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gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Dim 20 Nov 2016 - 17:10
Jeyne Virginia Perpetua Manderly
— je suis un Lufkin —
je suis un scénario
» WIZARD CARD Dans cette partie, vous pourrez rédiger quelques lignes sur les particularités de votre personnage (quelles soient physiques, intellectuelles ou magiques), sa baguette magique, son patronus, son épouvantard, son balai, son animal de compagnie, sa matière préférée, ses options ... bref, tout ce qui vous passe par la tête ! | © lux aeterna ◈ eliza taylor |
» my story is not like the others
Je m'appelle Jeyne Manderly, je suis née il y a vingt-cinq ans dans la banlieue de Londres, à la clinique sorcière affiliée à Ste Mangouste. Je suis arrivée dans une famille déjà bien unie qui a contribué à forger la jeune femme que je suis aujourd'hui. Mon père, Darian Manderly, travaille au sein du Département de la Finance Magique, c'est de lui que je tiens ma rigueur et mon gout de l'effort. Son travail est très prenant et infuse notre vie familiale: membre important du projet de coopération magique internationale, nous avons été amené à énormément voyager pendant mon enfant. Ma mère, Astrée Dewitt-Manderly, n'a jamais vraiment travaillé. Elle se décrit plus comme une personne altruiste aimant s'occuper des autres. En plus de nous élever, ma soeur, mon frère et moi, ma mère a toujours été l'une des plus fervente marraine des oeuvres caritatives, ayant une préférence pour les associations qui visent à oublietter les mordus après des incidents avec le monde magique. Je crois que d'elle, j'ai obtenu cette envie irrépressible de connaitre cet univers si mystérieux de la vie sans magie. J'ai aussi une soeur, Adrastea, elle a toujours été mon modèle et notre différence d'âge de douze années y est sans doute pour quelque chose. Enfin, mon frère, Alphard, est en dernière année à Hungwalf, nous sommes très proches mais il est bien plus extraverti que je ne le serais jamais ... Je ne pourrais pas vous dire que j'ai grandis dans une petite ville anglaise, vivant une existence sans histoire jusqu'à mon entrée à l'école. Comme je le disais précédemment, mon père nous faisait énormément voyager et, aussi loin que remontent mes souvenirs, nous ne sommes jamais restés plus d'un an au meme endroit. Quand je suis née, ma soeur était déjà à Poudlard, c'est sans doute la raison pour laquelle je suis plus proche de mon frère que d'elle: nous avons eu l'occasion d'avoir une réelle vie de famille, alors que je ne voyais Adrastea que durant les vacances d'été. Lorsque je suis entrée à mon tour à l'école, j'étais terrifiée. Alpahard était un Gryffondor redoutable et Adrastea avait fait la fierté de Serpentard en son temps. C'est finalement à Serdaigle que le Choixpeau à décidé que je me sentirais le mieux. Moi, la petite Jeyne qui était terrorisée par la foule, par le vieux château froid dans lequel je resterais une année entière, bien loin des vastes étendue dans lesquels j'avais l'habitude de courir ... Ma mère était ravie: elle ne cessait de dire qui ne lui manquait qu'un enfant pour avoir une représentation parfaite des quatre maisons. Adrastea a jugé que Serdaigle était une bonne maison pour quelqu'un d'aussi réservée que je l'étais et Alphard n'a cessé de me taquiner dans les couloirs. Les premières semaines furent difficiles: je n'avais jamais quitté mes parents aussi longtemps et l'Angleterre, bien loin de toutes les destinations exotiques auxquelles je m'étais habituée, était humide, grise et déprimante.
