le reste j’m'en branle et ils le savent. Au pire, tu fais ton gentil petit rapporteur de bonne nouvelle, à leur dire ce qu’ils veulent entendre et tout va bien dans le meilleur des mondes. Je me rappelle pas avoir demandé de l’aide.
-Je me rappelle pas avoir proposé d'offrir la mienne non plus , répliques-tu sèchement.
Et autant la clope te dérange pas vraiment, au fond, autant la mastication de son chewing-gum a le don de te hérisser le poil - si son discours c'en était pas déjà chargé. Mâchoire serrée, tu la vois sortir la boule de gomme de sa bouche pour la poser sans la moindre considération sur un pot de fleur qui n'a rien demandé. Tu fermes les yeux, passablement agacé. Cette fille n'en loupe vraiment pas une...
Un geste de baguette et un sortilège informulé font disparaître l'horrible tâche rose avant que tu ne poses ton regard glacé à nouveau sur elle, la toisant de toute ta hauteur.
-Qu'on soit bien clairs. Je suis pas là par gaieté de coeur non plus, et crois-bien que j'ai autrement mieux à faire que de me coltiner une gamine capricieuse et irrespectueuse. Maintenant t'as deux options. Continuer sur cette lancée, valider peut-être les potions et la botanique et encore, et foirer tes autres matières ce qui te foutra directement à la porte de Hungcalf, et en dehors de mes pattes au passage.
Aurais-tu l'air d'un parent qui gronde son môme là ? Peut-être bien... Tu t'en rends même pas vraiment compte. En réalité, tout ce que tu vois, c'est la grossièreté du personnage, et tu ne comprends même pas ce qu'elle fout là - et donc, tu ne te plaindrais pas forcément de la voir vider les lieux à cet instant, clairement pas.
-Au cas où tu aurais oublié, Hungcalf est une université d'élite. Tu t'en sortiras pas en choisissant de faire l'impasse sur la moitié de tes options.
Tu laisses planer une seconde de silence, une seule, histoire de marquer le coup, mais pas de lui laisser le temps de répliquer, parce que tu sens bien que la brune a pas la langue dans sa poche et va pas apprécier le ton employé.
-Ou tu ravales tes grands airs deux minutes, et tu fais en sorte que ça se passe un minimum correctement.
Tu ne dirais pas "bien", ça serait probablement exagéré. Tu prends sur toi pour faire une dernière fois le point sur l'aide que tu es censé lui apporter, parce que clairement, t'es pas vraiment l'étudiant le plus conciliant de l'université, loin s'en faut.
-Outre mon propre soutien en botanique et potions, je suis censé être là aussi pour te guider à travers l'université. Et les options que nous n'avons pas en commun, je peux te mettre en relation avec des personnes plus compétentes en cas de besoin. Maintenant à toi de voir. La balle est dans ton camp. Si tu préfères faire cavalier seul et risquer de tout foutre en l'air, libre à toi. C'est pas moi qui vais te courir après.
Clairement pas. D'ailleurs, t'es déjà prêt à tourner les talons et à la planter là, parce que clairement, t'as mieux à faire que d'expliquer les convenances à une écervelée de la sorte. Qu'importe qu'elle soit douée en botanique d'après ce que disent les notes reçues. Même si bon, ça titille quand même un peu ta curiosité...
@Rebeka Velazquez
- Joder… Donc en gros ta présentation c’est de me dire que tu sers à rien ?
Et un nuage de fumée dans ta tronche. T'arques un sourcil, stoïque, mais clairement pas ravi non plus. Ok, ça va vraiment mal finir cette histoire, songes-tu, clairement pas certain de supporter bien longtemps ce genre d'attitude.
- Les potions… La botanique surtout c’est ça qui m’intéresse. Le reste j’m'en branle et ils le savent. Au pire, tu fais ton gentil petit rapporteur de bonne nouvelle, à leur dire ce qu’ils veulent entendre et tout va bien dans le meilleur des mondes. Je me rappelle pas avoir demandé de l’aide.
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Et autant la clope te dérange pas vraiment, au fond, autant la mastication de son chewing-gum a le don de te hérisser le poil - si son discours c'en était pas déjà chargé. Mâchoire serrée, tu la vois sortir la boule de gomme de sa bouche pour la poser sans la moindre considération sur un pot de fleur qui n'a rien demandé. Tu fermes les yeux, passablement agacé. Cette fille n'en loupe vraiment pas une...
Un geste de baguette et un sortilège informulé font disparaître l'horrible tâche rose avant que tu ne poses ton regard glacé à nouveau sur elle, la toisant de toute ta hauteur.
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Aurais-tu l'air d'un parent qui gronde son môme là ? Peut-être bien... Tu t'en rends même pas vraiment compte. En réalité, tout ce que tu vois, c'est la grossièreté du personnage, et tu ne comprends même pas ce qu'elle fout là - et donc, tu ne te plaindrais pas forcément de la voir vider les lieux à cet instant, clairement pas.
-
Tu laisses planer une seconde de silence, une seule, histoire de marquer le coup, mais pas de lui laisser le temps de répliquer, parce que tu sens bien que la brune a pas la langue dans sa poche et va pas apprécier le ton employé.
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Tu ne dirais pas "bien", ça serait probablement exagéré. Tu prends sur toi pour faire une dernière fois le point sur l'aide que tu es censé lui apporter, parce que clairement, t'es pas vraiment l'étudiant le plus conciliant de l'université, loin s'en faut.
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Clairement pas. D'ailleurs, t'es déjà prêt à tourner les talons et à la planter là, parce que clairement, t'as mieux à faire que d'expliquer les convenances à une écervelée de la sorte. Qu'importe qu'elle soit douée en botanique d'après ce que disent les notes reçues. Même si bon, ça titille quand même un peu ta curiosité...
