- Ethan LacroixOldieㄨ experimented wizard
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» miroir du riséd : Chace Crawford
» crédits : Sign : ECK
» âge : 33 ans [26/11/1990)
» situation : Divorcé
» année d'études : 9e année
» options obligatoires & facultatives :O.O.
Médicomagie Appliquée - Potions - SACM
» profession : Médicomage résident à Sainte Marie (pédiatrie)
» particularité : Legilimens
» nature du sang : Sang Pur
» gallions sous la cape : 3067
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Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Ven 10 Fév 2023 - 16:05
14 février, plus tôt dans la soirée
Alohomora.
Le cliquetis qui suivit mon murmure me fit sourire. Penny et sa vision du monde. Pour elle, les choses les plus simples étaient une évidence. Quel voleur, entrant dans sa maison, penserait que la simplicité suffirait. Elle était convaincue que les gens s'arracheraient les cheveux pour s'emparer de ses secrets. Mais moi, j'avais l'avantage de la connaitre. Et même bien la connaitre. Ouvrant la porte de son coffre que je n'avais guère eu de mal à trouver lui aussi, je regardais à l'intérieur, prenant son contenu de mes mains gantés.
J'étais sur d'y trouver ce que je cherchais. Dans ce coffre, ou ailleurs dans cette maison. Jamais elle n'aurait confié ces documents à des gobelins comme ceux de Gringotts ou autre. Non, elle les garderait proche d'elle, à portée de main et...
Déposant le reste, je gardais une enveloppe dans mes mains, la retournant avant de l'ouvrir. Sortant les papiers qui se trouvaient dedans, je les dépliais pour les parcourir rapidement. Et le sourire naquit sur mes lèvres. Ils n'étaient pas exactement ce que j'étais venu trouver, mais c'était tout aussi bien pour le coup. Parfait pour porter une atteinte directe à la famille de cette chère épouse, si celle-ci devenait un tantinet ennuyeuse. Quelque chose qui saurait intéressait la très réputée Claudia Blackthorn. Posant les documents sur la table, ma baguette virevolta et une copie conforme commença à se faire à coté. Un moment dont je profitais pour chercher ce qui était la raison de ma présence. Laissant le coffre de coté, je m'attaquais au secrétaire, cherchant à l'ouvrir. Mais rien à l'intérieur, si ce n'est cette sensation désagréablement perturbante qu'il y avait quelque chose de pas clair avec ce dernier.
Deux heures plus tard
Sale garce... Si j'avais pensé qu'elle était capable de s'adapter, de changer certaines choses, je ne la croyais pas assez intelligente pour ça. Oh, j'entendais déjà quelqu'un me dire : A force de la sous-estimer, c'est toi qui te fera pièger comme un con. Et malheureusement pour moi, je l'étais. Purement piégé, dans la chambre de cette petite garce. Incapable d'en sortir.
Ca n'était pas le cas de la magie cela dit. Et j'avais du coup réagis en envoyant un Patronus à la seule personne capable de venir sans poser la moindre question. Bien que j'étais sur qu'elle ne se priverait pas pour faire quelques remarques cinglantes.
Ma seule question : Pourquoi c'était si long ? Pourquoi mettait-elle autant de temps ? Les secondes me paraissaient-elles des heures ? Peut-être qu'au final, c'était Penny qui rentrerait la première. Et si c'était le cas...
Mais je n'allais pas tarder à être fixer, des bruits de pas se dessinant non loin. Au cas où, je me glissais dans un coin sombre, baguette à la main.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
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» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Mer 15 Fév 2023 - 14:46
Elle n’avait pas vraiment l’intention de conclure. Même si c’est ce qu’elle faisait croire à [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] . Tout ce qu’elle voulait, c’était qu’on les voit sortir du restaurant ensemble, se prendre la main et transplaner en même temps. Si on pouvait la voir entrer chez elle également, ça serait absolument parfait. Ils boiraient un ultime verre de vin et discuteraient encore et encore… Il faut dire qu’à défaut de s’attacher au roumain, elle appréciait vraiment sa compagnie.
Mais ils n’avaient pas vraiment eu le temps d’en arriver là. A peine arrivés dans à Oxford Street, à quelques pas de la porte qui menait à son appartement, un chat à l’air hautain et ectoplasmique était venu gratter à la jambe de Calliope. Elle reconnut sans mal le main coon qui apparaissait alors qu’Ethan sollicitait un patronus. Même en fermant les yeux, elle aurait pu reconnaître l’énergie du Lacroix.
- Je suis navrée Arthur, je vais devoir reporter ce dernier verre à plus tard.
Il avait compris. Ou en tout cas l’avait il prétendu. Le message rapporté par l’animal était bref mais explicite. A demi-mot, le Suisse lui avait donné l’endroit où le retrouver et Calliope avait juré dans toutes les langues qu’elle connaissait. Chez Penny. En France.
Elle avait du transplaner jusqu’au Manoir de ses parents, les dérangeant pendant leur dîner de Saint Valentin, pour fouiller le bureau de son père à la recherche d’un portoloin perpétuel. Rien à Paris mais l’un d’entre eux amenaient dans la maison de Vacances qu’ils avaient à la frontière de l’Italie. Elle avait dû enchaîner plusieurs transplanages et c’est épuisée qu’elle retrouva la maison que la Schrubber avait acquis après sa rupture avec Ethan pour y vivre avec ses filles.
- Ethan ?
Elle est sur le perron. La maison semble vide. Aucune lumière, aucun bruit. Elle n’ose même pas poser sa main sur la poignet de la porte avant d’avoir trouvé un mouchoir pour la recouvrir.
Mais ils n’avaient pas vraiment eu le temps d’en arriver là. A peine arrivés dans à Oxford Street, à quelques pas de la porte qui menait à son appartement, un chat à l’air hautain et ectoplasmique était venu gratter à la jambe de Calliope. Elle reconnut sans mal le main coon qui apparaissait alors qu’Ethan sollicitait un patronus. Même en fermant les yeux, elle aurait pu reconnaître l’énergie du Lacroix.
- Je suis navrée Arthur, je vais devoir reporter ce dernier verre à plus tard.
Il avait compris. Ou en tout cas l’avait il prétendu. Le message rapporté par l’animal était bref mais explicite. A demi-mot, le Suisse lui avait donné l’endroit où le retrouver et Calliope avait juré dans toutes les langues qu’elle connaissait. Chez Penny. En France.
Elle avait du transplaner jusqu’au Manoir de ses parents, les dérangeant pendant leur dîner de Saint Valentin, pour fouiller le bureau de son père à la recherche d’un portoloin perpétuel. Rien à Paris mais l’un d’entre eux amenaient dans la maison de Vacances qu’ils avaient à la frontière de l’Italie. Elle avait dû enchaîner plusieurs transplanages et c’est épuisée qu’elle retrouva la maison que la Schrubber avait acquis après sa rupture avec Ethan pour y vivre avec ses filles.
- Ethan ?
Elle est sur le perron. La maison semble vide. Aucune lumière, aucun bruit. Elle n’ose même pas poser sa main sur la poignet de la porte avant d’avoir trouvé un mouchoir pour la recouvrir.
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Jeu 23 Fév 2023 - 9:14
- Ethan ?
