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you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:30
✤ wright Salut !!! Moi c'est Morgan Spencer Balsey , j'ai dix-neuf ans, et je suis d'origine Franco-anglaise. Puisque je suis ici, je crois que tu dois savoir quelques petits trucs sur moi. Tout d'abord, sache que je suis homosexuelle -par défaut- à tendance bisexuelle, mais aussi célibataire et issu d'une famille de sorciers, 50/50 . A Hungcalf, j'ai choisi Sciences Politiques et Magiques, et j'espère que ce sera cool ! Ma baguette? Ah, c'est une grande histoire d'amour ! C'est une baguette en bois de roseau contenant un cheveux de vélane et mesurant vingt-quatre centimètres et avec, je suis capable de réaliser un patronus en forme de coccinelle. avatar © ... || icônes ©starship |
this is my story
16ans. Neuilly-sur-Seine. Vacances d’été. 18h34.
“ On me nomme Moe, c’est simple, c’est court, c’est pratique, c’est devenu commun. Associez cela au personnage moldu dans l’espèce de dessin animé moldu que je vous tue. Mais Morgan est mon prénom complet. Je suis jeune, je n’ai encore rien vécu, j’ai toute la vie devant moi dit-on, alors oui j’ai 19 ans et tout ne fait que commencer. La vie s’ouvre à moi et je vais m’adonner à elle…Han, avouez c’était beau ca.. Je m’épates parfois moi-même vous savez. Cinglée ? Moi ? Non…enfin oui, c’est un trait caractéristique de ma personnalité. Vous verrez. Mais n’ayez crainte. Puis, vous savez quoi ? Pensez ce que vous voudrez, votre avis m’importe pas tellement en fait. Je m’égares. Reprenons, me présenter donc, je suis Française barbouillée d’origine Anglaises. Et mes parents sont médiocres. Voilà. Y’a pas grand-chose à savoir sur moi en fait, ça à l’avantage d’être court vous ne trouvez pas ? C’est simple et concis pourtant. Vous savez, dans mon monde les gens ne savent que cela et ca les suffit amplement. Généralement ils ne veulent pas en savoir plus, ca ne les intéresse pas. Pourquoi, à vous oui ? […]Puis c’est connu…les temps sont durs, l’existence est pénible, le temps c’est de l’argent, nous vivons un moment historique..blablabla...tout les jours on entend les même conneries à la radio, puis le monde souffre aussi…et, apparemment, nous avec, mais regardez là, elle là, la belle blonde assise en face de vous à parler à une caméra -ouais j’aime parler de moi à la troisième personne, je trouves ca assez marrant pour tout vous dire- avec son sac signé Gauthier et ses chaussures vernies, elle a l’air de souffrir sérieusement ? Oui, je n’ai jamais vu une barre HLM de ma vie mais nous les ’bourges’ on aime toujours en faire trop, ou jouer les gosses de « cités » mais bien évidement on a rien à voir avec eux. C’est sûr. Nous, on regarde pas hell en divx sur une télévision 42 centimètres, on vit ça tous les jours, là est la nuance. Je vous vois venir avec votre petit sourire surpris à vous demander pourquoi je raconte tout cela alors qu’on me demande juste une « biographie ». J’y viens, j’y viens…ma mère est ce qu'on appelle une fille de. Je ne vous dirais pas de qui, de toute façon, on s'en branle. -Arf, voilà que j’en deviens vulgaire.- Après tout, on est là pour parler de moi. Donc, petite issue d’une famille française hype, je naquis à Neuilly-sur-Seine et non Paris. Vous ne trouvez pas cela classe franchement ? C'est parce que vous ne savez pas que la population de Neuilly est quatre fois plus riche que celle de Paris, mais bon, vous êtes tellement médiocre, vous ne pouviez pas le savoir. J'ai appris à fréquenter les gens comme vous. Les serveurs du Flore. Les sommeliers du Fouquets. Ils sont tous comme vous. Pauvres et moches. Encore une fois me voilà parlant de vous. C'est fou ce que les gens cons bordent ma vie. Voilà, je parle, je parle, et le temps passe. Qu'ai-je dis depuis tout à l‘heure ? Pas grand-chose, je passe du coq à