@Rebeka Velazquez
– the best –
- Zooey de CornouillerOldieㄨ experimented wizard
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» miroir du riséd : Sabrina Carpenter
» crédits : gif gcwh
» âge : 19 ans
» situation : celibataire
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Re: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Mer 7 Fév 2024 - 9:24
14.09.2023
Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
feat. @James Blackthorn
Joder ! C’est qu’il aurait pris la mouche le Mister. J’ai bien arqué un sourcil, non sans avoir un regard bien blasé en tirant une nouvelle latte de ma clope. Si ça première réplique m’a presque tiré un sourire, la suite de son monologue a juste eu le don de me gonflée très sérieusement. Et là, pendant qu’il continue de s’égosillée en se prenant pour le padre, j’ai la pensée qui dévie vers mon poing américain. Un petit uppercut là, juste là. Je suis sûr que ça lui arrangerait la face une bosse sur le nez. Ça lui donnerait un peu plus de caractère en plus de lui faire ravaler sa condescendance. Le mot « elite » il a tendance à me hérissée le poil. Toutes ses castes d’abrutis qui se pense mieux que les autres à cause de leurs prestiges qu’on leurs collerais bien profondément dans l’arrière-train pour rivaliser avec un balai déjà bien implanté. Surtout qu’à côté de ça, ils ne se débrouilleraient pas deux secondes sans leurs précieuse baguette. Donc son jugement, autant dire que je me torche avec. Cara de mierda ! C’est lui qui parle de grands airs ? C’est un comble, vraiment. L’hôpital qui se fou de la charité ?
Et pour seule réponse à la fin de sa dernière tirade ? Une nouvelle vague de fumée grisâtre que je lui crache en pleine gueule. L’air toujours aussi blasée. Dans le monde animal, quand un félin vous regarde un peu trop longtemps dans les yeux, c’est le moment de se mettre à courir vite et loin. Et j’ai planter les miens, d’yeux, sur son visage et à la recherche des siens, ma main de libre continuant de jouer avec mon zippo et à en déclencher les cliquetis qui avait accompagné tout le discours. Si j’avais pu, je lui aurais coller ma main dans la tronche, là, de suite. Parce que la violence à toujours été la réponse qu’on m’a appris à donner dans une situation de « joute » verbale. Je ne perds pas mon temps en mots. On cogne un bon coup et on passe à autre chose par chez moi. Du moins, quand ça fini pas refroidit à l’arrière d’un bâtiment entre deux bennes à ordure au milieu des aiguilles perdu. Et même si j’ai très envie de l’envoyer Chinga tu madre. Il parait que pour me sortir de mon trou je dois en passer par là. Ce n’est pas tant sa face de Culero qui m’inquiète, mais ce que la madre va trouver à redire si je me fais expulser avant même d’avoir eu le temps d’apprendre à me repérer dans le nid à bourge. Joder il va me falloir une nouvelle latte, là, pour pas m’adonner à mes répliques naturelles.
- Faudrait voir à pas user tes pompes ou te luxer l’égo.
Rapport au fait de lui « courir après ». Aller, j’suis sympa, cette fois je crache ma fumée ailleurs que dans sa trajectoire. C’est le début d’un effort. Surtout avec un sourire qui va s’étirer sur mes traits, même s’il ne se reflète pas dans mes yeux.
- Je descendrais de mes grands chevaux quand tu descendras des tiens, pendejo.
Si la phrase pouvait être mal prise, de même qu’un qualificatif que certain pourrais appeler « vulgaire », ben ce n’est pas mon problème. Parce que c’est comme ça que je m’exprime. Et le fait que je ne lui ai pas encore mis la tronche dans le pot de fleur et que je continue de sourire veut bien dire ce que ça veut dire. De même que j’ai arrêter de le fixé avec la tête d’un félin prêt à bouffer sa proie. Mais je doute qu’il en capte la subtilité, je l’ai déjà jugé comme un mantenido, un bon gros fils à papa avec l’égo qui va avec. Lui aussi m’a jugé, même si ses insultes me sont glissées dessus avec indifférence.
- Et si « on » fait en sorte que ça fonctionne, ça impliquerais quoi ton « aide ».
J’insiste bien sur le « on » avec le rictus qui deviens un peu plus pestouille, parce que si il me reparle comme à une enfant de quatre ans, il va ce le manger le béton. Quitte à l’étouffer avec les tiges dans son précieux pot de fleur. Je ne suis pas con, j’vais pas commencer une baston simplement parce que sa tronche me reviens pas, ou pas ici en tout cas. Mais faudrait voir à pas trop pousser le bouchon trop loin Gertrude.
Et pour seule réponse à la fin de sa dernière tirade ? Une nouvelle vague de fumée grisâtre que je lui crache en pleine gueule. L’air toujours aussi blasée. Dans le monde animal, quand un félin vous regarde un peu trop longtemps dans les yeux, c’est le moment de se mettre à courir vite et loin. Et j’ai planter les miens, d’yeux, sur son visage et à la recherche des siens, ma main de libre continuant de jouer avec mon zippo et à en déclencher les cliquetis qui avait accompagné tout le discours. Si j’avais pu, je lui aurais coller ma main dans la tronche, là, de suite. Parce que la violence à toujours été la réponse qu’on m’a appris à donner dans une situation de « joute » verbale. Je ne perds pas mon temps en mots. On cogne un bon coup et on passe à autre chose par chez moi. Du moins, quand ça fini pas refroidit à l’arrière d’un bâtiment entre deux bennes à ordure au milieu des aiguilles perdu. Et même si j’ai très envie de l’envoyer Chinga tu madre. Il parait que pour me sortir de mon trou je dois en passer par là. Ce n’est pas tant sa face de Culero qui m’inquiète, mais ce que la madre va trouver à redire si je me fais expulser avant même d’avoir eu le temps d’apprendre à me repérer dans le nid à bourge. Joder il va me falloir une nouvelle latte, là, pour pas m’adonner à mes répliques naturelles.
