- Cataleya BlackthornFirefly ✩ My wings eclipse the sun
- » parchemins postés : 1020
» miroir du riséd : Abigail Cowen
» crédits : @lionheart.
» âge : 25 ans (15 février)
» situation : Fiancée à Marius Bonnamy ; roucoule sous l'accent de Miguel Pajares
» année d'études : 9ième
» options obligatoires & facultatives : ㅡ options obligatoires :▣ Médicomagie Appliquée ; Potion; Sortilèges.ㅡ options facultatives :▣ DCFM, Étude des Runes.
» profession : Résidente à sainte marie d'inverness, service pathologie des sortilèges
» particularité : Animagus chien (Malinois)
» nature du sang : Pur
» gallions sous la cape : 4389
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Je m’y oppose. (Arthur)
Dim 28 Avr 2024 - 12:12
Penchée au-dessus d’un portable où pendait un petit lapin argenté, Cataleya effaçait frénétiquement ses messages pour les réécrires. Coulant parfois son regard sur le dictionnaire anglo-roumain pour s’assurer de ne faire aucune faute sur ce message désespérément trop poli et formel pour ne pas éveiller la méfiance. Comme une enfant se faisait étonnamment sage pour obtenir de son père de quoi satisfaire son caprice, elle avait posé dans un panier tapis de tulipe une bouteille de vin rouge ainsi qu’une boite de chocolat, et révisait consciencieusement ses formules de politesse roumaine pour s’essayer à corrompre un coeur qu’elle doutait certainement trop raisonnable pour approuver ce qu’elle lui glisserait sous le nez. Peut-être que traîner de force @Miguel Pajares derrière elle aurait été le meilleur moyen d’obtenir d’Arthur une forme d'approbation pour ce tout nouveau projet de vie, mais la Blackthorn préférait préparer le terrain par elle-même avant d’envoyer son aimé au casse-pipe. Il serait capable d’insulter les repas du Batthyány en demandant du ketchup. Ou arguer qu’il était un excellent coup pour tenter de le convaincre de lui céder la main de sa presque-fille. “Mais en même temps, c’est vrai.” La Blackthorn entendrait presque le ton malicieux de Miguel se frayer un chemin jusqu’à son esprit, et s’en désespérait puisqu’elle cherchait encore, là, dans le couloir qui la mènerait à l’antre du roumain, à bien paraître. Elle avait pourtant passé une bonne heure devant son miroir à changer de tenue, réviser un maquillage qu’elle voulait discret mais efficace, et avait finalement semé robe et jupe partout dans l’appartement que Charlie partageait avec Miguel en se désespérant de ne rien trouver. Dramatiquement jetée sur leur canapé, elle avait chouiné en un dialecte que nul homme n’aurait pu interpréter avant de mollement se laisser glisser au sol et se saisir de cette charmante jupe verte, à motif écossais, qui lui donnait toujours des airs trop sage. Sa main avait ensuite rampé jusqu’à un banal pull noir qui lui découvrait les épaules pour sublimer les colliers entremêlés à sa gorge et, enfin, elle avait geint qu’il lui aurait fallut venir en robe de mariée pour qu’Arthur comprenne sans qu’elle ait à dire mot l’objet de sa venue. Il aurait certainement prit peur et claqué la porte à son nez, mais au moins, il n’aurait pas pu dire qu’il n’avait pas compris le message.
Réajustant nerveusement le noeud qui disciplinait joliment ses cheveux jusqu’à lui flanquer des airs d’héritière modèle, Cataleya s’était lancé à la conquête de cet appartement qu’elle aimait dire impersonnel. Ca ne tromperait pas Arthur, mais ça sublimerait ses battements de cil digne d’un chaton qui patounait en ronronnant. C’est que ce regard, lui aussi elle l’avait soigneusement révisé. “Allez Cat. C’est juste une invitation à tendre ” se murmure t’elle en approchant finalement de la porte pour y porter trois discrets coups.
-Je viens avec des offrandes ! Jette t’elle pour l’inciter à ouvrir plus rapidement la porte, puisque ses talons hauts et les piétinement incessant qui avait été les siens lui tirait déjà des couinement douloureux. Et mon superbe sourire, accessoirement.
