- Cataleya BlackthornMJ - Firefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1010
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4239
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Black Parade (Andrew)
Sam 17 Fév 2024 - 0:41
Levant les yeux de sa copie pour observer l’antipathie figée sur le visage de son éclairée, Cataleya chassa une dernière fois l'étrange impression qui s'était lové contre son estomac. Pesant si sournoisement qu'elle peinait désormais à se concentrer. Ce n'était pourtant pas faute de se répéter qu'il tirait toujours la gueule, et que si elle avait un élève comme Lachlan, sans doute qu'elle aussi préfèrerait embrasser un cognard plutôt que supporter ses théories fumeuses sur Ægishjálmr, le casque de la crainte (ou de la terreur, selon les versions). Pourtant l'abord qu'elle tenta en fin de cours se fit bien moins impérieux qu'à son habitude -fondamentalement affecté par cet air de liche sur le point la maudire- si bien qu'elle douta qu'Andrew vit qu'elle chercha à lui parler. A moins qu'il l'ignora volontairement ? Quoi qu'il en soit, et puisqu'elle avait à lui parler, c'est d'une démarche rapide qu'elle chercha à rejoindre son bureau. Vide. Plus encore fermé. Jouer une nouvelle fois avec la poignet n'y changerait rien. N'importe qui aurait détourné les talons ou sagement attendus. N'importe qui, s'il avait pensé à déverrouiller la porte, se serait arrêté à cette simple idée, mais les habitudes avait la vie dure et les doigts de la Blackthorn vinrent doucement tordre le sortilège qui veillait le bureau d'Andrew. Rétrogradant point par point l'enchantement jusqu'à l’annihiler et pousser la porte d'un simple doigt. Difficile d'imaginer que cette intrusion ne place le Hill dans les meilleures conditions pour recevoir ce qu'elle avait à lui confier mais le dialogue à venir semblait tant chargé de houle et cris qu'une effraction ne serait rien à côté. Et puis, camper devant le bureau de son professeur depuis autant de temps, et de manière si récurrente, finirait forcément par devenir louche.
Prenant place sur la chaise qui affrontait le bureau, Cataleya tira sur le nœud de soie qui disciplinait si joliment ses cheveux avant de se laisser aller à réchauffer la cafetière d'un mouvement de baguette. C'est ça, prend tes aises Blackthorn. Elle se fit pourtant violence pour ne jeter aucun oeil sur les copies posé face à elle, comme craignant de surprendre une note qu'elle reconsidérait une fois de trop profondément injuste. Elle n’aurait de toute manière pas eut le temps de s'y attarder puisque déjà le flair s'aiguisa sur le parfum d'Andrew.
- Hey... Le visage se tourna pour longuement observer le runniste, une voix étonnamment douce au bout des lèvres. Pouvons nous discuter ?
Prenant place sur la chaise qui affrontait le bureau, Cataleya tira sur le nœud de soie qui disciplinait si joliment ses cheveux avant de se laisser aller à réchauffer la cafetière d'un mouvement de baguette. C'est ça, prend tes aises Blackthorn. Elle se fit pourtant violence pour ne jeter aucun oeil sur les copies posé face à elle, comme craignant de surprendre une note qu'elle reconsidérait une fois de trop profondément injuste. Elle n’aurait de toute manière pas eut le temps de s'y attarder puisque déjà le flair s'aiguisa sur le parfum d'Andrew.
- Hey... Le visage se tourna pour longuement observer le runniste, une voix étonnamment douce au bout des lèvres. Pouvons nous discuter ?
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» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (né le 28 décembre 1984)
» situation : désespérément amoureux d'une femme fraichement divorcée
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Re: Black Parade (Andrew)
Mar 20 Fév 2024 - 22:07
9 février 2024
Un silence presque funeste s’était installé dans l’amphithéâtre qui abritait le cours de Runes. L’examen imposé par Andrew semblait avoir aspiré l’âme de bien des étudiants… Qu’ils soient désespérés ou bien seulement concentrés, cela importait peu à l’arcaniste qui, lui-même, avait le nez plongé dans plusieurs grimoires, façonnant à la plume la nouvelle apparence que prendrait son torse lorsqu’il aurait terminé ce projet dans son calepin. L’énorme cloche sonna la fin du cours. Baguette à la main, Andrew fit disparaitre toutes les copies qui réapparurent bien classées dans un porte-vue en cuir de scroutt à pétard qu’il avait depuis son passage en Océanie.
- J’espère que vous avez tous pensé à noter votre nom.
Il n’ajouta pas que ceux qui auraient oublié -et il y en aurait- se verraient affubler la note de « Troll » sans que le Professeur n’ait à sourciller. C’était une évidence pour chacun. Et il vit dans le regard de certains d’entre eux l’énergie du doute s’insinuer. Est-ce qu’il avait vraiment noté leur nom ? Ils ne sauraient au prochain cours. Andrew était prompt a rendre les copies, bonnes ou mauvaises.
La ruée vers la sortie se fit tandis que de part et d’autres on s’interrogeait sur les versions réalisées. C’était du participe passé n’est ce pas ? Mais non enfin ! Le Hill soupira devant la bêtise crasse de certains et se replia rapidement vers ses appartements.
Quelle ne fut pas sa surprise d’entendre le cliquetis distinct que faisait la porte entre son bureau et ce qui servait de salon. L’espace d’un instant, il cru que c’était Pénélope ou @Isabelle D'Essenault . Personne d’autre n’oserait entrer ainsi dans son intimité n’est-ce pas ? Alors qu’elle ne fut pas sa surprise de voir @Cataleya Blackthorn installé dans un des fauteuils. « Hey... Pouvons nous discuter ? » Pinçant l’arrête de son nez, il essaye de garder une voix aussi calme que la sienne pour répondre.
- Tu sors, tu toques, tu attends une réponse, et ensuite seulement tu entres Blackthorn.
Il fallait vraiment tout leur apprendre…
Isabelle D'Essenault est fan
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Re: Black Parade (Andrew)
Ven 23 Fév 2024 - 23:56
Toisant Andrew un long moment avant de le détailler de haut en bas, puis de bas en haut, Cataleya réprime le roulement exagéré de ses yeux bleus. Etait-ce de sa faute si les enchantements posés sur sa porte étaient grossiers voir simplistes ? Pas la peine de prendre des airs d’oie offusquée. De nouveau le regard se fait ascenseur de jugements mais, puisque son Eclairé ne semblait pas prompt à se raviser dans sa demande, c’est d’un geste emprunt de dramatisme que Cataleya se redresse en poussant sur la table devant elle. Soit. De sa baguette elle enjoint la cafetière à verser son breuvage, lévitant jusqu’à la tasse posée à la place supposée du professeur pour le servir, le temps qu’elle se prête à cette odieuse mascarade.
- Puisqu'il me faut rassurer ton besoin irrationnel de contrôle…
Peste t’elle pourtant en revenant sur ses pas, toisant une dernière fois le brun avant de céder à sa lubie du jour. Le nez se plisse un peu, foncièrement vexé, mais la Blackthorn redresse ridiculement le menton pour feindre la noblesse quand tout sur son visage empeste pourtant le caprice. La porte se ferme doucement entre eux, et plutôt qu'initier deux bref coup sur le bois pour quémander son retour, le sourire s'étire sous les canines acérées de la lufkin. C'est que ses neurones chaotiques soufflaient déjà leurs représailles. S'assurant par trois fois que personne ne posait pied dans le couloir, Cataleya s'arme d'un enthousiasme rare pour feindre une discussion avec le professeur Melnikov qu'elle laisse trainer en longueur.