- Faudrait voir à pas user tes pompes ou te luxer l’égo.
Rapport au fait de lui « courir après ». Aller, j’suis sympa, cette fois je crache ma fumée ailleurs que dans sa trajectoire. C’est le début d’un effort. Surtout avec un sourire qui va s’étirer sur mes traits, même s’il ne se reflète pas dans mes yeux.
- Je descendrais de mes grands chevaux quand tu descendras des tiens, pendejo.
Si la phrase pouvait être mal prise, de même qu’un qualificatif que certain pourrais appeler « vulgaire », ben ce n’est pas mon problème. Parce que c’est comme ça que je m’exprime. Et le fait que je ne lui ai pas encore mis la tronche dans le pot de fleur et que je continue de sourire veut bien dire ce que ça veut dire. De même que j’ai arrêter de le fixé avec la tête d’un félin prêt à bouffer sa proie. Mais je doute qu’il en capte la subtilité, je l’ai déjà jugé comme un mantenido, un bon gros fils à papa avec l’égo qui va avec. Lui aussi m’a jugé, même si ses insultes me sont glissées dessus avec indifférence.
- Et si « on » fait en sorte que ça fonctionne, ça impliquerais quoi ton « aide ».
J’insiste bien sur le « on » avec le rictus qui deviens un peu plus pestouille, parce que si il me reparle comme à une enfant de quatre ans, il va ce le manger le béton. Quitte à l’étouffer avec les tiges dans son précieux pot de fleur. Je ne suis pas con, j’vais pas commencer une baston simplement parce que sa tronche me reviens pas, ou pas ici en tout cas. Mais faudrait voir à pas trop pousser le bouchon trop loin Gertrude.
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
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Re: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Dim 18 Fév 2024 - 18:52
La fumée au visage t'agace légèrement profondément. Pas que tu sois pas habitué à l'odeur, mais sur le principe... Toute une éducation à refaire. Les yeux plantés dans les siens - parce qu'elle croit vraiment que tu vas fuir devant ses gros yeux, là ? - tu passes outre le clic clic clic désagréable de son briquet pour asséner des vérités qui, à ton avis, sont carrément évidentes. Mais faut croire que ça l'est pas assez pour elle. Est-ce qu'elle réalise où elle s'est inscrite ? Ce qui est attendu d'elle ? Et le risque qu'elle encourt à n'en faire qu'à sa tête ? On s'inscrit pas ici pour en avoir rien à faire en théorie. Alors qu'est-ce qu'elle fout ? Ca te dépasse. Mais même si tu aimes pas laisser des mystères irrésolus - ce qui risque d'arriver si vous en restez là et qu'elle tient pas le premier mois - t'as clairement autre chose à faire que lui courir après, ce que tu te fais un plaisir de lui signifier.
- Faudrait voir à pas user tes pompes ou te luxer l’égo.
Tu lèves clairement les yeux au ciel. Si elle savait où vont tes pompes les nuits de pleine lune et les semaines de congés...
- Je descendrais de mes grands chevaux quand tu descendras des tiens, pendejo.
Et bah on est mal barrés songes-tu, parce que tu n'as clairement aucune intention de t'écraser devant cette tête brûlée. D'ailleurs, t'es franchement prêt à tourner les talons et à la planter là, au diable leur requête de tutorat, parrainage ou tu ne sais trop quoi. T'as tendu la main une fois, t'iras pas plus loin. Tant pis pour elle. Tu donnes pas cher de sa peau, mais c'est son problème.
- Et si « on » fait en sorte que ça fonctionne, ça impliquerait quoi ton « aide ».
Contre toute attente, sa dernière réplique adoucit légèrement l'ambiance. Tu inspires profondément parce qu'Hécate, tu viens pas justement de répondre à ça ? Mais ok, t'imagines qu'elle a fait un effort, quelque part, donc tu prends le risque d'en faire un aussi. Probablement plus pour éviter des emmerdes avec l'administration que pour ses beaux yeux, mais enfin...
-Tout dépend de ce dont tu as besoin. Du soutien. Une mise en contact si je peux pas l'apporter moi-même. De l'aide pour te repérer dans l'université. A toi de me dire. Vois ça comme... avoir un interlocuteur privilégié, plutôt que de courir partout dans le château en vain.
N'empêche... Quelle drôle d'idée ils ont eu de venir te chercher toi.
@Rebeka Velazquez
- Faudrait voir à pas user tes pompes ou te luxer l’égo.
Tu lèves clairement les yeux au ciel. Si elle savait où vont tes pompes les nuits de pleine lune et les semaines de congés...
- Je descendrais de mes grands chevaux quand tu descendras des tiens, pendejo.
Et bah on est mal barrés songes-tu, parce que tu n'as clairement aucune intention de t'écraser devant cette tête brûlée. D'ailleurs, t'es franchement prêt à tourner les talons et à la planter là, au diable leur requête de tutorat, parrainage ou tu ne sais trop quoi. T'as tendu la main une fois, t'iras pas plus loin. Tant pis pour elle. Tu donnes pas cher de sa peau, mais c'est son problème.
- Et si « on » fait en sorte que ça fonctionne, ça impliquerait quoi ton « aide ».
Contre toute attente, sa dernière réplique adoucit légèrement l'ambiance. Tu inspires profondément parce qu'Hécate, tu viens pas justement de répondre à ça ? Mais ok, t'imagines qu'elle a fait un effort, quelque part, donc tu prends le risque d'en faire un aussi. Probablement plus pour éviter des emmerdes avec l'administration que pour ses beaux yeux, mais enfin...