Réajustant nerveusement le noeud qui disciplinait joliment ses cheveux jusqu’à lui flanquer des airs d’héritière modèle, Cataleya s’était lancé à la conquête de cet appartement qu’elle aimait dire impersonnel. Ca ne tromperait pas Arthur, mais ça sublimerait ses battements de cil digne d’un chaton qui patounait en ronronnant. C’est que ce regard, lui aussi elle l’avait soigneusement révisé. “Allez Cat. C’est juste une invitation à tendre ” se murmure t’elle en approchant finalement de la porte pour y porter trois discrets coups.
-Je viens avec des offrandes ! Jette t’elle pour l’inciter à ouvrir plus rapidement la porte, puisque ses talons hauts et les piétinement incessant qui avait été les siens lui tirait déjà des couinement douloureux. Et mon superbe sourire, accessoirement.
- Arthur BatthyányMODO - Modérateur
- » parchemins postés : 834
» miroir du riséd : sebastian stan
» crédits : proserpine (ava)
» multinick : maximus / wywy / ofe / keir
» âge : trente-six ans
» situation : célibataire
» options obligatoires & facultatives :♞ DIPLÔMES ♞durmstrang : a.s.p.i.c. (1997 - 2004)
hungcalf : d.e.f.i.s. (grymm ; 2004 - 2014) sciences occultes ♘ option obligatoires : dcfm, potions, étude des runes ♘ options facultatives : histoire de la magie, sciences politiques et magiques
» profession : diplomate au Ministère de la Magie Bulgare, Département de la Coopération Magique Internationale / Chevalier d'Absolutum
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Re: Je m’y oppose. (Arthur)
Mer 1 Mai 2024 - 18:29
Il s’attend à tout venant d’elle. Une invitation à discuter - à passer chez lui - n’est jamais sans fondement. Que prépare-t-elle encore ? C’est ce qu’il rumine en rentrant chez lui un peu en avance afin de s’octroyer un moment de calme avant l’arrivée de cette tornade rousse. Quoi qu’elle ait à lui dire, ça ne se passera pas comme on pourrait s’y attendre. C’est toujours comme ça entre eux. Alors il se trouve là, assis dans son canapé, à dresser mentalement la liste de toutes les conneries que Cataleya est susceptible de faire. Il lui arrive de faire la même chose mais avec la liste des raisons qui font qu’elle agit ainsi. D’aucun pourrait croire que c’est uniquement pour emmerder son monde, mais ceux qui parviennent réellement à se pencher sur le sujet savent qu’une toute autre origine se cache sous cet air malicieux et parfois arrogant qu’elle aime emprunter.
Des coups à la porte interrompent l’élaboration de cette liste et il grimace en entendant sa voix passer au travers du bois et envahir son appartement. Elle n’est même pas encore là qu’elle occupe déjà tout l’espace... C’est une manie. Volontairement, il prend son temps pour se lever, ajuster sa chemise, remettre une chaise à sa place ; bref, tout qui puisse la faire poireauter un peu. Qu’elle ne pense pas qu’il l’attendait, cela le ferait grincer des dents ! Si chacun d’eux venait à réaliser l’importante place qu’elle occupait dans sa vie, il se trancherait lui-même la gorge.
Quelques sorts et runes levés plus tard, il ouvre la porte avec un air toujours aussi suspicieux.
« Bonjour, Cataleya. Que me vaut encore ce plaisir ? »
Le ton est équivoque. Elle sait bien qu’il ne sait pas manifester l’affection qu’il pourrait potentiellement avoir pour elle. C’est bien trop difficile. À la place, il bougonne, grimace, lève les yeux au ciel. Une façon comme une autre de témoigner qu’il fait attention à elle. La porte se referme derrière la sorcière et il jette un oeil aux affaires qui l’accompagnent. Bien sûr, il doute qu’elle ne soit là que pour lui apporter des friandises. Son regard s’arrête sur sa tenue et il ricane, le Roumain, d’un air de dire Non mais tu te fous de ma gueule. Ce qu’il ne tarde pas à dire à voix haute.
« C’est quoi cette tenue ? T’as tué qui cette fois ? »
Parce qu’il n’existe aucune autre raison qui puisse expliquer qu’elle soit affublée de cette manière. En petite fille modèle. Que cherche-t-elle à prouver ? Qui veut-elle impressionner ? Lui ? A la bonne heure, il ne manquait plus que ça !
« Joli déguisement en tout cas. Un idiot pourrait presque se faire berner. »
Malgré tout, il la laisse entrer dans ce salon où elle a déjà si souvent mis les pieds, bon gré mal gré. C’est qu’il apparaît qu’il n’a pas tant de contrôle que cela sur les visites de la jeune femme.