- Ce fut un plaisir professeur Melnikov ! Un. Deux. Trois. L'inspiration se fait aussi superbe que le cris qui s'en suit : ANDREW ! J'ai besoin qu'on me materne ! Ponctuant son impériosité de rapides coups portés au bois, Cataleya espère presser le pas de son professeur, lui qui haïssait les familiarités dans le milieu universitaire. Foutue pour foutue, au moins pouvait-elle se jouer de lui une dernière fois avant qu'il ne lui plonge le visage dans l'acide. ... Et il y a une faute, sur l'enchantement posé sur ta porte.
- Puisqu'il me faut rassurer ton besoin irrationnel de contrôle…
Peste t’elle pourtant en revenant sur ses pas, toisant une dernière fois le brun avant de céder à sa lubie du jour. Le nez se plisse un peu, foncièrement vexé, mais la Blackthorn redresse ridiculement le menton pour feindre la noblesse quand tout sur son visage empeste pourtant le caprice. La porte se ferme doucement entre eux, et plutôt qu'initier deux bref coup sur le bois pour quémander son retour, le sourire s'étire sous les canines acérées de la lufkin. C'est que ses neurones chaotiques soufflaient déjà leurs représailles. S'assurant par trois fois que personne ne posait pied dans le couloir, Cataleya s'arme d'un enthousiasme rare pour feindre une discussion avec le professeur Melnikov qu'elle laisse trainer en longueur.
- Ce fut un plaisir professeur Melnikov ! Un. Deux. Trois. L'inspiration se fait aussi superbe que le cris qui s'en suit : ANDREW ! J'ai besoin qu'on me materne ! Ponctuant son impériosité de rapides coups portés au bois, Cataleya espère presser le pas de son professeur, lui qui haïssait les familiarités dans le milieu universitaire. Foutue pour foutue, au moins pouvait-elle se jouer de lui une dernière fois avant qu'il ne lui plonge le visage dans l'acide. ... Et il y a une faute, sur l'enchantement posé sur ta porte.
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Re: Black Parade (Andrew)
Mer 28 Fév 2024 - 13:53
Andrew n’était pas de ceux qui perdaient son temps ou son énergie quand ce n’était pas nécessaire. Le sortilège que Cataleya avait si aisément desarmorçé n’était pas de son cru puisqu’il n’avait guère ressenti le besoin de protéger ses appartements. Tout ce qui pouvait être sensible, tout ce qui ne devait pas tomber en d’autres mains que les siennes étaient soigneusement rangées dans un vieux secrétaire que la Blackthorn serait bien incapable d’ouvrir, à moins de tuer le Hill avant.
Aussi, il n’était pas si surprenant que cela de voir Cataleya installée dans ce fauteuil. Pas plus que de la voir traîner son regard insolent sur le lycan. Son regard clair se fait défiant mais elle connait l’inflexibilité du Professeur et finit par se lever non sans un énième effet de manche auquel il ne s’habituerait jamais tant il les trouvait ridicule. « Puisqu'il me faut rassurer ton besoin irrationnel de contrôle… »
- De politesse.
Corrigea-t-il alors qu’elle était déjà de dos, prête à prendre la porte. Il croise les bras sur sa poitrine, patientant puisque la Blackthorn avait décidé de jouer la comédie. « ANDREW ! J'ai besoin qu'on me materne ! » Un léger rire parfaitement silencieux s’initie sur le visage d’Andrew qui retrouve sur sa gravité avant de répondre d’une voix grave.
- Entrez Mademoiselle Blackthorn. Je vous en prie installez vous, j’ai préparé du café.
Il désigne le petit fauteuil sur lequel elle s’était installée quelques minutes apparevent et anime de sa baguette la cafetière qu’elle avait préparé pour y verser deux tasses, priant silencieusement pour qu’elle n’aime pas raté le dosage et gâché un produit aussi excellent qu’hors de prix. « .. Et il y a une faute, sur l'enchantement posé sur ta porte. »
- Je sais.
Et il s’en fout. C’est d’ailleurs précisément pour cela qu’elle aura sû l’ouvrir si facilement. Il prend place face à elle et récupère sa tasse avant de demander.
- Que puis-je pour toi ?
Aussi, il n’était pas si surprenant que cela de voir Cataleya installée dans ce fauteuil. Pas plus que de la voir traîner son regard insolent sur le lycan. Son regard clair se fait défiant mais elle connait l’inflexibilité du Professeur et finit par se lever non sans un énième effet de manche auquel il ne s’habituerait jamais tant il les trouvait ridicule. « Puisqu'il me faut rassurer ton besoin irrationnel de contrôle… »
- De politesse.
Corrigea-t-il alors qu’elle était déjà de dos, prête à prendre la porte. Il croise les bras sur sa poitrine, patientant puisque la Blackthorn avait décidé de jouer la comédie. « ANDREW ! J'ai besoin qu'on me materne ! » Un léger rire parfaitement silencieux s’initie sur le visage d’Andrew qui retrouve sur sa gravité avant de répondre d’une voix grave.
- Entrez Mademoiselle Blackthorn. Je vous en prie installez vous, j’ai préparé du café.
Il désigne le petit fauteuil sur lequel elle s’était installée quelques minutes apparevent et anime de sa baguette la cafetière qu’elle avait préparé pour y verser deux tasses, priant silencieusement pour qu’elle n’aime pas raté le dosage et gâché un produit aussi excellent qu’hors de prix. « .. Et il y a une faute, sur l'enchantement posé sur ta porte. »
- Je sais.
Et il s’en fout. C’est d’ailleurs précisément pour cela qu’elle aura sû l’ouvrir si facilement. Il prend place face à elle et récupère sa tasse avant de demander.
- Que puis-je pour toi ?
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Re: Black Parade (Andrew)
Ven 1 Mar 2024 - 0:51
Prenant de nouveau place sur un fauteuil qu'elle s'était plus tôt accaparé, Cataleya croise les jambes sous sa longue robe noire, chassant l'unique plie d'un geste aussi maniéré qu'il se faisait impérieux. Si elle n'adresse aucun regard à la tasse puisque ses grands yeux bleus s'attachent à détailler les étoiles de diamants qui brillaient à son poignet, force est d'admettre que le nez se plisse un peu devant l'amertume d'un breuvage qu'elle n'avait pas même goûté. La Blackthorn n'aimait pas le café, et l'unique raison qui la poussait à s'infliger ce supplice était certainement la volonté de marcher dans les pas de @Arthur Batthyány qui le buvait noir, infâme, et sans sucre. Le “café du courage” comme elle aimait l'appeler, puisqu'il ne lui était servi que lors de ses pires crises existentielles. Cette fois-ci pourtant, la baguette qui la sert n'a rien de roumaine et ce constat aurait dû suffire à la braquer, mais rarement elle avait éprouvé le besoin de boire son fichu café, là, devant Andrew. Parce qu'elle la sentait venir, cette nouvelle crise existentielle.
-On t’a menti. Lâche-t-elle subitement. Par “on”, je veux dire “je” ; les autres n’étaient pas au courant qu’il s’agissait là d’un mensonge. Et avant que tu ne t’indignes de leur silence, je ne les ai mis au courant que très récemment.