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N'empêche... Quelle drôle d'idée ils ont eu de venir te chercher toi.
@Rebeka Velazquez
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Re: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Mar 20 Fév 2024 - 11:16
14.09.2023
Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
feat. @James Blackthorn
Merci cabrón, j’avais entendu la première fois. Ce n’est pas moi qui pratique la gymnastique des chaussettes à m’en rendre sourde. Je n’ai pas le matos pour. D’ailleurs je me retiens fort, très fort de pas rouler mes yeux dans leurs orbites. Peut-être pas assez fort vu qu’ils finissent quand même par décoller et aller rejoindre les nuages, ou un truc comme ça. Ce n’est pas d’une putain de clope que j’ai besoin, c’est d’un bon gros sder des familles si je dois supporter la miellosité du pendejo.
- J’avais enttendu la première fois. Non, ce que je te demande c’est ce que je vais devoir raqué. Je paye pas mon cul de base. Donc tu veux quoi ?
Parce que partout dans le monde c’est comme ça que ça marche. On n’a rien sans rien et la bonté de cœur sortie tout droit du cul de la sainte vierge, merci mais on y croit moyen. Il doit avoir soit une contrepartie avec cette université de cul serré. Soit c’est moi qui vais devoir mettre la main au portemonnaie. Voir les deux, s’il n’est pas trop con. On ne survit pas en étant tout doux tout guimauve, ça je l’ai bien appris au fil des années. Et personne dans ce monde n’a d’action sans petites idées plus ou moins tordu derrière la tête. Personne.
- J’avais enttendu la première fois. Non, ce que je te demande c’est ce que je vais devoir raqué. Je paye pas mon cul de base. Donc tu veux quoi ?
Parce que partout dans le monde c’est comme ça que ça marche. On n’a rien sans rien et la bonté de cœur sortie tout droit du cul de la sainte vierge, merci mais on y croit moyen. Il doit avoir soit une contrepartie avec cette université de cul serré. Soit c’est moi qui vais devoir mettre la main au portemonnaie. Voir les deux, s’il n’est pas trop con. On ne survit pas en étant tout doux tout guimauve, ça je l’ai bien appris au fil des années. Et personne dans ce monde n’a d’action sans petites idées plus ou moins tordu derrière la tête. Personne.
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
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Re: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Mar 20 Fév 2024 - 11:38
Tu la voix rouler des yeux et l'agacement remonte en flèche aussitôt. Ca va être lourd au quotidien, cette histoire. Hécate ! Pourquoi sont-ils venus te chercher toi ?
- J’avais entendu la première fois.
Bah c'était pas évident, vu comme elle passe plus de temps à râler et pester qu'autre chose, et vu sa question. En tout cas, c'était pas évident pour toi.
- Non, ce que je te demande c’est ce que je vais devoir raqué. Je paye pas mon cul de base.
-Je te le demande clairement pas.
Réponse réflexe, rien que l'idée même de ce type de pratique te débecte au plus haut point. Puis à ce niveau-là, merci mais t'as ce qu'il faut en vrai...
- Donc tu veux quoi ?
A l'incompréhension initiale succède un ersatz de sourire sur ton visage jusque-là bien morne.
-Le monde est une jungle et on n'a rien sans rien, c'est bien garde ça en tête.
Parce que t'as beau détester ça, t'es parfaitement conscient que c'est comme ça que ça marche. Que c'est ce qui fait que tu luttes depuis toujours dans l'environnement Blackthorn, aussi. Ta monnaie d'échange à leurs yeux est assez pauvre. Ca t'empêche pas de travailler d'arrache-pied à leur prouver qu'ils ont misé sur les mauvais chevaux.
Passons. La question posée est intéressante, et elle n'a pas complètement tord : tu ne fais pas ce pas vers elle par pur altruisme.
-T'imagines bien que je suis pas là de gaieté de coeur. Mais en premier lieu, j'y gagne de me faire bien voir par l'administration hungcalfienne, et t'apprendras que t'as vraiment pas envie que ça soit tout l'inverse. Le niveau d'enseignement ici est prodigieux, mais les mauvaises herbes sont rapidement éradiquées.
La porte est par là, merci, au revoir, il y en a plein qui y ont eu droit et t'as pas l'intention d'en faire partie. A elle de voir où elle veut se positionner.
-Quant à ce que toi tu peux m'apporter...
La Triple Lune en soit témoin, tu détestes marchander. Mais il y a deux choses dans le dossier de cette fille qui t'intéressent : son goût pour les potions et la botanique, déjà, puisque ça au moins, vous l'avez en commun. Et puis son origine. Et potentiellement, ce qu'elle peut savoir ou obtenir dans votre domaine de prédilection qui provienne de son ancien chez elle.
-Tu viens du Mexique, n'est-ce pas ? question rhétorique, c'est écrit noir sur blanc. Je dois bien admettre que tes connaissances sur la flore endémique seraient un atout précieux pour mes propres recherches...
Qui sait, elle pourrait t'apprendre des choses intéressantes...
- J’avais entendu la première fois.
Bah c'était pas évident, vu comme elle passe plus de temps à râler et pester qu'autre chose, et vu sa question. En tout cas, c'était pas évident pour toi.
- Non, ce que je te demande c’est ce que je vais devoir raqué. Je paye pas mon cul de base.
-
Réponse réflexe, rien que l'idée même de ce type de pratique te débecte au plus haut point. Puis à ce niveau-là, merci mais t'as ce qu'il faut en vrai...
- Donc tu veux quoi ?
A l'incompréhension initiale succède un ersatz de sourire sur ton visage jusque-là bien morne.