@Cataleya Blackthorn
Des coups à la porte interrompent l’élaboration de cette liste et il grimace en entendant sa voix passer au travers du bois et envahir son appartement. Elle n’est même pas encore là qu’elle occupe déjà tout l’espace... C’est une manie. Volontairement, il prend son temps pour se lever, ajuster sa chemise, remettre une chaise à sa place ; bref, tout qui puisse la faire poireauter un peu. Qu’elle ne pense pas qu’il l’attendait, cela le ferait grincer des dents ! Si chacun d’eux venait à réaliser l’importante place qu’elle occupait dans sa vie, il se trancherait lui-même la gorge.
Quelques sorts et runes levés plus tard, il ouvre la porte avec un air toujours aussi suspicieux.
« Bonjour, Cataleya. Que me vaut encore ce plaisir ? »
Le ton est équivoque. Elle sait bien qu’il ne sait pas manifester l’affection qu’il pourrait potentiellement avoir pour elle. C’est bien trop difficile. À la place, il bougonne, grimace, lève les yeux au ciel. Une façon comme une autre de témoigner qu’il fait attention à elle. La porte se referme derrière la sorcière et il jette un oeil aux affaires qui l’accompagnent. Bien sûr, il doute qu’elle ne soit là que pour lui apporter des friandises. Son regard s’arrête sur sa tenue et il ricane, le Roumain, d’un air de dire Non mais tu te fous de ma gueule. Ce qu’il ne tarde pas à dire à voix haute.
« C’est quoi cette tenue ? T’as tué qui cette fois ? »
Parce qu’il n’existe aucune autre raison qui puisse expliquer qu’elle soit affublée de cette manière. En petite fille modèle. Que cherche-t-elle à prouver ? Qui veut-elle impressionner ? Lui ? A la bonne heure, il ne manquait plus que ça !
« Joli déguisement en tout cas. Un idiot pourrait presque se faire berner. »
Malgré tout, il la laisse entrer dans ce salon où elle a déjà si souvent mis les pieds, bon gré mal gré. C’est qu’il apparaît qu’il n’a pas tant de contrôle que cela sur les visites de la jeune femme.
@Cataleya Blackthorn
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Re: Je m’y oppose. (Arthur)
Jeu 2 Mai 2024 - 11:17
« Bonjour, Cataleya. Que me vaut encore ce plaisir ? » Les joues se gonflent capricieuses, presque déçues qu’il n’évoque pas un déplaisir pour pouvoir dramatiquement se jeter contre l’un des murs de son appartement et se laisser glisser au sol en geignant que son coeur avait été touché par un coup de poignard traître. Elle se serait pourtant redressée d’un simple geste à l’évocation d’un café, presque victorieuse tant elle rayonnerait. Arthur ayant décidé de ne pas y mettre du sien, elle se contente de glisser dans un appartement que jamais elle n’aurait dû fouler, mais qu’elle avait fait sien -un peu du moins- à force de temps et battement de cil.
-L’envie de te voir rouler des yeux. Répond t’elle du tac-au tac. Parce que ça faisait longtemps.
C’est faux, elle était passée la semaine dernière comme on partait en guerre, déterminée à faire valoir le fait qu’on la laissait mourir de faim puisqu’on s’obstinait à la nourrir de pâte sans beurre. Elle avait même pris des photos des plats de Miguel, et de ses propres expérimentations qui hurlaient à ce qu’on les achève pour appuyer un plaidoyer qui n’avait trouvé pour simple conclusion la présence de deux tuperwares tendu à cette divinité roumaine de la bouffe. Le ricanement du brun ne lui échappe pas mais le menton préfère se redresser ridiculement haut puisqu’elle avait passé une éternité à se préparer pour vraisemblablement rien. Il n’était pas dupe, l’ancien grymm. Ca ne l’empêche pourtant pas de s’indigner à demi quand il évoque un meurtre. Se défaisant aussitôt de ses bottines pour plaquer son pied sur une chaise, la Blackthorn souligne un collant trop fin pour survivre à la planque d’un cadavre, et cette seule démonstration laisse rapidement entrevoir que sa jupe non plus n’avait rien de pratique puisqu’elle entravait largement ses mouvements.
-Si je devais tuer quelqu’un dans cette tenue, je reviendrai en pleur à cause d’un collant filé et des accrocs fait à mon pull. En plus il a plut ; je serais couverte de boue. Ca, plus le fait qu’au moins l’un de mes talons m’aurait prise en traitre en restant coincée dans cette fameuse boue et que l’urgence de la situation m’aurait certainement poussé à le laisser en plan pour partir à cloche-pied… Awn ! Du coup j’aurai laissé un indice derrière moi !
