- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Same old energy [Alex]
Dim 21 Avr 2024 - 9:19
Belle comme l’était le jour en dépit des gardes qui se cumulaient, Cataleya terminait la rédaction de ses rapports un doux fredonnement aux lèvres. Si la scène avait de quoi surprendre les deux internes qui l’avait interrompu dans sa maigre pause, au point qu’ils théorisaient à voix basse qu’elle envisageait forcément de leur jeter un maléfice, ou qu’elle était sous les coup d’un amortentia depuis un gros mois, force était d’admettre que la Blackthorn était d’une amabilité singulière. Elle avait même entrepris de remplacer une collègue couchée par la fièvre. Une première, puisqu’elle s’était dévouée d’une main vivement levée, alors même qu’elle s’était défaite de sa blouse en soupirant qu’elle avait cruellement besoin de dormir. Ainsi, si la lufkin dévia un instant de ses notes pour étirer ses bras vers le ciel, offrant un sourire à un collègue qui passait en lui demandant si elle avait eu le temps d’avaler quoi que ce soit, sa plume à papotte n’avait de cesse que de trahir son enthousiasme puisqu’elle valsait d’une ligne à l’autre, faisant par parfois trésauter le pompom blanc qui l’accompagnait lorsque la sorcière semblait prit d’un nouveau sursaut allègre. “Pom pom pom.” Laissa t-elle soudainement échapper, puisqu’elle fredonnait cette étrange comptine sorcière qui chantait qu’un lapin blanc allait se marier ; Celle qui lui avait appris à tracer les runes de Dagaz et Wunjo quand elle était toute petite, puisqu’elle aidait à les signer. Par réflexe sans doute, les doigts forment deux triangles en en se pinçant, puis s'embrassent pour former la rune du jour. “mwaaaah.” Elle le faisait toujours durer, ce baiser, autant parce qu’elle aimait sincèrement cette histoire que parce que le geste avait toujours fiché dans le regard de son aîné des airs foncièrement doux. Elle a pourtant l’air un peu con le docteur Blackthorn, là, avec ses mains pincées à la manière de bec de canard et des étoiles plein les yeux, et c’est peut être cette subite réflexion qui lui fait relever la tête pour répondre à son collègue. “Pas encore ! J’ai une pomme dans mon s-”
La voix se brise à l’instant même où le nez plisse sous la brusque odeur de fer que lui porte l’air. Une odeur forte, agressive, qui lui laissait un affreux goût sur la langue. Presque poisseux. La grimace est telle qu’elle alerte son collègue bien avant qu’ils ne soient tous bipés auprès de deux aurors en apprentissage, l’un vilement touché dans le dos, l’autre sur l'entièreté du bras droit par un maléfice que les urgentistes n'avaient pas su nommer. Si le regard de la Blackthorn effleure le premier pour se faire une idée du sinistre, il n’a de cesse que de dévier sur le second. Les lèvres se pincent en une expression sévère, mais un “Quel crétin.” lui échappe tout de même. A peine audible. McCandless dans toute sa splendeur, “blessé tous les trois matins” arguait la médicomage puisqu’elle aimait grossir le trait pour pouvoir souffler après qu’il était au mieux stupide, au pire inconséquent. C’était ainsi qu’elle évacuait la terreur qu’il lui collait aux tripes lorsqu’il lui était rendu mal en point. Et pour le coup, mal en point, c’était aujourd’hui peu dire. Plié par la douleur, imperméable aux sortilèges de soin, c’est un vent d’incompréhension qui soufflait sur les médicomages attroupées autour des aurors en formation. Les prémisses d’une tempête qui agitaient en grande vague les yeux bleus de la Blackthorn. Impuissante, l’esprit tordu sous les contre-sens que lui offrait la situation, la lufkin ne comprend pas ce qu’il se passe puisque les morsures qui lacèrent leurs chaires semble indiquer un maléfice de Chauve-furie particulièrement vorace, et que ce genre de magie ne pouvait en aucun cas entrer en contradiction avec les soins apportés. Pourtant, plus ils s'acharnaient à offrir des réponses à ces corps meurtris, et plus ceux-ci se tordaient d’avantage. Fiévreux.