J'entends sa voix avant ses pensées, et trouve une part de soulagement à savoir que c'est elle. Qu'ayant reçu mon message, elle ait quand même de idée de venir. Pour autant, enfermé dans ce bureau, je ne peux m'enfuir, rejoindre l'endroit d'où elle m'appelle, bloqué que je suis par un voile invisible qui remplace la porte de la pièce.
Callie... Je l'appelle, sans certitude qu'elle m'entende depuis l'extérieur. Ce serait bien du Penny de penser ainsi, ajoutant un sort assourdissant qui ne va que dans un sens.
Bien que je n'aimais pas utiliser ce sortilège plus que de raisons, j'allais encore devoir y recourir une fois ce soir, agitant ma baguette tout en déclamant : Expecto Patronum. Le Main coon apparut, pouvant à nouveau lui traverser le mur invisible qui me retenait tandis que je l'envoyais a la rencontre de mon amie de toujours, un étage plus bas. Et tranquillement impatiemment, j'attendais qu'elle n'arrive, guettant ses pas dans le corridor.
Je sais ce que tu vas dire, mais je suis bloqué. Tu m'engueuleras plus tard. Si j'avais raison qu'elle n'entendrait aucun des sons de ma bouche, depuis longtemps la jeune femme était capable de lire sur mes lèvres.
J'entends sa voix avant ses pensées, et trouve une part de soulagement à savoir que c'est elle. Qu'ayant reçu mon message, elle ait quand même de idée de venir. Pour autant, enfermé dans ce bureau, je ne peux m'enfuir, rejoindre l'endroit d'où elle m'appelle, bloqué que je suis par un voile invisible qui remplace la porte de la pièce.
Callie... Je l'appelle, sans certitude qu'elle m'entende depuis l'extérieur. Ce serait bien du Penny de penser ainsi, ajoutant un sort assourdissant qui ne va que dans un sens.
Bien que je n'aimais pas utiliser ce sortilège plus que de raisons, j'allais encore devoir y recourir une fois ce soir, agitant ma baguette tout en déclamant : Expecto Patronum. Le Main coon apparut, pouvant à nouveau lui traverser le mur invisible qui me retenait tandis que je l'envoyais a la rencontre de mon amie de toujours, un étage plus bas. Et tranquillement
Je sais ce que tu vas dire, mais je suis bloqué. Tu m'engueuleras plus tard. Si j'avais raison qu'elle n'entendrait aucun des sons de ma bouche, depuis longtemps la jeune femme était capable de lire sur mes lèvres.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Ven 24 Fév 2023 - 11:23
Pas de réponse. Voila qui a de quoi contrarier la Muse qui a pourtant été particulièrement attentive au messager félin qui était venu la trouver devant chez elle. Faut dire que ma mention de l'endroit où elle devait le rejoindre l'avait particulièrement excédée. Cette histoire prenait des proportions faramineuses et pour une fois, elle pouvait presque dire que ce n'était pas la faute de la Bavaroise. Presque.
De nouveau, le main coon apparait devant elle de son pas hautain. Il vient de traverser la porte qui marque l'entrée de la résidence de Pénéloppe. Calliope soupir. Le message est reçu. Elle appuie sur la poignée. Verrouillée évidemment.
- Alohomora.
Elle deteste cette situation. Toute magie effectuée ici laissait des traces. Et elle detestait ça. Pendant un instant, avant de lancer son première sortilège, elle s'était sérieusement demandée si elle n'allait pas laisser Ethan à son sort. Elle pourrait intervenir plus tard, dans son domaine de compétence, quand cet imbécile serait en garde à vue par exemple... L'hésitation n'avait duré qu'une seconde. Ce n'était pas la première fois que le Lacroix la mettait dans une facheuse position et que Calliope lui sauvait les fesses in extremis.
La résidence de la Schrubber est impeccable. Mais froide. A son image. La muse cherche des yeux Ethan tout en suivant le chat qui le menera sûrement à lui. Il ne lui faut que quelques secondes pour arriver près de ce qui ressemble à un bureau. Elle s'arrête juste à temps avant de se rendre prisonnière elle même de la prison magique.
* Je peux t'engueuler et te sauver les fesses en même temps. *
A voir la réactiondu Lacroix, le mur magique était parfaitement imperméable en ce qui concernait les pensées. La Muller commence a triturer sa baguette et fronce le nez. Parce qu'évidemment ce n'était que de l'esbrouffe. Elle n'est si à l'aise en sortilèges et maléfices qu'elle ne le fait croire.
- Revelio.
D'un geste de sa baguette, elle englobe tout ce qui est face à elle. Les quatres murs invisibles créés par la magie pour piéger l'Helvète apparaissent en scintillant doucement.
* J'imagine que tu as déjà essayé de transplaner...*
De nouveau, le main coon apparait devant elle de son pas hautain. Il vient de traverser la porte qui marque l'entrée de la résidence de Pénéloppe. Calliope soupir. Le message est reçu. Elle appuie sur la poignée. Verrouillée évidemment.
- Alohomora.
Elle deteste cette situation. Toute magie effectuée ici laissait des traces. Et elle detestait ça. Pendant un instant, avant de lancer son première sortilège, elle s'était sérieusement demandée si elle n'allait pas laisser Ethan à son sort. Elle pourrait intervenir plus tard, dans son domaine de compétence, quand cet imbécile serait en garde à vue par exemple... L'hésitation n'avait duré qu'une seconde. Ce n'était pas la première fois que le Lacroix la mettait dans une facheuse position et que Calliope lui sauvait les fesses in extremis.
La résidence de la Schrubber est impeccable. Mais froide. A son image. La muse cherche des yeux Ethan tout en suivant le chat qui le menera sûrement à lui. Il ne lui faut que quelques secondes pour arriver près de ce qui ressemble à un bureau. Elle s'arrête juste à temps avant de se rendre prisonnière elle même de la prison magique.
* Je peux t'engueuler et te sauver les fesses en même temps. *
A voir la réactiondu Lacroix, le mur magique était parfaitement imperméable en ce qui concernait les pensées. La Muller commence a triturer sa baguette et fronce le nez. Parce qu'évidemment ce n'était que de l'esbrouffe. Elle n'est si à l'aise en sortilèges et maléfices qu'elle ne le fait croire.
- Revelio.
D'un geste de sa baguette, elle englobe tout ce qui est face à elle. Les quatres murs invisibles créés par la magie pour piéger l'Helvète apparaissent en scintillant doucement.
* J'imagine que tu as déjà essayé de transplaner...*
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Lun 27 Fév 2023 - 7:47
Ta mine bougonne, je la connaissais. D'ordinaire, ma capacité viendrait effleurer ton esprit, gratter des informations à la surface de celui-ci mais cette fois, enfermé dans cette cage, je n'en étais pas capable. J'imagine tout de même ce que tu penses, ce que tu dois te dire et j'entends par la suite ton Révelio. Une preuve de maturité, et surtout de prudence que je n'ai définitivement pas eu. Mais je reconnais mieux ce qui suit, du Penny tout craché.
N'entendant pas la question de ton esprit, et il valait mieux d'ailleurs, j'attendais quelques secondes avant de me rendre compte que tu attendais peut-être une réponse qui ne viendrait jamais. Parce que je n'avais pas entendue ta question, parce que je l'ignorais et du coup je répondais :
Finite incantatem. Penny était trop orgueilleuse pour penser qu'un simple sort pouvait avoir raison de son charme, mais aussi intelligente en pensant que quelqu'un voulant la voler viendrait probablement seul à la base. Le fait de condamner tout son sortant de la bulle où je me trouvais était aussi particulièrement ingénieux, bien qu'elle n'ait pas imaginé les patrons et leur côté passe-muraille.