Par récemment elle voulait dire “minimum deux mois”, mais connaissant l’amour qu’éprouvait Cataleya pour l'omission des informations, c’était là un délai hautement raisonnable. Le regard fuit un instant sur le côté mais s’efforce de revenir au centre de la table, solidement ancré sur une tasse qu’elle ramène doucement à elle pour ne pas affronter celui de son éclairé. L’orgueil souffre pourtant de ce constat, et s'extériorise en un bref soufflement de nez.
-Mais dans les faits, je t’ai menti quand j’ai annoncé qu’il n’y avait eu aucun incident avec Charlie ; On s’est fait attaquer par un loup, lui et moi.
Levant enfin les yeux vers le né-moldu, Cataleya soulève doucement sa tasse et s’enfonce dans le fauteuil pour sauvegarder la boisson de tout coup porté à la table qui les séparait. C'est qu'elle gardait en mémoire celui qui avait fait trembler le bureau du runniste à la rentrée. Etranglant le "Mais c'est pas ça le problème" qui voulait désastreusement échapper à ses lèvres, Cataleya se contente de les porter à son breuvage pour laisser au brun le temps d'assimiler l'information avant de reprendre, histoire de préserver un cœur que les chauffes plats malmenait depuis quelques années déjà. Enfin, surtout elle.
-On t’a menti. Lâche-t-elle subitement. Par “on”, je veux dire “je” ; les autres n’étaient pas au courant qu’il s’agissait là d’un mensonge. Et avant que tu ne t’indignes de leur silence, je ne les ai mis au courant que très récemment.
Par récemment elle voulait dire “minimum deux mois”, mais connaissant l’amour qu’éprouvait Cataleya pour l'omission des informations, c’était là un délai hautement raisonnable. Le regard fuit un instant sur le côté mais s’efforce de revenir au centre de la table, solidement ancré sur une tasse qu’elle ramène doucement à elle pour ne pas affronter celui de son éclairé. L’orgueil souffre pourtant de ce constat, et s'extériorise en un bref soufflement de nez.
-Mais dans les faits, je t’ai menti quand j’ai annoncé qu’il n’y avait eu aucun incident avec Charlie ; On s’est fait attaquer par un loup, lui et moi.
Levant enfin les yeux vers le né-moldu, Cataleya soulève doucement sa tasse et s’enfonce dans le fauteuil pour sauvegarder la boisson de tout coup porté à la table qui les séparait. C'est qu'elle gardait en mémoire celui qui avait fait trembler le bureau du runniste à la rentrée. Etranglant le "Mais c'est pas ça le problème" qui voulait désastreusement échapper à ses lèvres, Cataleya se contente de les porter à son breuvage pour laisser au brun le temps d'assimiler l'information avant de reprendre, histoire de préserver un cœur que les chauffes plats malmenait depuis quelques années déjà. Enfin, surtout elle.
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Re: Black Parade (Andrew)
Ven 8 Mar 2024 - 20:33
Il ne sait pas à quoi s’attendre. La vérité, c’est qu’il ne sait jamais quand il s’agit de la Blackthorn. Il s’attend à tout comme il s’attend à rien. Elle pourrait lâche une dinguerie comme quelque-chose d’infiniment anodin. Aussi, alors qu’il pose la question, il porte la boisson amer à ses lèvres, attendant la réponse.
« On t’a menti. » L’affirmation creuse une ride entre les sourcils froncé du Professeur. Il n’était pas vraiment surprit. Ce n’était pas la première fois et certainement pas la dernière. L’héritière de l’épine noire n’était pas un modèle de franchise envers son éclairé. C’était précisément pour cela qu’il n’avait aucune confiance en elle. Il garde le silence tandis qu’elle dédoune ses frères d’armes avec l’obstination qui la caractérisait.
Il garde le silence. Buvant une nouvelle gorgée. Il avait abandonné l’idée de la rabrouer à chaque faux pas, lassé de se répéter depuis des mois. « je t’ai menti quand j’ai annoncé qu’il n’y avait eu aucun incident avec Charlie ; On s’est fait attaquer par un loup, lui et moi. » Les paupières se ferment lentement comme pour mieux assimiler l’information. Une attaque de loup n’avait pas suffit, il fallait évidemment que les chandelles en rajoute une couche. Il lui faut quelques secondes pour desserrer les mâchoires.
- J’imagine qu’une fois ce n’était pas suffisant. Qu’il fallait réitérer l’expérience pour s’assurer que c’était une connerie.
Le ton est sec, mais il ne s’arrête pas là.
- Et j’imagine que si tu m’en parles maintenant, c’est une pour raison précise. Alors vide ton sac, Blackthorn. Vide ton sac avant que je ne décide qu’il n’y a plus rien à faire de toi…
« On t’a menti. » L’affirmation creuse une ride entre les sourcils froncé du Professeur. Il n’était pas vraiment surprit. Ce n’était pas la première fois et certainement pas la dernière. L’héritière de l’épine noire n’était pas un modèle de franchise envers son éclairé. C’était précisément pour cela qu’il n’avait aucune confiance en elle. Il garde le silence tandis qu’elle dédoune ses frères d’armes avec l’obstination qui la caractérisait.
Il garde le silence. Buvant une nouvelle gorgée. Il avait abandonné l’idée de la rabrouer à chaque faux pas, lassé de se répéter depuis des mois. « je t’ai menti quand j’ai annoncé qu’il n’y avait eu aucun incident avec Charlie ; On s’est fait attaquer par un loup, lui et moi. » Les paupières se ferment lentement comme pour mieux assimiler l’information. Une attaque de loup n’avait pas suffit, il fallait évidemment que les chandelles en rajoute une couche. Il lui faut quelques secondes pour desserrer les mâchoires.
- J’imagine qu’une fois ce n’était pas suffisant. Qu’il fallait réitérer l’expérience pour s’assurer que c’était une connerie.
Le ton est sec, mais il ne s’arrête pas là.
- Et j’imagine que si tu m’en parles maintenant, c’est une pour raison précise. Alors vide ton sac, Blackthorn. Vide ton sac avant que je ne décide qu’il n’y a plus rien à faire de toi…
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Re: Black Parade (Andrew)
Ven 8 Mar 2024 - 23:28
-C’est vrai que manquer de me faire éventrer fait partie de mes petits plaisirs quotidiens. Quelque part ça m’excite. Marque aussitôt la Blackthorn, étirant sous ses canines superbes un sourire cynique. Ca aurait été con de ne pas profiter d’avoir un loup venu bouffer un type dans mon jardin pour ne pas donner vie à mes pulsions suicidaires. Non mais tu as sans doute raison, la première fois ne m’avait pas suffit et en voyant toute les autopsies qui constituent ma thèse je me suis dite “Waouh, quand même, me faire arracher le foie alors que je respire encore ça doit être une sacré expérience.” Non mais clairement, voir Charlie se vider de son sang sous mes mains alors que je m’acharnait à le garder en vie a développé en moi de morbides fantasmes. C’est fun, la mort.
Le sourire ne faiblit pas, pire, il se fige sur ce visage penchant doucement sur le côté. Impeccablement tenu devant les sourcils froncés de son Eclairé, et des mots qui faisait indéniablement mal. Si elle s'était portée volontaire pour cette expédition qui avait tant coûté à @Charlie Keir, elle n'avait pas choisit cette seconde agression. Moins encore devant toute les terreurs qu'avait éveillée la première. A croire que c'était de sa faute, si un fou avait décidé de la dévorer. Vexée, les jambes se délie et se claque sur le bureau du runniste puisqu'il avait décidé de lancer les hostilités, avant que doucement les lèvres ne se portent à son café.