“On stop tout ! C’est une corruption sanguine. ” Elle a aboyé, Cataleya, si vivement que l’un de ses internes en fait tomber sa baguette. Et puisqu’on lui répond qu’il faudrait faire des analyses pour s’en assurer et que la réponse semble lui donner l’envie de s'éclater le crane contre le mur, c’est d’un geste sans défaut que la Blackthorn pique le bras d’Alexander pour prélever du sang. Déposé sur une coupelle et menacé de la baguette torsadé de Cataleya, il boue à grande bulle sous le sortilège qu'elle a pourtant à peine esquissé. “Le maléfice altère la réception de l’episkey et libère des toxines : c'est une corruption du sang.” Le ton est sans appel, incontestable puisqu'ils ont déjà perdu trop de temps. L'ordre est à la sédation et à l'usage exclusif de philtres et potions pour ne pas aggraver leur état puisque les Corruptions sanguines réagissaient toujours effroyablement au contact des sortilèges. C'était d'ailleurs là que résidait toute leur perfidie : on détournait l'attention avec un sortilège offensif particulièrement impressionnant comme ça tout le monde s'acharnait à soigner ses dégâts, et là seulement s'éveillait cette petite merveille de magie noire. Cataleya serait impressionnée par la sournoiserie du lanceur si ce n'était pas Alex qu'elle avait sous ses doigts.
- J'espère que tu as pu lui faire ravaler ses dents, parce qu'à cause de lui je vais louper l'essayage de ma robe de marié. Soupire t'elle finalement, appliquant un bandage imbibée d'une bien visqueuse matière sur le bras abimé de son partenaire. “ Et si ce n'est pas le cas, quand tu le reverras tu lui diras qu'il ne sait pas équilibrer ses maléfices ; Il a mal exécuté son geste, ou ne le maitrise pas, sans quoi ça aurait été dévastateur. ” Mais s'il l'avait lancé correctement, au moins aurait-elle comprit plus tôt de quoi il s'agissait. Laissant échapper un soupire, la rousse observe les paupières du grymm s'entrouvrir doucement. Elle aurait aimé lui caresser la joue du bout du pouce, ou du moins tenter de le rendormir d'un baiser sur le front, mais ses mains collaient affreusement aussi se contenta t'elle de mot qu'il ne percevrait peut être pas, tant il était dans le coaltar. “ J'ai récupéré ton portable, j'appellerai tes parents lors de ma pause histoire que tu ais un peu de compagnie sur les prochains jours. ”
La voix se brise à l’instant même où le nez plisse sous la brusque odeur de fer que lui porte l’air. Une odeur forte, agressive, qui lui laissait un affreux goût sur la langue. Presque poisseux. La grimace est telle qu’elle alerte son collègue bien avant qu’ils ne soient tous bipés auprès de deux aurors en apprentissage, l’un vilement touché dans le dos, l’autre sur l'entièreté du bras droit par un maléfice que les urgentistes n'avaient pas su nommer. Si le regard de la Blackthorn effleure le premier pour se faire une idée du sinistre, il n’a de cesse que de dévier sur le second. Les lèvres se pincent en une expression sévère, mais un “Quel crétin.” lui échappe tout de même. A peine audible. McCandless dans toute sa splendeur, “blessé tous les trois matins” arguait la médicomage puisqu’elle aimait grossir le trait pour pouvoir souffler après qu’il était au mieux stupide, au pire inconséquent. C’était ainsi qu’elle évacuait la terreur qu’il lui collait aux tripes lorsqu’il lui était rendu mal en point. Et pour le coup, mal en point, c’était aujourd’hui peu dire. Plié par la douleur, imperméable aux sortilèges de soin, c’est un vent d’incompréhension qui soufflait sur les médicomages attroupées autour des aurors en formation. Les prémisses d’une tempête qui agitaient en grande vague les yeux bleus de la Blackthorn. Impuissante, l’esprit tordu sous les contre-sens que lui offrait la situation, la lufkin ne comprend pas ce qu’il se passe puisque les morsures qui lacèrent leurs chaires semble indiquer un maléfice de Chauve-furie particulièrement vorace, et que ce genre de magie ne pouvait en aucun cas entrer en contradiction avec les soins apportés. Pourtant, plus ils s'acharnaient à offrir des réponses à ces corps meurtris, et plus ceux-ci se tordaient d’avantage. Fiévreux.