Je te regarde exécuter le sort, et voit le voile se déchiré. Merci ! T'en as mis du temps dis donc.... On peut mieux ? Avouons que j'étais encore sous pression.
N'entendant pas la question de ton esprit, et il valait mieux d'ailleurs, j'attendais quelques secondes avant de me rendre compte que tu attendais peut-être une réponse qui ne viendrait jamais. Parce que je n'avais pas entendue ta question, parce que je l'ignorais et du coup je répondais :
Finite incantatem. Penny était trop orgueilleuse pour penser qu'un simple sort pouvait avoir raison de son charme, mais aussi intelligente en pensant que quelqu'un voulant la voler viendrait probablement seul à la base. Le fait de condamner tout son sortant de la bulle où je me trouvais était aussi particulièrement ingénieux, bien qu'elle n'ait pas imaginé les patrons et leur côté passe-muraille.
Je te regarde exécuter le sort, et voit le voile se déchiré. Merci ! T'en as mis du temps dis donc.... On peut mieux ? Avouons que j'étais encore sous pression.
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Mar 28 Fév 2023 - 23:13
La Muller fronce les sourcils, réalisant enfin que son meilleur ami ne peut lire ses pensées. Elle a tellement l’habitude de communiquer ainsi avec lui et elle aimerait parler le moins possible vu la situation plus que délicate dans laquelle ils se trouvent.
« Finite Incantatem ». Elle fronce de nouveau les sourcils. Elle ne connaissait pas Penny aussi bien que lui mais si elle devait protéger quelque-chose d’une éventuelle intrusion, est ce que les défenses mises en places pouvaient vraiment être de-scellées par un sortilège aussi simple.
- Finite Incantatem.
Sous leurs yeux, le voile magique se déchire. Pourtant le visage de Calliope reste fermé. Son instinct lui hurle que la Schrubber n’est pas simpliste à ce point. Et les mots du Lacroix ne sont pas pour l’apaiser.
- Tu crois que j’allais risquer un transplanage Londres-Paris pour tes beaux yeux ?
Elle n’était pas stupide. Ce genre de transplanage par delà les mers étaient beaucoup trop dangereux même pour les sorciers les plus puissants. Et elle avait assez d’esprit pour savoir qu’elle n’en faisait pas partie. Elle n’avait guère envie d’être désartibulée. Mais là tout de suite, ce n’est pas ce qui l’inquiète.
- Allons nous en en espérant qu’il n’y ait rien qui ait pu garder une trace de notre présence.
D’un geste aussi sec que le ton de sa voix, la muse fait demi tour. Ses talons claquent deux fois sur le parquet massif avant que que les jurons d’Ethan ne se laissent entendre. Elle se tourne vers lui de nouveaux.
- Revelio.
De nouveau, le voile apparaît. Il n’est plus au même endroit. La zone qu’il couvre est plus grand et elle n’est visiblement pas passée loin de se retrouver piégée elle aussi parce que le territoire qu’il entoure est à quelques centimètres d’elle. Prudente elle recule.
- C’était trop facile pour être réaliste. Cette garce a fait en sorte que la prison magique s’agrandisse à chaque fois qu’on s’en prendra à elle…
Elle porte une main à son front en regardant le voile magique scintiller devant ses yeux avant qu’une idée ne lui vienne à l’esprit.
- Il n’y a pas de sortilège qui couvre le sol ou le plafond. Va falloir que tu sortes par là.
« Finite Incantatem ». Elle fronce de nouveau les sourcils. Elle ne connaissait pas Penny aussi bien que lui mais si elle devait protéger quelque-chose d’une éventuelle intrusion, est ce que les défenses mises en places pouvaient vraiment être de-scellées par un sortilège aussi simple.
- Finite Incantatem.
Sous leurs yeux, le voile magique se déchire. Pourtant le visage de Calliope reste fermé. Son instinct lui hurle que la Schrubber n’est pas simpliste à ce point. Et les mots du Lacroix ne sont pas pour l’apaiser.
- Tu crois que j’allais risquer un transplanage Londres-Paris pour tes beaux yeux ?
Elle n’était pas stupide. Ce genre de transplanage par delà les mers étaient beaucoup trop dangereux même pour les sorciers les plus puissants. Et elle avait assez d’esprit pour savoir qu’elle n’en faisait pas partie. Elle n’avait guère envie d’être désartibulée. Mais là tout de suite, ce n’est pas ce qui l’inquiète.
- Allons nous en en espérant qu’il n’y ait rien qui ait pu garder une trace de notre présence.
D’un geste aussi sec que le ton de sa voix, la muse fait demi tour. Ses talons claquent deux fois sur le parquet massif avant que que les jurons d’Ethan ne se laissent entendre. Elle se tourne vers lui de nouveaux.
- Revelio.
De nouveau, le voile apparaît. Il n’est plus au même endroit. La zone qu’il couvre est plus grand et elle n’est visiblement pas passée loin de se retrouver piégée elle aussi parce que le territoire qu’il entoure est à quelques centimètres d’elle. Prudente elle recule.
- C’était trop facile pour être réaliste. Cette garce a fait en sorte que la prison magique s’agrandisse à chaque fois qu’on s’en prendra à elle…
Elle porte une main à son front en regardant le voile magique scintiller devant ses yeux avant qu’une idée ne lui vienne à l’esprit.
- Il n’y a pas de sortilège qui couvre le sol ou le plafond. Va falloir que tu sortes par là.
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Sam 4 Mar 2023 - 21:24
Garce ! C'était le mot adéquat. Une garce que tu insultais à nouveau dans un silence qui régnait au sein de la maison. Quelques secondes avant, tu avais pu être libre. Et te voila de nouveau prisonnier de cette cage dorée. Prisonnier dans l'attente que ta future ex-femme rentre. Et tu ne voulais pas lui donner cette joie, que de te retrouver ici coincé. Parce qu'elle s'en servirait, et là dessus tu ne pouvais pas l'en blamer.
Tes yeux dérivent vers Callie, qui decrit ce qu'elle voit. Et cela t'enerve. Coincé une fois après tout, passe encore. Mais deux, dans la même soirée... Tu t'exaspérais à vu d'oeil. Ne pouvait-on pas relancer le sort et que tu te dépeches de sortir, emmenant avec toi la jeune femme ? Pour le coup, à la place de Penny, le sort suivant, tu l'aurais fait à la taille de l'habitation. Un risque trop grand du coup, de se retrouver enfermé à deux.
- Il n’y a pas de sortilège qui couvre le sol ou le plafond. Va falloir que tu sortes par là.
Ton regard se lève, parce qu'autant que tu le saches, il n'y a pas de cave en dessous de cette pièce. Par contre, au dessus, il y a...
C'est notre chambre à coucher... Enfin... Notre... La sienne surtout maintenant. Regardant la sorcière, tu ajoutes : Vas-y, et troues le plancher.
Du reste, il faudrait surement aussi lancer un Wigardium Leviosa et un réparo, mais tu avais confiance en l'Helvete pour tout ça. Et sinon, pour le second, tu en ferais ton affaire facilement.