-
Parce que t'as beau détester ça, t'es parfaitement conscient que c'est comme ça que ça marche. Que c'est ce qui fait que tu luttes depuis toujours dans l'environnement Blackthorn, aussi. Ta monnaie d'échange à leurs yeux est assez pauvre. Ca t'empêche pas de travailler d'arrache-pied à leur prouver qu'ils ont misé sur les mauvais chevaux.
Passons. La question posée est intéressante, et elle n'a pas complètement tord : tu ne fais pas ce pas vers elle par pur altruisme.
-
La porte est par là, merci, au revoir, il y en a plein qui y ont eu droit et t'as pas l'intention d'en faire partie. A elle de voir où elle veut se positionner.
-
La Triple Lune en soit témoin, tu détestes marchander. Mais il y a deux choses dans le dossier de cette fille qui t'intéressent : son goût pour les potions et la botanique, déjà, puisque ça au moins, vous l'avez en commun. Et puis son origine. Et potentiellement, ce qu'elle peut savoir ou obtenir dans votre domaine de prédilection qui provienne de son ancien chez elle.
-
Qui sait, elle pourrait t'apprendre des choses intéressantes...
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Re: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Lun 18 Mar 2024 - 11:56
14.09.2023
Zooey refuse d'utiliser ce titre, bien trop vulgaire pour elle. Et si on parlais plutôt de Boursouf ?
Mais quelle idée saugrenue avait-elle eu de penser que c’était une bonne idée de visiter cette université en empruntant un chemin différent de celui qui lui avait été initialement montré. Elle savait pourtant que son sens de l’orientation laissait grandement à désirer. Et à quoi s’attendait-elle concrètement, en ajoutant la difficulté de la découverte, de "l'aventure" ? Toute curiosité n’est pas bonne à combler, c’est un fait. C’est comme si un mantra, une promesse intérieure depuis qu’elle avait rejoint les bancs de Hungalf, la poussait à sortir de sa zone de confort et à aller à la rencontre de nouvelles personnes. Sortir de sa coquille, n’est-ce pas ? Peut-être pas lorsque cela risquait de la mettre en retard pour son cours de soin aux créatures magiques…
Avec sa fidèle besace accrochée en travers et par-dessus un t-shirt noué à la taille pour le ceinturé un peu plus, au couleur pastel d’un arc en ciel digne d’une licorne et souligné de deux Focifère aux couleurs chatoyantes présentement en train de faire la course d’un bout à l’autre du tissu, et un café plus grand que de raison – ou que son visage – bien fermement tenu entre les doigts de sa main droite, la voilà partie se balader. Oui, on appellera ça se balader lorsqu'elle croise un chemin, à droite ou à gauche, et qu'elle se dit "tiens, je ne suis jamais allée par-là", haussant les épaules pour elle-même, justifiant une fois de plus pour sa propre personne que tous les chemins devaient mener à Traverse ? Ou un truc bancal du genre. Non, Zooey, tous les chemins ne te mèneront pas là où tu dois être ! Heureusement cependant, elle a la manie de partir sacrément en avance et d’arriver, fatalement, lorsque les aiguilles de sa montre lui indiquent qu'elle n'aura pas de soucis à se faire concernant sa ponctualité. Devrait-elle cependant s’inquiéter que sa lubie du jour marque une exception pour confirmer la règle ?
Que nenni ! L’aventure, c’est ce qu’elle s’est dit. Ou plutôt, ce dont elle s'est convaincue, une fois de plus et très fort. S’engouffrer là, où ici ? On ne sait pas trop. Et avancer au gré du vent en improvisant complètement. Parce qu'il aurait été trop facile de sortir la carte de l'université. Fatalement, ce qui devait arriver, arriva. Et la voilà complètement perdue, les yeux grands ouverts et brillants à la manière d’une Demiguise. Une petite ridule entre ses sourcils froncés et sa bouche formant un "o" presque parfait qui lui donnait l’air bien crédule. Ou stupide, au choix. On avait pourtant dit dans ta fiche que naïveté ne voulait pas dire stupidité, chérie, tu ne m’aides pas vraiment là…
Le tout marqué par les allées qui semblent changer au gré de leurs envies. Ce buisson, il n’était pas là l’instant d’avant ! Et voilà maintenant qu'il lui barre le chemin et l'empêche d'opérer un demi-tour. Vers où ? Elle ne sait pas non plus ! Quand elle se perd, c’est souvent parce qu’elle ne sait même plus par où elle est venue. Et à vrai dire, sans grandes enseignes colorées pour se repérer, ou avoir à minima un point d’accroche dans sa mémoire… Peut-être qu’elle pourrait simplement demander ? Après tout, elle ne doit pas être la seule par ici, ou par là. Et vu le groupe d'étudiants qui filent, un cours a dû prendre fin dans les parages ? Ou bien une compétition de Bavboule ? Tant qu’on ne lui lance pas un frisbee à dent de serpent ! Elle gérera, promis. Elle n’est pas douée pour rattraper les objets volants. Elle est meilleure pour les lancer. Et puis… Ce genre de frisbee ; ça mord !
Voilà le moment où nous allons pouvoir reporter son regard sur deux silhouettes en train d’échanger. L’une a l’air pas trop commode, le second ne donne pas non plus l’impression de vivre le meilleur jour de sa vie. Mais comme Zooey va être dénuée de tout jugement, tout ce qui va l'inquiéter et la faire hésiter, c’est l’idée de déranger. Ce qui laisse donc l’opportunité à Rebeka de nous faire un petit passage pour continuer la conversation qu’elle avait avec James.
- Eh beh Mijo, des cours de botanique, c’est tout ? C’est pas si cher payé. Je pourrais m’y faire.