Sept ans plus tard, à quelques mois des ASPIC, j'ai eu l'occasion de repenser à tout cela. On était bien loin de la petite fille fragile et chétive qui débarquait de nul part. Même si je ne m'étais jamais trop mélangée aux autres maisons, par simple timidité - on ne se réinventait pas - j'étais plus ouverte aux autres. J'avais troqué ma mine patibulaire, défiant quiconque de venir vers moi, pour un visage plus apaisé même si mes yeux se décollait rarement du sol ou d'un mur. Jamais très à l'aise dans les relations sociales, j'étais loin d'être la Serdaigle dont on parlait à chaque coin de couloir mais cela me convenait. J'aimais pouvoir disparaitre quand je le voulais, pouvoir être seule lorsque la pression des examens me faisait devenir acariâtre. C'était étrange de voir avec quelle facilité je m'accommodais de Poudlard, de cette vie de sédentaire que je n'avais découvert qu'à l'âge de onze ans. J'aimais m'assoir près du lac pour lire ou dessiner, tout comme j'aimais entendre les gens parler à notre table, lors du déjeuner. Il y avait quelque chose d'incroyablement reposant à savoir, en rentrant des vacances avec mes parents, que j'allais retrouver la chaleur familière du dortoir des bleu et bronze. J'aimais découvrir les nouvelles maisons où habitait ma famille mais j'aimais encore plus, étonnamment, retrouver mon lit et les nombreuses photos animées que j'avais collé sur le mur. Avec philosophie, après m'être confié à ma mère, cette dernière m'avait expliqué que c'était peut être cela, grandir. J ne me sentais pas vraiment seule, entourée de mes amis, occupant mes journées des cours dispensés et recevant chaque jours une lettre d'un membre de ma famille. Papa ne m'écrivait jamais, ou juste pour les grandes occasions et je suspectais ma mère d'être à l'origine des quelques mots sur le parchemin. Ma mère, elle, ne cessait de me dire combien je lui manquait, combien la maison lui semblait vide depuis que nous étions tous partis. Alphard adorait me décrire Hungcalf, où il étudiait depuis peu et Adrastea me parlait principalement de ses recherches, sollicitant parfois mon avis, se plaignant souvent que les choses n'aillent pas plus rapidement.
Hungcalf était exactement comme mon frère me le décrivait. Si pour Poudlard, j'avais vécue ma première rentrée comme un déchirement, comme un évènement particulière effrayant que j'avais redouté pendant des mois ... Ce n'était pas le cas cette fois-ci. Appartenir aux Lufkin, c'était un peu comme rester dans la continuité de Poudlard sauf que nous étions plus âgés, plus soudés. Et puis, il est apparu dans mon champ de vision. Il appartenait à une promo au dessus de la mienne, déjà à Poudlard, mais j'étais tellement occupée à raser les murs que je n'avais pas vraiment fait attention à lui: j'étais trop occupée à raser les murs ... Il sortait avec une de mes amies, ils allaient bien ensemble, mais je ne pouvais m'empêcher de m'agacer de les voir ensemble. Il ne me parlait jamais, je ne sais même pas s'il connaissait mon prénom: on avait à peine dix-huit ans, nos préoccupations n'étaient pas les mêmes. Et puis, ils se sont séparés. Elle avait beau être mon amie, je ne cautionnais pas ce qu'elle faisait, et j'avais eu mal pour lui, de découvrir qu'il n'était pas le seul dans sa vie. J'avais toujours eu une vision de l'amour assez romantique, je m'étais surprise à penser, ce jour là, que si j'avais été à sa place, je n'aurais jamais pu détacher mon regard de ce mec. Nous ne nous sommes revus qu'une poignée de fois depuis, croisés au détour d'un couloir, comme les deux étrangers que nous étions l'un pour l'autre. Malgré les années, je lui trouvais toujours du charme, mais il ne me connaissait pas avant et je doutais qu'avoir son ex dans mon cercle d'amis n'aidait sans doute pas à lui donner envie d'en savoir plus. Je m'étais fais une raison ... Et puis, j'avais continué ma vie, je me concentrais sur ma passion des moldus, je travaillais mon style pour devenir une bonne journaliste, je suivais assidûment mes études, sortant de temps à autre avec des garçons sans réellement m'attacher à eux, leur trouvant toujours quelque chose qui n'allait pas, qui leur manquait. Douce routine que celle dans laquelle je vis aujourd'hui encore ...