Tes yeux dérivent vers Callie, qui decrit ce qu'elle voit. Et cela t'enerve. Coincé une fois après tout, passe encore. Mais deux, dans la même soirée... Tu t'exaspérais à vu d'oeil. Ne pouvait-on pas relancer le sort et que tu te dépeches de sortir, emmenant avec toi la jeune femme ? Pour le coup, à la place de Penny, le sort suivant, tu l'aurais fait à la taille de l'habitation. Un risque trop grand du coup, de se retrouver enfermé à deux.
- Il n’y a pas de sortilège qui couvre le sol ou le plafond. Va falloir que tu sortes par là.
Ton regard se lève, parce qu'autant que tu le saches, il n'y a pas de cave en dessous de cette pièce. Par contre, au dessus, il y a...
C'est notre chambre à coucher... Enfin... Notre... La sienne surtout maintenant. Regardant la sorcière, tu ajoutes : Vas-y, et troues le plancher.
Du reste, il faudrait surement aussi lancer un Wigardium Leviosa et un réparo, mais tu avais confiance en l'Helvete pour tout ça. Et sinon, pour le second, tu en ferais ton affaire facilement.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Lun 6 Mar 2023 - 14:29
Le stress est palpable, elle ne peut pas le nier. Elle a d'ailleurs du mal à le contenir, ça se voit à sa façon de pester et à ses mains qui s'ouvrent et qui se ferment dans le vide alors qu'elle réfléchit à comment se sortir de cette situation plus que désagréable. Le temps presse car chaque seconde qui passe les rapproches du retour de Pénélope. Et puisqu'ils ne savent pas quand la Schruber rentrera... Si ça n'avait pas été Ethan, elle aurait volontiers laissé la personne coincé se débrouiller.
La seule issue qu'elle peut imaginer à ce satané sortilège d'enfermement, c'est de le contourner. Elle sait pertinemment qu'elle n'aura pas la puissance nécessaire pour l'annihiler. Et puisque le sortilège ne couvre que les côtés de la pièce, le sol ou le plafond prenaient des airs de porte de sortie. " C'est notre chambre à coucher... Vas-y, et troues le plancher."
Elle ne peut s'empêcher une grimace la Muller. Les chambre à coucher c'était tellement... intime à ses yeux. Elle soupir donc mais ça ne l'empêche pas de quitter le bureau pour rejoindre l'entrée, trouver les escaliers, les monter quatre à quatre... Elle n'a pas un excellent sens de l'orientation, il lui faut donc quelques seconde avant de pousser la porte de la dîte chambre.
- Ethan ?
Elle tape du pied sur le parquet de bonne facture. Si l'Helvète lui a répondu, elle ne l'a pas entendu. Elle espère au moins qu'il a eut la présence d'esprit de se mettre dans un coin de sa prison magique et pas juste en dessous de là où elle s'attaque au plancher.
- Bombarda Maxima.
Si elle avait voulu être discrète.. c'était raté. Le plancher explose a quelques mètres d'elle. Une grosse écharde vient lui entailler la joue mais dans le feu de l'action elle n'a pas senti. Par contre, la poussière dans son nez et dans sa gorge... Elle tousse en se rapprochant du trou qu'elle a fait pour y voir le visage de son ami.
- Ca va en bas ?
La seule issue qu'elle peut imaginer à ce satané sortilège d'enfermement, c'est de le contourner. Elle sait pertinemment qu'elle n'aura pas la puissance nécessaire pour l'annihiler. Et puisque le sortilège ne couvre que les côtés de la pièce, le sol ou le plafond prenaient des airs de porte de sortie. " C'est notre chambre à coucher... Vas-y, et troues le plancher."
Elle ne peut s'empêcher une grimace la Muller. Les chambre à coucher c'était tellement... intime à ses yeux. Elle soupir donc mais ça ne l'empêche pas de quitter le bureau pour rejoindre l'entrée, trouver les escaliers, les monter quatre à quatre... Elle n'a pas un excellent sens de l'orientation, il lui faut donc quelques seconde avant de pousser la porte de la dîte chambre.
- Ethan ?
Elle tape du pied sur le parquet de bonne facture. Si l'Helvète lui a répondu, elle ne l'a pas entendu. Elle espère au moins qu'il a eut la présence d'esprit de se mettre dans un coin de sa prison magique et pas juste en dessous de là où elle s'attaque au plancher.
- Bombarda Maxima.
Si elle avait voulu être discrète.. c'était raté. Le plancher explose a quelques mètres d'elle. Une grosse écharde vient lui entailler la joue mais dans le feu de l'action elle n'a pas senti. Par contre, la poussière dans son nez et dans sa gorge... Elle tousse en se rapprochant du trou qu'elle a fait pour y voir le visage de son ami.
- Ca va en bas ?
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» particularité : Legilimens
» nature du sang : Sang Pur
» gallions sous la cape : 3067
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Lun 13 Mar 2023 - 21:22
L'attente est encore plus insupportable, tant tu sais que maintenant, il y a quelqu'un pour t'aider à te sortir de ce mauvais pas. Chaque seconde de perdue, qui s'écoulait, était un supplice définitivement interminable. Mais finalement, la voix de la magistrate se fait de nouveau entendre. Et te décalant, tu finis par te couvrir le visage par reflexe, quand le plafond cède sous le sort de ton amie. Pour la discrétion, on repasserait un autre jour il faut croire.
Tu lances à nouveau Revelio ? Etait-ce seulement utile ? La seule indication que la sang-mêlé avait entendue cette phrase pouvait être suffisante, et pourtant, tu ne voulais pas être surpris. Pas alors que tu t'amuserais à escalader jusqu'à rejoindre ta soeur d'arme. Et tandis que le voile magique révélait une réelle brèche, ta baguette faisait apparaitre une corde pour grimper.
Quelques dizaines de secondes à peine, voila ce qu'il te faut pour quitter ta prison, rejoignant cette pièce qui te semble avoir été réarrangée depuis ton dernier passage. Et autant pour t'armer de ta baguette et lancer un Reparo qui permit de laisser le sol indemne, comme si il ne s'était jamais rien passé.
Callie, attends... Tu retiens ton amie, avant d'ajouter avec sincérité : Merci. Sans toi... Devais-tu terminer cette phrase ? Devais-tu préciser ce qu'il serait advenu de toi sans elle ? Probablement pas. Attends... De si proche, à toi, le détail ne t'échappe pas. Déformation professionnel on dira. Mais ton pouce passe sur sa joue, effaçant sur son passage la trace de cette plaie superficielle que ce sauvetage improvisé avait pu laisser.
Tu lances à nouveau Revelio ? Etait-ce seulement utile ? La seule indication que la sang-mêlé avait entendue cette phrase pouvait être suffisante, et pourtant, tu ne voulais pas être surpris. Pas alors que tu t'amuserais à escalader jusqu'à rejoindre ta soeur d'arme. Et tandis que le voile magique révélait une réelle brèche, ta baguette faisait apparaitre une corde pour grimper.
Quelques dizaines de secondes à peine, voila ce qu'il te faut pour quitter ta prison, rejoignant cette pièce qui te semble avoir été réarrangée depuis ton dernier passage. Et autant pour t'armer de ta baguette et lancer un Reparo qui permit de laisser le sol indemne, comme si il ne s'était jamais rien passé.