Faut dire que la petite blonde n'était pas assez proche pour entendre ce qui avait précédé. Ou voir les yeux de la brune se lever bien haut dans le ciel quand le mec en face s’est pris pour Merlin avec ses leçons de vie dont elle se serait bien passée, ce qui lui a fait claquer la langue contre son palais en tirant une nouvelle latte de sa cigarette. Chose qu’elle fera également quand Zooey approchera, et qui déclenchera une petite toux chez la lilliputienne. Une façon comme une autre de marquer sa présence, même si ce n'aurait pas été son premier choix.
- Pardon de vous déranger. Mais j’ai pris un mauvais tournant. Enfin non, techniquement je me suis juste dit que c’était une bonne idée d’improviser un chemin plutôt qu’un autre pour aller en cours de soin aux créatures magiques, mais tous les chemins ne mènent peut-être pas à Rome. Ou alors pas en temps et en heure ?
Ça va le monologue, Zooey ? Tu respires ? Parce que si on va faire un interlude narratif pour décrire les expressions de Rebeka, en réalité, entre cette première partie de réplique et ce qui va suivre, il n’y aura eu aucune pause. Et la voilà qui part à comparer sa situation à une quelconque créature magique tout en partant un peu dans tous les sens, ce que nous ne détaillerons pas forcément ici mais qui pourra bourdonner dans les oreilles de James et Rebeka. On découvrira alors que quand elle est stressée, Zooey devient un moulin à paroles. Et il y en a une qui va jeter un regard en biais à la demoiselle en levant un sourcil, croisant un bras sur le second et arquant un sourcil, c’est Rebe’. Qui va bientôt lever le second pour qu’il rejoigne le premier avant que ses iris ne fassent un mouvement circulaire presque parfait dans leurs orbites et qu’elle ne claque à nouveau la langue contre son palais. Elle aura bien un regard pour James - peut-être - avant de tout simplement se barrer.
- Bonne chance.
Qu’elle aura même le culot de glisser avec un petit sourire en coin en tournant les talons, balançant son mégot par ici ou par là. Ce qui, au moins, fera enfin taire Zooey qui va papillonner du regard en suivant la trajectoire du mégot avec un air légèrement ahuri pour mieux retourner à l’observation de ses chaussures et présenter, une nouvelle fois, ses excuses pour avoir dérangé leur conversation.
Avec sa fidèle besace accrochée en travers et par-dessus un t-shirt noué à la taille pour le ceinturé un peu plus, au couleur pastel d’un arc en ciel digne d’une licorne et souligné de deux Focifère aux couleurs chatoyantes présentement en train de faire la course d’un bout à l’autre du tissu, et un café plus grand que de raison – ou que son visage – bien fermement tenu entre les doigts de sa main droite, la voilà partie se balader. Oui, on appellera ça se balader lorsqu'elle croise un chemin, à droite ou à gauche, et qu'elle se dit "tiens, je ne suis jamais allée par-là", haussant les épaules pour elle-même, justifiant une fois de plus pour sa propre personne que tous les chemins devaient mener à Traverse ? Ou un truc bancal du genre. Non, Zooey, tous les chemins ne te mèneront pas là où tu dois être ! Heureusement cependant, elle a la manie de partir sacrément en avance et d’arriver, fatalement, lorsque les aiguilles de sa montre lui indiquent qu'elle n'aura pas de soucis à se faire concernant sa ponctualité. Devrait-elle cependant s’inquiéter que sa lubie du jour marque une exception pour confirmer la règle ?
Que nenni ! L’aventure, c’est ce qu’elle s’est dit. Ou plutôt, ce dont elle s'est convaincue, une fois de plus et très fort. S’engouffrer là, où ici ? On ne sait pas trop. Et avancer au gré du vent en improvisant complètement. Parce qu'il aurait été trop facile de sortir la carte de l'université. Fatalement, ce qui devait arriver, arriva. Et la voilà complètement perdue, les yeux grands ouverts et brillants à la manière d’une Demiguise. Une petite ridule entre ses sourcils froncés et sa bouche formant un "o" presque parfait qui lui donnait l’air bien crédule. Ou stupide, au choix. On avait pourtant dit dans ta fiche que naïveté ne voulait pas dire stupidité, chérie, tu ne m’aides pas vraiment là…
Le tout marqué par les allées qui semblent changer au gré de leurs envies. Ce buisson, il n’était pas là l’instant d’avant ! Et voilà maintenant qu'il lui barre le chemin et l'empêche d'opérer un demi-tour. Vers où ? Elle ne sait pas non plus ! Quand elle se perd, c’est souvent parce qu’elle ne sait même plus par où elle est venue. Et à vrai dire, sans grandes enseignes colorées pour se repérer, ou avoir à minima un point d’accroche dans sa mémoire… Peut-être qu’elle pourrait simplement demander ? Après tout, elle ne doit pas être la seule par ici, ou par là. Et vu le groupe d'étudiants qui filent, un cours a dû prendre fin dans les parages ? Ou bien une compétition de Bavboule ? Tant qu’on ne lui lance pas un frisbee à dent de serpent ! Elle gérera, promis. Elle n’est pas douée pour rattraper les objets volants. Elle est meilleure pour les lancer. Et puis… Ce genre de frisbee ; ça mord !
Voilà le moment où nous allons pouvoir reporter son regard sur deux silhouettes en train d’échanger. L’une a l’air pas trop commode, le second ne donne pas non plus l’impression de vivre le meilleur jour de sa vie. Mais comme Zooey va être dénuée de tout jugement, tout ce qui va l'inquiéter et la faire hésiter, c’est l’idée de déranger. Ce qui laisse donc l’opportunité à Rebeka de nous faire un petit passage pour continuer la conversation qu’elle avait avec James.