l’âne, vous démontre de mon côté lunatique-bipolaire et ca n’avance pas. J'ai réfléchi aussi, puis même avant cela, comme tout les gens normaux, j'ai pris mon gramme, ma douche, j'ai téléphoné. Et non, je n'ai pas mangé. De toute façon, j'ai les gencives tellement exposées que je ne pourrai rien avaler puis, faut dire, que mon 34 me tiens particulièrement à cœur. Je perd du temps inutilement à m’étaler sur des choses qui n’intéresse personne alors que je dois retourner dans « my country », c’est comme cela que vous dites vous les Anglais ? Je me trompe ? Bref, j’accélère promis. Puis faut que j’aille me préparer pour aller aux Planches. Vous ne connaissez pas ? C'est tout à fait normal, les merdeux ne rentrent pas dans ce genre de club. Non, ils se contentent d'en rêver. Et me voilà dans ma phase « sale-gosse-de-riche-insupportable-» dis donc c’est que je dois être particulièrement excitée et contente aujourd’hui pourtant, parole de scout je ne suis pas comme ca. Je m’auto exaspère…
Entre nous…qu’attendiez-vous sérieusement ? Une description mirobolante d’une fille sans intérêt comme moi ? -vive l’estime de soi je sais- Ou alors les aventures palpitantes d’une héroïne de séries télévisés Américaines ? Haha, vous vous méprenez, j’ai rien de tout cela, je n’ai rien d’intéressant à vous offrir, je ne suis qu’une jeune femme ordinaire. Et c’est bien pour cela que je me retrouve devant vous non ? Pour devenir quelqu’un de célèbre ? Ou alors je me suis plantée d’adresse. Ok, je me suis plantée d’adresse. J’vais continuer, si si encore un peu, parler de moi est quelque chose que j’adore faire, profitez. On me dit rêveuse, fragile et douce. Cela vous étonnes aussi ? Après la présentation que je viens de vous faire ca ne m’étonnes guère. J’ai des tendances bipolaires je crois. Bref, revenons en à nos moutons. Frêle poupée perdue dans ce monde. C’est une réalité, je ne le nies pas. Et pourtant cela ne m’empêche pas de profiter de la vie. J’en ressens le besoin, j’ai besoin de vivre, de me sentir vivante. Alors oui je souris, oui mes yeux pétillent et fais du mieux que je peux pour ressentir cette sensation de béatitude que l’on appelle communément « bonheur ». Oui vous n’êtes pas mon psy donc je m’arrête là avant de virer dans des délires psychédéliques que je suis la seule à comprendre. Malgré les apparences, je suis plutôt quelqu’un de réservé et timide, discrète même. Je ne me dévoiles réellement que dans certaines situations et avec certaines personnes. Là, vous l’aurez compris, c’est un cas exceptionnel. Non en fait, j’suis ridicule mais là, présentement, j’ai juste besoin d’externaliser. Laissez moi faire… J’aime passer de longues heures allongée dans l’herbe à regarder les étoiles ou les nuages. J’aime rire et écraser les araignées, ne cherchez pas c’est pathologique. Et ce n’est pas la seule que je couvre. Puis ce qui me rend unique…tout ce que je suis l’est. Je n’ai aucun doute là-dessus, personne n’aurait la force d’en faire une autre comme moi. Sinon je vous conseil le suicide. On me dit aussi « bizarre » bien que je n’ai jamais compris comment on pouvait appliquer ce genre d’adjectif à des humains. Etre bizarre…honnêtement qui aurait l’audace de dire « je suis normal » ? Puis qu’est-ce que la normalité ? Dites moi. Bon on va pas philosopher là-dessus, ce serait long. Ce que les gens aiment chez moi c’est…ah bah en fait j’en sais rien… Ma fragilité peut être, ce côté doux que bien des gens perdent de nos jours, le fait de me considérer comme une petite chose de porcelaine, une chose qui pourrait se briser au moindre choc. Ma gentillesse, j’avoue être sympathique. Non, non, je ne me vantes pas, j’essaies seulement de relever le niveau avant que vous ne découvriez les défauts en deçà de tout ceci. Puis, Je sais que mon accent frenchy quand je cause en Anglais plait ou amuse, « so sweeeet » me disent-ils avec la bouche en cœur et des yeux d’amour. Mes défauts sont nombreux, personnes n’est parfait, pas même moi. J’ai souvent entendu « frigide », « cinglée » à mon égard, et je ne sais même pas si je dois démentir. Je pense qu’il doit y avoir une part de vrai si les gens le ressentent ainsi. Non ? Ma passivité dans certains cas énerve, oui je suis quelqu’un de très calme, je ne perd ni mon sang-froid rapidement, ni ma patience. Bon d’une manière générale, disons aussi que mon petit côté lunatique saoule. Après, ca dépend des gens. Pire encore, je suis une sorcière…vous ne me croyez pas ? Tant pis, le bout de bois que je transporte dans ma poche vous convaincra un jour.” Et j’éteignis la caméra, et soupirai. J’espérais rentrer chez moi, à Poudlard, le plus vite possible. Je ne supportais pas cet endroit, je ne le supportais plus. Dans la pièce à côté j’entendis la voix de mon frère aîné s’élever s‘adressant à mon autre frère, un violent frisson me parcourra alors l’échine, automatiquement je me recroquevillais, enfouissais mon visage poupin dans mes bras… Tout va bien, tout va très bien…
18ans. Neuilly-sur-Seine. Vacances de printemps. 14h03
Assise face au lac, le soleil cognait, irradiant ma peau diaphane et gracile, de rares brises soufflaient contrebalançant le pouvoir ardent, limite cuisant du soleil. Pourtant, j’avais besoin de ca, de cette chaleur pour réchauffer la solitude qui me fait crever de froid à l’intérieur, il semble pouvoir solidifier la moindre parcelle fragile de mon cœur, il veut me panser de ses maux, et semble y parvenir en faisant naitre sur mes douces lèvres un sourire innocent, il souffle sur ma peau un peu de cette chaleur qui me rendra couleur caramel, m’entoure de la douceur de ses rayons et m’emmène rêver, rêver d’une nouvelle vie, rêver d’une autre existence, rêver d’un autre monde.. Un monde meilleur. Et je portais, de nouveau, ma énième clope à mes lèvres, nonchalamment, lentement j’en tirais une nouvelle et longue bouffée, intensifiant ce paradis artificiel dans lequel je m’étais plongée, de ma maigre expérience: à situation désespérée solution désespérée, et dans lequel je me perdais à présent… Une journée digne d‘un mois de aout qui c‘était perdue en avril, trainant ici et là, à rêvasser tranquillement sans que rien ne puisse venir m’arracher ces seuls instants de bonheur. Pas même ces connards qu’étaient mes deux frères aînés. Un bonheur pourtant impur, malsain, et abstrait.. Car le bonheur est une illusion d’optique: deux miroirs qui se renvoient la même image à l’infini et n’essayez pas de remonter à l’image d’origine, il n'y en a pas. Et n’allez pas dire que le bonheur est éphémère car non le bonheur ne l’est pas. Le sentiment ressenti est pris pour tel mais ce n’est que le sursis avant de comprendre l’erreur. Cela ne rend pas malheureux, mais conscient. Le bonheur ne se finit pas, oh non, il se rectifie voilà tout. Mais passons. Les quelques personnes qui occupaient l’étang partirent, mais moi, Morgan, restais là et allais attendre d’être seule puis j’irais m’asseoir en tailleur prêt de l’eau où je pourrais alors respirer cette douce, fraiche, odeur qui embaumera mon corps frêle et me fera se sentir bien comme bercée, transportée, par la fausse délicatesse de ce monde abyssal. Puis, en tout inconscience ce moment d’exquise rêverie s‘interrompit brusquement, et reprit contact avec la réalité par cette nouvelle clope qui avait fini par se consumer entièrement entre mes fins doigts, qu’il n’en restait plus rien. Et toute la fatalité et la folie de ce monde me revins à l’esprit. Cependant, mon esprit avait beau être instable en ce jour il évita d’aller revisiter les abîmes profondes de son âme souillée par un passé douloureux. Non, au contraire, j’ouvris plutôt mon sac, y trouva ma boite où j’avais l’habitude d’y ranger mon briquet