-Bien. Maintenant que tu as pu statuer sur le potentiel hautement décevant qui est le mien, et que tu songes déjà à me remplacer, je vais te demander de faire ton travail de mentor pour la première fois et me conseiller. Parce que si soutenir le regard du Hill en tentant de faire naître sur son front d'odieux furoncles était une activité plaisante, elle était venu initialement pour ça. Les jambes se décroisent souplement et reposent leurs talons au sol comme pour montrer patte blanche, quand bien même l'oeil semblait s'être enfermé dans une singulière vexation doublé d'hostilité. C'est que cela faisait bien longtemps qu'ils ne semblaient plus en mesure de communiquer. L'avait-il été un jour ? L'arrogance de la Lufkin cède alors la place à des sourcils froncé aussi lourdement que ceux d'Andrew avant de reprendre. "Puisque D. n'est pas au courant, et que je ne veux pas qui le soit." Et s'il était peu probable que ces deux figures d'autorités se laissent aller à une discussion autour d'un café, le second segment de phrase relevait de l'improbable. De tous, Cataleya demeurait certainement la plus attaché à son ancien mentor. Irraisonnablement accroché.
- Ce loup, je l'ai attrapé. Se lance t'elle enfin, amorçant un mouvement pour poser sa tasse brulante sans aller jusqu'au bout, puisque craignant encore que le poing d'Andrew ne la fasse tressauter sous un coup de sang. Doucement alors, la tasse revient vers la rousse.
Le sourire ne faiblit pas, pire, il se fige sur ce visage penchant doucement sur le côté. Impeccablement tenu devant les sourcils froncés de son Eclairé, et des mots qui faisait indéniablement mal. Si elle s'était portée volontaire pour cette expédition qui avait tant coûté à @Charlie Keir, elle n'avait pas choisit cette seconde agression. Moins encore devant toute les terreurs qu'avait éveillée la première. A croire que c'était de sa faute, si un fou avait décidé de la dévorer. Vexée, les jambes se délie et se claque sur le bureau du runniste puisqu'il avait décidé de lancer les hostilités, avant que doucement les lèvres ne se portent à son café.
-Bien. Maintenant que tu as pu statuer sur le potentiel hautement décevant qui est le mien, et que tu songes déjà à me remplacer, je vais te demander de faire ton travail de mentor pour la première fois et me conseiller. Parce que si soutenir le regard du Hill en tentant de faire naître sur son front d'odieux furoncles était une activité plaisante, elle était venu initialement pour ça. Les jambes se décroisent souplement et reposent leurs talons au sol comme pour montrer patte blanche, quand bien même l'oeil semblait s'être enfermé dans une singulière vexation doublé d'hostilité. C'est que cela faisait bien longtemps qu'ils ne semblaient plus en mesure de communiquer. L'avait-il été un jour ? L'arrogance de la Lufkin cède alors la place à des sourcils froncé aussi lourdement que ceux d'Andrew avant de reprendre. "Puisque D. n'est pas au courant, et que je ne veux pas qui le soit." Et s'il était peu probable que ces deux figures d'autorités se laissent aller à une discussion autour d'un café, le second segment de phrase relevait de l'improbable. De tous, Cataleya demeurait certainement la plus attaché à son ancien mentor. Irraisonnablement accroché.
- Ce loup, je l'ai attrapé. Se lance t'elle enfin, amorçant un mouvement pour poser sa tasse brulante sans aller jusqu'au bout, puisque craignant encore que le poing d'Andrew ne la fasse tressauter sous un coup de sang. Doucement alors, la tasse revient vers la rousse.
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Re: Black Parade (Andrew)
Mer 20 Mar 2024 - 16:47
Intérieurement, le Hill ajoute un bâton à la liste qui comptabilisait le nombre de fois où il avait voulu l’oublietter. Blackwood, dans son agaçant optimiste aurait sûrement répondu “une fois de plus ou une fois de moins…” non sans faire voleter son affreux jabot. C’est que le fantôme excentrique appréciait la jeune Blackthorn et que par delà le voile de la mort, rien ne lui semblait très… grave. Andrew avait essayé de s’en foutre. Mais la réalité c’est qu’il sait très bien qu’il ne pourra pas se regarder en face si l’un de ces gamins devaient mourir face à leurs inepties. Déjà que la morsure de Charlie avait réveillé en lui une douloureuse culpabilité, outre la colère…
Le flot de paroles au ton acerbe de la madrilène sonne aux oreilles du Professeur comme un amas informe dénué d’intérêt. Il n’avait fallu que de quelques mots pour comprendre que la Blackthorn avait décidé de se plaindre des conséquences de ses actes plutôt que de remettre en cause son comportement. Aussi, n’a-t-il rien retenu quand il affirme sur un ton où l’ironie se mêle à la colère.
- C’est ça. Tu es malheureusement un aimant à emmerdes.
“ Je vais te demander de faire ton travail de mentor pour la première fois et me conseiller.” Si il n’avait pas été si en colère conter elle, il aurait sûrement remarqué et apprécié que pour une fois, elle venait chercher un conseil auprès de lui. "Puisque D. n'est pas au courant, et que je ne veux pas qui le soit." Comme quoi tout pouvait arriver. Mais la simple évocation de cet ancien ami et rival inconséquent n’a pas vraiment pour effet d’adoucir les contours. Au contraire. “Ce loup, je l'ai attrapé.”
- Quoi ?
Exit l’élégant je te demande pardon tant la surprise manque de lui faire dégringoler de sa chaise. La tasse de café entre ses mains subit la surprise et une partie du liquide foncé se répand sur le bureau avant de disparaître aussitôt.
- Tu plaisantes ?
Il espérait qu’elle se fende d’un sourire victorieux. Qu’elle rie aux éclats en lui demandait sur une échelle de 1 à 10 où il en était en terme de risque d’AVC mais le visage de la rouquine demeure de marbre.
- Mais qu’est ce qui t’as pris par la tête, bon sang ? C’était quand ? Qu’est ce que tu as fais de ce type ?
Le flot de paroles au ton acerbe de la madrilène sonne aux oreilles du Professeur comme un amas informe dénué d’intérêt. Il n’avait fallu que de quelques mots pour comprendre que la Blackthorn avait décidé de se plaindre des conséquences de ses actes plutôt que de remettre en cause son comportement. Aussi, n’a-t-il rien retenu quand il affirme sur un ton où l’ironie se mêle à la colère.
- C’est ça. Tu es malheureusement un aimant à emmerdes.
“ Je vais te demander de faire ton travail de mentor pour la première fois et me conseiller.” Si il n’avait pas été si en colère conter elle, il aurait sûrement remarqué et apprécié que pour une fois, elle venait chercher un conseil auprès de lui. "Puisque D. n'est pas au courant, et que je ne veux pas qui le soit." Comme quoi tout pouvait arriver. Mais la simple évocation de cet ancien ami et rival inconséquent n’a pas vraiment pour effet d’adoucir les contours. Au contraire. “Ce loup, je l'ai attrapé.”
- Quoi ?
Exit l’élégant je te demande pardon tant la surprise manque de lui faire dégringoler de sa chaise. La tasse de café entre ses mains subit la surprise et une partie du liquide foncé se répand sur le bureau avant de disparaître aussitôt.
- Tu plaisantes ?
