- Inès SaouliOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 628
» miroir du riséd : Emily Bador
» crédits : Merci Brunelle!
» multinick : Billie Shakespeare, Ambrosius Redgrave
» âge : 22 ans (2001-04-30)
» situation : en couple très ouvert
» profession : Propriétaire du Loch d'Inès, serveuse à temps partiel au VP et présidente de l'AECES
» nature du sang : sang pur
» gallions sous la cape : 1374
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Nous sommes la jeunesse féline (ft. Apsara)
Lun 4 Mar 2024 - 4:29
17 mars 2024
« Oï! Nobody's asked for your opinion, bampot! Ye better hold ya tongue o' ya leprechaun hat won't be the only green thing on ya.* »
C'était une chose de se faire complimenter par un "bonnie lass" ici et là, Inès appréciait la flatterie, mais c'en était une autre que de siffler une fille sur la rue et de la suivre pour réclamer son numéro. Surtout quand on avait une tête de noeud comme cet imbécile qui ressemblait plus à un éruptif qu'à un griffon, disons.
Calée contre un mur de briques chauffé par les rayons du soleil de midi en ce début de printemps, la Saouli grillait une cigarette plus que méritée. C'était sa première pleine journée depuis un moment. Les ventes de la nuit précédente à la boutique avaient été excellentes. Elle avait donc pris la direction de sa boutique préférée du District pour acheter une paire de chaussures pour la saison. Le sac pendait à son bras gauche.
Les yeux à demi clos, elle absorbait la chaleur du soleil depuis à peine une demi cigarette quand elle avait entendu les sifflements d'un mâle en rut en provenance de l'autre côté de la rue. En ouvrant les paupières, elle avait pu voir l'énergumène et, quelques mètres plus loin, la cible de son regard dégoulinant. Elle avait déjà la main sur sa baguette quand elle reconnut Apsara. Ce fut suffisant pour tirer Inès de sa confortable position et lui faire traverser la rue tranquillement, mais avec détermination.
C'était avec la baguette pointée sur l'entrejambe de l'imbécile qu'Inès s'était interposée entre le virus et sa proie. Son accent écossais naturel rendant sa menace probablement inintelligible à tout non Highlander, mais le farfadet, lui, compris bien le message. Devant les 5 pieds 6 à tout casser de la Saouli, il eut d'abord un rictus méprisant et ouvrit la bouche pour répliquer, mais des étincelles vertes jaillirent aussitôt de la baguette de la sorcière et, tels des tisons incandescents, allèrent piquer de trous le pantalon du poursuivant, qui tourna les talons en crachant un crazy b... qui glissa sur Inès comme sur le dos d'un canard.
Tout sourire, la Saouli se tourna vers Apsara pour l'attraper par les épaules et lui coller deux bises sonores sur les joues. « Happy St Paddy's Day, lovey!** »
* Hé! Personne t'a demandé ton avis, idiot! Tu ferais mieux te tenir ta langue ou ton bonnet de farfadet sera pas la seule chose verte sur toi.
** Joyeuse St-Patrick, chérie
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« Oï! Nobody's asked for your opinion, bampot! Ye better hold ya tongue o' ya leprechaun hat won't be the only green thing on ya.* »
C'était une chose de se faire complimenter par un "bonnie lass" ici et là, Inès appréciait la flatterie, mais c'en était une autre que de siffler une fille sur la rue et de la suivre pour réclamer son numéro. Surtout quand on avait une tête de noeud comme cet imbécile qui ressemblait plus à un éruptif qu'à un griffon, disons.
Calée contre un mur de briques chauffé par les rayons du soleil de midi en ce début de printemps, la Saouli grillait une cigarette plus que méritée. C'était sa première pleine journée depuis un moment. Les ventes de la nuit précédente à la boutique avaient été excellentes. Elle avait donc pris la direction de sa boutique préférée du District pour acheter une paire de chaussures pour la saison. Le sac pendait à son bras gauche.
Les yeux à demi clos, elle absorbait la chaleur du soleil depuis à peine une demi cigarette quand elle avait entendu les sifflements d'un mâle en rut en provenance de l'autre côté de la rue. En ouvrant les paupières, elle avait pu voir l'énergumène et, quelques mètres plus loin, la cible de son regard dégoulinant. Elle avait déjà la main sur sa baguette quand elle reconnut Apsara. Ce fut suffisant pour tirer Inès de sa confortable position et lui faire traverser la rue tranquillement, mais avec détermination.