Sept ans plus tard, à quelques mois des ASPIC, j'ai eu l'occasion de repenser à tout cela. On était bien loin de la petite fille fragile et chétive qui débarquait de nul part. Même si je ne m'étais jamais trop mélangée aux autres maisons, par simple timidité - on ne se réinventait pas - j'étais plus ouverte aux autres. J'avais troqué ma mine patibulaire, défiant quiconque de venir vers moi, pour un visage plus apaisé même si mes yeux se décollait rarement du sol ou d'un mur. Jamais très à l'aise dans les relations sociales, j'étais loin d'être la Serdaigle dont on parlait à chaque coin de couloir mais cela me convenait. J'aimais pouvoir disparaitre quand je le voulais, pouvoir être seule lorsque la pression des examens me faisait devenir acariâtre. C'était étrange de voir avec quelle facilité je m'accommodais de Poudlard, de cette vie de sédentaire que je n'avais découvert qu'à l'âge de onze ans. J'aimais m'assoir près du lac pour lire ou dessiner, tout comme j'aimais entendre les gens parler à notre table, lors du déjeuner. Il y avait quelque chose d'incroyablement reposant à savoir, en rentrant des vacances avec mes parents, que j'allais retrouver la chaleur familière du dortoir des bleu et bronze. J'aimais découvrir les nouvelles maisons où habitait ma famille mais j'aimais encore plus, étonnamment, retrouver mon lit et les nombreuses photos animées que j'avais collé sur le mur. Avec philosophie, après m'être confié à ma mère, cette dernière m'avait expliqué que c'était peut être cela, grandir. J ne me sentais pas vraiment seule, entourée de mes amis, occupant mes journées des cours dispensés et recevant chaque jours une lettre d'un membre de ma famille. Papa ne m'écrivait jamais, ou juste pour les grandes occasions et je suspectais ma mère d'être à l'origine des quelques mots sur le parchemin. Ma mère, elle, ne cessait de me dire combien je lui manquait, combien la maison lui semblait vide depuis que nous étions tous partis. Alphard adorait me décrire Hungcalf, où il étudiait depuis peu et Adrastea me parlait principalement de ses recherches, sollicitant parfois mon avis, se plaignant souvent que les choses n'aillent pas plus rapidement.
Hungcalf était exactement comme mon frère me le décrivait. Si pour Poudlard, j'avais vécue ma première rentrée comme un déchirement, comme un évènement particulière effrayant que j'avais redouté pendant des mois ... Ce n'était pas le cas cette fois-ci. Appartenir aux Lufkin, c'était un peu comme rester dans la continuité de Poudlard sauf que nous étions plus âgés, plus soudés. Et puis, il est apparu dans mon champ de vision. Il appartenait à une promo au dessus de la mienne, déjà à Poudlard, mais j'étais tellement occupée à raser les murs que je n'avais pas vraiment fait attention à lui: j'étais trop occupée à raser les murs ... Il sortait avec une de mes amies, ils allaient bien ensemble, mais je ne pouvais m'empêcher de m'agacer de les voir ensemble. Il ne me parlait jamais, je ne sais même pas s'il connaissait mon prénom: on avait à peine dix-huit ans, nos préoccupations n'étaient pas les mêmes. Et puis, ils se sont séparés. Elle avait beau être mon amie, je ne cautionnais pas ce qu'elle faisait, et j'avais eu mal pour lui, de découvrir qu'il n'était pas le seul dans sa vie. J'avais toujours eu une vision de l'amour assez romantique, je m'étais surprise à penser, ce jour là, que si j'avais été à sa place, je n'aurais jamais pu détacher mon regard de ce mec. Nous ne nous sommes revus qu'une poignée de fois depuis, croisés au détour d'un couloir, comme les deux étrangers que nous étions l'un pour l'autre. Malgré les années, je lui trouvais toujours du charme, mais il ne me connaissait pas avant et je doutais qu'avoir son ex dans mon cercle d'amis n'aidait sans doute pas à lui donner envie d'en savoir plus. Je m'étais fais une raison ... Et puis, j'avais continué ma vie, je me concentrais sur ma passion des moldus, je travaillais mon style pour devenir une bonne journaliste, je suivais assidûment mes études, sortant de temps à autre avec des garçons sans réellement m'attacher à eux, leur trouvant toujours quelque chose qui n'allait pas, qui leur manquait. Douce routine que celle dans laquelle je vis aujourd'hui encore ...