- Eh beh Mijo, des cours de botanique, c’est tout ? C’est pas si cher payé. Je pourrais m’y faire.
Faut dire que la petite blonde n'était pas assez proche pour entendre ce qui avait précédé. Ou voir les yeux de la brune se lever bien haut dans le ciel quand le mec en face s’est pris pour Merlin avec ses leçons de vie dont elle se serait bien passée, ce qui lui a fait claquer la langue contre son palais en tirant une nouvelle latte de sa cigarette. Chose qu’elle fera également quand Zooey approchera, et qui déclenchera une petite toux chez la lilliputienne. Une façon comme une autre de marquer sa présence, même si ce n'aurait pas été son premier choix.
- Pardon de vous déranger. Mais j’ai pris un mauvais tournant. Enfin non, techniquement je me suis juste dit que c’était une bonne idée d’improviser un chemin plutôt qu’un autre pour aller en cours de soin aux créatures magiques, mais tous les chemins ne mènent peut-être pas à Rome. Ou alors pas en temps et en heure ?
Ça va le monologue, Zooey ? Tu respires ? Parce que si on va faire un interlude narratif pour décrire les expressions de Rebeka, en réalité, entre cette première partie de réplique et ce qui va suivre, il n’y aura eu aucune pause. Et la voilà qui part à comparer sa situation à une quelconque créature magique tout en partant un peu dans tous les sens, ce que nous ne détaillerons pas forcément ici mais qui pourra bourdonner dans les oreilles de James et Rebeka. On découvrira alors que quand elle est stressée, Zooey devient un moulin à paroles. Et il y en a une qui va jeter un regard en biais à la demoiselle en levant un sourcil, croisant un bras sur le second et arquant un sourcil, c’est Rebe’. Qui va bientôt lever le second pour qu’il rejoigne le premier avant que ses iris ne fassent un mouvement circulaire presque parfait dans leurs orbites et qu’elle ne claque à nouveau la langue contre son palais. Elle aura bien un regard pour James - peut-être - avant de tout simplement se barrer.
- Bonne chance.
Qu’elle aura même le culot de glisser avec un petit sourire en coin en tournant les talons, balançant son mégot par ici ou par là. Ce qui, au moins, fera enfin taire Zooey qui va papillonner du regard en suivant la trajectoire du mégot avec un air légèrement ahuri pour mieux retourner à l’observation de ses chaussures et présenter, une nouvelle fois, ses excuses pour avoir dérangé leur conversation.
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
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Re: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Mer 10 Avr 2024 - 14:00
- Eh beh Mijo, des cours de botanique, c’est tout ? C’est pas si cher payé. Je pourrais m’y faire.
Tu lèves les yeux au ciel, vraiment dépité que ça soit cette fille-là qu'on t'ait collé dans les pattes. Evidemment, que ça t'ouvre les portes de l'AESH, que ça fasse bien sur ton dossier, t'octroies des bonus dans ton cursus, tu risquais pas de dire non mais vraiment, il fallait que ça tombe sur cet énergumène-là ? T'as fait quoi à l'univers pour mériter ça ?
Nouvelle taff de cigarette irrespectueuse et voilà qu'une petite toux fluette la ponctue. Surpris, tu tournes la tête vers son origine pour te retrouver face à une petite blonde qui te dit vaguement quelque chose sans que tu ne parviennes à mettre le doigt dessus. Toute fluette, de grands yeux clairs comme ceux d'un demiguise, elle a l'air complètement perdu.
- Pardon de vous déranger. Mais j’ai pris un mauvais tournant. Enfin non, techniquement je me suis juste dit que c’était une bonne idée d’improviser un chemin plutôt qu’un autre pour aller en cours de soin aux créatures magiques, mais tous les chemins ne mènent peut-être pas à Rome. Ou alors pas en temps et en heure ?
Si les propos acérés de la brune te hérissent profondément le poil à chaque fois qu'elle ouvre la bouche, la douceur de la blonde a le don de tirer un sourire aimable sur ton visage jusque-là fermé. Véritable moulin à paroles perdu dans son embarras, la liliputienne devient difficile à suivre, et si tu portais ton attention sur celle que tu devais mentorer, tu la verrais parfaitement dépitée. C'est seulement lorsqu'elle te lances un Bonne chance sorti de nulle part avant de tourner les talons que tu tourneras de nouveau la tête vers elle pour la voir jeter son mégot au petit bonheur la chance. Rien de tel pour voir ton visage se fermer à nouveau. Hor-ri-fié.
D'un coup de baguette, tu fais disparaître le déchet incandescent pour éviter autant un incendie que la pollution d'une nature que tu vénères clairement comme sacrée. Cette fille n'en loupe vraiment pas une, songes-tu, amer. Et dire qu'il va falloir que tu la suives... Une main lasse passe sur ton visage alors que la blondinette présente de nouvelles excuses. Le flot de parole jusque-là ininterrompu a enfin cessé, et tu reviens vers elle, plus calmement cette fois.
-Ne t'excuses pas, il n'y a pas de mal. Tu es perdue, c'est ça ? Où est-ce que tu devais te rendre ?
Tu n'as pas encore conscience que ton tutorat va changer dans les semaines à venir - et clairement à ton avantage, soyons honnêtes - quand la brune sera exclue pour possession de stupéfiants...
@Zooey de Cornouiller
Tu lèves les yeux au ciel, vraiment dépité que ça soit cette fille-là qu'on t'ait collé dans les pattes. Evidemment, que ça t'ouvre les portes de l'AESH, que ça fasse bien sur ton dossier, t'octroies des bonus dans ton cursus, tu risquais pas de dire non mais vraiment, il fallait que ça tombe sur cet énergumène-là ? T'as fait quoi à l'univers pour mériter ça ?