C'était avec la baguette pointée sur l'entrejambe de l'imbécile qu'Inès s'était interposée entre le virus et sa proie. Son accent écossais naturel rendant sa menace probablement inintelligible à tout non Highlander, mais le farfadet, lui, compris bien le message. Devant les 5 pieds 6 à tout casser de la Saouli, il eut d'abord un rictus méprisant et ouvrit la bouche pour répliquer, mais des étincelles vertes jaillirent aussitôt de la baguette de la sorcière et, tels des tisons incandescents, allèrent piquer de trous le pantalon du poursuivant, qui tourna les talons en crachant un crazy b... qui glissa sur Inès comme sur le dos d'un canard.
Tout sourire, la Saouli se tourna vers Apsara pour l'attraper par les épaules et lui coller deux bises sonores sur les joues. « Happy St Paddy's Day, lovey!** »
* Hé! Personne t'a demandé ton avis, idiot! Tu ferais mieux te tenir ta langue ou ton bonnet de farfadet sera pas la seule chose verte sur toi.
** Joyeuse St-Patrick, chérie
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- Apsara ChankimhaOldieㄨ experimented wizard
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Re: Nous sommes la jeunesse féline (ft. Apsara)
Sam 9 Mar 2024 - 15:31
« Non. »
Le mot avait été prononcé clairement. Distinctement. Il n’y avait aucun exotisme singulier pour en perturber la compréhension. L’accent thaïlandais était resté bien au chaud de sa gorge, au profit d’un américanisme en tout point similaire à son frère anglais. L’interprétation n’avait aucunement sa place ici. Quelle erreur avait-elle pu commettre pour encourager un tel pot-de-glue à lui coller au train ? Son tort avait peut-être été de croire qu’un inconnu pouvait tout à fait l’aborder dans la rue pour lui demander l’heure afin de… Vous savez, pour connaitre l’heure justement ? Sans intention particulière. Les sourires réchauffaient les cœurs et Merlin sait que dans ce pays d’humidité et de vent, ce n’est que peu de choses. Une salutation quand on croisait quelqu’un dans la rue, une mimique attentionnée au croisement d’une autre. C’était agréable, mais en rien un élément justifiant telle attitude exécrable. Plaire à un quidam était une chose qui l’avait toujours prise au dépourvue mais ne justifiait en rien une attitude agressive de sa part. Face à un forceur, par contre… Et lui, il en tenait une bonne couche visiblement. Mec, il est seulement midi. Il est bien trop tôt pour se prendre la tête.
La Chankimha avait fait une promesse singulière. Ne sortir sa baguette qu’en cas de dernier recours, sa défense fétiche créant plus de contrariété qu’autre chose. C’était bien beau [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , mais comment faire quand la communication ne passe pas ? Elle faisait clairement la moue, à défaut de taper du pied. Ou de l’écraser avec une précision chirurgicale sur les orteils de l’énergumène. Ne pas choisir la violence comme défense, qu’il disait. Oui, certes, mais là elle était quand même bien embêtée. C’est qu’elle avait une pile de livre à aller récupérer dans la rue voisine et une pile de linge à sortir d’une machine avant qu’on ne la lui pique.
« Oï! Nobody's asked for your opinion, bampot! Ye better hold ya tongue o' ya leprechaun hat won't be the only green thing on ya.* »
Là, tout de suite, c’était vachement plus clair. Pas tant dans le discours qui sonnait drôlement à ses oreilles mais plutôt dans l’acte qui l’accompagnait. Pas besoin de traduction pour comprendre la menace pesant sur l’anatomie chérie de l’homme face à elle. Si la langue anglaise ne lui donnait plus autant de difficulté qu’avant, ce n’était pas le cas des autres dialectes. Elle s’était habituée à cette fichue patate chaude que l’anglais commun gardait en bouche mais pour les autres… Arf. Ca lui demandait un effort conséquent.
« Inès ! » L’agacement sur le visage de la pokeby fondit comme neige au soleil et un rire franc ne tarda pas à se faire entendre, sitôt une bise claquée sur sa joue. Cette pratique n’état pas courante par chez elle mais elle avait tôt fait de s’y habituer, même si ça la faisait rire à chaque fois. Aller savoir pourquoi. Ce n’est pas comme si elle s’offusquait au moindre contact. Preuve en est, elle se pendit joyeusement au cou de la jolie brune sous le regard dépité du sorcier qui tentait de disparaitre de leurs vues.
« Merci ! Je n’arrivais pas à m’en dépêtrer. Plus efficace qu’un maléfice de glue perpétuelle le type. »
L’étudiante se détacha de l’étreinte et pris soin d’enrouler le fil de ses écouteurs, comme s’ils n’allaient pas se nouer comme par magie au fond de ses poches tiens.
« Paddy ? » Son sourcil s’arqua, comme pour demander de qui elle pouvait bien parler. Quelle fête avait-elle encore raté ? Son nez se retroussa légèrement mais ses prunelles, elles, ne tardèrent pas à lui apporter la réponse désirée sur un plateau d’argent. Ou vert, pour l’occasion. Des trèfles à trois décoraient la rue et des ballons vert, blanc et orange servaient d’encadrement aux portes des pubs.