Rangeant précieusement ses bottines près de la porte d’entrée, Cataleya ne tarde pas à choir dans le canapé d’Arthur après avoir posé son panier sur la table de la cuisine et prit soin d'en sortir une à une les fameuses offrandes. Elle ignorait comment aborder le sujet voulu et passait en revue toute les amorces possible et imaginable en dénouant de ses doigts blanc ses longs cheveux roux. Peut être que lui demander comment se déroulait un mariage roumain, sous prétexte que son cousin allait se marier était une bonne approche. Oui, mais c'était sans compter sa propension à se faire toujours un peu étrange dans ses approches. Et certainement trop franche, aussi.
-Pourquoi tu n'es pas marié ? Ca tombe entre eux, bizarre. Tu es le seul héritier de ta famille, mâle qui plus est. En plus t'es vieux. Personne ne t'embête avec ça ?
-L’envie de te voir rouler des yeux. Répond t’elle du tac-au tac. Parce que ça faisait longtemps.
C’est faux, elle était passée la semaine dernière comme on partait en guerre, déterminée à faire valoir le fait qu’on la laissait mourir de faim puisqu’on s’obstinait à la nourrir de pâte sans beurre. Elle avait même pris des photos des plats de Miguel, et de ses propres expérimentations qui hurlaient à ce qu’on les achève pour appuyer un plaidoyer qui n’avait trouvé pour simple conclusion la présence de deux tuperwares tendu à cette divinité roumaine de la bouffe. Le ricanement du brun ne lui échappe pas mais le menton préfère se redresser ridiculement haut puisqu’elle avait passé une éternité à se préparer pour vraisemblablement rien. Il n’était pas dupe, l’ancien grymm. Ca ne l’empêche pourtant pas de s’indigner à demi quand il évoque un meurtre. Se défaisant aussitôt de ses bottines pour plaquer son pied sur une chaise, la Blackthorn souligne un collant trop fin pour survivre à la planque d’un cadavre, et cette seule démonstration laisse rapidement entrevoir que sa jupe non plus n’avait rien de pratique puisqu’elle entravait largement ses mouvements.
-Si je devais tuer quelqu’un dans cette tenue, je reviendrai en pleur à cause d’un collant filé et des accrocs fait à mon pull. En plus il a plut ; je serais couverte de boue. Ca, plus le fait qu’au moins l’un de mes talons m’aurait prise en traitre en restant coincée dans cette fameuse boue et que l’urgence de la situation m’aurait certainement poussé à le laisser en plan pour partir à cloche-pied… Awn ! Du coup j’aurai laissé un indice derrière moi !
Rangeant précieusement ses bottines près de la porte d’entrée, Cataleya ne tarde pas à choir dans le canapé d’Arthur après avoir posé son panier sur la table de la cuisine et prit soin d'en sortir une à une les fameuses offrandes. Elle ignorait comment aborder le sujet voulu et passait en revue toute les amorces possible et imaginable en dénouant de ses doigts blanc ses longs cheveux roux. Peut être que lui demander comment se déroulait un mariage roumain, sous prétexte que son cousin allait se marier était une bonne approche. Oui, mais c'était sans compter sa propension à se faire toujours un peu étrange dans ses approches. Et certainement trop franche, aussi.
-Pourquoi tu n'es pas marié ? Ca tombe entre eux, bizarre. Tu es le seul héritier de ta famille, mâle qui plus est. En plus t'es vieux. Personne ne t'embête avec ça ?
- Arthur BatthyányMODO - Modérateur
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Re: Je m’y oppose. (Arthur)
Jeu 2 Mai 2024 - 15:22
Il lui suffit de dire ça pour qu’il se mette à lever les yeux au ciel. Systématique quand il est en sa présence, c’est un fait qu’il ne cherche même plus à renier. Elle l’agace autant qu’elle le touche, d’une certaine manière. Il ne saurait dire ce qui rend Cataleya aussi spéciale à ses yeux, le fait est que c’est le cas et que le combattre n’a rien donné de positif. Il laisse faire, attend, observe et finira bien par comprendre ce qui le lie à cette jeune femme dramatiquement capricieuse. A force d’observation, il s’est mis à décoder ses choix et ses paroles, jusqu’à la façon dont elle s’habillait. La tenue qu’elle porte aujourd’hui marque un changement qui ne passe pas inaperçu aux yeux du Roumain. Il se passe quelque chose et il lui tarde de découvrir quelle connerie il devra rattraper dans les vingt-quatre prochaines heures. En espérant que cela n’inclue pas une pelle et de la terre.