Callie, attends... Tu retiens ton amie, avant d'ajouter avec sincérité : Merci. Sans toi... Devais-tu terminer cette phrase ? Devais-tu préciser ce qu'il serait advenu de toi sans elle ? Probablement pas. Attends... De si proche, à toi, le détail ne t'échappe pas. Déformation professionnel on dira. Mais ton pouce passe sur sa joue, effaçant sur son passage la trace de cette plaie superficielle que ce sauvetage improvisé avait pu laisser.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
- » parchemins postés : 723
» miroir du riséd : nina dobrev
» crédits : amnesisart (ava) ; crackship (code sign)
» multinick : juliet blackthorn, miguel pajares, andrew hill
» âge : 30 ans (née le 19 aout 1992)
» situation : célibataire
» profession : auditrice de Justice (juge en formation) au Magenmagot à compter de Septembre 2022.
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Mar 21 Mar 2023 - 11:10
La sensation de s’étouffer dans la poussière est des plus désagréable. Toute sa gorge la démange et elle manque d’air mais il y a encore tellement de particules en suspension qu’elle n’ose pas respirer de nouveau. Elle retient sa respiration le temps de voir le visage d’Ethan dans le trou dont elle est l’autrice. Il y a de la poussière qui se mélange a ses cheveux châtains.
Pas un bravo, pas un merci. Rien qu’un ordre a peine dissimulé dans une interrogation. Du Ethan tout craché. Si elle était vaguement inquiète quelques secondes plus tôt, à l’idée d’avoir pu accidentellement blesser le médicomage, elle est maintenant contrarié qu’il n’ait même pas une petite égratignure. Pourtant elle procède, la Muse, au sortilège qui rassure.
Elle se relève alors que le Lacroix utilise une corde pour grimper. C’était astucieux, cette utilisation de la métamorphose. Elle n’y pensait jamais, cette matière souriait d’avantage aux personnalités créatrices. Cela dit, elle n’aurait pas été capable de grimper à la force de ses bras. Elle recule d’un pas mais observe son meilleur ami émerger du sol… ou du plafond selon l’angle adopté.
Il ne perd pas de temps en tergiversation, répare ce que le sortilège de Calliope a pu briser. Elle même procède a un rapide sortilège de nettoyage pour éradiquer la poussière de bois et de plâtre. Elle était déjà prête à quitter cette chambre, cette maison et même ce pays quand Ethan l’attrapa par le bras « Callie, attends... Merci. Sans toi… »
- Sans toi je serais un crétin à Azkaban ?
Le ton est rude, il faut dire qu’elle est encore un peu en colère, la Muller. Elle ignore bien qu’elle est blessée et ne le comprend qu’après avoir été soignée par l’Helvète.
- Merci.
Toujours en colère, mais sans plus de cicatrice. Merveilleux.
- Aller, on s’en va. Tu m’expliqueras ce qui t’es passé par la tête une fois qu’on ne risqueras plus d’être inculpés pour violation de domicile.
Elle se deéfait de l’étreinte de la main d’Ethan pour repartir d’où elle est venu. Heureusement que le Suisse avait prit le temps de la soigner sinon ils seraient sûrement tombés nez à nez dans les escaliers avec ceux qui passaient la porte d’entrée au rez-de-chaussée.
- T’es filles ne sont pas là ?
- On a la maison pour nous tout seuls, Andrew…
Pas un bravo, pas un merci. Rien qu’un ordre a peine dissimulé dans une interrogation. Du Ethan tout craché. Si elle était vaguement inquiète quelques secondes plus tôt, à l’idée d’avoir pu accidentellement blesser le médicomage, elle est maintenant contrarié qu’il n’ait même pas une petite égratignure. Pourtant elle procède, la Muse, au sortilège qui rassure.
Elle se relève alors que le Lacroix utilise une corde pour grimper. C’était astucieux, cette utilisation de la métamorphose. Elle n’y pensait jamais, cette matière souriait d’avantage aux personnalités créatrices. Cela dit, elle n’aurait pas été capable de grimper à la force de ses bras. Elle recule d’un pas mais observe son meilleur ami émerger du sol… ou du plafond selon l’angle adopté.
Il ne perd pas de temps en tergiversation, répare ce que le sortilège de Calliope a pu briser. Elle même procède a un rapide sortilège de nettoyage pour éradiquer la poussière de bois et de plâtre. Elle était déjà prête à quitter cette chambre, cette maison et même ce pays quand Ethan l’attrapa par le bras « Callie, attends... Merci. Sans toi… »
- Sans toi je serais un crétin à Azkaban ?
Le ton est rude, il faut dire qu’elle est encore un peu en colère, la Muller. Elle ignore bien qu’elle est blessée et ne le comprend qu’après avoir été soignée par l’Helvète.
- Merci.
Toujours en colère, mais sans plus de cicatrice. Merveilleux.
- Aller, on s’en va. Tu m’expliqueras ce qui t’es passé par la tête une fois qu’on ne risqueras plus d’être inculpés pour violation de domicile.
Elle se deéfait de l’étreinte de la main d’Ethan pour repartir d’où elle est venu. Heureusement que le Suisse avait prit le temps de la soigner sinon ils seraient sûrement tombés nez à nez dans les escaliers avec ceux qui passaient la porte d’entrée au rez-de-chaussée.
- T’es filles ne sont pas là ?
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- Ethan LacroixOldieㄨ experimented wizard
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Mar 28 Mar 2023 - 21:43
A Azkaban, c'était possible, bien que tu ne doutes pas qu'on vienne t'en sortir. Mais un crétin ? Aucune chance qu'un jour tu envisages ce qualificatif te concernant. Et si la remarque n'était pas venue de Callie, il y a fort à parier que tu l'aurais renvoyée dans la gorge de la personne qui avait osé la dire.
Pour autant, elle avait raison. Tu avais manqué de prudence ce soir, et plus d'une fois. En plus, tu n'avais pas réellement trouvé ce que tu étais venu chercher. Et ça, c'était réellement le pire. Tu aurais aimé mettre la main sur une preuve, un élément compromettant. Comme la plume a papotte de ta fille, une lettre chiffonée, des documents permettant de mettre la Schrubber à mal, mais non. Rien de tout ça ne semblait être dans ce lieu. Et cela t'énervait, parce qu'elle avait pourtant décider de protéger cette maison, certaines de ces pièces. A quoi bon ces sortilèges alors qu'il n'y avait rien dedans ?
L'anglaise te fuit apres un nouveau sermon, mais tu l'entends cette porte qui s'ouvre. Et c'est un réflexe qui s'empare de ta main. Baguette armée, tu ramènes Callie près de toi, tirant sur son coude tandis qu'un mouvement circulaire de ton autre bras vient vous envelopper d'un charme d'invisibilité. Et la voix féminine que tu entends, tu la connais bien. Trop bien.
Que venait-elle faire ici, ce soir ? Certes c'était chez elle, mais où était donc les petites ? Osait-elle réellement te les réclamer presque de force pour les abandonner ensuite ? Et pour quoi ? Andrew. Qui était-il, cet enfoiré de première ? Si dans ta tête Pénéloppe n'était déjà plus ta femme, il y avait encore du chemin à faire pour que tu l'imagines seulement dans les bras d'un autre homme. Alors voir cette scène, ton égo allait clairement prendre un coup.