et mes clopes, la secoua frénétiquement…aucun cliquetis, elle semblait vide. Non, elle était vide. « C’est ca que tu cherches Moe ? » fit-alors une voix masculine que je reconnaissais aisément. Je vrillais mes prunelles azur vers le jeune homme adossé contre l’arbre. Cameron. Mon cœur se serra alors brusquement, ma respiration s’accéléra alors que mon sang affluait dans mes veines, battait dans ma tempe pendant que mes doigts tentaient d’ouvrir maladroitement, désespérément, cette foutue boite. De même, que je tentais de reculer. Je craignais le pire, je n’avais plus besoin de l’ouvrir pour savoir qu’il avait fouillé dans mes affaires, ou qu’il me suivait. « Qu’est-ce que tu me veux » lançai-je le plus durement possible, ma voix tremblant malgré tout. « Dis donc, c’est qu’on a pris de la gueule à Hung' » railla-t-il un sourire carnassier aux lèvres, le sarcasme et le cynisme suintant par tout les pores de sa peau, de son être. Je n’avais jamais compris pourquoi il prenait tant de plaisir à me faire ‘peur‘, tant de plaisir à me montrer que moi, Morgan, seule et unique fille de la famille parmi trois hommes était plus faible que jamais, en situation de soumission, pire encore, que j’allais en baver jusqu’à la fin. Ou du moins, tant qu’ils seraient là. Il s’approcha alors d’une démarche nonchalante presque lascive, je sentais mon cœur doubler de rythme et pourtant je ne pouvais bouger, fuir. Oui, mon frère me faisait peur -le mot est faible- celui qui, d‘ordinaire, doit être protecteur avec sa petite sœur se trouvait être celui qui l’effrayait, et ne la mettait pas en confiance. Plus encore, il était celui qui la dégoutait du sexe opposé, celui qui la formait à, justement, craindre les hommes, craindre le ’sexe supérieur’ comme il l’avait tant dis et répété. Ses doigts vinrent alors effleurer ma joue lentement, trop lentement, s’attardèrent sur mes fines lèvres, en redessina le contour avant de réduire encore plus la distance qui nous séparait. Je déglutis, les larmes me montant dores et déjà aux yeux, un vieux souvenir vint hanter mes pensées, une sorte de flash-back… Et, j’eus l’audace de me reculer d’un petit et infime centimètre que tout s’enchaina rapidement: un bras puissant vint encercler ma frêle taille, son bras en l’occurrence, au point que mon souffle ne se heurte lorsqu‘il ramena mon corps contre le sien si aisément que je me fis l‘effet d‘une poupée de chiffon: chétive, frêle, faible, fragile, cassable, ridicule…à ce moment là, et comme toujours dans ces moments là plutôt, je comprenais, ou du moins, il me faisait comprendre toute l’ampleur, l’étendue, et la vraisemblance qu’était l’expression « sexe faible ». Mes pieds quittèrent le sol un moment avant de finir écrasée contre le tronc d’un arbre. J’avais au préalable fermé férocement les yeux, espérant qu’il en finisse vite avec moi, qu’il me fiche la paix. Je sentais toute la rigidité de l’écorce du vieux centenaire, ainsi que la force que Cameron exerçait pour m’y tenir plaquée, comme si son but avait été de m’y encastrer à jamais. Je sentais son souffle chaud sur ma peau, précurseur d’une catastrophe.. « Lâches moi…s’il te plait…s'il te plait... » le suppliai-je, plaintive, le souffle court, sentant que cette frêle enveloppe qu’était mienne n’allait pas tenir encore bien longtemps si je ne capitulais pas. Non loin, j’entendais une seconde voix masculine, mon autre frère, j’aurais presque pu et du me sentir soulagée, pensant qu’il viendrait m’aider, me ‘sauver’ mais non, il n‘en était rien…au contraire, il était juste hilare. « Je préfères nettement ca oui… » lâcha ensuite Cameron acerbe, néanmoins lascif, la satisfaction raisonnant dans le ton qu’il y mettait, le même sourire aux lèvres avant de me laisser tomber sans aucune délicatesse. Pourquoi me faisait-il ca ? Pourquoi me détestait-il au point de me faire subir ce