“On stop tout ! C’est une corruption sanguine. ” Elle a aboyé, Cataleya, si vivement que l’un de ses internes en fait tomber sa baguette. Et puisqu’on lui répond qu’il faudrait faire des analyses pour s’en assurer et que la réponse semble lui donner l’envie de s'éclater le crane contre le mur, c’est d’un geste sans défaut que la Blackthorn pique le bras d’Alexander pour prélever du sang. Déposé sur une coupelle et menacé de la baguette torsadé de Cataleya, il boue à grande bulle sous le sortilège qu'elle a pourtant à peine esquissé. “Le maléfice altère la réception de l’episkey et libère des toxines : c'est une corruption du sang.” Le ton est sans appel, incontestable puisqu'ils ont déjà perdu trop de temps. L'ordre est à la sédation et à l'usage exclusif de philtres et potions pour ne pas aggraver leur état puisque les Corruptions sanguines réagissaient toujours effroyablement au contact des sortilèges. C'était d'ailleurs là que résidait toute leur perfidie : on détournait l'attention avec un sortilège offensif particulièrement impressionnant comme ça tout le monde s'acharnait à soigner ses dégâts, et là seulement s'éveillait cette petite merveille de magie noire. Cataleya serait impressionnée par la sournoiserie du lanceur si ce n'était pas Alex qu'elle avait sous ses doigts.
- J'espère que tu as pu lui faire ravaler ses dents, parce qu'à cause de lui je vais louper l'essayage de ma robe de marié. Soupire t'elle finalement, appliquant un bandage imbibée d'une bien visqueuse matière sur le bras abimé de son partenaire. “ Et si ce n'est pas le cas, quand tu le reverras tu lui diras qu'il ne sait pas équilibrer ses maléfices ; Il a mal exécuté son geste, ou ne le maitrise pas, sans quoi ça aurait été dévastateur. ” Mais s'il l'avait lancé correctement, au moins aurait-elle comprit plus tôt de quoi il s'agissait. Laissant échapper un soupire, la rousse observe les paupières du grymm s'entrouvrir doucement. Elle aurait aimé lui caresser la joue du bout du pouce, ou du moins tenter de le rendormir d'un baiser sur le front, mais ses mains collaient affreusement aussi se contenta t'elle de mot qu'il ne percevrait peut être pas, tant il était dans le coaltar. “ J'ai récupéré ton portable, j'appellerai tes parents lors de ma pause histoire que tu ais un peu de compagnie sur les prochains jours. ”
- Alexander McCandlessMODO - Modérateur
- » parchemins postés : 650
» miroir du riséd : David Corenswet
» crédits : Maleficent
» multinick : Elio Cooper/Emmy Robinson
» âge : 27 ans
» situation : célibataire
» année d'études : 10éme année
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ DFCM, sortilèges, métamorphoseㅡ options facultatives :▣ [i]droit magique/i]
» nature du sang : Sang-mêlé
» gallions sous la cape : 1919
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Re: Same old energy [Alex]
Ven 26 Avr 2024 - 13:55
Une mission qui se voulait facile. C’est pour ça que Ian avait permis à Alex de venir avec le reste de l'équipe. Et puis il faut dire que l’étudiant arrivait en fin de dernière année. Il avait bien le droit à faire une sortie sur le terrain. En tout cas, c’est ainsi qu’il avait réussi à convaincre son tuteur. En précisant aussi qu’il se ferait discret.
Mais voilà, tout ne se passa pas comme prévu. Les sorciers qu’ils avaient pris en filature, présumés revendeur d’organes humains pour la magie noire, s’étaient rendus compte de la présence des aurors.
“Tu restes là.”
Planqué derrière des arbustes dans le parc du Château de Beaufort, à quelques kilomètres d’Inverness, McCandless vit Ian partir à l’affront de deux sorciers qui avaient lancé des sortilèges envers une autre équipe planquée derrière un mur en pierres.
Mais il vit aussi un autre apprenti auror être dans une mauvaise position et personne ne lui venir en aide. Il n’allait quand même pas être le témoin d’un meurtre sans rien faire !
McCandless sortit de sa cachette et fonça droit vers le sorcier encapuchonné, lançant un expelliarmus. Encore trop loin, il n’arriva pas à l’atteindre, mais cela suffit à son collègue pour se mettre à fuir. Malheureusement, le mage réussit à le toucher au dos et il vit son collègue s’effondrer. Putain, il n’était pas sortit de sa cachette pour ça. Il stoppa nette sa course, s’agenouilla et visa. Il lui semble avoir réussi à l’immobiliser. Il n’est sûr de rien car
il fut touché lui aussi au bras. Douleur fulgurante qui le fit basculer sur le côté. Personne n’avait vu qu’il y avait un troisième type. Ils s’étaient tous fait avoir.
La suite est floue. La douleur non seulement pulse dans son bras, mais aussi partout dans son corps. Des images qui se succèdent entre la tête de ses collègues, les ambumages, l’hôpital. La fièvre grimpe et il entend des sons tantôt apaisants, tantôt flippants.