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Dim 20 Nov 2016 - 17:11
Bienvenue par ici avec ce super scénario
J'en connais un qui va être content
Bon courage pour ta fiche. :40:
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Dim 20 Nov 2016 - 17:28
Ohhh tu vas faire un heureux ! Bienvenue à toi
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Dim 20 Nov 2016 - 17:48
Super choix de scénar :d:
Amuse toi bien parmi nous & bienvenue !
Amuse toi bien parmi nous & bienvenue !
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Dim 20 Nov 2016 - 20:54
Ouuuuh les p'tits jaunes sont au taquet !!
Merci beaucoup :)
Merci beaucoup :)
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Dim 20 Nov 2016 - 21:43
Salut à toi Miss (beaucoup de demi-français XD)
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Dim 20 Nov 2016 - 22:33
Bienvenuuuuueee charmante demoiselle :shine:
Bon courage pour ta fichette :40:
Bon courage pour ta fichette :40:
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Lun 21 Nov 2016 - 10:37
Bienvenue parmi nous ! ♥
- Hungcalf UniversityΔ PNJ - Temple du Savoir Δ
- » parchemins postés : 5513
» miroir du riséd : castel hungcalf
» crédits : créateur du design (ava) tblr (gif)
» âge : fondée en 1318
» gallions sous la cape : 11067
Inventaire Sorcier
Inventaire Sorcier:
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Lun 21 Nov 2016 - 10:41
WELCOME LITTLE MISS SUNSHINE ! :tong: :shine:
Très bon choix de scénario, en effet !
Si tu as le moindre soucis, on est là
Très bon choix de scénario, en effet !
Si tu as le moindre soucis, on est là
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Lun 21 Nov 2016 - 11:56
Bienvenue jolie demoiselle !
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Mar 22 Nov 2016 - 9:07
BIENVENUE :tong: Merci d'avoir choisis mon scénario Si t'as le moindre soucis n'hésites pas à me contacter J'aime déjà ce que tu as écrit dans ta fiche Courage pour la suite
:40: :24: :sex: :smack:
:40: :24: :sex: :smack:
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Mar 22 Nov 2016 - 11:58
Merci à tous :40:
Emrys
Emrys
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Mer 23 Nov 2016 - 23:35
Pour moi c'est parfait :shine: Vous pouvez la valider :24:
- InvitéInvité
Re: gravity can't forget, to pull me back on the ground again (jeyne)
Jeu 24 Nov 2016 - 0:02
Validation
welcome to hungcalf !
Welcome petit muffin ! Le Staff de Hungcalf a l'immense plaisir de te compter parmi ses
Have fun !
Ton personnage m'a l'air si doux, si pure (peut être trop pour ma petite Faye). Jules va avoir une nouvelle demoiselle a décoincer Aller trève de rigolade. Ton perso a l'air super sympa, j'aime beaucoup la sérénité qu'elle dégage mais je suis sûre qu'elle a de belles surprises à nous laisser entrevoir. J'ai hâte de découvrir tout cela, que la demoiselle se découvre enfin !
Bienvenue parmi nous jolie Jeyne (très jolie prénom) et éclate toi bien parmi nous !!!
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