Pour autant, elle avait raison. Tu avais manqué de prudence ce soir, et plus d'une fois. En plus, tu n'avais pas réellement trouvé ce que tu étais venu chercher. Et ça, c'était réellement le pire. Tu aurais aimé mettre la main sur une preuve, un élément compromettant. Comme la plume a papotte de ta fille, une lettre chiffonée, des documents permettant de mettre la Schrubber à mal, mais non. Rien de tout ça ne semblait être dans ce lieu. Et cela t'énervait, parce qu'elle avait pourtant décider de protéger cette maison, certaines de ces pièces. A quoi bon ces sortilèges alors qu'il n'y avait rien dedans ?
L'anglaise te fuit apres un nouveau sermon, mais tu l'entends cette porte qui s'ouvre. Et c'est un réflexe qui s'empare de ta main. Baguette armée, tu ramènes Callie près de toi, tirant sur son coude tandis qu'un mouvement circulaire de ton autre bras vient vous envelopper d'un charme d'invisibilité. Et la voix féminine que tu entends, tu la connais bien. Trop bien.
Que venait-elle faire ici, ce soir ? Certes c'était chez elle, mais où était donc les petites ? Osait-elle réellement te les réclamer presque de force pour les abandonner ensuite ? Et pour quoi ? Andrew. Qui était-il, cet enfoiré de première ? Si dans ta tête Pénéloppe n'était déjà plus ta femme, il y avait encore du chemin à faire pour que tu l'imagines seulement dans les bras d'un autre homme. Alors voir cette scène, ton égo allait clairement prendre un coup.
- Calliope MullerADMIN - sensitive bitch
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Ven 31 Mar 2023 - 14:06
Le mutisme. Ethan s’y réfugié dès qu’il était trop contrarié ou qu’il était fâché contre elle et qu’il ne voulait pas que les mots dépassent sa pensée. Parfois, elle se disait qu’elle aimerait savoir ce qu’il lui passait par la tête… Et puis elle se ravissait rapidement, pas certaine de vouloir connaître les pensées de son ami. Elle était presque sûre qu’elle ne le verrait plus de la même manière.
Elle fait un pas pour s’en aller mais rapidement la muse s’arrête net. Le bruit que la porte qui s’ouvre la tétanise et les voix qui s’échappent du rez-de-chaussée la font crisper la mâchoire. Le geste d’Ethan l’extrait de sa paralysie. En une seconde, ils se retrouvent Ethan dos collé au mur, Calliope collée à Ethan, protégé par un sortilège d’invisibilité.
Elle inspire profondément alors que les pas se font de plus en plus proches dans les escaliers. Ils ne parlent plus et pour cause, ils s’embrassent de façon que n’importe quel public qualifierait d’indécent. Sauf qu’ils n’ont absolument pas conscience d’avoir un public. Penelope est déjà en soutien-gorge et Calliope ne peut pas s’empêcher de reconnaître de quelle boutique de Paris il provient. Celui qui est entrain de l’allonger sur le lit est plutôt bel homme et il la regarde comme si elle était la huitième merveille du monde… S’il avait.
Calliope se retourne sans bruit pour faire face au Lacroix. Son visage est plus fermé que jamais et elle peut lire la fureur dans le reflet de son regard clair. Les mains de la Muller viennent se poser sur le visage du médicomage pour attirer son regard dans le sien. L’instant allait vraiment être éprouvant…
* Ethan, regarde moi et ne regarde que moi. *
Comme si la vision n’était pas assez contrariante, il se trouve que cette chère Penelope est particulièrement bruyante au lit. Ou alors ce type était très, très doué.
* Concentre toi sur moi. Concentre toi sur mes pensées et uniquement sur mes pensées. Pas sur eux. Lit mon esprit et ne t’arrête pas. *
Elle craignait que l’Helvète ne sorte de ses gonds et ne révèle leur position ce qui serait plus que… désastreux. Son regard reste donc vissé donc dans celui de son meilleur ami et sans discontinuer, elle abreuve l’orée de son esprit de quelques uns de leurs souvenirs communs.
Elle fait un pas pour s’en aller mais rapidement la muse s’arrête net. Le bruit que la porte qui s’ouvre la tétanise et les voix qui s’échappent du rez-de-chaussée la font crisper la mâchoire. Le geste d’Ethan l’extrait de sa paralysie. En une seconde, ils se retrouvent Ethan dos collé au mur, Calliope collée à Ethan, protégé par un sortilège d’invisibilité.
Elle inspire profondément alors que les pas se font de plus en plus proches dans les escaliers. Ils ne parlent plus et pour cause, ils s’embrassent de façon que n’importe quel public qualifierait d’indécent. Sauf qu’ils n’ont absolument pas conscience d’avoir un public. Penelope est déjà en soutien-gorge et Calliope ne peut pas s’empêcher de reconnaître de quelle boutique de Paris il provient. Celui qui est entrain de l’allonger sur le lit est plutôt bel homme et il la regarde comme si elle était la huitième merveille du monde… S’il avait.
Calliope se retourne sans bruit pour faire face au Lacroix. Son visage est plus fermé que jamais et elle peut lire la fureur dans le reflet de son regard clair. Les mains de la Muller viennent se poser sur le visage du médicomage pour attirer son regard dans le sien. L’instant allait vraiment être éprouvant…
* Ethan, regarde moi et ne regarde que moi. *
Comme si la vision n’était pas assez contrariante, il se trouve que cette chère Penelope est particulièrement bruyante au lit. Ou alors ce type était très, très doué.
* Concentre toi sur moi. Concentre toi sur mes pensées et uniquement sur mes pensées. Pas sur eux. Lit mon esprit et ne t’arrête pas. *
Elle craignait que l’Helvète ne sorte de ses gonds et ne révèle leur position ce qui serait plus que… désastreux. Son regard reste donc vissé donc dans celui de son meilleur ami et sans discontinuer, elle abreuve l’orée de son esprit de quelques uns de leurs souvenirs communs.
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Ven 31 Mar 2023 - 22:16
* Ethan, regarde m.. Elle est juste parfaite... Oui, là, comme ça. Encore ! *
Une cacophonie. Voila ce qui habitait ton esprit présentement. Le plaisir des deux amants venaient se mélanger à l'envie protectrice de ton amie et se heurter à cette rage qui montait en toi. L'envie est là, forte, de rompre le silence, de déchirer le voile et de laisser ta baguette parler. Et les premiers sorts qui te viennent à l'esprit sont tous les trois impardonnables. Tu l'humilierais volontiers, cette femme qui il n'y a pas encore si longtemps portait un anneau à vos noms. Tu le rabaisserais volontiers, ce bouffon qui se fait une place dans votre lit. Tu les ferais souffrir sans états d'âmes, ces deux êtres à la recherche de plaisirs avec autant de force que de volonté, extirpant de leur regard une profonde imploration de peine et d'horreur. Tu abrégerais leur vie sans aucun remord, une fois ta colère complétement abreuvée.