genre de traitement depuis…toujours ? Depuis, la mort de notre mère ? Est-ce parce qu’il ne supportait pas mon apparence qu’il lui rappelait douloureusement celle qui, enfant, nous avait quitté ? Je n’en savais rien et là, présentement, je n’avais pas envie de lui demander.. Durant, un long moment, je ne pu quitter ses yeux azur, les yeux écarquillés de frayeur, aussi lisible et évidente qu’un nez en plein milieu de la figure, figée contre l’écorce qui soutenait mon corps avant de le voir s’éloigner en compagnie d‘Aaron, je m’accordai une inspiration avant de glisser le long du tronc, me recroquevillai, posai mon front contre mes genoux et me laisser aller dans les larmes, évacuant toute la peur, le stresse, accumulé…m’allongeant ensuite dans l’herbe humide, posant ma joue contre celle-ci, regardant la surface lisse et paisible du lac, la vue obstruée par ses larmes chaudes qui ruisselaient en silence. Ne bougeant alors plus, décidée à rester ainsi le temps qu’il faudrait, n’ayant pas envie de rentrer, pas envie de me retrouver dans la même pièce qu‘eux, pas envie de faire semblant -encore et toujours- devant mon père…Un jour je serais forte...
19ans. Hungcalf. Tard dans la nuit après un nightmare coutumier. 03h40.
Je me trouvai assise dans mon lit, tremblante comme une feuille, fébrile, la sueur parlant sur mon front, mon visage poupin souillé par des larmes chaudes, intempestives, qui avaient précédemment coulé à flot, un stylo en main à griffonner dans mon journal. Mon espèce de confident des nuits, mon exutoire depuis mes 5 ans. […] “Alors oui, moi, Morgan Spencer Balsey, déteste les hommes, déteste tout ce qu’ils sont, tout ce qu’ils représentent, pire encore leur penchant pervers et libidineux pour les courbes féminines et tout les vices qui les compose, qui les animent; je les déteste tous sans -presque- aucune exception car un homme reste un homme. Et j’ai ma définition, mon idée, bien précise des hommes de nos jours, aka, les espèces de Vagina Romeo. Bref, tout cela pour dire qu’après avoir vécu toute mon enfance, mon adolescence, entourée de ces derniers je m’en trouve plus que dégoutée, écœurée, j’en ai marre, alors oui je les rejette, oui je les fuis comme la peste, oui je ne leur fais aucunement pas confiance, plus jamais…C’est fini, j’ai trop donné.” […]
✎...ambre
Dans la vraie vie, j'ai dix-huit yo. J'ai connu ce magnifique forum grâce à myself (a) et je ferais de mon mieux pour être là ? 5/ 7 ! Si j'ai un double compte? non . D'ailleurs, j'en avais fait la demande à nom de l'admin qui t'as accordé le double compte Mon personnage est un perso inventé. Et bien entendu, je ne pouvais pas partir sans vous dire que rien du tout en fait (a). code règlement : Ok Olie |
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- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:39
+1
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:40
:cracrac:
Rebienvenue honey ! :brille:
Rebienvenue honey ! :brille:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:41
:033:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:43
Merci mi bella ! (l)(l) :brille:
Haan beau gosse ! :cracrac:
Haan beau gosse ! :cracrac:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:44
Toi, moi, le placard et pleins de bébé chats :baveuh: :inlove:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:45
MA FRAMBOIIISEEEEEEEEEEEE; re-bienvenue amour (l) (l) (l)
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:46
Et moi qui voulait un endroit plus romantique :snif: -baaf- le placard fera l'affaire :hysteric:
FRAAAAAAMBY OF MY HEART ! Thanks (l) (l)
FRAAAAAAMBY OF MY HEART ! Thanks (l) (l)
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:52
Morgan S. Balsey a écrit:Et moi qui voulait un endroit plus romantique :snif: -baaf- le placard fera l'affaire :hysteric:
