- Billie ShakespeareOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 284
» miroir du riséd : Laura O'grady
» crédits : Me
» multinick : Inès Saouli, Ambrosius Redgrave
» âge : 25 ans (26 avril 1998)
» situation : En couple ouvert
» année d'études : 9e année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DCFM, Potions, Étude des runesㅡ option facultative :▣ Littérature magique, Médicomagie Appliquée
» profession : Commis à la bibliothèque de l'université - chroniqueuse littéraire à Radio Phoenix
» nature du sang : Sang mêlé
» gallions sous la cape : 1135
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Bonbons, potion, explosion?
Lun 11 Mar 2024 - 2:49
15 mars 2024
L'année 2024 célébrait déjà la fin de son premier trimestre, et Billie ignorait à quel point elle allait pouvoir surpasser la beauté du lever de soleil de ce matin-là. Midi venait de sonner et la sorcière repensait encore au dégradé de roses et de violets qui l'avait accueillie à son réveil, c'était dire à quel point l'aurore avait été exceptionnelle. C'en était suivi un ciel bleu à faire chanter les oiseaux, tous à la recherche de l'âme-soeur, et un déluge d'odeurs de printemps.
Alors que la Shakespeare traversait le hall d'entrée de l'université, elle regrettait ses obligations de l'après-midi qui la tenaient loin des jardins. Elle aurait volontiers passé le reste de ce magnifique jeudi à observer les délicates fleurs printanières : les primevères, jacinthes, crocus et la si gracieuse cardamine avec ses quatre pétales nervurés. Mais après avoir passé la matinée à étudier, la fenêtre de sa chambre de dortoir ouverte malgré le fond d'air frais, elle avait un engagement à honorer.
La Lufkin regrettait-elle d'avoir offert son aide à une camarade de classe en difficulté à quelques semaines des examens finaux? Pas le moins du monde. Si elle pouvait contribuer au succès de Rebeka en cours de potion, cela valait bien la peine de sacrifier un bel après-midi. L'Anglaise se dirigeait donc d'un pas guilleret, des bonbons ronds formant un renflement dans la poche de son ensemble du jour, et une pile de livres sous le bras. Sa courte baguette reposait sur son oreille droite et une mèche de cheveux sombres lui retombait sur l'oeil gauche.
À la porte du local de potion, elle ne trouva pas sa collègue, mais ne perdit pas son sourire en prononçant le mot de passe qui lui permit d'accéder aux lieux. Billie avait réservé le local pour un bloc de trois heures, ce qui serait sans doute suffisant pour préparer deux potions au programme du trimestre. En attendant l'arrivée de Rebeka, la Shakespeare entreprit de déposer ses affaires et de commencer à rassembler le matériel.
@Rebeka Velazquez
L'année 2024 célébrait déjà la fin de son premier trimestre, et Billie ignorait à quel point elle allait pouvoir surpasser la beauté du lever de soleil de ce matin-là. Midi venait de sonner et la sorcière repensait encore au dégradé de roses et de violets qui l'avait accueillie à son réveil, c'était dire à quel point l'aurore avait été exceptionnelle. C'en était suivi un ciel bleu à faire chanter les oiseaux, tous à la recherche de l'âme-soeur, et un déluge d'odeurs de printemps.
Alors que la Shakespeare traversait le hall d'entrée de l'université, elle regrettait ses obligations de l'après-midi qui la tenaient loin des jardins. Elle aurait volontiers passé le reste de ce magnifique jeudi à observer les délicates fleurs printanières : les primevères, jacinthes, crocus et la si gracieuse cardamine avec ses quatre pétales nervurés. Mais après avoir passé la matinée à étudier, la fenêtre de sa chambre de dortoir ouverte malgré le fond d'air frais, elle avait un engagement à honorer.
La Lufkin regrettait-elle d'avoir offert son aide à une camarade de classe en difficulté à quelques semaines des examens finaux? Pas le moins du monde. Si elle pouvait contribuer au succès de Rebeka en cours de potion, cela valait bien la peine de sacrifier un bel après-midi. L'Anglaise se dirigeait donc d'un pas guilleret, des bonbons ronds formant un renflement dans la poche de son ensemble du jour, et une pile de livres sous le bras. Sa courte baguette reposait sur son oreille droite et une mèche de cheveux sombres lui retombait sur l'oeil gauche.
À la porte du local de potion, elle ne trouva pas sa collègue, mais ne perdit pas son sourire en prononçant le mot de passe qui lui permit d'accéder aux lieux. Billie avait réservé le local pour un bloc de trois heures, ce qui serait sans doute suffisant pour préparer deux potions au programme du trimestre. En attendant l'arrivée de Rebeka, la Shakespeare entreprit de déposer ses affaires et de commencer à rassembler le matériel.