« Tu peux arrêter ta plaidoierie, j’ai compris. Tu n’as tué personne. » Un grognement s’échappe de ses lèvres. « Il n’empêche que tu as un truc derrière la tête. Je n’en démordrai pas. Accouche. »
Il a à peine jeté un regard sur les collants et la jupe en question. Arthur sait regarder les femmes et y prend parfois du plaisir, mais jamais il ne posera de tels yeux sur la rousse. Une barrière invisible l’en empêche, qu’il ne parvient pas à identifier. C’est naturel. Ça a toujours été là. Les mains dans le dos liées entre elles, le regard suspicieux, il la suit jusqu’à la table où sont déchargées les victuailles. Si Arthur ne dit rien, sa posture parle pour lui. Sa méfiance envers ces offrandes ne fait que s’aggraver à chaque petite pâtisserie sortie. L’attente pourrait être insoutenable s’il n’avait pas pris l’habitude de se montrer patient dans les pires moments de sa vie. Elle finira bien par cracher le morceau, en témoigne son évidente nervosité.
Froncement de sourcils. C’est un sujet qu’ils n’ont jamais abordé entre eux et qu’Arthur ne souhaite pas voir mis sur la table, pour la simple et bonne raison qu’il n’y a rien à dire. Il possède des réponses toutes faites qu’il distribue à ses parents une à deux fois l’an, mais qu’il ne peut décidément pas offrir à Cataleya de peur d’en révéler trop sur certaines de ses activités secrètes.
« Pardon, je suis v i e u x ? »
Il plonge son regard glacé dans le sien, attendant qu’elle ose répéter le mot. L’affront, devrait-il dire. Il n’a même pas quarante ans ! Il est dans la fleur de l’âge. Au contraire, c’est maintenant qu’il doit en profiter au maximum pour vivre sa vie comme il l’entend et partir à l’aventure afin de trouver les joyaux, avant que son corps ne le supporte plus et que la peine se lise sur son visage. Il aura bien le temps de se marier plus tard.
« Tu m’espionnes pour le compte de ma famille, maintenant ? Ils sont bien les seuls à s’en soucier. »
Cela ne répond pas à la question, il le sait bien. La raison est pourtant simple. La seule avec qui il envisageait une telle alliance ne veut plus de lui et il n’a encore trouvé personne d’assez intrigante, folle et intelligente pour lui inspirer cette idée.
« Non, Cataleya Blackthorn, je ne t’épouserai pas. Tu pourrais être ma fille. »
La grimace qui va avec ses propos laisse clairement entendre ce que cette idée lui inspire. Du dégoût. Il se doute bien que ce n’est pas pour cela qu’elle lui a posé la question et une partie de son boulot consiste à détourner la conversation des sujets pour lesquels il n’a pas de réponse suffisamment satisfaisante.
@Cataleya Blackthorn
« Tu peux arrêter ta plaidoierie, j’ai compris. Tu n’as tué personne. » Un grognement s’échappe de ses lèvres. « Il n’empêche que tu as un truc derrière la tête. Je n’en démordrai pas. Accouche. »
Il a à peine jeté un regard sur les collants et la jupe en question. Arthur sait regarder les femmes et y prend parfois du plaisir, mais jamais il ne posera de tels yeux sur la rousse. Une barrière invisible l’en empêche, qu’il ne parvient pas à identifier. C’est naturel. Ça a toujours été là. Les mains dans le dos liées entre elles, le regard suspicieux, il la suit jusqu’à la table où sont déchargées les victuailles. Si Arthur ne dit rien, sa posture parle pour lui. Sa méfiance envers ces offrandes ne fait que s’aggraver à chaque petite pâtisserie sortie. L’attente pourrait être insoutenable s’il n’avait pas pris l’habitude de se montrer patient dans les pires moments de sa vie. Elle finira bien par cracher le morceau, en témoigne son évidente nervosité.
Froncement de sourcils. C’est un sujet qu’ils n’ont jamais abordé entre eux et qu’Arthur ne souhaite pas voir mis sur la table, pour la simple et bonne raison qu’il n’y a rien à dire. Il possède des réponses toutes faites qu’il distribue à ses parents une à deux fois l’an, mais qu’il ne peut décidément pas offrir à Cataleya de peur d’en révéler trop sur certaines de ses activités secrètes.