J'ai un matelas gonflable aussi, chez moi :oh:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:53
yo Momo ! Rebienvenue :hysteric:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:57
Liam et son tact naturel j'vais pas faire la difficile
"Momo" fuuunky ! :hysteric: thaanks Lulu
"Momo" fuuunky ! :hysteric: thaanks Lulu
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 17:58
Là, c'était Adam et son manque de classe naturel
T'as pas intérêt à faire ta difficile, l'ambryon
T'as pas intérêt à faire ta difficile, l'ambryon
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 18:04
Liam Phillips a écrit:Là, c'était Adam et son manque de classe naturel
T'as pas intérêt à faire ta difficile, l'ambryon
Je t'embête Lanou :miam:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 18:08
Pas Lanou, je m'appelle pas Lanou :grandsyeux: :oh:
Allez vieux chat, fais ta fiche :rawr:
Allez vieux chat, fais ta fiche :rawr:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 18:20
Liam Phillips a écrit:Morgan S. Balsey a écrit:Et moi qui voulait un endroit plus romantique :snif: -baaf- le placard fera l'affaire :hysteric:
J'ai un matelas gonflable aussi, chez moi :oh:
EUUUUH :canne:
sinon...
MY LOOOOOOOOOVE :brille: :cracrac:
Bienvenue officiellement
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 18:22
Merci beauté divine ! :hysteric: :cracrac: :baveuh: :inlove:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 19:59
:brille: :brille: :brille:
toi + moi + tout ce qui le veulent + lui + elle et tout ceux qui sont seuls :seduction:
Je pourrais te faire des bébés s'il te plait ? :brille: (l)
Courage pour ta fiche :baveuh:
toi + moi + tout ce qui le veulent + lui + elle et tout ceux qui sont seuls :seduction:
Je pourrais te faire des bébés s'il te plait ? :brille: (l)
Courage pour ta fiche :baveuh:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 20:32
Haaaaaan :brille: :brille:
bieeenvenuue (l)
je me met dans la file d'attente pour les bébés :baveuh: (a)
bieeenvenuue (l)
je me met dans la file d'attente pour les bébés :baveuh: (a)
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mar 22 Mar 2011 - 21:28
Meerci les filles !! :brille: :brille: (l)
Pour les bébés, mettez vous en rang deux par deux, et prenez des tickets :hysteric: :hysteric: :cracrac:
Pour les bébés, mettez vous en rang deux par deux, et prenez des tickets :hysteric: :hysteric: :cracrac:
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mer 23 Mar 2011 - 13:51
* prend un ticket :hysteric: :hysteric: :baveuh: :brille: * on va peupler le monde avec nos bébés
bonne chance pour ta fiche sweety (l)
bonne chance pour ta fiche sweety (l)
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Mer 23 Mar 2011 - 13:59
ils vont être tellement bô :brille: :brille:
merci ma Nelly (l)
merci ma Nelly (l)
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5516
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11068
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Jeu 24 Mar 2011 - 23:23
Chere étudiante
Félicitations, tu es admise à l'université magique de Hungcalf !
Nous t'invitons à aller déposer tes valises dans ta chambre universitaire ou ton appartement à Norwich avant de laisser ton hibou à la volière. Si tu es perdu dans l'université et ne retrouve plus tes horaires de cours ni celles de ton club d'échecs sorciers, n'hésite pas à aller faire un tour au panneau d'affichage.
N'hésite pas à envoyer des hiboux au staff si tu as des questions,
Have fun !
Note personnelle : Voilà une fiche bouleversante :grandsyeux: . La pauvre Moe ... (l) en tout cas j'ai hâte de voir comment elle va évoluer au fil des rps (a)
- InvitéInvité
Re: you know what they say, that which doesn't kill you makes you wanna die.
Jeu 24 Mar 2011 - 23:31
Ouuui on verra
&& Meerci Olly (l) :brille:
&& Meerci Olly (l) :brille:
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