Il espérait qu’elle se fende d’un sourire victorieux. Qu’elle rie aux éclats en lui demandait sur une échelle de 1 à 10 où il en était en terme de risque d’AVC mais le visage de la rouquine demeure de marbre.
- Mais qu’est ce qui t’as pris par la tête, bon sang ? C’était quand ? Qu’est ce que tu as fais de ce type ?
- Cataleya BlackthornMJ - Firefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1010
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
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Re: Black Parade (Andrew)
Ven 22 Mar 2024 - 1:49
L’ironie du Hill semble effroyablement dédaigneuse aux oreilles de sa chandelle qui ne dit pourtant mot. La tentation de lui faire le détail de toutes les conneries qu’elle avait effectivement faite se fait grande, juste pour pouvoir lui claquer ensuite que se faire agresser, chez elle, alors qu’elle n’avait rien demandé, ne méritait pas d’être classé dans ce même lot. C’était comme lever les yeux au ciel en soufflant que si on lui avait touché les seins sans son consentement, c’est parce qu’elle portait une jupe. Elle ne laisse pourtant pas démonter puisque entrer sur ce terrain là la mènerait nécessairement à formuler toute la terreur et toute l’impuissance qui avait été la sienne cette nuit-là. Tremblant comme une feuille devant la porte de sa cave, les mains autour de son café pour tenter de reprendre un peu de consistance, prise entre la mâchoire d’un loup qui tentait d’éventrer la maigre porte qui lui servait de cage et le cadavre d’un homme qu’il lui avait ramené. “Quoi ?”. Tu as bien entendu. Étrangle toi bien avec ton café Hill. Siffle un petite voix tapis sous les immenses yeux bleu de la lufkin. Celle ci pose de nouveau le pied sur le bureau de son éclairé, mais seulement pour reculer son propre siège et ainsi marquer de la distance entre eux. “Mais qu’est ce qui t’as pris par la tête, bon sang ?”
-Tu l’as dit toi même : Il fallait “réitérer l’expérience pour s’assurer que c’était une connerie” Siffle le dragon Blackthorn, croisant les jambes sous une cape aux allures de gigantesques ailes noires, puisque la phrase la hantait encore un peu. Foncièrement injuste. Elle concède tout de même un début de réponse, perdant la date au dessus d’une gorgée de café “Mars Deux-mille-vingt-trois.” Aka, la deuxième pleine lune de Charlie, qu’elle avait dû gérer seule, sans expérience autre que théorique. La chaise racle de nouveau le sol, dans un nouveau mouvement de recule puisque la gifle d’Arthur, sévère et impitoyable, frappa le mental pour lui souligner son inconscience. Elle avait pourtant du composer avec les moyens du bords, prise par la panique, et incapable de rationaliser fermement. “Si j’avais eu la certitude de pouvoir compter sur toi, et que mon message n’aurait pas été dévié vers ceux d’Isabelle, je t’aurai appelé. “ Reprend t’elle calmement, une étrange franchise fichée dans ses yeux bleus. Elle le pensait, puisqu’elle avait demandé de l’aide à quelqu’un qu’elle savait un minimum expérimenté. Pas à Alex, pas à Lewis, mais quelqu’un qui saurait la driver et mettre un peu d’ordre dans ses pensées : Cette crise n’aurait pas pu être gérée par les chauffes plats seul, elle le savait. Elle ne l’avait d’ailleurs pas été. “Je l’ai enfermé, sédaté, et j’ai attendu l’aurore. C’est tout. “
Elle s’était débarrassé du cadavre, avait récupéré le James stupéfixé dans sa chambre parce qu’il avait eu la superbe idée de débarquer chez elle en pleine nuit, sans y être invité, sans raison apparente hormis peut être la surveiller, et avait entrevu les loups. De fait, elle avait dû l’oublieter et le renvoyer chez Juliet puisque, à l’époque, c’était là bas qu’il vivait et qu'il n'avait pas même mit le pied chez les cape noires.. Une nuit désastreuse, il n’y avait pas à dire. “Et je l'ai libéré après avoir fait les soins post-transformation de Charlie. Je ne voulais pas qu'il puisse se dire que, un jour, il pourrait ressembler à ça ; Il vit suffisamment mal l'idée de blesser qui-que ce soit pour le confronter à une vision plus horrifique que ce qu'il n'imagine déjà. “
Mention: @Charlie Keir , @Alexander McCandless & @Lewis Barghest
-Tu l’as dit toi même : Il fallait “réitérer l’expérience pour s’assurer que c’était une connerie” Siffle le dragon Blackthorn, croisant les jambes sous une cape aux allures de gigantesques ailes noires, puisque la phrase la hantait encore un peu. Foncièrement injuste. Elle concède tout de même un début de réponse, perdant la date au dessus d’une gorgée de café “Mars Deux-mille-vingt-trois.” Aka, la deuxième pleine lune de Charlie, qu’elle avait dû gérer seule, sans expérience autre que théorique. La chaise racle de nouveau le sol, dans un nouveau mouvement de recule puisque la gifle d’Arthur, sévère et impitoyable, frappa le mental pour lui souligner son inconscience. Elle avait pourtant du composer avec les moyens du bords, prise par la panique, et incapable de rationaliser fermement. “Si j’avais eu la certitude de pouvoir compter sur toi, et que mon message n’aurait pas été dévié vers ceux d’Isabelle, je t’aurai appelé. “ Reprend t’elle calmement, une étrange franchise fichée dans ses yeux bleus. Elle le pensait, puisqu’elle avait demandé de l’aide à quelqu’un qu’elle savait un minimum expérimenté. Pas à Alex, pas à Lewis, mais quelqu’un qui saurait la driver et mettre un peu d’ordre dans ses pensées : Cette crise n’aurait pas pu être gérée par les chauffes plats seul, elle le savait. Elle ne l’avait d’ailleurs pas été. “Je l’ai enfermé, sédaté, et j’ai attendu l’aurore. C’est tout. “
Elle s’était débarrassé du cadavre, avait récupéré le James stupéfixé dans sa chambre parce qu’il avait eu la superbe idée de débarquer chez elle en pleine nuit, sans y être invité, sans raison apparente hormis peut être la surveiller, et avait entrevu les loups. De fait, elle avait dû l’oublieter et le renvoyer chez Juliet puisque, à l’époque, c’était là bas qu’il vivait et qu'il n'avait pas même mit le pied chez les cape noires.. Une nuit désastreuse, il n’y avait pas à dire. “Et je l'ai libéré après avoir fait les soins post-transformation de Charlie. Je ne voulais pas qu'il puisse se dire que, un jour, il pourrait ressembler à ça ; Il vit suffisamment mal l'idée de blesser qui-que ce soit pour le confronter à une vision plus horrifique que ce qu'il n'imagine déjà. “
Mention: @Charlie Keir , @Alexander McCandless & @Lewis Barghest
- Andrew HillADMIN - go wild ☽ for a while
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» miroir du riséd : giacomo gianniotti
» crédits : maav
» multinick : juliet blackthorn & calliope muller & miguel pajares
» âge : 39 ans (né le 28 décembre 1984)
» situation : désespérément amoureux d'une femme fraichement divorcée
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des Runes.ㅡ options facultatives :▣ Littérature magique, Histoire de la magie.