* Concentre toi sur moi. Mieux. C'est tellement mieux que tout ce que j'ai connu. A moi ! Elle est à moi et plus à cet idiot.Pas sur eux. Lit mon esprit et ne t’arrête pas. *
Une main, posée sur ton coeur, t'extirpe de ta capacité un instant, pour te servir de guide. Un signe qui n'est que si peu utilisé, mais que tu suis par réflexe alors que devant vous, l'innommable se déroule. Tu l'enserres ton amie tout contre toi, cherchant appui pour ta tête sur son épaule, fermant les yeux et te concentrant sur son esprit si souvent fermé. Pourtant, tu entends encore l'autre jouir. Atteindre l'extase et en redemander. Sale garce !
Verbier. Verbier se dessine. Tu vous vois, toi et tes amis. Malgré la mélodie incessante de ton épouse, tu aperçois cet havre de paix, cette retraite que vous avez. Un autre souvenir : Callie et Isabelle. Cassandra et son loup. Les galas que vous avez partagés tous ensemble.
"O H O U I
O U I
O O U I I I I "
Le pire : ils étaient en phase. Tu te le jure : tous deux paieront pour ça. Ils paieront le prix fort. Parce que tu étais Ethan Silver Lacroix.
Une cacophonie. Voila ce qui habitait ton esprit présentement. Le plaisir des deux amants venaient se mélanger à l'envie protectrice de ton amie et se heurter à cette rage qui montait en toi. L'envie est là, forte, de rompre le silence, de déchirer le voile et de laisser ta baguette parler. Et les premiers sorts qui te viennent à l'esprit sont tous les trois impardonnables. Tu l'humilierais volontiers, cette femme qui il n'y a pas encore si longtemps portait un anneau à vos noms. Tu le rabaisserais volontiers, ce bouffon qui se fait une place dans votre lit. Tu les ferais souffrir sans états d'âmes, ces deux êtres à la recherche de plaisirs avec autant de force que de volonté, extirpant de leur regard une profonde imploration de peine et d'horreur. Tu abrégerais leur vie sans aucun remord, une fois ta colère complétement abreuvée.
* Concentre toi sur moi. Mieux. C'est tellement mieux que tout ce que j'ai connu. A moi ! Elle est à moi et plus à cet idiot.Pas sur eux. Lit mon esprit et ne t’arrête pas. *
Une main, posée sur ton coeur, t'extirpe de ta capacité un instant, pour te servir de guide. Un signe qui n'est que si peu utilisé, mais que tu suis par réflexe alors que devant vous, l'innommable se déroule. Tu l'enserres ton amie tout contre toi, cherchant appui pour ta tête sur son épaule, fermant les yeux et te concentrant sur son esprit si souvent fermé. Pourtant, tu entends encore l'autre jouir. Atteindre l'extase et en redemander. Sale garce !
Verbier. Verbier se dessine. Tu vous vois, toi et tes amis. Malgré la mélodie incessante de ton épouse, tu aperçois cet havre de paix, cette retraite que vous avez. Un autre souvenir : Callie et Isabelle. Cassandra et son loup. Les galas que vous avez partagés tous ensemble.
"O H O U I
O U I
O O U I I I I "
Le pire : ils étaient en phase. Tu te le jure : tous deux paieront pour ça. Ils paieront le prix fort. Parce que tu étais Ethan Silver Lacroix.
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Dim 2 Avr 2023 - 22:27
La situation était particulièrement inconfortable pour Calliope. Elle n’osait pas imaginer ce que pouvait ressentir le Lacroix a cet instant. Même s’il n’aimait plus Penny - l’avait il seulement aimé un jour ? - il était du genre territorial. Et leur divorce n’était pas prononcé. Paradoxalement, ça ne l’avait pas empêché de fréquenter d’autres filles alors même qu’il n’était pas encore de séparation d’avec la Bavaroise.
Elle essaye de fermer son esprit à tout ce qu’elle entend mais ça n’avait rien de facile. Et connaissant Ethan il ne devait pas s’empêcher de laisser son esprit flirter avec l’orée de celle du couple qui se donnait du plaisir. Beaucoup de plaisir. Calliope pourrait presque en être jalouse si elle n’avait pas reconnu le né moldu qui avait séduit la sang-pure.
Elle comprend vite le besoin de proximité de son ami et ses bras viennent entourer la taille de l’Helvète pour se tenir tout contre lui. Son visage se pose sur son épaule. Il la serre trop fort mais elle ne s’en plaint pas, quelques contusions n’étaient rien face à l’idée de se faire attraper en pleine infraction de domicile. Elle aussi, serre un peu plus fort, comme pour ancré Ethan de sa présence et pas de celle de son épouse.
Et elle se souvient. Elle se souvient sans discontinuer. Dans son esprit, elle déroule les souvenirs qui lui viennent à l’esprit et qui pourraient attirer l’attention d’Ethan. Elle essaye de ne pas se laisser perturber par les orgasmes consécutifs qui se déploient à quelques mètres d’eux. La tâche est ardue. Mais elle y arrive, parce que sa tendresse à l’encontre d’Ethan est infinie et qu’elle voudrait sincèrement pouvoir lui épargner cet instant même si elle ne le peut pas.
* Je suis désolée pour ça…*
Elle n’y était pour rien, mais elle avait de la peine pour lui. C’était de sa faute, mais elle n’avait plus le coeur à l’enfoncer. Considérant peut être qu’il avait été assez puni par le karma. Elle ne sait pas combien de temps s’est déroulé quand elle ose un regard vers les deux corps nus et endormis. Trois minutes ? Trois heures ? Ressenti : un éternité.
* Allons nous en, Ethan *
Elle essaye de fermer son esprit à tout ce qu’elle entend mais ça n’avait rien de facile. Et connaissant Ethan il ne devait pas s’empêcher de laisser son esprit flirter avec l’orée de celle du couple qui se donnait du plaisir. Beaucoup de plaisir. Calliope pourrait presque en être jalouse si elle n’avait pas reconnu le né moldu qui avait séduit la sang-pure.
Elle comprend vite le besoin de proximité de son ami et ses bras viennent entourer la taille de l’Helvète pour se tenir tout contre lui. Son visage se pose sur son épaule. Il la serre trop fort mais elle ne s’en plaint pas, quelques contusions n’étaient rien face à l’idée de se faire attraper en pleine infraction de domicile. Elle aussi, serre un peu plus fort, comme pour ancré Ethan de sa présence et pas de celle de son épouse.
Et elle se souvient. Elle se souvient sans discontinuer. Dans son esprit, elle déroule les souvenirs qui lui viennent à l’esprit et qui pourraient attirer l’attention d’Ethan. Elle essaye de ne pas se laisser perturber par les orgasmes consécutifs qui se déploient à quelques mètres d’eux. La tâche est ardue. Mais elle y arrive, parce que sa tendresse à l’encontre d’Ethan est infinie et qu’elle voudrait sincèrement pouvoir lui épargner cet instant même si elle ne le peut pas.
***
* Je suis désolée pour ça…*
Elle n’y était pour rien, mais elle avait de la peine pour lui. C’était de sa faute, mais elle n’avait plus le coeur à l’enfoncer. Considérant peut être qu’il avait été assez puni par le karma. Elle ne sait pas combien de temps s’est déroulé quand elle ose un regard vers les deux corps nus et endormis. Trois minutes ? Trois heures ? Ressenti : un éternité.