« Oh ! Toi aussi ma douce. » Un large sourire vint ourler ses lèvres tandis qu’elle enfonça ses mains gelées au fond de ses poches. Le climat s’était adouci mais bien peu par rapport à ses goûts.
« Tu avais quelque chose de prévu ? J’aimerai te payer un coup pour te remercier. Ça ou autre chose. »
A défaut d’être habillée de vert, elle avait la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] de circonstance. Dix fois trop grande, comme la plupart de ses fringues, mais tellement apprécié par la jeune femme. Elle avait attendu le redoux pour pouvoir la sortir et comptait bien la garder sur le dos aussi longtemps que possible. Jusqu'à sa prochaine trouvaille en fripe, maybe ?
©eck
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Re: Nous sommes la jeunesse féline (ft. Apsara)
Dim 21 Avr 2024 - 23:32
Le petit pli de contrariété qui s'était creusé entre les deux sourcils parfaitement découpés d'Apsara fondit comme la glace sous l'effet d'un incendio : presque instantanément, au grand ravissement de l'Écossaise que rien ne rendait plus heureuse que de mettre de bonne humeur les gens qu'elle appréciait. Glissant la baguette dans sa poche de veste, malgré tout un peu déçue de ne pas avoir eu l'occasion de rétrécir un peu plus le patriarcat ce jour-là, Inès répondit par un sourire aux remerciements de la danseuse. Du revers de la main, elle refusa ceux-ci.
« Bah, ils sont tous les mêmes, les mecs, tu leur souris un peu et ils croient que tu les veux dans ton lit, wallah. Faut pas trop leur en demander quand le sang descend... »
Inès suivit le regard d'Apsara, observant à son tour le mouvement des ballons dans la brise écossaise. Le froid l'affectait assez peu en tant qu'Écossaise, ou peut-être était-ce simplement parce que coulait en elle le sang chaud des Saouli, allez savoir. Elle remonta à peine le col de sa veste de cuir, c'était sa seule protection contre le vent du loch; ses jambes n'étant couvertes que par de fins leggings noirs. « You look fab!* » siffla Inès, appréciative en jetant un oeil sur la veste de la Thaïlandaise. « Let's go! I know just the right place for a drink, and nobody will try to grab your... snack there.** »
D'un bon pas, elle se remit en marche sur le trottoir en direction du Drunken Duck, un pub que ses amis moldus Amir et Ted avaient racheté quatre mois auparavant à quelques pas de la gare, sur Union Street, et qui servait un canard à l'orange qui mettait plus l'eau à la bouche d'Inès que n'importe quoi depuis un moment. Avec une bonne pinte de Guiness, c'était le plan parfait pour célébrer la Saint-Patrick.
« Comment va Professeur Sexy? Toujours aussi sexy? » Après avoir quitté les bancs de l'université, Inès avait *presque* regretté sa décision en découvrant qui enseignait désormais la médicomagie. Tout en marchant, elle entreprit d'appliquer un rouge à lèvres résolument vert pour aller avec son ombre à paupière couleur leprechaun.
* Tu es splendide
** Allons-y! Je connais la place parfaite pour un verre, et personne va tenter d'y attraper... ta schnek.
« Bah, ils sont tous les mêmes, les mecs, tu leur souris un peu et ils croient que tu les veux dans ton lit, wallah. Faut pas trop leur en demander quand le sang descend... »
Inès suivit le regard d'Apsara, observant à son tour le mouvement des ballons dans la brise écossaise. Le froid l'affectait assez peu en tant qu'Écossaise, ou peut-être était-ce simplement parce que coulait en elle le sang chaud des Saouli, allez savoir. Elle remonta à peine le col de sa veste de cuir, c'était sa seule protection contre le vent du loch; ses jambes n'étant couvertes que par de fins leggings noirs. « You look fab!* » siffla Inès, appréciative en jetant un oeil sur la veste de la Thaïlandaise. « Let's go! I know just the right place for a drink, and nobody will try to grab your... snack there.** »
D'un bon pas, elle se remit en marche sur le trottoir en direction du Drunken Duck, un pub que ses amis moldus Amir et Ted avaient racheté quatre mois auparavant à quelques pas de la gare, sur Union Street, et qui servait un canard à l'orange qui mettait plus l'eau à la bouche d'Inès que n'importe quoi depuis un moment. Avec une bonne pinte de Guiness, c'était le plan parfait pour célébrer la Saint-Patrick.