» profession : professeur d'étude des runes à Hungcalf
» particularité : loup-garou
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Re: Black Parade (Andrew)
Mer 27 Mar 2024 - 22:02
L’ironie de la Blackthorn tout comme ses semelles sur son bureau hors de prix auraient pu lui faire sortir de la fumée des narines mais le Hill est trop sidéré par l’information pour se formaliser de tels détails. Il connaissait le potentiel de nuisance de la Blackthorn mais ne s’était peut-être pas encore rendu compte jusqu’à maintenant à quel point elle pouvait être un risque pour … elle-même.
« Mars Deux-mille-vingt-trois. » Le calcul est vite fait. Dans un sens comme dans l’autre. Deux mois à peine après la morsure de Charlie. Et il y a près d’un an de cela. Il y a donc fallu un an à la Blackthorn pour se dire que peut-être il fallait réagir à l’idée qu’un loup-garou non contrôlé se baladait librement à Inverness… Il allait se pincer fort, très fort l’arrête du nez…
« Si j’avais eu la certitude de pouvoir compter sur toi, et que mon message n’aurait pas été dévié vers ceux d’Isabelle, je t’aurai appelé. » L’accusation est à peine voilée. L’espace d’une seconde, il hésite à confirmer les dires. Confirmer que les soirs de pleine lune, il ne fallait pas compter sur lui. Ne serait-ce que pour s’assurer qu’elle ne l’attende pas désespérément et se mette d’avantage en danger dans l’espoir qu’il lui sauve les miches. Après tout… @Charlie Keir savait. @Lewis Barghest savait. “Je l’ai enfermé, sédaté, et j’ai attendu l’aurore. C’est tout. “
- C’est-
La stupeur ne se devine plus sur le visage du Britannique. Elle se lit. On pourrait presque s’attendre à ce que la mâchoire anguleuse se décroche.
- C’est tout ?
Ce n’était pas tant une question qu’une affirmation de sa surprise. Parce qu’elle ne semblait même pas avoir conscience de l’exploit qui était le sien. Et pendant une seconde, il y eut une brève lueur de fierté dans le regard du mentor, à deux doigt de lui lancé un « bien joué Blackthorn » si ce n’avait pas été risquer de la pousser au vice. Le reste de la soirée de la rouquine est presque anecdotique en comparaison.
- Je vois.
Cette fois, c’est les tempes qu’il se masse. Comme pour mieux assimiler les informations.
- Et pour qu’elle raison obscure, au lieu de prévenir les autorités à l’époque, tu me rapportes tout ceci onze mois plus tard ?
« Mars Deux-mille-vingt-trois. » Le calcul est vite fait. Dans un sens comme dans l’autre. Deux mois à peine après la morsure de Charlie. Et il y a près d’un an de cela. Il y a donc fallu un an à la Blackthorn pour se dire que peut-être il fallait réagir à l’idée qu’un loup-garou non contrôlé se baladait librement à Inverness… Il allait se pincer fort, très fort l’arrête du nez…
« Si j’avais eu la certitude de pouvoir compter sur toi, et que mon message n’aurait pas été dévié vers ceux d’Isabelle, je t’aurai appelé. » L’accusation est à peine voilée. L’espace d’une seconde, il hésite à confirmer les dires. Confirmer que les soirs de pleine lune, il ne fallait pas compter sur lui. Ne serait-ce que pour s’assurer qu’elle ne l’attende pas désespérément et se mette d’avantage en danger dans l’espoir qu’il lui sauve les miches. Après tout… @Charlie Keir savait. @Lewis Barghest savait. “Je l’ai enfermé, sédaté, et j’ai attendu l’aurore. C’est tout. “
- C’est-
La stupeur ne se devine plus sur le visage du Britannique. Elle se lit. On pourrait presque s’attendre à ce que la mâchoire anguleuse se décroche.
- C’est tout ?
Ce n’était pas tant une question qu’une affirmation de sa surprise. Parce qu’elle ne semblait même pas avoir conscience de l’exploit qui était le sien. Et pendant une seconde, il y eut une brève lueur de fierté dans le regard du mentor, à deux doigt de lui lancé un « bien joué Blackthorn » si ce n’avait pas été risquer de la pousser au vice. Le reste de la soirée de la rouquine est presque anecdotique en comparaison.
- Je vois.
Cette fois, c’est les tempes qu’il se masse. Comme pour mieux assimiler les informations.
- Et pour qu’elle raison obscure, au lieu de prévenir les autorités à l’époque, tu me rapportes tout ceci onze mois plus tard ?
- Cataleya BlackthornMJ - Firefly ✩ My wings eclipse the sun
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Re: Black Parade (Andrew)
Jeu 4 Avr 2024 - 0:51
“C’est- C’est tout ?” Qu’attendait-il de plus ? Qu’elle en profite pour faire des prélèvements et s’essaye à lui injecter tout ce qu’elle avait concocté, au hasard des grimoires, pour vérifier leur efficacité avant de les offrir à Charlie ? Si l’idée était évidemment tentante puisque la Blackthorn aurait tout donné pour faire de Jolan son cobaye plutôt que d’user de Charlie, la lufkin s’était faite débordée ce soir-là. Et jamais plus Jolan n’était revenu. Si une moue un peu contrite se forme sous cet éternel constat, le regard se plisse finalement de manière suspicieuse puisqu’elle comprend qu’aucun poing ne frappera la table. Elle n’en demeure pas moins méfiant tant le coup de l’aconit dans le café avait appris à la lufkin ô combien la perfidie du Hill pouvait équivaloir à la sienne, et qu’elle craignait de se laisser surprendre par une traitrise qu’elle n’aurait pas vu venir. Pourtant, puisque Andrew semble figé dans une expression étrange et que la tentation de raccrocher sa mâchoire d’un index nerveux brûle les doigts de la lufkin, celle-ci croise lentement les jambes et les tourne en direction de la porte. Désormais un peu trop loin du bureau pour les cacher en dessous, puisqu’elle s’acharnait à reculer son fauteuil vers la porte toutes les minutes environs. A croire que cela lui permettrait de fuir odieusement, elle qui était venu ici de son plein gré. Il n’y a pourtant rien à fuir. Elle qui s’attendait à une colère volcanique se voit tout aussi perturbée que la Gris ; À deux doigts de lui jeter un “Mais gueule quelque chose ! Dis moi que je suis stupide ! ” pour espérer lever le voile qui pesait si étrangement entre eux.
“Je vois.” Ca tombe de manière presque salutaire et, si Andrew ne se défait pas de son odieuse manière de se masser les tempes en croyant que ça lui donnerait un air plus intelligent qu’il ne l’était, Cataleya semble doucement se détendre. Ca ne l’empêche pourtant pas de revenir dessus, après les questions du runniste.
-C’est un “Je vois” pour préparer le fait que tu vas m’emmurer vivante, ou un “je vois” qui n’a pas la force de se désespérer, parce que j’ai dépassé les bornes depuis déjà deux ans ?
Non parce que bon, des conneries, elle en faisait à la pelle et le Hill les apprenait parfois à la volé, crié dans le Blackwood manor par des Chandelles pas assez discrète ou soupiré par des éclairés qui venait apporter leur soutien à leur collègue, avant de comprendre qu’il n’était pas au courant. Cataleya pourrait siffler que c’était là les conséquences de leur absence de confiance mutuelle, mais la vérité était qu’elle en avait également fait à D., des coup comme ça, et qu’elle avait un gout prononcé pour les aventures solitaire quand elle les savaient trop folles, même pour les chauffes-plats. Rien d’étonnant à ce qu’un jour son ancien mentor lui crache qu’on la retrouverait morte, parce qu’elle s’entêtait, entourée de monstruosité qu’elle aurait réussi à créer ou invoquer. Il avait espéré la secoué, mais sa réponse l’avait laissé sans voix ; Cataleya n’espérait pas mourir autrement. Les capes noires ou ses propres expérimentations auraient sa peau. L’inverse serait décevant.