« Pardon, je suis v i e u x ? »
Il plonge son regard glacé dans le sien, attendant qu’elle ose répéter le mot. L’affront, devrait-il dire. Il n’a même pas quarante ans ! Il est dans la fleur de l’âge. Au contraire, c’est maintenant qu’il doit en profiter au maximum pour vivre sa vie comme il l’entend et partir à l’aventure afin de trouver les joyaux, avant que son corps ne le supporte plus et que la peine se lise sur son visage. Il aura bien le temps de se marier plus tard.
« Tu m’espionnes pour le compte de ma famille, maintenant ? Ils sont bien les seuls à s’en soucier. »
Cela ne répond pas à la question, il le sait bien. La raison est pourtant simple. La seule avec qui il envisageait une telle alliance ne veut plus de lui et il n’a encore trouvé personne d’assez intrigante, folle et intelligente pour lui inspirer cette idée.
« Non, Cataleya Blackthorn, je ne t’épouserai pas. Tu pourrais être ma fille. »
La grimace qui va avec ses propos laisse clairement entendre ce que cette idée lui inspire. Du dégoût. Il se doute bien que ce n’est pas pour cela qu’elle lui a posé la question et une partie de son boulot consiste à détourner la conversation des sujets pour lesquels il n’a pas de réponse suffisamment satisfaisante.
@Cataleya Blackthorn
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Re: Je m’y oppose. (Arthur)
Jeu 2 Mai 2024 - 17:35
« v i e u x ? » Figée sous le regard d’Arthur, Cataleya ne dit mot mais pince une moue hautement dubitative devant le manque d’objectivité qu’avait Arthur sur sa propre sénescence. Il avait quoi ? La cinquantaine approchante ? 48 ans au minimum ? Peut être plus, son rythme de vie et ses gênes sorciers aidaient de fait à se conserver. Elle le regarde pourtant de haut en bas, puis de bas en haut et, tout doucement, un sourcil se hausse comme pour lui faire comprendre qu’elle doutait qu’il ait en sa possession une eau de jouvence capable d’aller contre cet état de fait. Oui, tu étais vieux Arthur. Vieux. Elle balaie d’une main l'hypothèse d'espionnage pour le compte des Batthyány puisqu’il était le seul représentant qu’elle connaissait, mais s’étrangle avec sa salive lorsqu’il évoque un mariage avec elle. Le nez se fronce une première fois dans un “Ew” particulièrement évoquant, mais trouve écho en une succession d’autre puisque son imaginaire trop fertile commence d’ors et déjà à lui plaquer sur la rétine des projections qui la révulse plus qu’elle ne l’aurait crû.
-POURQUOI TU AS DIS CA ?! Elle a à demi-hurlé, la furie rousse, abattant un coussin sur son visage pour arracher de son esprit la vision d’un Arthur qu’il la porterait comme une princesse dans son lit. MAUDITE SOIT CIRCEE ! Je visualise ! ARTHUR JE VISUALISE !!
Le roumain n’était pourtant pas une injure visuelle et, dans un autre monde sans doute, elle l’aurait suivit en rougissant parce qu’il possédait le genre de charisme devant lequel elle fondait toujours. Certainement trop accroché à une vision de la masculinité tordue puisque désuète, et savamment tronqué par l’éducation qui avait été la sienne. Elle aimait les hommes forts, du moins c’est ce qu’elle clamait toujours sans se rendre compte qu’elle se laissait bien plus aisément charmer par des profils plus doux et passionnés. Souvent des artistes, ou du moins des profils épris de ce qu’ils faisaient. Cet état de fait froncerait les sourcils de plus d'un puisque c'était la main de @Miguel Pajares qu'elle tenait, archétypique même du beauf qui gonflait les muscles pour les beaux yeux de ces dames, mais ce serait oublié toute la beauté dont ils faisaient preuves lorsqu'ils étaient deux. Et toute la douceur, toute la patience qu'il avait développé à son encontre pour tendrement l'apprivoiser. Il la fascinait toute entière lorsqu'il partait s'entrainer, voltigeur aérien capable de lui parler quidditch des nuits durant. Si ses compétences de duel la soufflait toujours, et qu'elle aimait ronronner à son oreille qu'il était beau et fort, ce n'était en définitive pas ce qui l'avait séduite. Et qui la séduirait.