@Rebeka Velazquez
- Zooey de CornouillerOldieㄨ experimented wizard
- » parchemins postés : 249
» miroir du riséd : Sabrina Carpenter
» crédits : gif gcwh
» âge : 19 ans
» situation : celibataire
» année d'études : 1a
» options obligatoires & facultatives : ---
★ medicomagie appliquee
★ potions
★ metamorphose
★ botanique
★ arts sceniques
★ Soins aux Créatures Magiques
» profession : serveuse à la Moufette enchantée
» nature du sang : mère vélane et père (sang pur) inconnu.
» gallions sous la cape : 273
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Bonbons, potion, explosion?
Dim 24 Mar 2024 - 14:43
15.03.2024
Bonbons, potion, explosion ?
Dans l'insondable labyrinthe de l'existence, où chaque chemin s'étire dans un dédale sans fin, une âme errante se trouve emportée par le flux tumultueux du temps et de l'espace. Tel un voyageur égaré dans un rêve éveillé, elle recherche avec fébrilité un fragment de certitude, un éclat de vérité dans cet océan d'incertitudes. Mais quelle étrange danse que celle du destin, où chaque pas semble guidé par l'impérieuse nécessité de l'inconnu ! Imaginez, si vous le voulez bien, une scène étrange et merveilleuse, où les arbres s'inclinent avec déférence devant des nuages capricieux et où les rivières chuchotent des secrets millénaires à l'oreille attentive des fleurs. C'est dans cet univers onirique, où la réalité se fond avec la fantaisie, que notre protagoniste se retrouve plongé, balloté par les caprices de ses propres fantasies.
Dans ce tumulte de couleurs et de sons, chaque pas résonne comme une énigme à déchiffrer, chaque regard rencontre le reflet d'une vérité insaisissable. Car c'est là que se cache la quintessence de sa maladresse, une essence volatile et indomptable, aussi insaisissable qu'un souffle de vent par une nuit d'été. Et ainsi, dans l'errance perpétuelle, le seul cri muet qui s'élève est celui de l'espoir : "Pourvu que j'arrive quelque part." Car au-delà des sinuosités de l'aberrant et des méprises de la logique, la quête de sens demeure, énigmatique et inextinguible, telle une flamme vacillante dans l'obscurité de l'univers infini. Et peut-être, juste peut-être, au détour d'un sentier oublié ou à travers le miroir brisé du temps, notre demoiselle trouvera-t-elle enfin cette terre promise, ce havre de connaissance où les questions se taisent et où les réponses se révèlent dans un éclat de lumière.
Mais pour l'instant, dans l'immensité infinie de l’université, il n'y a que le voyage. Et c'est dans cette danse éternelle, cette étrange valse entre le connu et l'inconnu, que réside toute la beauté de… Non mais tout simplement du fait qu’elle s’est encore complètement perdue ! Paumé, vraiment. Et pourtant c’était censé être simple ; chambre – salle de cours de potion. Dans de prose qui défile pour une conclusion des plus décevante ! Elle en est presque désespérée, si l’on doit être honnête, de ne plus bien savoir si elle doit tourner à droite ou à gauche ! Mais, elle repensera à ce que Rebekah lui avait dit hier « peu importe la route que tu prendras, tant que t’arrive quelque part Mija ».
Bon, certes, la phrase s’appliquait plutôt à son avenir et quelques plans un peu plus profond que le fait d’être réellement paumé, parce que son sens de l’orientation est en carton ! On fait avec ce qu’on a, n’est-ce pas ? Enfin, peut-être, qu’on aura enfin la chance de la voir débarquer au milieu de chaudron bouillonnant et d’étagère remplit de bocaux plus ou moins esthétiquement attirant. Sans vouloir offenser les Véracrasse et leurs mucus, bien entendus !
Ou plutôt, on la retrouvera devant la porte, à se gratter la tempe avec le bout de sa baguette, un air interrogateur sur le visage. Elle n’a pas oublié un élément genre, important Rebekah ? Comme un mot de passe ou quelque chose ? Déjà que Zooey ce sentais plutôt mal de se présenter à sa place à un cours gentiment offert par une camarade de classe. Elle lui avait pourtant assurée, Rebekah « ben si vas y a ma place, t’inquiète Mija, Billie c’est une crème vous allez vous entendre comme le cheese et les nachos ! T’façon j’serais en conseil de discipline avec cette bande de ***** ». Oui, même dans ses pensée, Zooey censure la vulgarité, excusez là du peu.