Réalisant tout de même qu’il valait mieux répondre au runniste plutôt que se perdre en question qui ne l’avancerait à rien -Merci @Arthur Batthyány - la rousse se coule doucement dans son siège avant de reprendre, sans trembler.
-”Parce que appeler les autorités les auraient inexorablement conduite au lieu où je détenais Charlie, Charlie n’était pas recensé, et je sais qu’ils l’auraient prit sans même qu’il ait esquissé le moindre sursaut d’agressivité.” Le ton est dénué de l’arrogance dont elle avait pu faire preuve durant leurs récents échanges, mais le regard se tourne vers la bibliothèque du brun comme pour trouver un point d’ancrage autre que des poignets qu’elle venait doucement à pincer. Dans un soupire, pourtant, elle retourne nicher dans les yeux du directeur de maison et s'enhardit un peu. “Et si je t’en parle maintenant, c’est que j’ai prévenu mon cercle un à un et que tu en fais parti.” Mais ne prend pas la confiance, tu étais le dernier.
“Je vois.” Ca tombe de manière presque salutaire et, si Andrew ne se défait pas de son odieuse manière de se masser les tempes en croyant que ça lui donnerait un air plus intelligent qu’il ne l’était, Cataleya semble doucement se détendre. Ca ne l’empêche pourtant pas de revenir dessus, après les questions du runniste.
-C’est un “Je vois” pour préparer le fait que tu vas m’emmurer vivante, ou un “je vois” qui n’a pas la force de se désespérer, parce que j’ai dépassé les bornes depuis déjà deux ans ?
Non parce que bon, des conneries, elle en faisait à la pelle et le Hill les apprenait parfois à la volé, crié dans le Blackwood manor par des Chandelles pas assez discrète ou soupiré par des éclairés qui venait apporter leur soutien à leur collègue, avant de comprendre qu’il n’était pas au courant. Cataleya pourrait siffler que c’était là les conséquences de leur absence de confiance mutuelle, mais la vérité était qu’elle en avait également fait à D., des coup comme ça, et qu’elle avait un gout prononcé pour les aventures solitaire quand elle les savaient trop folles, même pour les chauffes-plats. Rien d’étonnant à ce qu’un jour son ancien mentor lui crache qu’on la retrouverait morte, parce qu’elle s’entêtait, entourée de monstruosité qu’elle aurait réussi à créer ou invoquer. Il avait espéré la secoué, mais sa réponse l’avait laissé sans voix ; Cataleya n’espérait pas mourir autrement. Les capes noires ou ses propres expérimentations auraient sa peau. L’inverse serait décevant.
Réalisant tout de même qu’il valait mieux répondre au runniste plutôt que se perdre en question qui ne l’avancerait à rien -Merci @Arthur Batthyány - la rousse se coule doucement dans son siège avant de reprendre, sans trembler.
-”Parce que appeler les autorités les auraient inexorablement conduite au lieu où je détenais Charlie, Charlie n’était pas recensé, et je sais qu’ils l’auraient prit sans même qu’il ait esquissé le moindre sursaut d’agressivité.” Le ton est dénué de l’arrogance dont elle avait pu faire preuve durant leurs récents échanges, mais le regard se tourne vers la bibliothèque du brun comme pour trouver un point d’ancrage autre que des poignets qu’elle venait doucement à pincer. Dans un soupire, pourtant, elle retourne nicher dans les yeux du directeur de maison et s'enhardit un peu. “Et si je t’en parle maintenant, c’est que j’ai prévenu mon cercle un à un et que tu en fais parti.” Mais ne prend pas la confiance, tu étais le dernier.
- Andrew HillADMIN - go wild ☽ for a while
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» crédits : maav
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» âge : 39 ans (né le 28 décembre 1984)
» situation : désespérément amoureux d'une femme fraichement divorcée
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Re: Black Parade (Andrew)
Ven 19 Avr 2024 - 14:08
“C’est un “Je vois” pour préparer le fait que tu vas m’emmurer vivante, ou un “je vois” qui n’a pas la force de se désespérer, parce que j’ai dépassé les bornes depuis déjà deux ans ?” Bien que la question soit rhétorique et que la rouquine n’en attende pas vraiment de réponse, il se trouve que le Hill essaye définitivement d’y répondre. C’était sûrement un mélange des deux. L’envie des deux. L’envie de la cloitrer n’importe où à l’abri du monde et d'elle-même mais également une certaine lassitude face à ses exploits répétés. Cela dit, il fallait bien reconnaître que pour une fois, il était sérieusement admirable.
- Qu’est ce que tu veux exactement Cataleya ? Une souflante ou des applaudissements ?
Elle méritait les deux mais il n’était pas sûre d’avoir la force, ni pour l’une, ni pour l’autre. Alors il boit une gorgée de son café, comme si le breuvage péruvien pouvait y remédier mais il l’aurait su ça avait été le cas.
Il essaye de comprendre la logique tortueuse de son apprentie qui diffère en tout point de la sienne. Chandelle, il avait rapidement intégré ce qu’était le mot “discipline" et “loyauté”. Tout ce que Vega devait savoir, il le lui avait appris. Pas un secret, pas un mot de travers. Et aujourd’hui encore, il confierait sa vie à sa mentore si besoin était. Et il se détestait d’être si loin de cette relation avec Cataleya mais aussi avec tous les autres. Il tentait vainement d’apaiser sa colère contre lui-même en se disant que leur relation était encore trop récente et qu’elle demeurait polluait par D.
Au moins ne pouvait-on pas reprocher à l’héritière de l’épine noire de manquer de loyauté envers ses semblables. Il s’agissait de protéger Charlie. “Et si je t’en parle maintenant, c’est que j’ai prévenu mon cercle un à un et que tu en fais parti.” Ca, par contre, ça sentait l’entourloupe a pleins nez. Elle aurait mieux fait de s’arrêter là si elle avait voulu terminer cet entretien, comme en témoignait cette attitude puérile qui la rapprochait de la porte centimètre par centimètre.
- Et ? Quoi qu’autre ? Je comprends désormais pourquoi tu as gardé ce secret si longtemps mais pourquoi est-ce que tu en parles aujourd’hui. Aux autres et puis à moi. Tu as quelque-chose derrière la tête Cataleya Blackthorn et puisque tu semblais avoir envie de te confier, épargne moi l’obligation d’avoir a te menacer de veritaserum.
- Qu’est ce que tu veux exactement Cataleya ? Une souflante ou des applaudissements ?
Elle méritait les deux mais il n’était pas sûre d’avoir la force, ni pour l’une, ni pour l’autre. Alors il boit une gorgée de son café, comme si le breuvage péruvien pouvait y remédier mais il l’aurait su ça avait été le cas.
Il essaye de comprendre la logique tortueuse de son apprentie qui diffère en tout point de la sienne. Chandelle, il avait rapidement intégré ce qu’était le mot “discipline" et “loyauté”. Tout ce que Vega devait savoir, il le lui avait appris. Pas un secret, pas un mot de travers. Et aujourd’hui encore, il confierait sa vie à sa mentore si besoin était. Et il se détestait d’être si loin de cette relation avec Cataleya mais aussi avec tous les autres. Il tentait vainement d’apaiser sa colère contre lui-même en se disant que leur relation était encore trop récente et qu’elle demeurait polluait par D.