Jetant mollement le coussin derrière lequel elle se cachait sur le roumain, comme pour exorciser les visions que ses mots avait plaqué sur son esprit, l'écossaise chouine un : "Tu vois que tu es vieux, tu pourrais être mon père" Qui était bien plus mue du besoin d'avoir raison qu'autre chose. Quoi qu'il se tapissait derrière les mots, sans doute, une forme de défis puisqu'elle reprit, le visage enfoncé dans le canapé pour ne plus le voir. "Mais c'est pas grave, il y a des gens qui trouve l'amour à 60 ans tu sais. Ou qui prennent des chats."
Le visage émerge aussitôt de l'accoudoir, et si les lèvres s'animent déjà pour lui demander s'il voulait qu'elle lui ramène un chat puisque elle, elle se refusait à en reprendre après le départ des deux enfants qui avaient étés les siens, c'est doucement que la Blackthorn se ravise. Le menton retombe lourdement sur l'accoudoir et doucement la sorcière se jette à l'eau.
-Je demandais parce que je vais me marier, bientôt.
-POURQUOI TU AS DIS CA ?! Elle a à demi-hurlé, la furie rousse, abattant un coussin sur son visage pour arracher de son esprit la vision d’un Arthur qu’il la porterait comme une princesse dans son lit. MAUDITE SOIT CIRCEE ! Je visualise ! ARTHUR JE VISUALISE !!
Le roumain n’était pourtant pas une injure visuelle et, dans un autre monde sans doute, elle l’aurait suivit en rougissant parce qu’il possédait le genre de charisme devant lequel elle fondait toujours. Certainement trop accroché à une vision de la masculinité tordue puisque désuète, et savamment tronqué par l’éducation qui avait été la sienne. Elle aimait les hommes forts, du moins c’est ce qu’elle clamait toujours sans se rendre compte qu’elle se laissait bien plus aisément charmer par des profils plus doux et passionnés. Souvent des artistes, ou du moins des profils épris de ce qu’ils faisaient. Cet état de fait froncerait les sourcils de plus d'un puisque c'était la main de @Miguel Pajares qu'elle tenait, archétypique même du beauf qui gonflait les muscles pour les beaux yeux de ces dames, mais ce serait oublié toute la beauté dont ils faisaient preuves lorsqu'ils étaient deux. Et toute la douceur, toute la patience qu'il avait développé à son encontre pour tendrement l'apprivoiser. Il la fascinait toute entière lorsqu'il partait s'entrainer, voltigeur aérien capable de lui parler quidditch des nuits durant. Si ses compétences de duel la soufflait toujours, et qu'elle aimait ronronner à son oreille qu'il était beau et fort, ce n'était en définitive pas ce qui l'avait séduite. Et qui la séduirait.
Jetant mollement le coussin derrière lequel elle se cachait sur le roumain, comme pour exorciser les visions que ses mots avait plaqué sur son esprit, l'écossaise chouine un : "Tu vois que tu es vieux, tu pourrais être mon père" Qui était bien plus mue du besoin d'avoir raison qu'autre chose. Quoi qu'il se tapissait derrière les mots, sans doute, une forme de défis puisqu'elle reprit, le visage enfoncé dans le canapé pour ne plus le voir. "Mais c'est pas grave, il y a des gens qui trouve l'amour à 60 ans tu sais. Ou qui prennent des chats."
Le visage émerge aussitôt de l'accoudoir, et si les lèvres s'animent déjà pour lui demander s'il voulait qu'elle lui ramène un chat puisque elle, elle se refusait à en reprendre après le départ des deux enfants qui avaient étés les siens, c'est doucement que la Blackthorn se ravise. Le menton retombe lourdement sur l'accoudoir et doucement la sorcière se jette à l'eau.
-Je demandais parce que je vais me marier, bientôt.
- Arthur BatthyányMODO - Modérateur
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Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: Je m’y oppose. (Arthur)
Jeu 2 Mai 2024 - 21:41
Une grimace passe sur le visage du sorcier. Au moins sont-ils sur la même longueur d’onde concernant leur relation. La simple idée que cela puisse être ch... non, il ne parvient même pas à prononcer le mot dans ses pensées ! Cataleya exprime son dégoût à sa façon. Tragico-dramatique, une comédienne née. Normal, quand l’on signe son nom par Blackthorn, pense-t-il. Elle en ferait presque un peu trop mais il a l’habitude de ses simagrées. Après tout, ce n’est pas lui qui a abordé l’idée du mariage, mais bien elle. Qu’attendait-elle de sa part ? Une réponse franche et honnête sur sa situation maritale ? Ne le connaissait-elle pas au moins un tout petit peu désormais pour comprendre qu’elle n’en obtiendrait pas ?