« Comment va Professeur Sexy? Toujours aussi sexy? » Après avoir quitté les bancs de l'université, Inès avait *presque* regretté sa décision en découvrant qui enseignait désormais la médicomagie. Tout en marchant, elle entreprit d'appliquer un rouge à lèvres résolument vert pour aller avec son ombre à paupière couleur leprechaun.
* Tu es splendide
** Allons-y! Je connais la place parfaite pour un verre, et personne va tenter d'y attraper... ta schnek.
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Re: Nous sommes la jeunesse féline (ft. Apsara)
Lun 29 Avr 2024 - 16:05
Un roulement d’œil en tout point dramatique répondit à l’affirmation de la Saouli. Ils sont tous les mêmes, les mecs. C’était une généralité bien triste que la plupart se plaisait à déblatérer, sans crainte d’affecter les âmes sensibles qui, heureusement, étaient aux antipodes de ce stéréotype vivant qui venait de leur gâcher cinq précieuses minutes d’existence. C’était bien ça le problème. Une mauvaise action pouvait ternir la réputation d’un groupe et les hommes, dans leur ensemble, étaient visés et discrédités à cause d’exaction d’un plus petit nombre.
« C’est bien pour ça que je les évites comme la peste, dès lors que la « chose » s’agite. »
La thaïlandaise avait mimé les guillemets tout en soufflant un maximum d’air, puis gonfla ses menus poumons avant de rire. Il valait mieux ça que de pleurer ! Elle aimait les hommes, Apsara. Pas comme ça. Depuis toujours, elle avait aimé les fréquenter sans comprendre pourquoi il lui était plus facile de s’y lier qu’avec la gent féminine. Ça se faisait tout seul, quand elle se sentait tout de suite plus maladroite avec elles. Peut-être était-ce parce qu’elle savait son palpitant attiré par les deux genres. Pourtant, un rien lui faisait faire volte-face. C’est qu’elle fuyait ce genre de choses comme la peste ! Pas étonnant qu’elle classe inconsciemment les hommes de sa vie dans des jolies cases estampillées : inoffensifs. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ? Elle s’était convaincue, à tort, que son cœur et sa « chose » ne pouvaient battre que pour les mêmes personnes du même sexe que lui. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ? Elle en avait fait un membre à part entière de sa famille. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ? Elle le considérait comme un clown sous protéine. Que dire de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qu’elle adorait rejoindre, puisque jamais l’œil n’oserait glisser sur un corps comme le sien. Un corps de femme qu’elle avait fait ennemi et dissimulait derrière des vêtements aux formes amples, lui donnant des airs de gosse combattant les affres du temps.
Le rire perça sans mal ses lippes et elle offrit une jolie pirouette à la brune, flattée du compliment. Elle adorait cette veste sérieusement et remerciait ciel et terre pour la météo fraiche du pays. Scandale. Sans ça, jamais elle ne pourrait l’user jusqu’à ce que les coutures se rompent. Ce serait un tel gâchis… On ne trouvait pas une telle perle en fripe tous les jours.
« Merci beauté ! Elle tient super chaud en plus. Tout bénéf’»
Les mains s’enfoncèrent vite fait bien fait dans les poches. Sans se faire prier, Apsara emboita le pas d’Inès. Elles arrivèrent devant un pub qui lui était encore inconnu et aussitôt, une petite étincelle s’alluma dans ses yeux sombres. La curiosité, mêlée à l’odeur gourmande qui lui chatouillait les narines, la mettait en joie et c’est presque en sautillant sur place qu’elle attendit que la porte s’ouvre sur elles.
« Ça sent super bon ! Tu viens souvent ici ? »
Dressée sur la pointe des pieds, l’impatiente cherchait à percer l’atmosphère intimiste pour satisfaire sa curiosité. La populace en place était toute de vert vêtu et, tout de suite, un vilain pressentiment vint lui tordre les tripes. Il lui restait encore bien des choses à apprendre sur les coutumes locales mais le fait d’avoir été sévèrement pincée la première année lui avait fait apprendre une ou deux choses plutôt vite. Malicieuse, ses doigts vinrent récolter quelques brins de livèches qu’elle entreprit de glisser derrière son oreille.
« En espérant que ça me sauvera les fesses ! » Elle tordit ses lèvres avant de se fondre en un sourire joueur.
Puis, les deux jeunes femmes vinrent s’attabler. Il faisait bon et l’ambiance était chaleureuse au possible. De quoi chasser les nuages du plus contrarié !
« Professeur Sexy ? » La brune arqua un sourcil et se mit aussitôt à faire un listing, ne sachant qui elle ciblait réellement. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] apparut en tête de liste, la faute aux runes qui avaient su captiver le regard de l’étudiante entre deux applications d’onguent. Mine de rien, ils étaient plusieurs à pouvoir cocher la case. « Tu parles duquel ? »
©eck
Billie Shakespeare est fan
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