Au moins ne pouvait-on pas reprocher à l’héritière de l’épine noire de manquer de loyauté envers ses semblables. Il s’agissait de protéger Charlie. “Et si je t’en parle maintenant, c’est que j’ai prévenu mon cercle un à un et que tu en fais parti.” Ca, par contre, ça sentait l’entourloupe a pleins nez. Elle aurait mieux fait de s’arrêter là si elle avait voulu terminer cet entretien, comme en témoignait cette attitude puérile qui la rapprochait de la porte centimètre par centimètre.
- Et ? Quoi qu’autre ? Je comprends désormais pourquoi tu as gardé ce secret si longtemps mais pourquoi est-ce que tu en parles aujourd’hui. Aux autres et puis à moi. Tu as quelque-chose derrière la tête Cataleya Blackthorn et puisque tu semblais avoir envie de te confier, épargne moi l’obligation d’avoir a te menacer de veritaserum.
- Cataleya BlackthornMJ - Firefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1010
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Re: Black Parade (Andrew)
Mar 23 Avr 2024 - 10:05
Elle regrette ses hésitations et remords de gestes pas même esquissés, Cataleya, puisqu’elle est tant enfoncé dans son siège qu’elle en a perdu ses airs de dragon. Plus intimidée par son Eclairé qu’elle n’aimait le prétendre, elle n’a de cesse de le jauger dans l’espoir de trouver le courage de se jeter à l’eau ou rentrer en courant jusqu’à chez elle, mais demeure inexorablement sur cet entre-deux détestable. “Et ? Quoi d'autre ?” Andrew est pourtant pressant et pas du genre à se laisser effrayer par un brusque éclat de voix visant à gagner du temps et couvrir la réflexion de son élève, non. Peu effrayée par la perspective du veritaserum puisque la Blackthorn se sait assez cinglée pour s’éclater la langue sous ses canines trop aiguisée, afin de ne pas avoir à parler, et offrir un sourire ensanglanté à son mentor, elle hésite pourtant sur la réponse à fournir. Devait-elle trahir les autres en lui confiant ce qu’ils allaient faire ? Devait-elle lui confier qu’ils croyaient détenir le fou qui avait mordu Charlie, et qu’une inquisition approchait ? Les Chauffes-plats la haïrait et pourtant, pour la première fois de sa vie, elle estimait qu’il fallait quelqu’un pour les cadrer. Mettre de l’ordre dans leurs idées puisque la colère ne les rendaient plus aptes à réfléchir.
-En vérité, j’aimerai porter plainte. Amorce t’elle enfin, après avoir un peu trop longtemps observée ses mains. Elle semble tout de même se surprendre de ses propres mots et préfère perdre les suivants dans la bibliothèque de son professeur, puisque incapable de ne pas faillir dans son mensonge si elle venait à croiser ses yeux. “Je ne voulais pas que vous l’appreniez de manière fortuite, du coup j’ai préféré avouer. “ Mais comprenant que leur relation était trop chaotique pour expliquer de cette seule inquiétude l’ait poussé, elle, la plus têtue, à ramper jusqu’ici, la lufkin reprend en ramenant ses yeux bleu sur son professeur. “Non. Ce n'est pas vrai. Je- J’avais surtout besoin de ton aide. Enfin, j’ai besoin de ton aide.”
Tout s’enchaîne avec une fluidité déconcertante sous les neurones de Cataleya Blackthorn, jonglant habilement entre dissimulation et fait véritable, puisque l’esprit s’obstine déjà à rejouer encore et encore cette nuit qui l’éveillait parfois encore, lorsqu’elle était pourtant sagement assoupit entre les bras de Miguel. Elle s’y oblige, oui, à visualiser cette mâchoire écumante tout près de son visage, les coups porté à sa porte au point où elle la croyait craquer, le corps sur la table, puis brisé entre la mâchoire de cette bête qui l’avait prise en chasse. Elle visualise, oui, parce que c’est nécessaire pour gagner en crédibilité devant un homme qu’elle baratiner constamment. Et doucement le regard vacille. Les larmes se forment en silence, les cils tentent un instant de les chasser, mais ne parviennent à taire le discret tremblement qui déchire la si terrible Cataleya Blackthorn. L’espace d’une seconde elle semble s’être prostrée sur elle même, mais l’effet ne dure pas puisque c’est infiniment fière qu’elle redresse de nouveau le dos mais détourne le regard.
- En fait, j’aurai aimé que tu m’oubliettes partiellement. Souffle t’elle à peine. “J’ai vraiment besoin de confier tout ça aux autorités, mais s’ils fouillent mon esprit en quête d’indice, je mettrai en danger plus d’une personne”. Elle, Charlie, Arthur. Certainement même Juliet et @James Blackthorn puisqu’elle avait connaissance de leur lien avec ce meurtrier. “Et j’ai peur que si je demande à Alexander ou Lewis de le faire, ils ne réduisent mon cerveau en miettes.”
-En vérité, j’aimerai porter plainte. Amorce t’elle enfin, après avoir un peu trop longtemps observée ses mains. Elle semble tout de même se surprendre de ses propres mots et préfère perdre les suivants dans la bibliothèque de son professeur, puisque incapable de ne pas faillir dans son mensonge si elle venait à croiser ses yeux. “Je ne voulais pas que vous l’appreniez de manière fortuite, du coup j’ai préféré avouer. “ Mais comprenant que leur relation était trop chaotique pour expliquer de cette seule inquiétude l’ait poussé, elle, la plus têtue, à ramper jusqu’ici, la lufkin reprend en ramenant ses yeux bleu sur son professeur. “Non. Ce n'est pas vrai. Je- J’avais surtout besoin de ton aide. Enfin, j’ai besoin de ton aide.”
Tout s’enchaîne avec une fluidité déconcertante sous les neurones de Cataleya Blackthorn, jonglant habilement entre dissimulation et fait véritable, puisque l’esprit s’obstine déjà à rejouer encore et encore cette nuit qui l’éveillait parfois encore, lorsqu’elle était pourtant sagement assoupit entre les bras de Miguel. Elle s’y oblige, oui, à visualiser cette mâchoire écumante tout près de son visage, les coups porté à sa porte au point où elle la croyait craquer, le corps sur la table, puis brisé entre la mâchoire de cette bête qui l’avait prise en chasse. Elle visualise, oui, parce que c’est nécessaire pour gagner en crédibilité devant un homme qu’elle baratiner constamment. Et doucement le regard vacille. Les larmes se forment en silence, les cils tentent un instant de les chasser, mais ne parviennent à taire le discret tremblement qui déchire la si terrible Cataleya Blackthorn. L’espace d’une seconde elle semble s’être prostrée sur elle même, mais l’effet ne dure pas puisque c’est infiniment fière qu’elle redresse de nouveau le dos mais détourne le regard.
- En fait, j’aurai aimé que tu m’oubliettes partiellement. Souffle t’elle à peine. “J’ai vraiment besoin de confier tout ça aux autorités, mais s’ils fouillent mon esprit en quête d’indice, je mettrai en danger plus d’une personne”. Elle, Charlie, Arthur. Certainement même Juliet et @James Blackthorn puisqu’elle avait connaissance de leur lien avec ce meurtrier. “Et j’ai peur que si je demande à Alexander ou Lewis de le faire, ils ne réduisent mon cerveau en miettes.”
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