Mais revenons donc à notre porte fermée. Le mot de passe. Elle le connait ? Elle l’a connu ? Ou est-ce qu’elle compte généralement sur le fait d’arriver avec ses autres camarades ? Elle cherche, elle cherche vraiment fort. Si fort qu’elle va commencer à dire absolument tout ce qui lui passe par la tête.
- Felix Felicis… heu… Œil de Triton, bave de crapaud, griffe de quintaped… Polynectar ? Oh zut !
Et en tapant du pied par terre ! Une mauvaise idée qui fera bondir les livres et parchemin qu’elle tenait sous son autre bras, droit par terre et dans un vacarme à réveiller les morts -pardon à la communauté fantômesque de l’université- zut, zut et re-zut ! Même le petit Botruc sur son pullover du jour, couleur crème, a croiser ses bras et semble bouder, à sa manière.
Dans ce tumulte de couleurs et de sons, chaque pas résonne comme une énigme à déchiffrer, chaque regard rencontre le reflet d'une vérité insaisissable. Car c'est là que se cache la quintessence de sa maladresse, une essence volatile et indomptable, aussi insaisissable qu'un souffle de vent par une nuit d'été. Et ainsi, dans l'errance perpétuelle, le seul cri muet qui s'élève est celui de l'espoir : "Pourvu que j'arrive quelque part." Car au-delà des sinuosités de l'aberrant et des méprises de la logique, la quête de sens demeure, énigmatique et inextinguible, telle une flamme vacillante dans l'obscurité de l'univers infini. Et peut-être, juste peut-être, au détour d'un sentier oublié ou à travers le miroir brisé du temps, notre demoiselle trouvera-t-elle enfin cette terre promise, ce havre de connaissance où les questions se taisent et où les réponses se révèlent dans un éclat de lumière.
Mais pour l'instant, dans l'immensité infinie de l’université, il n'y a que le voyage. Et c'est dans cette danse éternelle, cette étrange valse entre le connu et l'inconnu, que réside toute la beauté de… Non mais tout simplement du fait qu’elle s’est encore complètement perdue ! Paumé, vraiment. Et pourtant c’était censé être simple ; chambre – salle de cours de potion. Dans de prose qui défile pour une conclusion des plus décevante ! Elle en est presque désespérée, si l’on doit être honnête, de ne plus bien savoir si elle doit tourner à droite ou à gauche ! Mais, elle repensera à ce que Rebekah lui avait dit hier « peu importe la route que tu prendras, tant que t’arrive quelque part Mija ».
Bon, certes, la phrase s’appliquait plutôt à son avenir et quelques plans un peu plus profond que le fait d’être réellement paumé, parce que son sens de l’orientation est en carton ! On fait avec ce qu’on a, n’est-ce pas ? Enfin, peut-être, qu’on aura enfin la chance de la voir débarquer au milieu de chaudron bouillonnant et d’étagère remplit de bocaux plus ou moins esthétiquement attirant. Sans vouloir offenser les Véracrasse et leurs mucus, bien entendus !
Ou plutôt, on la retrouvera devant la porte, à se gratter la tempe avec le bout de sa baguette, un air interrogateur sur le visage. Elle n’a pas oublié un élément genre, important Rebekah ? Comme un mot de passe ou quelque chose ? Déjà que Zooey ce sentais plutôt mal de se présenter à sa place à un cours gentiment offert par une camarade de classe. Elle lui avait pourtant assurée, Rebekah « ben si vas y a ma place, t’inquiète Mija, Billie c’est une crème vous allez vous entendre comme le cheese et les nachos ! T’façon j’serais en conseil de discipline avec cette bande de ***** ». Oui, même dans ses pensée, Zooey censure la vulgarité, excusez là du peu.
Mais revenons donc à notre porte fermée. Le mot de passe. Elle le connait ? Elle l’a connu ? Ou est-ce qu’elle compte généralement sur le fait d’arriver avec ses autres camarades ? Elle cherche, elle cherche vraiment fort. Si fort qu’elle va commencer à dire absolument tout ce qui lui passe par la tête.
- Felix Felicis… heu… Œil de Triton, bave de crapaud, griffe de quintaped… Polynectar ? Oh zut !
Et en tapant du pied par terre ! Une mauvaise idée qui fera bondir les livres et parchemin qu’elle tenait sous son autre bras, droit par terre et dans un vacarme à réveiller les morts -pardon à la communauté fantômesque de l’université- zut, zut et re-zut ! Même le petit Botruc sur son pullover du jour, couleur crème, a croiser ses bras et semble bouder, à sa manière.
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
KoalaVolant
|
|