Il perd connaissance. Lorsqu’il ouvre les yeux, il voit Cataleya. Elle lui parle. Il ne comprend pas vraiment ce qu’elle lui dit, étant dans le coaltard. Il attrape sa blouse de travail.
“Charlie…Vite, il faut le sauver. Tu dois le sauver Blackthorn.”
Puis il replonge dans le néant. Il n’a aucune idée qu’il se trouve à l’hôpital et délire complètement.
Une heure passe et il ouvre de nouveau les yeux. La douleur est moindre. Il se sent même cotonneux. Sensation très étrange. Il a extrêmement soif mais ne reconnaît pas la pièce dans laquelle il se trouve. La fièvre est toujours présente, il a chaud. Il se sent faible et déteste ça. Et pourquoi est-ce qu’il y a tous ces chats sur lui ? Tu m’étonnes qu’il ait chaud !
“Foutez le camp !”
McCandless tente de se débarrasser de tous ces chats ronronnant sur lui, mais les mouvements provoquent des douleurs.
“Allez, dégagez de là !”
La voix est faible mais le ton est là. Il est réellement agacé par ces squatteurs.
Mais voilà, tout ne se passa pas comme prévu. Les sorciers qu’ils avaient pris en filature, présumés revendeur d’organes humains pour la magie noire, s’étaient rendus compte de la présence des aurors.
“Tu restes là.”
Planqué derrière des arbustes dans le parc du Château de Beaufort, à quelques kilomètres d’Inverness, McCandless vit Ian partir à l’affront de deux sorciers qui avaient lancé des sortilèges envers une autre équipe planquée derrière un mur en pierres.
Mais il vit aussi un autre apprenti auror être dans une mauvaise position et personne ne lui venir en aide. Il n’allait quand même pas être le témoin d’un meurtre sans rien faire !
McCandless sortit de sa cachette et fonça droit vers le sorcier encapuchonné, lançant un expelliarmus. Encore trop loin, il n’arriva pas à l’atteindre, mais cela suffit à son collègue pour se mettre à fuir. Malheureusement, le mage réussit à le toucher au dos et il vit son collègue s’effondrer. Putain, il n’était pas sortit de sa cachette pour ça. Il stoppa nette sa course, s’agenouilla et visa. Il lui semble avoir réussi à l’immobiliser. Il n’est sûr de rien car
il fut touché lui aussi au bras. Douleur fulgurante qui le fit basculer sur le côté. Personne n’avait vu qu’il y avait un troisième type. Ils s’étaient tous fait avoir.
La suite est floue. La douleur non seulement pulse dans son bras, mais aussi partout dans son corps. Des images qui se succèdent entre la tête de ses collègues, les ambumages, l’hôpital. La fièvre grimpe et il entend des sons tantôt apaisants, tantôt flippants.
Il perd connaissance. Lorsqu’il ouvre les yeux, il voit Cataleya. Elle lui parle. Il ne comprend pas vraiment ce qu’elle lui dit, étant dans le coaltard. Il attrape sa blouse de travail.
“Charlie…Vite, il faut le sauver. Tu dois le sauver Blackthorn.”
Puis il replonge dans le néant. Il n’a aucune idée qu’il se trouve à l’hôpital et délire complètement.
Une heure passe et il ouvre de nouveau les yeux. La douleur est moindre. Il se sent même cotonneux. Sensation très étrange. Il a extrêmement soif mais ne reconnaît pas la pièce dans laquelle il se trouve. La fièvre est toujours présente, il a chaud. Il se sent faible et déteste ça. Et pourquoi est-ce qu’il y a tous ces chats sur lui ? Tu m’étonnes qu’il ait chaud !
“Foutez le camp !”
McCandless tente de se débarrasser de tous ces chats ronronnant sur lui, mais les mouvements provoquent des douleurs.
“Allez, dégagez de là !”
La voix est faible mais le ton est là. Il est réellement agacé par ces squatteurs.
- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Same old energy [Alex]
Sam 27 Avr 2024 - 15:33
Une heure s’était écoulée. De quoi stabiliser l’état de ses patients et prendre en chasse cet odieux mal qui compliquait la tâche des médicomages de St Marie. Si Cataleya s’était sentie d’attaque pour offrir une heure supplémentaire puisque tenue en haleine par la présence d’Alexander sous ses doigts, c’est fermement que son responsable lui avait imposé l’arrêt. Elle manquait de sommeil, n’avait rien avalé, aurait dû partir depuis belle lurette, l’adrénaline ne la sauverait définitivement pas. Pourtant, elle s’était trouvé bien incapable de délaisser son poste alors, si la blouse avait soigneusement été raccrochée, c’était dans sa jolie robe noire qu’elle trônait au chevet d’Alexander. Déverrouillant son portable après s’être essayée à plusieurs mots de passe et conclu au dessus d’un “Prévisible, mon p’tit pêcheur de sirène.”, elle lisait sans le moindre scrupule ses derniers messages sous prétexte qu’elle cherchait le numéro de parents pourtant parfaitement bien annotés. Pas comme elle qui donnait des noms de code à tout le monde, et avait clairement renommé honteusement @Arthur Batthyány “Daddy” suivi d’émoji soulignant ses bras musclés puisqu’il était un titan implacable qui lui faisait aussi à manger.
“Cher Monsieur et madame McCandless” Le message s’annonçant trop formel, la Blackthorn n’a de cesse que d’effacer et réécrire, ne sachant définitivement pas comment se positionner devant les parents de son ami. Alors, puisqu’elle se souvint qu’Alexander leur avait parlé d’elle à noël dernier, la rousse s’essaye à un peu de familiarité. “Alex est a l’hôpital sous observation, je vais lui rapporter des changes mais pourriez vous lui tenir compagnie sur la semaine à venir s’il vous plaît ?” C’était déjà mieux que le brouillon initial qui s’empressait de leur dire que leur enfant n’était pas mort mais avait largement douillé. Rien de pire que pour alerter des parents inquiets. Elle signait d’un simple “Cat” quand s’agita sous ses yeux le corps mou d’Alexander. Si elle arque un vague sourcil et se contente de terminer la rédaction de son message avant l’envoi, c’est dans un long soupire qu’elle se redresse puisque le grymm s’agace entre quelques douloureux gémissement.
-Tu délires Alex. Ca ne l’empêche pourtant pas de hisser son royal fessier sur son lit, et porter une main blanche sur son front brulant dans un long soupire. La potion auraient pourtant dû le soulager. Tu es à Sainte Marie. Tu t'es mangé un sortilège en mission. J'ai prévenu tes parents, ils ne tarderons sans doute pas à venir... En attendant ton retour, je nourrirais Scylla puisque les animaux sont interdit ici.
Se penchant doucement sur le duelliste pour lui caresser les cheveux, la Blackthorn maudit sa bonté d'âme : elle devrait envoyer Lewis prendre en charge cette ratte. Il était le plus à même de s'occuper d'un animal. Sans doute c'est ce qu'elle finirait par faire, d'ailleurs, puisque pas certaine que le rongeur se laisse approcher par la rousse.
“Cher Monsieur et madame McCandless” Le message s’annonçant trop formel, la Blackthorn n’a de cesse que d’effacer et réécrire, ne sachant définitivement pas comment se positionner devant les parents de son ami. Alors, puisqu’elle se souvint qu’Alexander leur avait parlé d’elle à noël dernier, la rousse s’essaye à un peu de familiarité. “Alex est a l’hôpital sous observation, je vais lui rapporter des changes mais pourriez vous lui tenir compagnie sur la semaine à venir s’il vous plaît ?” C’était déjà mieux que le brouillon initial qui s’empressait de leur dire que leur enfant n’était pas mort mais avait largement douillé. Rien de pire que pour alerter des parents inquiets. Elle signait d’un simple “Cat” quand s’agita sous ses yeux le corps mou d’Alexander. Si elle arque un vague sourcil et se contente de terminer la rédaction de son message avant l’envoi, c’est dans un long soupire qu’elle se redresse puisque le grymm s’agace entre quelques douloureux gémissement.
-Tu délires Alex. Ca ne l’empêche pourtant pas de hisser son royal fessier sur son lit, et porter une main blanche sur son front brulant dans un long soupire. La potion auraient pourtant dû le soulager. Tu es à Sainte Marie. Tu t'es mangé un sortilège en mission. J'ai prévenu tes parents, ils ne tarderons sans doute pas à venir... En attendant ton retour, je nourrirais Scylla puisque les animaux sont interdit ici.
Se penchant doucement sur le duelliste pour lui caresser les cheveux, la Blackthorn maudit sa bonté d'âme : elle devrait envoyer Lewis prendre en charge cette ratte. Il était le plus à même de s'occuper d'un animal. Sans doute c'est ce qu'elle finirait par faire, d'ailleurs, puisque pas certaine que le rongeur se laisse approcher par la rousse.
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