* Allons nous en, Ethan *
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Jeu 6 Avr 2023 - 21:41
Mon poing s'écrasa sur le mur, effritant la pierre bien moins que ma main. Nous étions sortis, nous avions transplané assez rapidement et ma colère s'était exprimée. Parce que j'étais en colère. J'étais en rage à l'encontre de cet homme qui avait partagé sa couche. J'avais de la haine envers cette garce qui se payait du bon temps alors qu'elle était sensé s'occuper de nos filles. De mes filles. Si son souhait était de refaire sa vie, soit... mais je ne pouvais m'enlever de l'esprit qu'elle me retirait Isabelle et Cassandra pour les confier au premier venu et partir s'adonner à ses frivolités sans le moindre remords.
Tu l'as vue ? Tu l'as vue comme moi ? J'ai pas rêvé hein ! Je prenais à parti ma meilleure amie, parce qu'elle était la seule présente, la seule à pouvoir m'entendre. La seule à pouvoir me confirmer qu'il ne s'agissait pas là d'une hallucination et en même temps... J'avais encore son plaisir dans ma tête. La jouissance de cet homme qui croyait vraiment être capable d'être mon égal. J'avais encore les cris de ma femme, son extase, dans les oreilles, tandis qu'elle réclamait d'être pénétrée encore et encore.
Quelque chose, je le savais, venait d'être brisé chez moi. En moi. Et cette chose, c'était la compassion. Ma compassion. Ma patience. Mon calme. Ce qu'elle a fait ce soir, Callie, je te jure que... Je m'arrêtais, pas réellement par choix mais bien par réflexe inée. Et grand bien m'en fasse, l'Anglaise n'était pas de ceux qui pouvait lire dans les esprits. Parce que pénétrer le mien en cet instant aurait été autrement plus grave. Les idées qui se bousculaient en son sein n'étaient clairement pas abstraite.
Elle me retire mes filles pour quoi au final ? Les confier à sa famille et prendre du bon temps ? ... Crois-moi, je vais l'écraser. Rien... RIEN ne la sauvera. Je vais m'assurer qu'après, elle n'ait même plus la force de se relever. Au figuré, comme au sens propre.
Tu l'as vue ? Tu l'as vue comme moi ? J'ai pas rêvé hein ! Je prenais à parti ma meilleure amie, parce qu'elle était la seule présente, la seule à pouvoir m'entendre. La seule à pouvoir me confirmer qu'il ne s'agissait pas là d'une hallucination et en même temps... J'avais encore son plaisir dans ma tête. La jouissance de cet homme qui croyait vraiment être capable d'être mon égal. J'avais encore les cris de ma femme, son extase, dans les oreilles, tandis qu'elle réclamait d'être pénétrée encore et encore.
Quelque chose, je le savais, venait d'être brisé chez moi. En moi. Et cette chose, c'était la compassion. Ma compassion. Ma patience. Mon calme. Ce qu'elle a fait ce soir, Callie, je te jure que... Je m'arrêtais, pas réellement par choix mais bien par réflexe inée. Et grand bien m'en fasse, l'Anglaise n'était pas de ceux qui pouvait lire dans les esprits. Parce que pénétrer le mien en cet instant aurait été autrement plus grave. Les idées qui se bousculaient en son sein n'étaient clairement pas abstraite.
Elle me retire mes filles pour quoi au final ? Les confier à sa famille et prendre du bon temps ? ... Crois-moi, je vais l'écraser. Rien... RIEN ne la sauvera. Je vais m'assurer qu'après, elle n'ait même plus la force de se relever. Au figuré, comme au sens propre.
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Re: Une saint-valentin toute particulière | Caethan (terminé)
Sam 8 Avr 2023 - 17:26
La maison de Pénélope s’efface tandis qu’Ethan transplane, agrippant solidement le bras de Calliope Muller. La tête lui tourne encore quelques secondes alors que les murs de son appartement apparaissent autour d’eux. L’un deux se voit sévèrement rossé par le poing d’Ethan qui s’écrase et saigne devant une Muller interdite.
« Tu l'as vue ? Tu l'as vue comme moi ? J'ai pas rêvé hein ! » Questions rhétoriques auxquelles la brune ne répond pas. Elle ignore la tâche rougeâtre sur son papier peint hors de prix alors que le Lacroix fait les cents pas, le visage figé dans une expression de colère qu’elle ne connait que trop bien depuis quelques mois.
« Ce qu'elle a fait ce soir, Callie, je te jure que… » Elle croise les bras sur sa poitrine, comme pour se protéger de la colère de son ami, même si celle-ci n’est pas dirigé contre elle. Pas une seule seconde il ne se remet en question. Cette scène, aussi dérangeante soit elle, ils n’auraient jamais du y assister. Mais elle se retient de le préciser, bien consciente que l’Helvète ne sera pas capable d’entendre le moindre reproche de sa part.
« Elle me retire mes filles pour quoi au final ? Les confier à sa famille et prendre du bon temps ? ... Crois-moi, je vais l'écraser. Rien... RIEN ne la sauvera. Je vais m'assurer qu'après, elle n'ait même plus la force de se relever. » Quelques pas la dirige vers la cuisine. D’un geste de sa baguette, elle lui sert un verre de scotch, bouteille qu’elle n’ouvre qu’en sa présence puisqu’elle n’en boit pas. D’habitude. Mais cette fois, elle se sert aussi un verre. Même si l’alcool aussi rude soit il ne sauraient effacer les gémissements de la Schrubber qui restaient imprimée dans son esprit.
- L’audience de ton divorce ne devrait plus tarder. On fera ce qu’il faut pour récupérer Cassandra et Isabelle. C’est tout ce qui compte.
Le ton est ferme. Ne laisse place a aucune contradiction. Le verre est tendu alors qu’elle prend une gorgée du sien.
« Tu l'as vue ? Tu l'as vue comme moi ? J'ai pas rêvé hein ! » Questions rhétoriques auxquelles la brune ne répond pas. Elle ignore la tâche rougeâtre sur son papier peint hors de prix alors que le Lacroix fait les cents pas, le visage figé dans une expression de colère qu’elle ne connait que trop bien depuis quelques mois.
« Ce qu'elle a fait ce soir, Callie, je te jure que… » Elle croise les bras sur sa poitrine, comme pour se protéger de la colère de son ami, même si celle-ci n’est pas dirigé contre elle. Pas une seule seconde il ne se remet en question. Cette scène, aussi dérangeante soit elle, ils n’auraient jamais du y assister. Mais elle se retient de le préciser, bien consciente que l’Helvète ne sera pas capable d’entendre le moindre reproche de sa part.
« Elle me retire mes filles pour quoi au final ? Les confier à sa famille et prendre du bon temps ? ... Crois-moi, je vais l'écraser. Rien... RIEN ne la sauvera. Je vais m'assurer qu'après, elle n'ait même plus la force de se relever. » Quelques pas la dirige vers la cuisine. D’un geste de sa baguette, elle lui sert un verre de scotch, bouteille qu’elle n’ouvre qu’en sa présence puisqu’elle n’en boit pas. D’habitude. Mais cette fois, elle se sert aussi un verre. Même si l’alcool aussi rude soit il ne sauraient effacer les gémissements de la Schrubber qui restaient imprimée dans son esprit.
- L’audience de ton divorce ne devrait plus tarder. On fera ce qu’il faut pour récupérer Cassandra et Isabelle. C’est tout ce qui compte.
Le ton est ferme. Ne laisse place a aucune contradiction. Le verre est tendu alors qu’elle prend une gorgée du sien.