Le sujet de conversation étant, il croise les bras sur son torse et refuse de s’asseoir à ses côtés. Il y a une dimension gênante à leur échange et Arthur a toujours souhaité garder entre lui et cette jeune femme une distance respectable.
« Pas besoin d’être vieux pour être ton père étant donné que tu as six ans à tout casser. »
Nouvelle grimace à son encontre. C’est vrai qu’il la traite parfois comme si elle était une enfant, puisque c’est ainsi qu’il la voit. Pas comme une jeune femme que l’on pourrait trouver désirable, mais bien une petite personne qu’il faut protéger avant qu’elle ne s’auto-détruise par ses propres bêtises. Mais ça, Cataleya ne le comprend pas et il serait vain de tenter de le lui expliquer.
Arthur plisse les yeux dans sa direction. Elle le cherche, elle va le trouver. Insister sur son âge ne lui accordera pas plus de permissions en ces lieux donc il ne comprend pas très bien où elle veut en venir. Ce qu’elle cherche à lui dire. Il a bien compris que c’est sa façon à elle de communiquer avec ceux envers qui elle est attachée, mais cela rend ses messages souvent confus et susceptibles d’être mal interprétés. Il le sait, il est pareil. A eux deux, on pourrait penser qu’ils ne forment pas une bonne équipe étant donné qu’ils sont incapables de communiquer sans se montrer mesquins ou sarcastiques l’un envers l’autre.
Froncement de sourcils. « Te marier ? Je pensais que tes fiançailles avec le jeune Bonnamy devaient prendre encore quelques temps ? »
Cette nouvelle l’intrigue car il y a autre chose, il en est persuadé. Relâchant ses bras le long de son corps, il s’approche du canapé et ne la quitte pas du regard. Il la sonde jusqu’à son âge et s’il n’est pas legilimens, Arthur a un certain talent pour lire sur les visages. Ils sont souvent bien plus ouverts que la bouche.
« Tu ne parles pas du Bonnamy, n’est-ce pas. Qui ? Quelle est encore cette idée farfelue ? »
@Cataleya Blackthorn
Le sujet de conversation étant, il croise les bras sur son torse et refuse de s’asseoir à ses côtés. Il y a une dimension gênante à leur échange et Arthur a toujours souhaité garder entre lui et cette jeune femme une distance respectable.
« Pas besoin d’être vieux pour être ton père étant donné que tu as six ans à tout casser. »
Nouvelle grimace à son encontre. C’est vrai qu’il la traite parfois comme si elle était une enfant, puisque c’est ainsi qu’il la voit. Pas comme une jeune femme que l’on pourrait trouver désirable, mais bien une petite personne qu’il faut protéger avant qu’elle ne s’auto-détruise par ses propres bêtises. Mais ça, Cataleya ne le comprend pas et il serait vain de tenter de le lui expliquer.
Arthur plisse les yeux dans sa direction. Elle le cherche, elle va le trouver. Insister sur son âge ne lui accordera pas plus de permissions en ces lieux donc il ne comprend pas très bien où elle veut en venir. Ce qu’elle cherche à lui dire. Il a bien compris que c’est sa façon à elle de communiquer avec ceux envers qui elle est attachée, mais cela rend ses messages souvent confus et susceptibles d’être mal interprétés. Il le sait, il est pareil. A eux deux, on pourrait penser qu’ils ne forment pas une bonne équipe étant donné qu’ils sont incapables de communiquer sans se montrer mesquins ou sarcastiques l’un envers l’autre.
Froncement de sourcils. « Te marier ? Je pensais que tes fiançailles avec le jeune Bonnamy devaient prendre encore quelques temps ? »
Cette nouvelle l’intrigue car il y a autre chose, il en est persuadé. Relâchant ses bras le long de son corps, il s’approche du canapé et ne la quitte pas du regard. Il la sonde jusqu’à son âge et s’il n’est pas legilimens, Arthur a un certain talent pour lire sur les visages. Ils sont souvent bien plus ouverts que la bouche.
« Tu ne parles pas du Bonnamy, n’est-ce pas. Qui ? Quelle est encore cette idée farfelue ? »
@Cataleya Blackthorn
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