Nouvelle taff de cigarette irrespectueuse et voilà qu'une petite toux fluette la ponctue. Surpris, tu tournes la tête vers son origine pour te retrouver face à une petite blonde qui te dit vaguement quelque chose sans que tu ne parviennes à mettre le doigt dessus. Toute fluette, de grands yeux clairs comme ceux d'un demiguise, elle a l'air complètement perdu.
- Pardon de vous déranger. Mais j’ai pris un mauvais tournant. Enfin non, techniquement je me suis juste dit que c’était une bonne idée d’improviser un chemin plutôt qu’un autre pour aller en cours de soin aux créatures magiques, mais tous les chemins ne mènent peut-être pas à Rome. Ou alors pas en temps et en heure ?
Si les propos acérés de la brune te hérissent profondément le poil à chaque fois qu'elle ouvre la bouche, la douceur de la blonde a le don de tirer un sourire aimable sur ton visage jusque-là fermé. Véritable moulin à paroles perdu dans son embarras, la liliputienne devient difficile à suivre, et si tu portais ton attention sur celle que tu devais mentorer, tu la verrais parfaitement dépitée. C'est seulement lorsqu'elle te lances un Bonne chance sorti de nulle part avant de tourner les talons que tu tourneras de nouveau la tête vers elle pour la voir jeter son mégot au petit bonheur la chance. Rien de tel pour voir ton visage se fermer à nouveau. Hor-ri-fié.
D'un coup de baguette, tu fais disparaître le déchet incandescent pour éviter autant un incendie que la pollution d'une nature que tu vénères clairement comme sacrée. Cette fille n'en loupe vraiment pas une, songes-tu, amer. Et dire qu'il va falloir que tu la suives... Une main lasse passe sur ton visage alors que la blondinette présente de nouvelles excuses. Le flot de parole jusque-là ininterrompu a enfin cessé, et tu reviens vers elle, plus calmement cette fois.
-
Tu n'as pas encore conscience que ton tutorat va changer dans les semaines à venir - et clairement à ton avantage, soyons honnêtes - quand la brune sera exclue pour possession de stupéfiants...
@Zooey de Cornouiller
– the best –
Zooey de Cornouiller est fan
- Zooey de CornouillerOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 250
» miroir du riséd : Sabrina Carpenter
» crédits : gif gcwh
» âge : 19 ans
» situation : celibataire
» année d'études : 1a
» options obligatoires & facultatives : ---
★ medicomagie appliquee
★ potions
★ metamorphose
★ botanique
★ arts sceniques
★ Soins aux Créatures Magiques
» profession : serveuse à la Moufette enchantée
» nature du sang : mère vélane et père (sang pur) inconnu.
» gallions sous la cape : 283
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Pero ¿qué demonios voy a tener que aguantar? ¡Come mierda!
Mer 1 Mai 2024 - 22:05
14.09.2023
Zooey refuse d'utiliser ce titre, bien trop vulgaire pour elle. Et si on parlais plutôt de Boursouf ?
Dans ce monde parfois complexe, l'innocence persiste comme une lueur d'espoir, douce et précieuse. Elle se manifeste dans les rires enfantins qui résonnent dans les parcs, dans les yeux pétillants de curiosité qui scrutent le monde avec émerveillement. L'innocence est cette capacité à voir la beauté là où d'autres voient la banalité, à croire en l'impossible alors que le cynisme règne en maître. C'est comme une bulle de savon multicolore, fragile et éphémère, mais qui transporte ceux qui la contemplent dans un monde de magie et de fantaisie. L'innocence se cache parfois derrière un geste, dans les sourires émus échangés lors d'une conversation, ou dans une main tendue qui n'est rien d'autre qu'une invitation à rejoindre l'aventure sans y voir d'autre messages qui dépasse, de toute façon, la jeune fille. Elle se trouve aussi dans les gestes simples et spontanés, dans les câlins réconfortants et les mots gentils échangés sans arrière-pensée. L'innocence n'est pas seulement l'apanage des enfants, elle réside également dans le cœur des grands qui gardent une part de leur enfance intacte, qui continuent à croire en la bonté intrinsèque de l'humanité malgré les épreuves. C'est un trésor précieux à protéger, à préserver, car c'est elle qui donne de la couleur à nos vies, qui nous rappelle la pureté et la simplicité des petits bonheurs quotidiens. Alors, cultivons cette innocence avec tendresse, laissons là nous guider sur le chemin de la joie et de la bienveillance, car c'est elle qui nous permet de garder un regard neuf et émerveillé sur le monde qui nous entoure.
- Oui, un peu beaucoup perrrdu même. Je devais prendre a gauche mais je crrrois que j'ai prrris à drrroite. Ou bien c'était l'inverrrse ? Je ne sais plus. Je devais me rrrendre heu... heu... - l'avait-elle mal dit en anglais la première fois ? - En cours de soin aux créatures magique !
Oui, voilà, c'est là qu'on devrait te trouver, que tu crois. Et ce, en ce gratouillant la tempe de l'index et en fronçant les sourcils. A croire qu'elle n'est pas tout à fait sûre d'elle la petite Zooey !
- Oui, un peu beaucoup perrrdu même. Je devais prendre a gauche mais je crrrois que j'ai prrris à drrroite. Ou bien c'était l'inverrrse ? Je ne sais plus. Je devais me rrrendre heu... heu... - l'avait-elle mal dit en anglais la première fois ? - En cours de soin aux créatures magique !
Oui, voilà, c'est là qu'on devrait te trouver, que tu crois. Et ce, en ce gratouillant la tempe de l'index et en fronçant les sourcils. A croire qu'elle n'est pas tout à fait sûre d'elle la petite Zooey !
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
KoalaVolant